vendredi 19 novembre

Le Figaro - 11h53

Madagascar : l’ONU a besoin de plus d’argent pour lutter contre la famine

L’ONU, qui estime que la famine qui frappe Madagascar est la première due au réchauffement climatique provoqué par l’homme, a réclamé vendredi plus de fonds aux donateurs pour venir en aide à 1,3 million de personnes dans le sud de l’île. Les besoins financiers ont été multipliés par trois, et il faut désormais 231 millions de dollars d’ici mai, dont seulement 120 millions ont pour le moment été versés par des donateurs, a expliqué Jens Laerke, porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha) lors du briefing de presse régulier de l’ONU à Genève.
Jens Laerke a indiqué que «techniquement la famine n’a pas encore été déclarée» à Madagascar parce que tous les critères de l’ONU ne sont pas encore réunis mais, a-t-il insisté, «il y a déjà 28.000 personnes qui souffrent de conditions similaires à la famine». Les fonds supplémentaires -initialement l’ONU avait demandé 76 millions de dollars- sont indispensables pour fournir nourriture, eau, services de sanitaires à près de 1,3 million de personnes dans le Grand Sud, où la pire sécheresse depuis 40 ans rend pratiquement impossible pour les gens de cultiver leur propre nourriture.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h53

Madagascar : l’ONU a besoin de plus d’argent pour lutter contre la famine

L’ONU, qui estime que la famine qui frappe Madagascar est la première due au réchauffement climatique provoqué par l’homme, a réclamé vendredi plus de fonds aux donateurs pour venir en aide à 1,3 million de personnes dans le sud de l’île. Les besoins financiers ont été multipliés par trois, et il faut désormais 231 millions de dollars d’ici mai, dont seulement 120 millions ont pour le moment été versés par des donateurs, a expliqué Jens Laerke, porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha) lors du briefing de presse régulier de l’ONU à Genève.
Jens Laerke a indiqué que «techniquement la famine n’a pas encore été déclarée» à Madagascar parce que tous les critères de l’ONU ne sont pas encore réunis mais, a-t-il insisté, «il y a déjà 28.000 personnes qui souffrent de conditions similaires à la famine». Les fonds supplémentaires -initialement l’ONU avait demandé 76 millions de dollars- sont indispensables pour fournir nourriture, eau, services de sanitaires à près de 1,3 million de personnes dans le Grand Sud, où la pire sécheresse depuis 40 ans rend pratiquement impossible pour les gens de cultiver leur propre nourriture.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 11h50

Covid-19 en Autriche : confinement général et vaccination obligatoire

L’Autriche fait marche arrière. Après avoir tenté de convaincre la population de se faire vacciner contre le Covid-19, et face au faible taux de vaccination jusqu’à présent, les autorités autrichiennes ont décidé d’employer les grands moyens : un confinement général sera effectif à compter de lundi 22 novembre. Mais ce n’est pas tout. À partir du 1er février, la vaccination deviendra obligatoire. L’Autriche est le premier pays de l’UE à prendre de telles mesures face à la résurgence des cas de Covid.
Il faut « regarder la réalité en face », a déclaré le chancelier conservateur Alexander Schallenberg lors d’une conférence de presse dans le Tyrol, après des discussions avec l’ensemble des gouverneurs de région. « Malgré des mois de persuasion, nous n’avons pas réussi à convaincre suffisamment de gens de se faire vacciner », a-t-il souligné, déplorant la surcharge actuelle des unités de soins intensifs. « Augmenter durablement le taux de vaccination est le seul moyen de sortir de ce cercle vicieux », a estimé Alexander Schallenberg, jugeant qu’il s’agit du « ticket de sortie » de la pandémie. Il a par ailleurs annoncé un confinement pour une « durée de vingt jours ».


