mardi 28 décembre

Le Figaro - 09h41

Mali : les mercenaires de Wagner se déploient

Les mercenaires de Wagner se déploient au Mali. La rumeur persistante depuis des mois de la présence de cette société de sécurité privée a été confirmée jeudi soir, un communiqué signé par la France et quinze puissances occidentales engagées dans la lutte antidjihadiste au Sahel. «Nous, partenaires internationaux (…), condamnons fermement le déploiement de mercenaires sur le territoire malien», y lit-on.

Le gouvernement de transition, issu d’un putsch en août 2020, a apporté vendredi «un démenti formel». Bamako affirme, sans surprise, qu’il ne s’agit que de «formateurs russes». Des arguments connus, similaires à ceux employés depuis trois ans par les autorités centrafricaines, où le déploiement des hommes de Wagner, effectué en parallèle avec celui de formateurs de l’armée russe, est pourtant une évidence. «Je ne connais pas de société du nom de Wagner», répond ainsi régulièrement le président Faustin-Archange Touadéra, alors même que son conseiller spécial publie sur les réseaux des autoportraits…


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Le Figaro - 09h41

Mali : les mercenaires de Wagner se déploient

Les mercenaires de Wagner se déploient au Mali. La rumeur persistante depuis des mois de la présence de cette société de sécurité privée a été confirmée jeudi soir, un communiqué signé par la France et quinze puissances occidentales engagées dans la lutte antidjihadiste au Sahel. «Nous, partenaires internationaux (…), condamnons fermement le déploiement de mercenaires sur le territoire malien», y lit-on.

Le gouvernement de transition, issu d’un putsch en août 2020, a apporté vendredi «un démenti formel». Bamako affirme, sans surprise, qu’il ne s’agit que de «formateurs russes». Des arguments connus, similaires à ceux employés depuis trois ans par les autorités centrafricaines, où le déploiement des hommes de Wagner, effectué en parallèle avec celui de formateurs de l’armée russe, est pourtant une évidence. «Je ne connais pas de société du nom de Wagner», répond ainsi régulièrement le président Faustin-Archange Touadéra, alors même que son conseiller spécial publie sur les réseaux des autoportraits…

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Rfi.fr - 09h33

Assises nationales au Mali: le boycott ou la participation des partis politiques

Au Mali, la phase finale des Assises nationales de la refondation a commencé ce lundi. Jusqu’à jeudi, les représentants des régions sont rassemblés à Bamako pour faire la synthèse des recommandations formulées depuis le début du mois aux différents niveaux des collectivités territoriales.

L’objectif de cette phase finale est de déterminer les principales réformes institutionnelles à mener, mais aussi fixer la date des futures élections, présidentielles et législatives, qui doivent marquer la fin de la transition amorcée avec le Coup d’Etat militaire   d’août 2020. Mais de nombreux partis refusent de prendre part à ces Assises, les autorités assurent pourtant qu’elles ne sont boycottées par personne.

Le RPM de l’ancien président Ibrahim Boubacar Keïta, le Parena de Tiébilé Dramé, le Codem d’Housseini Amion Guindo, le PS d’Amadou Koita : plusieurs dizaines de partis, certains de poids, refusent toujours de prendre part aux Assises.

Mamadou Hachim Koumaréest le président du Comité d’organisation des Assises nationales de la refondation. Il assure que toutes les formations y ont pourtant bel et bien pris part: « Il n’y a pas eu de boycott, tout le monde a participé, on n’a pas cherché à faire de distinguo entre les partis. »


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Rfi.fr - 09h33

Assises nationales au Mali: le boycott ou la participation des partis politiques

Au Mali, la phase finale des Assises nationales de la refondation a commencé ce lundi. Jusqu’à jeudi, les représentants des régions sont rassemblés à Bamako pour faire la synthèse des recommandations formulées depuis le début du mois aux différents niveaux des collectivités territoriales.

L’objectif de cette phase finale est de déterminer les principales réformes institutionnelles à mener, mais aussi fixer la date des futures élections, présidentielles et législatives, qui doivent marquer la fin de la transition amorcée avec le Coup d’Etat militaire   d’août 2020. Mais de nombreux partis refusent de prendre part à ces Assises, les autorités assurent pourtant qu’elles ne sont boycottées par personne.

Le RPM de l’ancien président Ibrahim Boubacar Keïta, le Parena de Tiébilé Dramé, le Codem d’Housseini Amion Guindo, le PS d’Amadou Koita : plusieurs dizaines de partis, certains de poids, refusent toujours de prendre part aux Assises.

Mamadou Hachim Koumaréest le président du Comité d’organisation des Assises nationales de la refondation. Il assure que toutes les formations y ont pourtant bel et bien pris part: « Il n’y a pas eu de boycott, tout le monde a participé, on n’a pas cherché à faire de distinguo entre les partis. »

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Le Point - 09h29

Syrie : Israël frappe à nouveau le port de Lattaquié

Des frappes aériennes israéliennes ont touché mardi le port syrien de Lattaquié, la deuxième attaque de ce type en décembre contre une installation stratégique du pays, a affirmé un média d’État syrien. « Vers 3 h 21, l’ennemi israélien a mené une agression aérienne avec plusieurs missiles en direction de la Méditerranée […] ciblant le parc à conteneurs du port de Lattaquié », a avancé l’agence de presse syrienne Sana en citant une source militaire. L’attaque a causé « des dégâts matériels significatifs » et entraîné des incendies, a ajouté l’agence.

Israël a mené des centaines de frappes aériennes sur le territoire syrien depuis que la guerre civile y a éclaté en 2011, ciblant des positions gouvernementales ainsi que des forces soutenues par l’Iran et des combattants du Hezbollah. Le 7 décembre, Israël a lancé des frappes contre une cargaison d’armes iraniennes dans le port de Lattaquié, situé dans le centre-ouest de la Syrie dirigée par le président Bachar el-Assad, sans faire de victimes.

Il s’agissait de la première attaque contre ce port depuis le début de la guerre, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d’un vaste réseau de sources dans le pays en guerre. Les missiles israéliens avaient visé « directement une cargaison d’armes iraniennes dans le terminal à conteneurs » à l’intérieur du port, ce qui a entraîné « de violentes explosions et des dégâts matériels conséquents, sans faire de victimes ». Ce bombardement avait mis le feu à « un certain nombre de conteneurs commerciaux », sans faire de victimes, avait précisé Sana, évoquant une « riposte de nos défenses antiaériennes ».

 


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Le Point - 09h29

Syrie : Israël frappe à nouveau le port de Lattaquié

Des frappes aériennes israéliennes ont touché mardi le port syrien de Lattaquié, la deuxième attaque de ce type en décembre contre une installation stratégique du pays, a affirmé un média d’État syrien. « Vers 3 h 21, l’ennemi israélien a mené une agression aérienne avec plusieurs missiles en direction de la Méditerranée […] ciblant le parc à conteneurs du port de Lattaquié », a avancé l’agence de presse syrienne Sana en citant une source militaire. L’attaque a causé « des dégâts matériels significatifs » et entraîné des incendies, a ajouté l’agence.

Israël a mené des centaines de frappes aériennes sur le territoire syrien depuis que la guerre civile y a éclaté en 2011, ciblant des positions gouvernementales ainsi que des forces soutenues par l’Iran et des combattants du Hezbollah. Le 7 décembre, Israël a lancé des frappes contre une cargaison d’armes iraniennes dans le port de Lattaquié, situé dans le centre-ouest de la Syrie dirigée par le président Bachar el-Assad, sans faire de victimes.

Il s’agissait de la première attaque contre ce port depuis le début de la guerre, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d’un vaste réseau de sources dans le pays en guerre. Les missiles israéliens avaient visé « directement une cargaison d’armes iraniennes dans le terminal à conteneurs » à l’intérieur du port, ce qui a entraîné « de violentes explosions et des dégâts matériels conséquents, sans faire de victimes ». Ce bombardement avait mis le feu à « un certain nombre de conteneurs commerciaux », sans faire de victimes, avait précisé Sana, évoquant une « riposte de nos défenses antiaériennes ».

 

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lundi 27 décembre

gazeti-237.com - 16h41

Can 2001 : l’Éthiopie, première sélection à rejoindre son camp de base au Cameroun

Le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations 2022 sera donné dans deux semaines, le dimanche 9 janvier, avec deux rencontres du groupe A au programme : Cameroun – Burkina Faso à 17 h, puis Éthiopie – Cap Vert à 20 h.

L’Éthiopie n’a pas traîné pour rallier son camp de base au Cameroun. La sélection des 28 joueurs convoqués par Wubetu Abete a débarqué à l’aéroport de Yaoundé dès dimanche, et a enchaîné avec un premier entraînement dans la soirée.

Cette arrivée au Cameroun à 15 jours de son premier match est facilitée par le fait que seuls deux joueurs de la sélection évoluent hors du championnat national éthiopien : Shemeles Bekele, milieu de terrain d’El Gouna (Égypte), joueur le plus capé du groupe (68 sélections, 10 buts), et Mujib Kassim, attaquant de la JS Kabylie.

Pour les autres sélections, celle qui compte notamment des joueurs évoluant en Europe, la donne est plus compliquée, puisque la Fifa a autorisé les clubs européens à disposer de leurs joueurs jusqu’au 3 janvier.


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gazeti-237.com - 16h41

Can 2001 : l’Éthiopie, première sélection à rejoindre son camp de base au Cameroun

Le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations 2022 sera donné dans deux semaines, le dimanche 9 janvier, avec deux rencontres du groupe A au programme : Cameroun – Burkina Faso à 17 h, puis Éthiopie – Cap Vert à 20 h.

