Le Cameroun n’est pas en reste pour ce qui est de l’adaptation cinématographique des uvres littéraires.
Et même si le lien n’et pas aussi épais comme. Un lien dont nombre de cinéphiles espèrent la continuité » tant il y a nombre d’ouvrages de référence qu’a produit notre littérature et qui mériteraient d’être portées à l’écran qu’il s’agisse des livres anciens ou les nouveaux. Vivement que cela soit possible à cette heure où notre cinéma semble se réveiller » comme l’affirme l’un d’eux. Ce qui n’est pas malheureusement prêt de se produire comme le relève le critique Jean-Marie Mollo Olinga pour qui » le nombre de cinéastes dignes de ce nom est encore réduit chez nous « .
Ainsi, l’on retiendra que ‘Notre fille’ de Daniel Kamwa est adapté de ‘Notre fille ne se mariera pas’, une pièce de théâtre de Guillaume Oyono Mbia. Il y a ensuite ‘Sango Malo’, l’ uvre qui révéla Basseck ba Kobhio au cinéma qui est une adaptation de son ouvrage ‘Le maître de canton’. Il y a enfin ‘Le don involontaire’ de Serge Alain Noah qui et tiré de la pièce » Le don du propriétaire » de Wakeu Fogaing. A cette liste, l’on pourrait ajouter » Le silence de la forêt » de Basseck ba Kobhio et Didier Ouénangaré tiré d’une nouvelle éponyme du Centrafricain Etienne Goyémidé.

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