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 11h50

Covid-19 en Autriche : confinement général et vaccination obligatoire

L’Autriche fait marche arrière. Après avoir tenté de convaincre la population de se faire vacciner contre le Covid-19, et face au faible taux de vaccination jusqu’à présent, les autorités autrichiennes ont décidé d’employer les grands moyens : un confinement général sera effectif à compter de lundi 22 novembre. Mais ce n’est pas tout. À partir du 1er février, la vaccination deviendra obligatoire. L’Autriche est le premier pays de l’UE à prendre de telles mesures face à la résurgence des cas de Covid.
Il faut « regarder la réalité en face », a déclaré le chancelier conservateur Alexander Schallenberg lors d’une conférence de presse dans le Tyrol, après des discussions avec l’ensemble des gouverneurs de région. « Malgré des mois de persuasion, nous n’avons pas réussi à convaincre suffisamment de gens de se faire vacciner », a-t-il souligné, déplorant la surcharge actuelle des unités de soins intensifs. « Augmenter durablement le taux de vaccination est le seul moyen de sortir de ce cercle vicieux », a estimé Alexander Schallenberg, jugeant qu’il s’agit du « ticket de sortie » de la pandémie. Il a par ailleurs annoncé un confinement pour une « durée de vingt jours ».

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

jeudi 18 novembre

Rfi.fr - 10h42

Géorgie: l’ex-président Saakachvili dans un état critique, selon des médecins

L’ex-président géorgien Mikheïl Saakachvili, incarcéré depuis son retour d’exil début octobre et en grève de la faim depuis plusieurs semaines, serait dans un état critique et ne recevrait pas les soins appropriés. « L’état de santé actuel du patient est considéré comme critique », selon le communiqué d’un groupe de médecins constitué par le défenseur des droits géorgien, qui ajoute que l’hôpital pénitentiaire où est soigné l’ancien chef de l’État ne peut pas répondre à ses besoins médicaux.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 10h42

Géorgie: l’ex-président Saakachvili dans un état critique, selon des médecins

L’ex-président géorgien Mikheïl Saakachvili, incarcéré depuis son retour d’exil début octobre et en grève de la faim depuis plusieurs semaines, serait dans un état critique et ne recevrait pas les soins appropriés. « L’état de santé actuel du patient est considéré comme critique », selon le communiqué d’un groupe de médecins constitué par le défenseur des droits géorgien, qui ajoute que l’hôpital pénitentiaire où est soigné l’ancien chef de l’État ne peut pas répondre à ses besoins médicaux.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 10h36

Le secrétaire d’Etat américain au Nigeria, avec une relation à redéfinir

Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken se rend jeudi au Nigeria, où la gestion des droits humains a suscité depuis un an de vives critiques aux Etats-Unis et des appels à une « refonte » des relations avec le pays le plus peuplé d’Afrique.
Après le Kenya mercredi, le chef de la diplomatie américaine poursuit sa première tournée en Afrique subsaharienne où il entend porter les priorités du président Joe Biden: promouvoir la démocratie, la lutte contre le changement climatique et contre la pandémie de Covid-19.
A Nairobi, un de ses alliés de longue date, Blinken a appelé à des solutions africaines aux crises du continent, notamment à la guerre qui fait rage en Ethiopie, où l’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo mène une médiation au nom de l’Union africaine.
Première économie d’Afrique subsaharienne qui concentre 20 % de la population de cette région, le Nigeria est un acteur essentiel sur le continent pour les administrations américaines, qui ont toutes courtisé les dirigeants nigérians depuis le rétablissement d’un pouvoir civil en 1999.
Mais depuis un an, le discours américain envers le Nigeria s’est fait plus ferme, notamment face à la sanglante répression d’un vaste mouvement de contestation contre les violences policières.
Alors candidat, Biden avait exprimé sa solidarité avec les manifestants et exhorté le président Muhammadu Buhari ?que Blinken rencontrera jeudi ? à infléchir la riposte des forces de sécurité.
Le sénateur Bob Menendez, membre du Parti démocrate qui préside la commission sénatoriale des Affaires étrangères, a appelé, lors d’une audition avec Blinken, à une « refonte fondamentale du cadre de notre engagement global » avec le Nigeria.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 10h36