L’Éthiopie n’a pas traîné pour rallier son camp de base au Cameroun. La sélection des 28 joueurs convoqués par Wubetu Abete a débarqué à l’aéroport de Yaoundé dès dimanche, et a enchaîné avec un premier entraînement dans la soirée.

Cette arrivée au Cameroun à 15 jours de son premier match est facilitée par le fait que seuls deux joueurs de la sélection évoluent hors du championnat national éthiopien : Shemeles Bekele, milieu de terrain d’El Gouna (Égypte), joueur le plus capé du groupe (68 sélections, 10 buts), et Mujib Kassim, attaquant de la JS Kabylie.

Pour les autres sélections, celle qui compte notamment des joueurs évoluant en Europe, la donne est plus compliquée, puisque la Fifa a autorisé les clubs européens à disposer de leurs joueurs jusqu’au 3 janvier.

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Le Figaro - 10h48

Covid-19 dans le monde : hausse des hospitalisations d’enfants à New York, le Pérou va acheter 55 millions de doses de vaccin

La pandémie de Covid-19 a fait plus de 5,3 millions de morts, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse à partir de sources officielles dimanche 26 décembre. En valeur absolue, selon ces sources, les Etats-Unis sont le pays le plus touché avec plus de 816 000 morts, suivis par le Brésil (618 000), l’Inde (479 000), la Russie (304 000) et le Mexique (298 000). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui officiellement recensé.

Aux Etats-Unis, les autorités sanitaires de New York constatent une hausse du nombre d’enfants hospitalisés en lien avec le Covid-19. « La plus forte hausse concerne la ville de New York avec des admissions qui ont quadruplé » entre la semaine du 5 décembre et celle du 19 décembre, précisent les autorités. La moitié de ces admissions concerne des enfants de moins de 5 ans, trop jeunes pour être vaccinés.

Le Pérou achètera 55 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 en 2022 pour faire une quatrième injection au personnel médical et aux populations vulnérables, a annoncé le gouvernement. « Nous avons convenu avec différents laboratoires l’achat de 55 millions de doses de vaccins l’année prochaine (…), ce qui nous permettrait d’appliquer une quatrième dose de rappel pour les secteurs les plus vulnérables et pour le personnel de première ligne [médecins et infirmiers] », a déclaré à la presse le ministre de la santé péruvien, Hernando Cevallos.

 


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Le Figaro - 10h48

Covid-19 dans le monde : hausse des hospitalisations d’enfants à New York, le Pérou va acheter 55 millions de doses de vaccin

La pandémie de Covid-19 a fait plus de 5,3 millions de morts, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse à partir de sources officielles dimanche 26 décembre. En valeur absolue, selon ces sources, les Etats-Unis sont le pays le plus touché avec plus de 816 000 morts, suivis par le Brésil (618 000), l’Inde (479 000), la Russie (304 000) et le Mexique (298 000). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui officiellement recensé.

Aux Etats-Unis, les autorités sanitaires de New York constatent une hausse du nombre d’enfants hospitalisés en lien avec le Covid-19. « La plus forte hausse concerne la ville de New York avec des admissions qui ont quadruplé » entre la semaine du 5 décembre et celle du 19 décembre, précisent les autorités. La moitié de ces admissions concerne des enfants de moins de 5 ans, trop jeunes pour être vaccinés.

Le Pérou achètera 55 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 en 2022 pour faire une quatrième injection au personnel médical et aux populations vulnérables, a annoncé le gouvernement. « Nous avons convenu avec différents laboratoires l’achat de 55 millions de doses de vaccins l’année prochaine (…), ce qui nous permettrait d’appliquer une quatrième dose de rappel pour les secteurs les plus vulnérables et pour le personnel de première ligne [médecins et infirmiers] », a déclaré à la presse le ministre de la santé péruvien, Hernando Cevallos.

 

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Le Monde - 10h27

Les Turcs s’appauvrissent, Erdogan s’en remet au Coran

La livre turque est volatile, les prix des denrées alimentaires flambent et de nombreux Turcs sont contraints de former de longues files d’attente pour acheter du pain à prix subventionné dans la plupart des grandes villes du pays. Leur pouvoir d’achat fond chaque jour un peu plus sous l’effet de la politique monétaire fantaisiste conduite par le président Recep Tayyip Erdogan. Convaincu que la baisse des taux est le meilleur remède pour lutter contre l’inflation, il mise sur une monnaie moins chère pour favoriser la croissance et stimuler les exportations.

A contre-courant de la tendance mondiale, quand la plupart des banques centrales relèvent le loyer de l’argent pour juguler l’inflation, la Banque centrale de Turquie a baissé son taux directeur à quatre reprises en quatre mois, sous la pression de M. Erdogan. Résultat, la livre turque a perdu plus de 45 % de sa valeur face au dollar cette année, ce qui a fait grimper les prix des produits importés (énergie, matières premières, engrais, produits chimiques, médicaments, composants électroniques) indispensables aux entreprises turques, aux agriculteurs et aux ménages.


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Le Monde - 10h27

Les Turcs s’appauvrissent, Erdogan s’en remet au Coran

La livre turque est volatile, les prix des denrées alimentaires flambent et de nombreux Turcs sont contraints de former de longues files d’attente pour acheter du pain à prix subventionné dans la plupart des grandes villes du pays. Leur pouvoir d’achat fond chaque jour un peu plus sous l’effet de la politique monétaire fantaisiste conduite par le président Recep Tayyip Erdogan. Convaincu que la baisse des taux est le meilleur remède pour lutter contre l’inflation, il mise sur une monnaie moins chère pour favoriser la croissance et stimuler les exportations.

A contre-courant de la tendance mondiale, quand la plupart des banques centrales relèvent le loyer de l’argent pour juguler l’inflation, la Banque centrale de Turquie a baissé son taux directeur à quatre reprises en quatre mois, sous la pression de M. Erdogan. Résultat, la livre turque a perdu plus de 45 % de sa valeur face au dollar cette année, ce qui a fait grimper les prix des produits importés (énergie, matières premières, engrais, produits chimiques, médicaments, composants électroniques) indispensables aux entreprises turques, aux agriculteurs et aux ménages.

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Le Monde Afrique - 10h17

En Somalie, le président suspend son premier ministre qu’il accuse de corruption

Au lendemain d’un différend public à propos des élections, le président somalien, Mohamed Abdullahi Mohamed, a annoncé, lundi 27 décembre, qu’il suspendait le premier ministre, Mohamed Hussein Roble, dans ce pays instable de la Corne de l’Afrique.

« Le président a décidé de suspendre le premier ministre, Mohamed Hussein Roble, et de mettre fin à ses pouvoirs à partir du moment où il est lié à la corruption », a fait savoir le bureau du président dans un communiqué, accusant le premier ministre d’interférer dans une enquête sur une affaire d’appropriation de terres.

Les tensions entre le président Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmaajo, et son premier ministre sont récurrentes. Dimanche, le premier ministre a ainsi accusé le président de saboter le processus électoral, après la décision du chef de l’Etat de lui retirer la charge d’organiser les élections, longuement attendues et à l’origine d’une grave crise institutionnelle.

 


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Le Monde Afrique - 10h17

En Somalie, le président suspend son premier ministre qu’il accuse de corruption

Au lendemain d’un différend public à propos des élections, le président somalien, Mohamed Abdullahi Mohamed, a annoncé, lundi 27 décembre, qu’il suspendait le premier ministre, Mohamed Hussein Roble, dans ce pays instable de la Corne de l’Afrique.

« Le président a décidé de suspendre le premier ministre, Mohamed Hussein Roble, et de mettre fin à ses pouvoirs à partir du moment où il est lié à la corruption », a fait savoir le bureau du président dans un communiqué, accusant le premier ministre d’interférer dans une enquête sur une affaire d’appropriation de terres.

Les tensions entre le président Mohamed Abdullahi Mohamed, dit Farmaajo, et son premier ministre sont récurrentes. Dimanche, le premier ministre a ainsi accusé le président de saboter le processus électoral, après la décision du chef de l’Etat de lui retirer la charge d’organiser les élections, longuement attendues et à l’origine d’une grave crise institutionnelle.

 

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Le Figaro - 10h06

Philippines : le bilan du typhon Rai s’alourdit à 388 morts

Le typhon Rai, l’un des plus puissants à frapper les Philippines ces dernières années, a fait au moins 388 morts, a annoncé lundi le gouvernement, tandis que la menace d’une possible épidémie pèse sur certaines des zones sinistrées. Le bureau de la Défense civile a annoncé que le nombre total de morts s’élevait à 388 et que 60 personnes étaient toujours portées disparues.

Le bilan précédent faisait état de 375 morts. Des centaines de personnes ont en outre été blessées. Les 16 et 17 décembre, le typhon, accompagné de vents qui ont atteint 195 km/h, a semé la mort et la désolation dans le centre et le sud de l’archipel, arrachant toits, poteaux électriques et arbres sur son chemin. Des centaines de milliers de personnes se sont retrouvées du jour au lendemain sans abri.


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Le Figaro - 10h06

Philippines : le bilan du typhon Rai s’alourdit à 388 morts

Le typhon Rai, l’un des plus puissants à frapper les Philippines ces dernières années, a fait au moins 388 morts, a annoncé lundi le gouvernement, tandis que la menace d’une possible épidémie pèse sur certaines des zones sinistrées. Le bureau de la Défense civile a annoncé que le nombre total de morts s’élevait à 388 et que 60 personnes étaient toujours portées disparues.

Le bilan précédent faisait état de 375 morts. Des centaines de personnes ont en outre été blessées. Les 16 et 17 décembre, le typhon, accompagné de vents qui ont atteint 195 km/h, a semé la mort et la désolation dans le centre et le sud de l’archipel, arrachant toits, poteaux électriques et arbres sur son chemin. Des centaines de milliers de personnes se sont retrouvées du jour au lendemain sans abri.

