Consacrée plus belle fille de l’université de Ngaoundéré, elle a les atouts pour une carrière dans le mannequinat
Produit d’un métissage ethnique entre un père du village Balkossa et d’une maman de l’ethnie Yeli, tous deux du département de Poli dans la Région du Nord Cameroun, Mlle Halimatou Djobdi a vu le jour le 26 novembre 1987 à l’hôpital norvégien de Ngaoundéré. Cette jeune fille de l’ethnie Samba qui vient d’être consacrée comme étant la plus belle fille du campus universitaire de Dang cumule tous les critères nécessaires qui laissent présager un avenir radieux dans le domaine du mannequinat. Du haut de son mètre 80 pour 62 kg , Mlle Halimatou Djobdi par son charme naturel, sa culture générale, et son bilinguisme a pu déclasser 20 autres concurrentes après trois passages – en tenue traditionnelle, de ville et de soirée – lors de casting pour la désignation de la perle rare du campus de Dang.
Elle commence ses études primaires en 1992 à l’école privée protestante de Ngaoundéré où elle obtient son CEPE et son concours d’entrée en classe de 6e en 1999. Elle entre ensuite au Collège protestant de la même ville où elle obtient son Brevet d’Etudes du Premier Cycle (BEPC) en 2004 alors qu’elle est élève en classe de seconde. En 2005 elle obtient le probatoire et le baccalauréat un an plus tard dans le même établissement. En 2007, elle s’inscrit à l’Université de Ngaoundéré à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FSEG), filière Economie et Gestion (EG). Mlle Halimatou Djobdi est actuellement étudiante en deuxième année dans cette institution universitaire.
Un coup d’ il sur son expérience dans le domaine du mannequinat montre que lors de sa première année à l’Université de Ngaoundéré en 2007, elle était déjà 2ème dauphine lors de l’élection Miss Marketing. En décembre 2008, elle était 4e au concours Miss FENAC à Maroua. C’est donc toute cette expérience et les encouragements des parents et des amis qui lui ont permis de décrocher sa première couronne. A la question de savoir si cela a pu changer quelque chose dans sa vie, elle répond que c’est vrai qu’on ne m’appelle plus trop Halima comme avant mais plutôt Miss. je ne trouve pas trop de différences entre moi avant et maintenant. Ma côte de popularité est tout simplement due à ma simplicité et à mon caractère sociable. Sinon je suis une fille très timide de nature.
Mlle Halimatou Djobdi aime les voyages, la lecture et surtout le sport. Elle pratique régulièrement le football et le lawn tennis.