Le secrétaire d’Etat américain au Nigeria, avec une relation à redéfinir

Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken se rend jeudi au Nigeria, où la gestion des droits humains a suscité depuis un an de vives critiques aux Etats-Unis et des appels à une « refonte » des relations avec le pays le plus peuplé d’Afrique.
Après le Kenya mercredi, le chef de la diplomatie américaine poursuit sa première tournée en Afrique subsaharienne où il entend porter les priorités du président Joe Biden: promouvoir la démocratie, la lutte contre le changement climatique et contre la pandémie de Covid-19.
A Nairobi, un de ses alliés de longue date, Blinken a appelé à des solutions africaines aux crises du continent, notamment à la guerre qui fait rage en Ethiopie, où l’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo mène une médiation au nom de l’Union africaine.
Première économie d’Afrique subsaharienne qui concentre 20 % de la population de cette région, le Nigeria est un acteur essentiel sur le continent pour les administrations américaines, qui ont toutes courtisé les dirigeants nigérians depuis le rétablissement d’un pouvoir civil en 1999.
Mais depuis un an, le discours américain envers le Nigeria s’est fait plus ferme, notamment face à la sanglante répression d’un vaste mouvement de contestation contre les violences policières.
Alors candidat, Biden avait exprimé sa solidarité avec les manifestants et exhorté le président Muhammadu Buhari ?que Blinken rencontrera jeudi ? à infléchir la riposte des forces de sécurité.
Le sénateur Bob Menendez, membre du Parti démocrate qui préside la commission sénatoriale des Affaires étrangères, a appelé, lors d’une audition avec Blinken, à une « refonte fondamentale du cadre de notre engagement global » avec le Nigeria.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 10h32

L’Ukraine l’arme au pied alors que la Russie masse des troupes à sa frontière

Les hommes changent, mais pas les fronts. Sept ans déjà que les militaires ukrainiens se relaient pour garder la ligne de contrôle de Shyrokyne, au bord de la mer d’Azov, dans une région ravagée par la guerre en 2014.
Depuis son quartier général, étabIi dans une ancienne colonie de vacances, le général Oleg Gontcharouk et ses hommes surveillent, sur des écrans vidéos, les mouvements de l’ennemi traqués par des caméras. À moins de 2 kilomètres, on les voit aujourd’hui bouger dans les arbres et faire du feu, au bord des tranchées, pour se réchauffer.
De cette station balnéaire, qui, avant la guerre, accueillait 50.000 à 60.000 touristes ukrainiens pendant l’été, il ne reste rien. Ou plutôt que des maisons détruites, éventrées par les tirs de mortier. Des débris mélangés de murs broyés, de meubles cassés, de matelas déchirés. Des parasols en béton abandonnés dans l’herbe, mais qui n’ont pas perdu leurs couleurs vives.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 10h32

L’Ukraine l’arme au pied alors que la Russie masse des troupes à sa frontière

Les hommes changent, mais pas les fronts. Sept ans déjà que les militaires ukrainiens se relaient pour garder la ligne de contrôle de Shyrokyne, au bord de la mer d’Azov, dans une région ravagée par la guerre en 2014.
Depuis son quartier général, étabIi dans une ancienne colonie de vacances, le général Oleg Gontcharouk et ses hommes surveillent, sur des écrans vidéos, les mouvements de l’ennemi traqués par des caméras. À moins de 2 kilomètres, on les voit aujourd’hui bouger dans les arbres et faire du feu, au bord des tranchées, pour se réchauffer.
De cette station balnéaire, qui, avant la guerre, accueillait 50.000 à 60.000 touristes ukrainiens pendant l’été, il ne reste rien. Ou plutôt que des maisons détruites, éventrées par les tirs de mortier. Des débris mélangés de murs broyés, de meubles cassés, de matelas déchirés. Des parasols en béton abandonnés dans l’herbe, mais qui n’ont pas perdu leurs couleurs vives.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 10h28