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Le Figaro - 09h59

Canada : un médecin condamné pour avoir fabriqué de faux passes sanitaires

Mardi 14 décembre, un médecin cantalien a écopé de six mois de prison avec sursis ainsi que d’une amende 40.000 euros et d’une interdiction d’exercer sa profession durant les cinq prochaines années pour avoir fabriqué gratuitement 35 faux passes sanitaires, a indiqué au Figaro le parquet d’Aurillac, confirmant une information de La Montagne .

L’affaire a éclaté au grand jour après la diffusion d’un signalement de l’Agence Régionale de Santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes au procureur de la République d’Aurillac, qui a immédiatement ouvert une enquête. Le médecin en question, bien que retraité, officiait dans des Ehpad situés à Aurillac (Cantal) et Vic-sur-Cère (Cantal), a indiqué au Figaro le procureur de la République d’Aurillac Paolo Giambiasi.

Placé en garde à vue, le praticien a rapidement reconnu les faits, confirmant avoir constitué plusieurs faux passes au bénéfice, principalement, de certaines de ses connaissances ainsi que de celles de son fils. Interrogé lors de l’audience, ce retraité aurait alors justifié son geste par le fait qu’il estimait que la campagne vaccinale s’assimilait à une «thérapie génique», rapporte Ouest France .

Pour créer ces faux passes sanitaires, le praticien opérait toujours de la même façon : «Il entrait dans le système Ameli et pouvait, étant médecin, indiquer une date de vaccination et un numéro de lot de vaccination à partir du numéro de sécurité sociale de l’assuré. Il a lui-même bénéficié d’un faux passe sanitaire», a précisé au Figaro le procureur Paolo Giambiasi, ajoutant que le médecin a aussi reconnu avoir falsifié un test PCR.

 

 

 

 

 

 


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Le Figaro - 09h59

Canada : un médecin condamné pour avoir fabriqué de faux passes sanitaires

Mardi 14 décembre, un médecin cantalien a écopé de six mois de prison avec sursis ainsi que d’une amende 40.000 euros et d’une interdiction d’exercer sa profession durant les cinq prochaines années pour avoir fabriqué gratuitement 35 faux passes sanitaires, a indiqué au Figaro le parquet d’Aurillac, confirmant une information de La Montagne .

L’affaire a éclaté au grand jour après la diffusion d’un signalement de l’Agence Régionale de Santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes au procureur de la République d’Aurillac, qui a immédiatement ouvert une enquête. Le médecin en question, bien que retraité, officiait dans des Ehpad situés à Aurillac (Cantal) et Vic-sur-Cère (Cantal), a indiqué au Figaro le procureur de la République d’Aurillac Paolo Giambiasi.

Placé en garde à vue, le praticien a rapidement reconnu les faits, confirmant avoir constitué plusieurs faux passes au bénéfice, principalement, de certaines de ses connaissances ainsi que de celles de son fils. Interrogé lors de l’audience, ce retraité aurait alors justifié son geste par le fait qu’il estimait que la campagne vaccinale s’assimilait à une «thérapie génique», rapporte Ouest France .

Pour créer ces faux passes sanitaires, le praticien opérait toujours de la même façon : «Il entrait dans le système Ameli et pouvait, étant médecin, indiquer une date de vaccination et un numéro de lot de vaccination à partir du numéro de sécurité sociale de l’assuré. Il a lui-même bénéficié d’un faux passe sanitaire», a précisé au Figaro le procureur Paolo Giambiasi, ajoutant que le médecin a aussi reconnu avoir falsifié un test PCR.

 

 

 

 

 

 

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Le Point - 09h41

Les pires catastrophes météo ont coûté 170 milliards de dollars de dommages

En 2021, les dix événements climatiques les plus violents ont entraîné des pertes supérieures à 2020, signe d’un impact grandissant du réchauffement climatique. Les dix catastrophes météo les plus coûteuses de l’année ont dépassé 170 milliards de dollars de dommages au total, chiffre en augmentation sur 2020.

Selon le rapport annuel de Christian Aid, publié lundi 27 décembre, ces 10 catastrophes ont également fait au moins 1 075 morts et déplacé plus de 1,3 million de personnes. L’an dernier, le montant des dommages économiques des 10 événements météo les plus coûteux avait été calculé à près de 150 milliards de dollars par l’ONG, qui souligne que la plupart des évaluations sont basées uniquement sur les dommages assurés, ce qui laisse supposer des coûts réels encore plus élevés.

Ce classement économique surreprésente les catastrophes survenues dans les pays riches, aux infrastructures plus développées et mieux assurées, mais l’ONG rappelle que certains des événements météo extrêmes les plus dévastateurs de 2021 ont frappé des pays pauvres, qui ont peu contribué aux causes du changement climatique et où la plupart des dommages ne sont pas assurés. Au Soudan du Sud, des inondations, dont le coût économique n’a pu être évalué, ont ainsi affecté quelque 800 000 personnes.

 


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Le Point - 09h41

Les pires catastrophes météo ont coûté 170 milliards de dollars de dommages

En 2021, les dix événements climatiques les plus violents ont entraîné des pertes supérieures à 2020, signe d’un impact grandissant du réchauffement climatique. Les dix catastrophes météo les plus coûteuses de l’année ont dépassé 170 milliards de dollars de dommages au total, chiffre en augmentation sur 2020.

Selon le rapport annuel de Christian Aid, publié lundi 27 décembre, ces 10 catastrophes ont également fait au moins 1 075 morts et déplacé plus de 1,3 million de personnes. L’an dernier, le montant des dommages économiques des 10 événements météo les plus coûteux avait été calculé à près de 150 milliards de dollars par l’ONG, qui souligne que la plupart des évaluations sont basées uniquement sur les dommages assurés, ce qui laisse supposer des coûts réels encore plus élevés.

Ce classement économique surreprésente les catastrophes survenues dans les pays riches, aux infrastructures plus développées et mieux assurées, mais l’ONG rappelle que certains des événements météo extrêmes les plus dévastateurs de 2021 ont frappé des pays pauvres, qui ont peu contribué aux causes du changement climatique et où la plupart des dommages ne sont pas assurés. Au Soudan du Sud, des inondations, dont le coût économique n’a pu être évalué, ont ainsi affecté quelque 800 000 personnes.

 

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Rfi.fr - 09h36

Les obsèques de Mgr Desmond Tutu auront lieu le 1er janvier au Cap

Les obsèques de l’archevêque anglican sud-africain Desmond Tutu, icône de la lutte contre le régime d’apartheid, auront lieu le samedi 1er janvier au Cap, dans la cathédrale Saint-Georges, son ancienne paroisse, a annoncé dimanche 26 décembre au soir sa fondation. «Les dispositions prises pour une semaine de deuil n’en sont qu’à leurs débuts», annonce la fondation dans un communiqué, tout en précisant «un certain nombre d’événements confirmés pour la semaine à venir jusqu’aux funérailles de « The Arch » au Cap le samedi 1er janvier 2022».


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Rfi.fr - 09h36

Les obsèques de Mgr Desmond Tutu auront lieu le 1er janvier au Cap

Les obsèques de l’archevêque anglican sud-africain Desmond Tutu, icône de la lutte contre le régime d’apartheid, auront lieu le samedi 1er janvier au Cap, dans la cathédrale Saint-Georges, son ancienne paroisse, a annoncé dimanche 26 décembre au soir sa fondation. «Les dispositions prises pour une semaine de deuil n’en sont qu’à leurs débuts», annonce la fondation dans un communiqué, tout en précisant «un certain nombre d’événements confirmés pour la semaine à venir jusqu’aux funérailles de « The Arch » au Cap le samedi 1er janvier 2022».

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vendredi 24 décembre

Rfi.fr - 20h40

Face aux tensions avec la Russie, Mikhaïl Gorbatchev dénonce «l’arrogance» des États-Unis

Le 25 décembre 1991, il y a exactement 30 ans, Mikhaïl Gorbatchev annonçait à la télévision sa démission du poste de président de l’URSS, entraînant la disparition du bloc soviétique et la fin de la guerre froide. Trois décennies plus tard, les relations entre la Russie et les pays occidentaux sont on ne peut plus tendues. Pour Mikhaïl Gorbatchev l’origine de cette crise est à chercher du côté des États-Unis.

Les États-Unis ont eu une attitude « arrogante », après la disparition de l’URSS, selon le dernier dirigeant soviétique. « Ça leur est monté à la tête, l’arrogance, l’autosatisfaction, ils se sont proclamés vainqueurs dans la guerre froide alors qu’on avait ensemble sauvé le monde de la confrontation, de la course aux armements nucléaires », affirme Mikhaïl Gorbatchev dans un entretien à l’agence de presse russe Ria Novosti, avant de s’interroger : « Comment peut-on espérer des relations d’équité avec les États-Unis, avec l’Occident, dans cette situation ? »

Vladimir Poutine veut obtenir des États-Unis et de ses alliés de l’Otan un engagement écrit interdisant tout élargissement futur de l’Alliance vers l’est et toute coopération militaire dans ce que la Russie considère comme sa zone d’influence, en particulier l’Ukraine.


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Rfi.fr - 20h40

Face aux tensions avec la Russie, Mikhaïl Gorbatchev dénonce «l’arrogance» des États-Unis

Le 25 décembre 1991, il y a exactement 30 ans, Mikhaïl Gorbatchev annonçait à la télévision sa démission du poste de président de l’URSS, entraînant la disparition du bloc soviétique et la fin de la guerre froide. Trois décennies plus tard, les relations entre la Russie et les pays occidentaux sont on ne peut plus tendues. Pour Mikhaïl Gorbatchev l’origine de cette crise est à chercher du côté des États-Unis.

