L’Editorial que signe le directeur de publication Magnus Biaga pose: «Les pratiques magico anales face aux valeurs du travail»
L’Editorial que signe le directeur de publication Magnus Biaga pose : « Les pratiques magico anales face aux valeurs du travail ». L’éditorialiste s’inscrit en faux par rapport à la posture de l’essayiste Charles Ateba Eyene qui consiste à faire croire à la jeunesse que de nos jours, n’ont une place au soleil que ceux qui baissent la culotte. Il faut juste dire à cette jeunesse que dans la vie, il y a deux voie : la voie ardue qui finit toujours, à force de persévérance, par payer, et la voie de la facilité, celle de l’homosexualité et autres pratiques magico anales, qui finissent à coup sûr dans le ravin. A lire absolument en page 2.
En Politique, votre journal parle de pressions. En effet, « Le peuple ignore son pouvoir », alors qu’à chaque fois que les masses ont protesté, le régime a cédé. Avec l’éclairage du politologue Owona Nguini, il est question de démontrer que c’est le peuple qui a le pouvoir et qu’il peut toujours obtenir ce qu’il désire. A lire absolument en pages 5, 6 et 7.
En Politique toujours, Emergence plonge dans l’affaire Etoundi Oyono : « Comprendre ses ennuis autrement ». Les ennuis de l’actuel dg du Pad sont nés depuis sa première éviction du même poste. A cette époque, trois raisons ont été à l’origine de sa déchéance, ce qui explique la situation d’aujourd’hui. A lire en page 8.
En Economie, la part belle est faite aux marchés publics : « Vers un échec des reformes ». Rendu à mi-parcours de l’année budgétaire, selon des indiscrétions dans le Littoral, le taux d’exécution physico-financière est en deçà de 20%. A lire en page 4.