Harcèlement scolaire : Macron annonce de nouvelles mesures «pour remporter ce combat»

Emmanuel Macron a annoncé jeudi 18 novembre de nouvelles mesures pour lutter contre le harcèlement scolaire, dont un renforcement du contrôle parental sur les écrans utilisés par les enfants et une nouvelle application pour aider les victimes à dénoncer les faits.
À l’occasion de la journée de mobilisation jeudi, le chef de l’État constate dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux de l’Élysée que, malgré les initiatives prises, «le harcèlement sévit toujours à l’école, sur les réseaux sociaux, sans laisser aucun moment de répit à ceux qui en sont victimes». «C’est pourquoi nous allons continuer à nous mobiliser, en particulier parce que les élèves harcelés sont souvent isolés et ont peur. Nous devons leur faciliter le signalement de ce dont ils sont victimes», ajoute-t-il.
Le harcèlement touche près d’un enfant sur dix et peut avoir des conséquences dramatiques, comme l’a rappelé en octobre le suicide de Dinah, 14 ans. Emmanuel Macron et son épouse Brigitte en avaient discuté avec des jeunes victimes qu’ils avaient invitées à l’Élysée le 4 novembre.
Dans la vidéo, le chef de l’État annonce que, «en plus du numéro 3018 mis en place, une appli 3018 sera lancée en février pour permettre aux victimes et aux témoins d’adresser une capture d’écran de situations de harcèlement afin que celles-ci soient encore mieux accompagnées». «Nous allons renforcer les maisons des adolescents, les points d’accueil écoute jeunes, les lieux physiques avec des personnes qui sont là pour recevoir la parole et pour écouter partout sur le territoire», ajoute-t-il.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 10h28

Harcèlement scolaire : Macron annonce de nouvelles mesures «pour remporter ce combat»

Emmanuel Macron a annoncé jeudi 18 novembre de nouvelles mesures pour lutter contre le harcèlement scolaire, dont un renforcement du contrôle parental sur les écrans utilisés par les enfants et une nouvelle application pour aider les victimes à dénoncer les faits.
À l’occasion de la journée de mobilisation jeudi, le chef de l’État constate dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux de l’Élysée que, malgré les initiatives prises, «le harcèlement sévit toujours à l’école, sur les réseaux sociaux, sans laisser aucun moment de répit à ceux qui en sont victimes». «C’est pourquoi nous allons continuer à nous mobiliser, en particulier parce que les élèves harcelés sont souvent isolés et ont peur. Nous devons leur faciliter le signalement de ce dont ils sont victimes», ajoute-t-il.
Le harcèlement touche près d’un enfant sur dix et peut avoir des conséquences dramatiques, comme l’a rappelé en octobre le suicide de Dinah, 14 ans. Emmanuel Macron et son épouse Brigitte en avaient discuté avec des jeunes victimes qu’ils avaient invitées à l’Élysée le 4 novembre.
Dans la vidéo, le chef de l’État annonce que, «en plus du numéro 3018 mis en place, une appli 3018 sera lancée en février pour permettre aux victimes et aux témoins d’adresser une capture d’écran de situations de harcèlement afin que celles-ci soient encore mieux accompagnées». «Nous allons renforcer les maisons des adolescents, les points d’accueil écoute jeunes, les lieux physiques avec des personnes qui sont là pour recevoir la parole et pour écouter partout sur le territoire», ajoute-t-il.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 10h25

Assassinat de Malcolm X : deux hommes condamnés bientôt innocentés ?