Les États-Unis ont eu une attitude « arrogante », après la disparition de l’URSS, selon le dernier dirigeant soviétique. « Ça leur est monté à la tête, l’arrogance, l’autosatisfaction, ils se sont proclamés vainqueurs dans la guerre froide alors qu’on avait ensemble sauvé le monde de la confrontation, de la course aux armements nucléaires », affirme Mikhaïl Gorbatchev dans un entretien à l’agence de presse russe Ria Novosti, avant de s’interroger : « Comment peut-on espérer des relations d’équité avec les États-Unis, avec l’Occident, dans cette situation ? »

Vladimir Poutine veut obtenir des États-Unis et de ses alliés de l’Otan un engagement écrit interdisant tout élargissement futur de l’Alliance vers l’est et toute coopération militaire dans ce que la Russie considère comme sa zone d’influence, en particulier l’Ukraine.

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Le Point - 20h36

Pour dissuader Israël, l’Iran a tiré seize missiles balistiques

Plusieurs missiles balistiques ont été tirés, vendredi 24 décembre par l’Iran, à l’issue de cinq jours d’exercices militaires. Ses tirs feraient office d’avertissement à son ennemi Israël, selon des généraux. « Ces exercices ont été conçus pour répondre aux menaces proférées ces derniers jours par le régime sioniste », a attesté à la télévision d’État le général Mohammad Bagheri, chef d’état-major des forces armées, en référence à Israël.

« Seize missiles ont visé et anéanti la cible choisie. Lors de cet exercice, une partie des centaines de missiles iraniens capables de détruire un pays qui oserait attaquer l’Iran a été déployée », a-t-il ajouté. Pour sa part, le général Hossein Salami, chef des gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, « l’exercice militaire intitulé « Grand Prophète » est un avertissement sérieux aux responsables du régime sioniste. S’ils font la moindre erreur, nous leur couperons la main », a-t-il dit.

La Grande-Bretagne a condamné l’utilisation par l’Iran de missiles balistiques. « C’est une violation flagrante de la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui exige que l’Iran n’entreprenne aucune activité liée aux missiles balistiques qui peuvent être capables de transporter des armes nucléaires, y compris les lancements utilisant la technologie des missiles balistiques », a déclaré un porte-parole du Foreign Office.


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Le Point - 20h36

Pour dissuader Israël, l’Iran a tiré seize missiles balistiques

Plusieurs missiles balistiques ont été tirés, vendredi 24 décembre par l’Iran, à l’issue de cinq jours d’exercices militaires. Ses tirs feraient office d’avertissement à son ennemi Israël, selon des généraux. « Ces exercices ont été conçus pour répondre aux menaces proférées ces derniers jours par le régime sioniste », a attesté à la télévision d’État le général Mohammad Bagheri, chef d’état-major des forces armées, en référence à Israël.

« Seize missiles ont visé et anéanti la cible choisie. Lors de cet exercice, une partie des centaines de missiles iraniens capables de détruire un pays qui oserait attaquer l’Iran a été déployée », a-t-il ajouté. Pour sa part, le général Hossein Salami, chef des gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, « l’exercice militaire intitulé « Grand Prophète » est un avertissement sérieux aux responsables du régime sioniste. S’ils font la moindre erreur, nous leur couperons la main », a-t-il dit.

La Grande-Bretagne a condamné l’utilisation par l’Iran de missiles balistiques. « C’est une violation flagrante de la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui exige que l’Iran n’entreprenne aucune activité liée aux missiles balistiques qui peuvent être capables de transporter des armes nucléaires, y compris les lancements utilisant la technologie des missiles balistiques », a déclaré un porte-parole du Foreign Office.

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maxifoot.fr - 20h20

Nigeria : Mourinho contacté pour la CAN !

Le 12 décembre, le Nigeria a pris une décision risquée en limogeant son sélectionneur Gernot Rohr, en poste depuis 5 ans, à quelques semaines de la CAN 2021 (9 janvier-6 février 2022). Le DTN Augustine Eguavoen a provisoirement été nommé pour le remplacer, mais la Fédération (NFF) aimerait attirer un entraîneur européen avant le coup d’envoi de la compétition. Dans ce cadre, des contacts ont été établis avec José Mourinho !

« Je ne vais pas vous dire que nous n’avons pas parlé parce que nous l’avons fait. Le ministre (des Sports) l’a également fait et il n’y a rien de mal à ça », a indiqué le président de la NFF, Amaju Pinnick, cité par le quotidien local le Daily Trust.

Pas sûr que l’AS Roma, actuel employeur du Special One, soit du même avis, mais les chances de voir le Portugais claquer la porte en pleine saison pour partir disputer la CAN sont faibles a priori.


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maxifoot.fr - 20h20

Nigeria : Mourinho contacté pour la CAN !

Le 12 décembre, le Nigeria a pris une décision risquée en limogeant son sélectionneur Gernot Rohr, en poste depuis 5 ans, à quelques semaines de la CAN 2021 (9 janvier-6 février 2022). Le DTN Augustine Eguavoen a provisoirement été nommé pour le remplacer, mais la Fédération (NFF) aimerait attirer un entraîneur européen avant le coup d’envoi de la compétition. Dans ce cadre, des contacts ont été établis avec José Mourinho !

« Je ne vais pas vous dire que nous n’avons pas parlé parce que nous l’avons fait. Le ministre (des Sports) l’a également fait et il n’y a rien de mal à ça », a indiqué le président de la NFF, Amaju Pinnick, cité par le quotidien local le Daily Trust.

Pas sûr que l’AS Roma, actuel employeur du Special One, soit du même avis, mais les chances de voir le Portugais claquer la porte en pleine saison pour partir disputer la CAN sont faibles a priori.

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Rfi.fr - 09h21

Wagner : l’annonce de quinze partenaires internationaux fait réagir

Dans un communiqué commun, quinze pays occidentaux dont le Canada, la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne, condamnent le déploiement de mercenaires de la société russe Wagner au Mali. Ce rapprochement avec les autorités de Bamako, confirmé par des sources à RFI, pourrait rebattre les cartes de l’engagement de nombreux pays. Il fait réagir à Bamako aussi.

Rumeurs, ou réalité ? Ce jeudi 23 décembre à Bamako, l’affirmation de la présence de la société russe Wagner au Mali a surpris. Elle pose même plus de questions qu’elle n’y répond, explique notre correspondant dans la capitale, Kaourou Magasa.

Notamment aux yeux de Moussa Mara, ancien Premier ministre. « Nous sommes dans le brouillard, explique-t-il. Aujourd’hui, les Maliens de manière générale, et particulièrement je pense la classe politique, nous apprenons ces informations par des communiqués de nos partenaires traditionnels. Maintenant, il faut que nos autorités soient claires sur leurs intentions et qu’elles interagissent avec le peuple au nom duquel elles sont en train d’agir et de prendre des décisions. »

Jeudi, quinze pays occidentaux ont donc dénoncé d’une même voix, sans beaucoup plus de détails, le déploiement de mercenaires russes de cette société paramilitaire au Mali : Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, France, Italie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suède, ainsi que le Canada, hors Europe.


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Rfi.fr - 09h21

Wagner : l’annonce de quinze partenaires internationaux fait réagir

Dans un communiqué commun, quinze pays occidentaux dont le Canada, la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne, condamnent le déploiement de mercenaires de la société russe Wagner au Mali. Ce rapprochement avec les autorités de Bamako, confirmé par des sources à RFI, pourrait rebattre les cartes de l’engagement de nombreux pays. Il fait réagir à Bamako aussi.

Rumeurs, ou réalité ? Ce jeudi 23 décembre à Bamako, l’affirmation de la présence de la société russe Wagner au Mali a surpris. Elle pose même plus de questions qu’elle n’y répond, explique notre correspondant dans la capitale, Kaourou Magasa.

Notamment aux yeux de Moussa Mara, ancien Premier ministre. « Nous sommes dans le brouillard, explique-t-il. Aujourd’hui, les Maliens de manière générale, et particulièrement je pense la classe politique, nous apprenons ces informations par des communiqués de nos partenaires traditionnels. Maintenant, il faut que nos autorités soient claires sur leurs intentions et qu’elles interagissent avec le peuple au nom duquel elles sont en train d’agir et de prendre des décisions. »

Jeudi, quinze pays occidentaux ont donc dénoncé d’une même voix, sans beaucoup plus de détails, le déploiement de mercenaires russes de cette société paramilitaire au Mali : Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, France, Italie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suède, ainsi que le Canada, hors Europe.

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Rfi.fr - 09h16

Guinée: le retour d’exil de Dadis Camara divise les Guinéens

Moussa Dadis Camara a fait son retour en Guinée mercredi, après 12 années d’exil. À son arrivée, l’ancien officier, chef de junte, a fait un discours, accordant une large place au massacre du 28 septembre 2009. Inculpé dans ce dossier, l’ancien président a déclaré se mettre à la disposition de la justice. Comment les Guinéens ont-il perçu les premiers pas de Moussa Dadis Camara pour cette visite de retour d’exil?

Si l’ex-chef d’État divise toujours autant, l’ancien exilé, lui, met les Guinéens d’accord : « Il a rassuré tout le monde. Ce qu’il a dit c’est qu’il avait un point, dans cette affaire du 28 septembre, parce que nous on l’attend. »

Ibrahima Camara, 48 ans, était un supporter de Moussa Dadis Camara. « Moi, il était mon leader. Il peut participer au développement de la Guinée. Pas en tant que président, mais en tant que citoyen du pays, il peut faire quelque chose », explique-t-il.

Dans le quartier de Dixinn, où se trouve le stade du 28 septembre, le souvenir du massacre de 2009 est encore dans les mémoires. « Le jour d’après, les cadavres, les corps ont été envoyés à la mosquée, ici, pour prier sur les corps. Depuis ce temps, on ne fait que demander justice », raconte Sékou Bangoura, un habitant du quartier.

