Dans une circulaire du 23 novembre 2020, le président national du PCRN rappelle que les prises de parole dans les médias traditionnels ou les médias (réseaux) sociaux au nom du parti sont soumises à un mandat préalable.
Cabral Libii remonté contre la cacophonie des prises de parole publique des membres du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN). Le leader du PCRN adresse une correspondance à cet effet aux vice-présidents; secrétaires généraux; secrétaires nationaux; responsables et militants des organes du parti et aux élus, pour leur rappeler que toute intervention dans les médias requière une autorisation.
Selon Cabral Libii, « certaines prises de parole sont tantôt en porte à faux avec l’idéologie du Parti en déphasage avec les principes qui guident notre action politique ou trahissent notre volonté inlassable à construire au sein de l’opinion nationale et internationale nos valeurs chères d’un Cameroun qui protège et qui libère les énergies ».
Il porte notamment un doigt accusateur sur des hauts cadres du parti, voire, des élus, qui « brillent par leur manque notoire de collaboration avec Secrétariat national la Presse, à l’information et à la Propagande pourtant en charge et dévoué à la réalisation de notre projet de société par la mise en exergue et en lumière de toute activité du Parti ».
Le candidat malheureux à la présidentielles de 2018, arrivé troisième, explique que ; « la collaboration et le partage d’information, doivent être les maitres-mots qui guident notre politique de communication sous l’autorité structurelle du Secrétariat national à la presse, à l’information et à la Propagande. »