Muhammad Aziz et Khalil Islam, deux des trois hommes condamnés il y a plus de 50 ans pour le meurtre de Malcolm, figure de la lutte pour la cause noire, pourraient prochainement être innocentés. Le procureur de Manhattan doit déposer un recours devant la Cour suprême de New York, avec le soutien des avocats des deux hommes et d’associations clamant leur innocence. « Ces hommes n’ont pas eu droit à la justice qu’ils méritaient. […] Ce que nous pouvons faire, c’est reconnaître cette erreur, la gravité de cette erreur », a déclaré le procureur Cyrus Vance dans le New York Times.
Aux côtés de leurs avocats et d’une association luttant contre les erreurs judiciaires, The Innocence Project, le procureur déposera donc jeudi devant la Cour suprême de New York un dossier conjoint pour obtenir l’annulation des condamnations en 1966 de ces deux anciens activistes : Muhammad Aziz, alias Norman 3X Butler à l’époque, et Khalil Islam, alias Thomas 15X Johnson, décédé en 2009. D’après une source proche du dossier, il appartient à la Cour suprême de valider la demande.
« Tout cela n’aurait jamais dû arriver. Ces faits étaient et sont la conséquence d’un processus corrompu jusqu’à la moelle, qui reste trop familier, même en 2021 », a réagi Muhammad Aziz, sorti de prison en 1985 et aujourd’hui âgé de 83 ans, dans une déclaration transmise par ses avocats. Il a toujours clamé son innocence.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 10h25

Assassinat de Malcolm X : deux hommes condamnés bientôt innocentés ?

Muhammad Aziz et Khalil Islam, deux des trois hommes condamnés il y a plus de 50 ans pour le meurtre de Malcolm, figure de la lutte pour la cause noire, pourraient prochainement être innocentés. Le procureur de Manhattan doit déposer un recours devant la Cour suprême de New York, avec le soutien des avocats des deux hommes et d’associations clamant leur innocence. « Ces hommes n’ont pas eu droit à la justice qu’ils méritaient. […] Ce que nous pouvons faire, c’est reconnaître cette erreur, la gravité de cette erreur », a déclaré le procureur Cyrus Vance dans le New York Times.
Aux côtés de leurs avocats et d’une association luttant contre les erreurs judiciaires, The Innocence Project, le procureur déposera donc jeudi devant la Cour suprême de New York un dossier conjoint pour obtenir l’annulation des condamnations en 1966 de ces deux anciens activistes : Muhammad Aziz, alias Norman 3X Butler à l’époque, et Khalil Islam, alias Thomas 15X Johnson, décédé en 2009. D’après une source proche du dossier, il appartient à la Cour suprême de valider la demande.
« Tout cela n’aurait jamais dû arriver. Ces faits étaient et sont la conséquence d’un processus corrompu jusqu’à la moelle, qui reste trop familier, même en 2021 », a réagi Muhammad Aziz, sorti de prison en 1985 et aujourd’hui âgé de 83 ans, dans une déclaration transmise par ses avocats. Il a toujours clamé son innocence.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 10h20

Soudan : nouvelles grenades lacrymogènes après le jour le plus sanglant depuis le putsch

Les forces de sécurité soudanaises ont tiré jeudi matin de nouvelles grenades lacrymogènes sur des manifestants anti-putsch à Khartoum au lendemain de la journée la plus sanglante depuis le coup d’Etat du 25 octobre avec 15 morts.
En matinée jeudi, alors que les communications téléphoniques avaient été rétablies après une coupure lors de la répression, les forces de sécurité ont de nouveau tenté de disperser des dizaines de manifestants, restés sur leurs barricades dans la banlieue nord de la capitale.
Là, au moins onze personnes, dont une femme, ont été fauchées mercredi par des balles tirées, selon un syndicat de médecins prodémocratie, par les forces de sécurité qui visaient « la tête, le cou ou le torse ».
Au total depuis le putsch, 39 personnes, dont trois adolescents, ont été tuées et des centaines blessées.
Jeudi matin, la vice-secrétaire d’Etat américaine pour les Affaires africaines Molly Phee a condamné « la violence contre des manifestants pacifiques ».