Avec le retour du capitaine Dadis Camara, une étape importante vient d’être franchie. « Ce que je retiens, c’est le fait d’avoir le courage d’oser venir et défier de près, de faire face à la justice. »


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Rfi.fr - 09h16

Guinée: le retour d’exil de Dadis Camara divise les Guinéens

Moussa Dadis Camara a fait son retour en Guinée mercredi, après 12 années d’exil. À son arrivée, l’ancien officier, chef de junte, a fait un discours, accordant une large place au massacre du 28 septembre 2009. Inculpé dans ce dossier, l’ancien président a déclaré se mettre à la disposition de la justice. Comment les Guinéens ont-il perçu les premiers pas de Moussa Dadis Camara pour cette visite de retour d’exil?

Si l’ex-chef d’État divise toujours autant, l’ancien exilé, lui, met les Guinéens d’accord : « Il a rassuré tout le monde. Ce qu’il a dit c’est qu’il avait un point, dans cette affaire du 28 septembre, parce que nous on l’attend. »

Ibrahima Camara, 48 ans, était un supporter de Moussa Dadis Camara. « Moi, il était mon leader. Il peut participer au développement de la Guinée. Pas en tant que président, mais en tant que citoyen du pays, il peut faire quelque chose », explique-t-il.

Dans le quartier de Dixinn, où se trouve le stade du 28 septembre, le souvenir du massacre de 2009 est encore dans les mémoires. « Le jour d’après, les cadavres, les corps ont été envoyés à la mosquée, ici, pour prier sur les corps. Depuis ce temps, on ne fait que demander justice », raconte Sékou Bangoura, un habitant du quartier.

Avec le retour du capitaine Dadis Camara, une étape importante vient d’être franchie. « Ce que je retiens, c’est le fait d’avoir le courage d’oser venir et défier de près, de faire face à la justice. »

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Le Figaro - 09h12

Covid-19 : des contaminations record en France à la veille de Noël

Contaminations record en France et au Royaume-Uni à la veille de Noël, vaccination obligatoire pour les enfants dès 5 ans en Équateur – première mondiale -, retour du masque en extérieur et du couvre-feu en Europe… Le Figaro fait le point sur la pandémie dans le monde.

Les contaminations par le Covid-19 ont dépassé les 90.000 nouveaux cas enregistrés en 24 heures en France, un seuil jamais atteint et un record absolu depuis le début de l’épidémie en mars 2020, selon les chiffres donnés jeudi par Santé publique France.

Le Royaume-Uni a enregistré jeudi près de 120.000 cas supplémentaires de Covid-19, un nouveau record. Dans son message de Noël, le premier ministre Boris Johnson exhorte les Britanniques à se faire vacciner en guise de cadeau «merveilleux» au Royaume-Uni.

Après l’Espagne, qui a rétabli le port du masque obligatoire à l’extérieur, la Grèce a annoncé que le port du masque serait obligatoire en intérieur comme à l’extérieur pendant les fêtes de fin d’année. «Il y a beaucoup de mouvement pendant les fêtes de fin d’année, et de larges foules se rassemblent en extérieur», a justifié le ministre de la Santé, Thanos Plevris.


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Le Figaro - 09h12

Covid-19 : des contaminations record en France à la veille de Noël

Contaminations record en France et au Royaume-Uni à la veille de Noël, vaccination obligatoire pour les enfants dès 5 ans en Équateur – première mondiale -, retour du masque en extérieur et du couvre-feu en Europe… Le Figaro fait le point sur la pandémie dans le monde.

Les contaminations par le Covid-19 ont dépassé les 90.000 nouveaux cas enregistrés en 24 heures en France, un seuil jamais atteint et un record absolu depuis le début de l’épidémie en mars 2020, selon les chiffres donnés jeudi par Santé publique France.

Le Royaume-Uni a enregistré jeudi près de 120.000 cas supplémentaires de Covid-19, un nouveau record. Dans son message de Noël, le premier ministre Boris Johnson exhorte les Britanniques à se faire vacciner en guise de cadeau «merveilleux» au Royaume-Uni.

Après l’Espagne, qui a rétabli le port du masque obligatoire à l’extérieur, la Grèce a annoncé que le port du masque serait obligatoire en intérieur comme à l’extérieur pendant les fêtes de fin d’année. «Il y a beaucoup de mouvement pendant les fêtes de fin d’année, et de larges foules se rassemblent en extérieur», a justifié le ministre de la Santé, Thanos Plevris.

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Le Point - 09h08

JO de Pékin : le Japon n’enverra pas de responsables ministériels

Le Japon n’enverra pas de responsables ministériels aux Jeux olympiques d’hiver en février à Pékin, a annoncé vendredi 24 décembre le gouvernement nippon, après les boycotts diplomatiques décidés par plusieurs pays occidentaux, dont les États-Unis, en liaison avec les droits de l’homme en Chine. Le porte-parole du gouvernement japonais, Hirokazu Matsuno, a évité de qualifier la décision de boycott, mais a déclaré que le Japon « ne prévoit pas d’envoyer de responsables gouvernementaux » aux JO d’hiver en Chine.

« Le Japon estime qu’il est important que les valeurs communes partagées par la communauté internationale, telles que la liberté, les droits de l’homme et l’État de droit, soient également respectées en Chine », a-t-il affirmé. La présidente du comité d’organisation des JO de Tokyo 2020, Seiko Hashimoto, se rendra en revanche sur place, ainsi que le président du comité olympique japonais Yasuhiro Yamashita, a précisé le porte-parole du gouvernement nippon.

Seiko Hashimoto ira à Pékin « pour exprimer gratitude et respect aux athlètes et aux autres personnes qui ont soutenu les Jeux de Tokyo » organisés l’été dernier, a-t-il ajouté. Le Japon a pris cette décision après « un examen approfondi » de la question. Elle est intervenue après que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et le Canada ont annoncé, ce mois-ci, un boycott diplomatique des Jeux d’hiver de Pékin (4-20 février 2022) pour dénoncer des atteintes aux droits de l’homme en Chine.


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Le Point - 09h08

JO de Pékin : le Japon n’enverra pas de responsables ministériels

Le Japon n’enverra pas de responsables ministériels aux Jeux olympiques d’hiver en février à Pékin, a annoncé vendredi 24 décembre le gouvernement nippon, après les boycotts diplomatiques décidés par plusieurs pays occidentaux, dont les États-Unis, en liaison avec les droits de l’homme en Chine. Le porte-parole du gouvernement japonais, Hirokazu Matsuno, a évité de qualifier la décision de boycott, mais a déclaré que le Japon « ne prévoit pas d’envoyer de responsables gouvernementaux » aux JO d’hiver en Chine.

« Le Japon estime qu’il est important que les valeurs communes partagées par la communauté internationale, telles que la liberté, les droits de l’homme et l’État de droit, soient également respectées en Chine », a-t-il affirmé. La présidente du comité d’organisation des JO de Tokyo 2020, Seiko Hashimoto, se rendra en revanche sur place, ainsi que le président du comité olympique japonais Yasuhiro Yamashita, a précisé le porte-parole du gouvernement nippon.

Seiko Hashimoto ira à Pékin « pour exprimer gratitude et respect aux athlètes et aux autres personnes qui ont soutenu les Jeux de Tokyo » organisés l’été dernier, a-t-il ajouté. Le Japon a pris cette décision après « un examen approfondi » de la question. Elle est intervenue après que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et le Canada ont annoncé, ce mois-ci, un boycott diplomatique des Jeux d’hiver de Pékin (4-20 février 2022) pour dénoncer des atteintes aux droits de l’homme en Chine.

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mercredi 22 décembre

Le Monde Afrique - 18h01

L’armée française annonce avoir tué l’un des auteurs de l’assassinat de six humanitaires français au Niger

L’armée française a tué, au Niger, l’un des auteurs de l’assassinat de six humanitaires français ainsi que de leur guide et de leur chauffeur nigériens, perpétré dans la matinée du 9 août 2020 dans le parc de Kouré, a annoncé l’état-major français, mardi 21 décembre. L’attaque avait été revendiquée par Etat islamique au Grand Sahara (EIGS).

« Hier [lundi], dans la région de Tillabéri [sud-ouest], nous avons neutralisé par frappe aérienne un chef de groupe de l’EIGS, Soumana Boura, un des auteurs de l’assassinat de six ressortissants dans le parc de Kouré, le 9 août 2020 », qui « avait filmé l’exécution et en avait assuré la médiatisation », a déclaré à l’Agence France-Presse (AFP) le porte-parole de l’état-major, le colonel Pascal Ianni.

Soumana Boura dirigeait un groupe de plusieurs dizaines de combattants dans l’ouest du Niger, selon l’armée française. Il a été éliminé par un tir de drone alors qu’il était seul sur une moto. Une unité française a été envoyée au sol pour fouiller la zone et identifier formellement le jihadiste, a détaillé l’état-major dans un communiqué, en précisant que cette opération avait été menée « en étroite coordination avec les autorités nigériennes ».


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Le Monde Afrique - 18h01

L’armée française annonce avoir tué l’un des auteurs de l’assassinat de six humanitaires français au Niger

L’armée française a tué, au Niger, l’un des auteurs de l’assassinat de six humanitaires français ainsi que de leur guide et de leur chauffeur nigériens, perpétré dans la matinée du 9 août 2020 dans le parc de Kouré, a annoncé l’état-major français, mardi 21 décembre. L’attaque avait été revendiquée par Etat islamique au Grand Sahara (EIGS).

