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Cameroun-Bertrand Mendouga : pourquoi je vais à la conquête de la confédération africaine de boxe

L’actuel président de la Fédération camerounaise de boxe a annoncé sa candidature à la présidence de la Confédération africaine de…

L’actuel président de la Fédération camerounaise de boxe a annoncé sa candidature à la présidence de la Confédération africaine de boxe.

L’annonce a été officiellement faite ce 5 juillet à Yaoundé lors d’une rencontre conférence de presse. Sur huit candidatures acceptées par l’Association Internationale de Boxe (AIBA), seules trois postulants iront aux élections le 16 juillet prochain en Algérie. Parmi ces candidats pour le fauteuil de la présidence de la Confédération africaine de Boxe figure le nom du Camerounais Bertrand Magloire Mendouga, un algérien et un ougandais.

Bertrand Magloire Mendouga, actuellement président de la zone 4 en Afrique croit fermement qu’il pourrait être le candidat idéal. Car selon lui, il remplit les conditions importantes allant de l’expérience, du vécu et de la compétence. Le directeur technique de cette zone bénéficie depuis deux à trois ans du soutien incommensurable des autorités de l’Afrique centrale qui ont déjà pris les engagements allant dans ce sens.

Son projet largement porté par le gouvernement Camerounais n’a pas plu à certaines personnes. Ces dernières tapies dans l’ombre ont multiplié des tractations visant à invalider la candidature de leur compatriote en se basant sur la gestion selon elles approximative de l’instance faîtière locale de la boxe. Mais hélas, elles ont complètement oublié que, « la candidature de l’individu Bertrand Magloire Mendouga n’a aucun lien ou aucun rapport avec la gestion de la Fédération camerounaise de boxe. » a expliqué le postulant.

A cet effet, « j’ai le plaisir de vous dire que je vais à la conquête de l’Afrique parce que je pense qu’il est temps que cette place revienne au Cameroun. » a-t-il annoncé. Son projet vise à donner plus de visibilité à l’Afrique à travers la boxe. Le président sortant le marocain Mohamed Moustahsane ne s’est pas présenté pour sa propre succession.