« Hier [lundi], dans la région de Tillabéri [sud-ouest], nous avons neutralisé par frappe aérienne un chef de groupe de l’EIGS, Soumana Boura, un des auteurs de l’assassinat de six ressortissants dans le parc de Kouré, le 9 août 2020 », qui « avait filmé l’exécution et en avait assuré la médiatisation », a déclaré à l’Agence France-Presse (AFP) le porte-parole de l’état-major, le colonel Pascal Ianni.

Soumana Boura dirigeait un groupe de plusieurs dizaines de combattants dans l’ouest du Niger, selon l’armée française. Il a été éliminé par un tir de drone alors qu’il était seul sur une moto. Une unité française a été envoyée au sol pour fouiller la zone et identifier formellement le jihadiste, a détaillé l’état-major dans un communiqué, en précisant que cette opération avait été menée « en étroite coordination avec les autorités nigériennes ».

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Le Monde Afrique - 17h52

Au Sénégal, des députés veulent durcir les sanctions contre l’homosexualité

La proposition de loi vise à « lutter contre toute perversion dans l’espace public » en instaurant notamment des peines allant de cinq à dix ans de prison ferme. Rendez-vous a été pris à l’Assemblée nationale à Dakar. Ce mercredi 22 décembre, le collectif And Samm Jikko Yi, fondé notamment par l’ONG islamique Jamra, doit remettre à un groupe de députés une proposition de loi dont l’objectif est de durcir les peines punissant l’homosexualité au Sénégal. Si l’initiative bénéficie d’un soutien dans une partie de l’opinion publique, elle inquiète la communauté LGBT, déjà fortement discriminée.

Actuellement, l’article 319 du Code pénal punit d’un à cinq ans d’emprisonnement toute personne qui aura commis un « acte contre-nature avec un individu de son sexe ». Mais les quatre députés qui portent la nouvelle proposition de loi veulent aller plus loin. « L’objectif est de lutter contre toute perversion dans l’espace public. Ces personnes doivent respecter la société dans laquelle elles vivent et faire ce qu’elles veulent en privé. La liberté a ses limites », explique Moustapha Guirassy, qui a participé à l’écriture du texte.


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Le Monde Afrique - 17h52

Au Sénégal, des députés veulent durcir les sanctions contre l’homosexualité

La proposition de loi vise à « lutter contre toute perversion dans l’espace public » en instaurant notamment des peines allant de cinq à dix ans de prison ferme. Rendez-vous a été pris à l’Assemblée nationale à Dakar. Ce mercredi 22 décembre, le collectif And Samm Jikko Yi, fondé notamment par l’ONG islamique Jamra, doit remettre à un groupe de députés une proposition de loi dont l’objectif est de durcir les peines punissant l’homosexualité au Sénégal. Si l’initiative bénéficie d’un soutien dans une partie de l’opinion publique, elle inquiète la communauté LGBT, déjà fortement discriminée.

Actuellement, l’article 319 du Code pénal punit d’un à cinq ans d’emprisonnement toute personne qui aura commis un « acte contre-nature avec un individu de son sexe ». Mais les quatre députés qui portent la nouvelle proposition de loi veulent aller plus loin. « L’objectif est de lutter contre toute perversion dans l’espace public. Ces personnes doivent respecter la société dans laquelle elles vivent et faire ce qu’elles veulent en privé. La liberté a ses limites », explique Moustapha Guirassy, qui a participé à l’écriture du texte.

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Le Figaro et AFP - 17h31

Covid : le Nigeria détruit plus d’un million de vaccins expirés

Le Nigeria a incinéré mercredi 22 décembre plus d’un million de doses de vaccin AstraZeneca données il y a quelques mois par des pays développés mais dont la date de péremption était proche et qui ont depuis expiré, selon les autorités.

«Nous avons retiré avec succès 1,06 million de doses de vaccin AstraZeneca qui avaient expiré», a déclaré le directeur de l’agence nationale en charge des programmes d’immunisation, le Dr Faisal Shuaib. «Lorsque ces vaccins nous ont été proposés, nous savions qu’ils avaient une durée de vie courte, mais nous vivions dans un environnement où l’approvisionnement en vaccins était très rare», a expliqué le Dr Shuaib.

À ce moment, «les vaccins n’étaient pas disponibles à cause du nationalisme qui prévalait en matière de vaccins, les pays développés se sont procurés ces vaccins et les ont ensuite stockés, puis au moment où ils étaient sur le point d’expirer, nous les ont proposés», a-t-il accusé.


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Le Figaro et AFP - 17h31

Covid : le Nigeria détruit plus d’un million de vaccins expirés

Le Nigeria a incinéré mercredi 22 décembre plus d’un million de doses de vaccin AstraZeneca données il y a quelques mois par des pays développés mais dont la date de péremption était proche et qui ont depuis expiré, selon les autorités.

«Nous avons retiré avec succès 1,06 million de doses de vaccin AstraZeneca qui avaient expiré», a déclaré le directeur de l’agence nationale en charge des programmes d’immunisation, le Dr Faisal Shuaib. «Lorsque ces vaccins nous ont été proposés, nous savions qu’ils avaient une durée de vie courte, mais nous vivions dans un environnement où l’approvisionnement en vaccins était très rare», a expliqué le Dr Shuaib.

À ce moment, «les vaccins n’étaient pas disponibles à cause du nationalisme qui prévalait en matière de vaccins, les pays développés se sont procurés ces vaccins et les ont ensuite stockés, puis au moment où ils étaient sur le point d’expirer, nous les ont proposés», a-t-il accusé.

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Le Point - 17h21

Covid-19 : une ville de 13 millions d’habitants confinée en Chine

Nouveau confinement en Chine. En raison d’un rebond de cas de Covid-19, les autorités ont imposé, mercredi 22 décembre, un confinement à Xi’an, qui compte 13 millions d’habitants, à plus d’un mois des Jeux olympiques d’hiver de Pékin. La ville, connue pour son armée enterrée en terre cuite, avait déjà considérablement restreint mercredi les déplacements pour contenir un foyer de Covid-19.

Les habitants doivent désormais « rester chez eux sauf raison impérative », ont indiqué dans un communiqué les autorités locales. Une personne par foyer est toutefois autorisée à faire les courses « tous les deux jours ».

La Chine mène depuis l’an passé une stratégie « zéro Covid », qui consiste à tout faire pour limiter au maximum la survenue de nouveaux cas, généralement limités à quelques dizaines par jour seulement. Le pays a fait état mercredi de 52 nouveaux malades à Xi’an, portant à 143 le nombre de patients recensés dans la ville depuis le 9 décembre.

Xi’an, qui a commencé mardi à dépister l’ensemble de sa population, avait auparavant encouragé les habitants à éviter de sortir et de se rassembler en grands groupes. Environ 90 quartiers résidentiels sont par ailleurs sous confinement mais le nombre de personnes concernées n’est pas connu.


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Le Point - 17h21

Covid-19 : une ville de 13 millions d’habitants confinée en Chine

Nouveau confinement en Chine. En raison d’un rebond de cas de Covid-19, les autorités ont imposé, mercredi 22 décembre, un confinement à Xi’an, qui compte 13 millions d’habitants, à plus d’un mois des Jeux olympiques d’hiver de Pékin. La ville, connue pour son armée enterrée en terre cuite, avait déjà considérablement restreint mercredi les déplacements pour contenir un foyer de Covid-19.

Les habitants doivent désormais « rester chez eux sauf raison impérative », ont indiqué dans un communiqué les autorités locales. Une personne par foyer est toutefois autorisée à faire les courses « tous les deux jours ».

La Chine mène depuis l’an passé une stratégie « zéro Covid », qui consiste à tout faire pour limiter au maximum la survenue de nouveaux cas, généralement limités à quelques dizaines par jour seulement. Le pays a fait état mercredi de 52 nouveaux malades à Xi’an, portant à 143 le nombre de patients recensés dans la ville depuis le 9 décembre.

Xi’an, qui a commencé mardi à dépister l’ensemble de sa population, avait auparavant encouragé les habitants à éviter de sortir et de se rassembler en grands groupes. Environ 90 quartiers résidentiels sont par ailleurs sous confinement mais le nombre de personnes concernées n’est pas connu.

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mardi 21 décembre

Rfi.fr - 18h49

En Éthiopie, le retrait des rebelles tigréens est désormais officiel

Alors qu’ils reculaient face à la contre-offensive gouvernementale, les insurgés ont complètement quitté les territoires qu’ils occupaient dans les deux provinces voisines, Afar et Amhara. Les forces de défenses tigréennes sont désormais de retour au Tigré et se disent prêtes à négocier la paix avec Addis-Abeba. Pour cela, elles en appellent aux Nations unies.

« Ce retrait représente une ouverture décisive pour la paix », selon le leader des forces tigréennes Debretsion Gebremichael dans une lettre adressée aux Nations unies. Il y décrit le repli de ses soldats comme une façon de respecter les appels de la communauté internationale à un désengagement de ses forces des régions Afar et Amhara. Il propose désormais à l’ONU de mettre en place un cessez le feu, le retour de l’aide humanitaire, et de travailler à un mécanisme de paix.

Mais ce retrait est-il vraiment volontaire et le leadership tigréen est-il véritablement prêt à négocier la paix ? Selon le gouvernement d’Addis-Abeba, cette annonce serait plutôt une diversion qui fait suite à une série de défaites militaires. Car bien que Debretsion Gebremichael assure que ses forces sont intactes, les capacités militaires des insurgés ont souffert face aux nombreuses frappes de drones de l’armée fédérale.


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Rfi.fr - 18h49

En Éthiopie, le retrait des rebelles tigréens est désormais officiel

Alors qu’ils reculaient face à la contre-offensive gouvernementale, les insurgés ont complètement quitté les territoires qu’ils occupaient dans les deux provinces voisines, Afar et Amhara. Les forces de défenses tigréennes sont désormais de retour au Tigré et se disent prêtes à négocier la paix avec Addis-Abeba. Pour cela, elles en appellent aux Nations unies.

« Ce retrait représente une ouverture décisive pour la paix », selon le leader des forces tigréennes Debretsion Gebremichael dans une lettre adressée aux Nations unies. Il y décrit le repli de ses soldats comme une façon de respecter les appels de la communauté internationale à un désengagement de ses forces des régions Afar et Amhara. Il propose désormais à l’ONU de mettre en place un cessez le feu, le retour de l’aide humanitaire, et de travailler à un mécanisme de paix.

Mais ce retrait est-il vraiment volontaire et le leadership tigréen est-il véritablement prêt à négocier la paix ? Selon le gouvernement d’Addis-Abeba, cette annonce serait plutôt une diversion qui fait suite à une série de défaites militaires. Car bien que Debretsion Gebremichael assure que ses forces sont intactes, les capacités militaires des insurgés ont souffert face aux nombreuses frappes de drones de l’armée fédérale.

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Le Monde Afrique - 12h39

Au Mozambique, malgré les discours victorieux, la bataille contre les djihadistes n’est pas terminée

Après l’envoi de troupes étrangères dans la province du Cabo Delgado, les experts s’inquiètent de l’ouverture d’un nouveau front dans la région voisine de Niassa. Dans son discours sur l’état de la nation, jeudi 16 décembre, le président mozambicain, Filipe Nyusi, s’est voulu rassurant : « Cette année, la province du Cabo Delgado n’a connu que 52 attaques, contre 160 en 2020. »

Cinq mois après le déploiement de troupes de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et du Rwanda pour aider Maputo à contrer les insurgés islamistes qui sévissent dans le nord du Mozambique depuis 2017, les djihadistes ont été délogés des principales villes qu’ils occupaient. La ville portuaire de Mocimboa da Praia a été reprise en août, après plus d’un an sous contrôle de ceux que la population appelle les « Chabab ».

Mais l’insurrection n’est pas vaincue : chaque semaine, des attaques se produisent et les experts s’inquiètent de l’ouverture d’un nouveau front dans la province voisine de Niassa.

L’organisation Armed Conflict Location & Event Data Project (Acled) a recensé 37 incidents violents causant une centaine de victimes pour le seul mois de novembre au Cabo Delgado, principalement dans le district de Macomia, où sont actuellement postées les forces de la SADC.


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Le Monde Afrique - 12h39

Au Mozambique, malgré les discours victorieux, la bataille contre les djihadistes n’est pas terminée

Après l’envoi de troupes étrangères dans la province du Cabo Delgado, les experts s’inquiètent de l’ouverture d’un nouveau front dans la région voisine de Niassa. Dans son discours sur l’état de la nation, jeudi 16 décembre, le président mozambicain, Filipe Nyusi, s’est voulu rassurant : « Cette année, la province du Cabo Delgado n’a connu que 52 attaques, contre 160 en 2020. »

Cinq mois après le déploiement de troupes de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et du Rwanda pour aider Maputo à contrer les insurgés islamistes qui sévissent dans le nord du Mozambique depuis 2017, les djihadistes ont été délogés des principales villes qu’ils occupaient. La ville portuaire de Mocimboa da Praia a été reprise en août, après plus d’un an sous contrôle de ceux que la population appelle les « Chabab ».

Mais l’insurrection n’est pas vaincue : chaque semaine, des attaques se produisent et les experts s’inquiètent de l’ouverture d’un nouveau front dans la province voisine de Niassa.

L’organisation Armed Conflict Location & Event Data Project (Acled) a recensé 37 incidents violents causant une centaine de victimes pour le seul mois de novembre au Cabo Delgado, principalement dans le district de Macomia, où sont actuellement postées les forces de la SADC.

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Le Point - 12h29

Malaisie : 14 morts et plus de 70.000 déplacés après des inondations exceptionnelles

Le bilan s’est alourdi mardi à 14 morts et plus de 70.000 déplacés en Malaisie après les pires inondations dans ce pays d’Asie du Sud-Est depuis plusieurs années, tandis que l’armée distribuait par bateau de la nourriture aux personnes encore piégées dans leurs maisons.

Des pluies torrentielles pendant le week-end ont provoqué des inondations dans plusieurs villes et villages, coupant les principaux axes routiers.

Selangor, l’État le plus riche et le plus densément peuplé du pays, qui entoure la capitale Kuala Lumpur, est l’une des régions les plus touchées.

Certaines parties de la capitale de l’État, Shah Alam, étaient encore sous l’eau mardi, et des militaires dans des bateaux ont distribué de la nourriture aux personnes bloquées dans leurs maisons et dans les abris du gouvernement.

« Ma maison est totalement endommagée, mes deux voitures sont cassées », a déclaré à l’AFP Kartik Subramany. « Ce sont les pires inondations de toute ma vie »

Il fui sa maison alors que les eaux de crue montaient, et s’est réfugié dans une école pendant 48 heures avant d’être évacué avec sa famille vers un abri.

« Le gouvernement fédéral a lamentablement laissé tomber la population, a ajouté cet homme de 29 ans. Il a échoué dans sa fonction première de protection et de sauvegarde des vies ».


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Le Point - 12h29

Malaisie : 14 morts et plus de 70.000 déplacés après des inondations exceptionnelles

Le bilan s’est alourdi mardi à 14 morts et plus de 70.000 déplacés en Malaisie après les pires inondations dans ce pays d’Asie du Sud-Est depuis plusieurs années, tandis que l’armée distribuait par bateau de la nourriture aux personnes encore piégées dans leurs maisons.

Des pluies torrentielles pendant le week-end ont provoqué des inondations dans plusieurs villes et villages, coupant les principaux axes routiers.

Selangor, l’État le plus riche et le plus densément peuplé du pays, qui entoure la capitale Kuala Lumpur, est l’une des régions les plus touchées.

Certaines parties de la capitale de l’État, Shah Alam, étaient encore sous l’eau mardi, et des militaires dans des bateaux ont distribué de la nourriture aux personnes bloquées dans leurs maisons et dans les abris du gouvernement.

« Ma maison est totalement endommagée, mes deux voitures sont cassées », a déclaré à l’AFP Kartik Subramany. « Ce sont les pires inondations de toute ma vie »

Il fui sa maison alors que les eaux de crue montaient, et s’est réfugié dans une école pendant 48 heures avant d’être évacué avec sa famille vers un abri.

« Le gouvernement fédéral a lamentablement laissé tomber la population, a ajouté cet homme de 29 ans. Il a échoué dans sa fonction première de protection et de sauvegarde des vies ».

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Le Point - 12h25

Humanitaires assassinés au Niger : un des auteurs tué par l’armée française

L’état-major français a annoncé, mardi 21 décembre, que l’armée avait tué au Niger un des auteurs de l’assassinat de six humanitaires français, de leur guide et de leur chauffeur nigériens en août 2020 dans le parc de Kouré. L’attaque avait été revendiquée par le groupe État islamique au Sahel (EIGS).

« Hier (lundi), dans la région de Tillabéri (Ouest), nous avons neutralisé par frappe aérienne un chef de groupe de l’EIGS, Soumana Boura, un des auteurs de l’assassinat de six ressortissants dans le parc de Kouré le 9 août 2020 », qui « avait filmé l’exécution et en avait assuré la médiatisation », a déclaré à l’Agence France-Presse le porte-parole de l’état-major, le colonel Pascal Ianni.

Soumana Boura dirigeait un groupe de plusieurs dizaines de combattants dans l’ouest du Niger, selon l’armée française. Il a été éliminé par un tir de drone alors qu’il était seul sur une moto. Une unité française a été envoyée au sol pour fouiller la zone et identifier formellement le djihadiste, a détaillé l’état-major dans un communiqué, en précisant que cette opération avait été menée « en étroite coordination avec les autorités nigériennes ».

 


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Le Point - 12h25

Humanitaires assassinés au Niger : un des auteurs tué par l’armée française

L’état-major français a annoncé, mardi 21 décembre, que l’armée avait tué au Niger un des auteurs de l’assassinat de six humanitaires français, de leur guide et de leur chauffeur nigériens en août 2020 dans le parc de Kouré. L’attaque avait été revendiquée par le groupe État islamique au Sahel (EIGS).

« Hier (lundi), dans la région de Tillabéri (Ouest), nous avons neutralisé par frappe aérienne un chef de groupe de l’EIGS, Soumana Boura, un des auteurs de l’assassinat de six ressortissants dans le parc de Kouré le 9 août 2020 », qui « avait filmé l’exécution et en avait assuré la médiatisation », a déclaré à l’Agence France-Presse le porte-parole de l’état-major, le colonel Pascal Ianni.

Soumana Boura dirigeait un groupe de plusieurs dizaines de combattants dans l’ouest du Niger, selon l’armée française. Il a été éliminé par un tir de drone alors qu’il était seul sur une moto. Une unité française a été envoyée au sol pour fouiller la zone et identifier formellement le djihadiste, a détaillé l’état-major dans un communiqué, en précisant que cette opération avait été menée « en étroite coordination avec les autorités nigériennes ».

 

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maxifoot.fr - 12h15

Can : les propositions du président de la FIFA Gianni Infantino….

 » Si nous pouvons rationaliser le calendrier afin de garantir qu’une CAN puisse être jouée dans le cadre d’une fenêtre internationale plus longue à l’automne plutôt qu’en janvier et février, je pense que nous aurons déjà réalisé quelque chose d’assez important pour qu’il y ait moins de perturbations pour de nombreuses ligues qui ont des joueurs de nationalités africaines dans leurs compétitions ».


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maxifoot.fr - 12h15

Can : les propositions du président de la FIFA Gianni Infantino….

 » Si nous pouvons rationaliser le calendrier afin de garantir qu’une CAN puisse être jouée dans le cadre d’une fenêtre internationale plus longue à l’automne plutôt qu’en janvier et février, je pense que nous aurons déjà réalisé quelque chose d’assez important pour qu’il y ait moins de perturbations pour de nombreuses ligues qui ont des joueurs de nationalités africaines dans leurs compétitions ».

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lundi 20 décembre

Le Point - 22h47

Soudan : les révolutionnaires aux portes du palais présidentiel

C’est la première fois, en trois ans, que les manifestants atteignent les portes du palais présidentiel de Khartoum. Ce dimanche 19 décembre marquait précisément le troisième anniversaire du début de la révolution soudanaise qui a conduit à la chute du dictateur Omar el-Béchir le 11 avril 2019. Mais les centaines de milliers de citoyens qui ont défilé à travers le pays, convergeant pour certains vers la capitale, n’avaient pas le cœur aux célébrations.

Ils continuent, au contraire, à dénoncer le coup d’État du 25 octobre, ainsi que l’accord passé, un mois après, entre les putschistes et le Premier ministre Abdallah Hamdok. « C’est un jour sans précédent dans l’Histoire moderne du Soudan », assure Babikir Faisal, le président de l’Alliance unioniste, l’un des quatre principaux partis membres des Forces pour la liberté et le changement (FFC), la coalition de civils qui partageait le pouvoir avec l’armée jusqu’au coup d’État.

« Le Soudan n’a jamais assisté à un tel rassemblement comprenant des centaines de milliers de personnes à Khartoum, dans la ville voisine d’Omdurman et dans les autres régions tout autour du pays. Le coup militaire s’est effondré en ce jour en perdant toute sorte de justification, car le peuple soudanais a fait entendre sa voix. Il est évident que nous sommes prêts à mettre en place une démocratie et un gouvernement civil », poursuit le responsable politique, qui a lui-même reçu des gaz lacrymogènes et entendu des tirs de balles.

« Les tirs ont retenti dès le début d’après-midi, tandis que de puissants gaz lacrymogènes étaient jetés en continu. Les forces de l’ordre arrêtaient seulement lorsqu’elles avaient épuisé leur stock. Elles marquaient une petite pause, le temps de se réapprovisionner, et recommençaient », décrit Samahir Mubarak, l’une des porte-parole de l’Association des professionnels soudanais, union qui coorganise les manifestations avec les comités de résistance locaux.


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Le Point - 22h47

Soudan : les révolutionnaires aux portes du palais présidentiel

C’est la première fois, en trois ans, que les manifestants atteignent les portes du palais présidentiel de Khartoum. Ce dimanche 19 décembre marquait précisément le troisième anniversaire du début de la révolution soudanaise qui a conduit à la chute du dictateur Omar el-Béchir le 11 avril 2019. Mais les centaines de milliers de citoyens qui ont défilé à travers le pays, convergeant pour certains vers la capitale, n’avaient pas le cœur aux célébrations.

Ils continuent, au contraire, à dénoncer le coup d’État du 25 octobre, ainsi que l’accord passé, un mois après, entre les putschistes et le Premier ministre Abdallah Hamdok. « C’est un jour sans précédent dans l’Histoire moderne du Soudan », assure Babikir Faisal, le président de l’Alliance unioniste, l’un des quatre principaux partis membres des Forces pour la liberté et le changement (FFC), la coalition de civils qui partageait le pouvoir avec l’armée jusqu’au coup d’État.

« Le Soudan n’a jamais assisté à un tel rassemblement comprenant des centaines de milliers de personnes à Khartoum, dans la ville voisine d’Omdurman et dans les autres régions tout autour du pays. Le coup militaire s’est effondré en ce jour en perdant toute sorte de justification, car le peuple soudanais a fait entendre sa voix. Il est évident que nous sommes prêts à mettre en place une démocratie et un gouvernement civil », poursuit le responsable politique, qui a lui-même reçu des gaz lacrymogènes et entendu des tirs de balles.

« Les tirs ont retenti dès le début d’après-midi, tandis que de puissants gaz lacrymogènes étaient jetés en continu. Les forces de l’ordre arrêtaient seulement lorsqu’elles avaient épuisé leur stock. Elles marquaient une petite pause, le temps de se réapprovisionner, et recommençaient », décrit Samahir Mubarak, l’une des porte-parole de l’Association des professionnels soudanais, union qui coorganise les manifestations avec les comités de résistance locaux.

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France 24 - 18h41

Au sommet Turquie-Afrique, Erdogan promet 15 millions de doses de vaccin au continent

La Turquie va envoyer 15 millions de doses de vaccins anti-Covid en Afrique, a promis samedi le président Recep Tayyip Erdogan lors d’un sommet réunissant plusieurs dizaines de dirigeants du continent à Istanbul.

C’est le troisième sommet du genre. La Turquie et une centaine de responsables africains, réunis pendant deux jours à Istanbul, se sont engagés à renforcer leurs liens et leur coopération, illustrant l’investissement croissant d’Ankara sur le continent.

Au terme de cette réunion samedi 18 décembre, le président Recep Tayyip Erdogan a promis d’envoyer 15 millions de doses de vaccins anti-Covid en Afrique, laissée pour compte dans la distribution mondiale malgré l’apparition et l’identification pour la première fois du nouveau variant Omicron en Afrique du Sud et au Botswana.

Ankara s’est beaucoup investi en Afrique ces deux dernières décennies sous les auspices du président turc pour développer les liens diplomatiques mais aussi économiques et commerciaux, en particulier dans le domaine de la défense


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France 24 - 18h41

Au sommet Turquie-Afrique, Erdogan promet 15 millions de doses de vaccin au continent

La Turquie va envoyer 15 millions de doses de vaccins anti-Covid en Afrique, a promis samedi le président Recep Tayyip Erdogan lors d’un sommet réunissant plusieurs dizaines de dirigeants du continent à Istanbul.

C’est le troisième sommet du genre. La Turquie et une centaine de responsables africains, réunis pendant deux jours à Istanbul, se sont engagés à renforcer leurs liens et leur coopération, illustrant l’investissement croissant d’Ankara sur le continent.

Au terme de cette réunion samedi 18 décembre, le président Recep Tayyip Erdogan a promis d’envoyer 15 millions de doses de vaccins anti-Covid en Afrique, laissée pour compte dans la distribution mondiale malgré l’apparition et l’identification pour la première fois du nouveau variant Omicron en Afrique du Sud et au Botswana.

Ankara s’est beaucoup investi en Afrique ces deux dernières décennies sous les auspices du président turc pour développer les liens diplomatiques mais aussi économiques et commerciaux, en particulier dans le domaine de la défense

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France 24 - 18h10

En Éthiopie, les rebelles tigréens annoncent un repli vers leur région

Les rebelles du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), qui s’étaient emparés ces derniers mois des régions voisines de l’Amhara et de l’Afar, ont annoncé lundi se replier vers leur région afin de faciliter l’accès à l’aide humanitaire.

Les rebelles éthiopiens du Tigré, qui avaient avancé ces derniers mois dans les régions voisines de l’Amhara et de l’Afar, sont en train de se replier vers leur région afin d' »ouvrir la porte » à l’aide humanitaire, a annoncé lundi 20 décembre à l’AFP leur porte-parole.

« Nous avons décidé de nous retirer de ces zones vers le Tigré. Nous voulons ouvrir la porte à l’aide humanitaire », a déclaré Getachew Reda, porte-parole du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF).

Cette annonce ouvre une nouvelle phase de ce conflit meurtrier qui oppose depuis plus d’un an les forces progouvernementales aux rebelles tigréens et à leurs alliés.

Jusqu’ici, le TPLF qualifiait d' »absolument pas envisageable » un retrait de ces deux régions, réclamé par le gouvernement comme préalable à des négociations.

« Nous menons des retraits phase par phase. Nous avons commencé à retirer nos forces il y a quelques semaines. Nous l’annonçons maintenant », a expliqué lundi Reda Getachew, affirmant notamment que les rebelles ont « quitté » Lalibela.

Cette ville classée par l’Unesco au patrimoine mondial de l’humanité a plusieurs fois changé de mains, comme d’autres localités


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France 24 - 18h10

En Éthiopie, les rebelles tigréens annoncent un repli vers leur région

Les rebelles du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), qui s’étaient emparés ces derniers mois des régions voisines de l’Amhara et de l’Afar, ont annoncé lundi se replier vers leur région afin de faciliter l’accès à l’aide humanitaire.

Les rebelles éthiopiens du Tigré, qui avaient avancé ces derniers mois dans les régions voisines de l’Amhara et de l’Afar, sont en train de se replier vers leur région afin d' »ouvrir la porte » à l’aide humanitaire, a annoncé lundi 20 décembre à l’AFP leur porte-parole.

« Nous avons décidé de nous retirer de ces zones vers le Tigré. Nous voulons ouvrir la porte à l’aide humanitaire », a déclaré Getachew Reda, porte-parole du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF).

Cette annonce ouvre une nouvelle phase de ce conflit meurtrier qui oppose depuis plus d’un an les forces progouvernementales aux rebelles tigréens et à leurs alliés.

Jusqu’ici, le TPLF qualifiait d' »absolument pas envisageable » un retrait de ces deux régions, réclamé par le gouvernement comme préalable à des négociations.

« Nous menons des retraits phase par phase. Nous avons commencé à retirer nos forces il y a quelques semaines. Nous l’annonçons maintenant », a expliqué lundi Reda Getachew, affirmant notamment que les rebelles ont « quitté » Lalibela.

Cette ville classée par l’Unesco au patrimoine mondial de l’humanité a plusieurs fois changé de mains, comme d’autres localités

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