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
AFP - 10h20

Soudan : nouvelles grenades lacrymogènes après le jour le plus sanglant depuis le putsch

Les forces de sécurité soudanaises ont tiré jeudi matin de nouvelles grenades lacrymogènes sur des manifestants anti-putsch à Khartoum au lendemain de la journée la plus sanglante depuis le coup d’Etat du 25 octobre avec 15 morts.
En matinée jeudi, alors que les communications téléphoniques avaient été rétablies après une coupure lors de la répression, les forces de sécurité ont de nouveau tenté de disperser des dizaines de manifestants, restés sur leurs barricades dans la banlieue nord de la capitale.
Là, au moins onze personnes, dont une femme, ont été fauchées mercredi par des balles tirées, selon un syndicat de médecins prodémocratie, par les forces de sécurité qui visaient « la tête, le cou ou le torse ».
Au total depuis le putsch, 39 personnes, dont trois adolescents, ont été tuées et des centaines blessées.
Jeudi matin, la vice-secrétaire d’Etat américaine pour les Affaires africaines Molly Phee a condamné « la violence contre des manifestants pacifiques ».

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 10h17

L’État de droit en Pologne dans le viseur de Bruxelles

Didier Reynders, le commissaire européen à la Justice, est attendu à Varsovie où il sera question de la réforme du système judiciaire polonais, contestée par l’Union européenne. Mais d’une manière plus large c’est l’État de droit qui est menacé dans ce pays selon Bruxelles. Depuis fin octobre, et à la demande de la Commission européenne, la Cour de justice de l’Union européenne a décidé des sanctions à Varsovie, tant que le gouvernement ne se sera pas conformé à un arrêt rendu par cette même Cour qui réclame la suspension immédiate du fonctionnement de la chambre disciplinaire de la Cour suprême perçu par les magistrats comme un instrument de contrôle politique. Un sujet qui fait donc l’objet d’un bras de fer entre Bruxelles et Varsovie.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 10h17

L’État de droit en Pologne dans le viseur de Bruxelles

Didier Reynders, le commissaire européen à la Justice, est attendu à Varsovie où il sera question de la réforme du système judiciaire polonais, contestée par l’Union européenne. Mais d’une manière plus large c’est l’État de droit qui est menacé dans ce pays selon Bruxelles. Depuis fin octobre, et à la demande de la Commission européenne, la Cour de justice de l’Union européenne a décidé des sanctions à Varsovie, tant que le gouvernement ne se sera pas conformé à un arrêt rendu par cette même Cour qui réclame la suspension immédiate du fonctionnement de la chambre disciplinaire de la Cour suprême perçu par les magistrats comme un instrument de contrôle politique. Un sujet qui fait donc l’objet d’un bras de fer entre Bruxelles et Varsovie.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

mercredi 17 novembre

Le Monde Afrique - 17h59

Au Soudan, au moins dix manifestants antiputsch tués par balles

Bravant une répression qui a déjà fait trente-quatre morts et la coupure, désormais, totale des communications, des manifestants ont afflué par milliers, mercredi 17 novembre, dans les rues de Khartoum, au Soudan, contre le coup d’Etat militaire.
Dix personnes ont été tuées dans la répression des manifestations, a annoncé un syndicat de médecins prodémocratie, dont sept dans la seule banlieue nord de Khartoum, où des centaines de protestataires défilent encore. La plupart des morts et des blessures par balles recensées dans la capitale soudanaise ont été touchés « à la tête, au cou ou au torse », précisent les médecins. L’Association des professionnels soudanais, un des fers de lance de la révolte de 2019 qui a renversé le dictateur Omar El-Bechir, accuse les forces de l’ordre de « meurtres prémédités ».
Outre Khartoum, des défilés conspuant le général Burhane se sont également déployés mercredi à Port-Soudan, dans l’est du pays, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 17h59

Au Soudan, au moins dix manifestants antiputsch tués par balles

Bravant une répression qui a déjà fait trente-quatre morts et la coupure, désormais, totale des communications, des manifestants ont afflué par milliers, mercredi 17 novembre, dans les rues de Khartoum, au Soudan, contre le coup d’Etat militaire.
Dix personnes ont été tuées dans la répression des manifestations, a annoncé un syndicat de médecins prodémocratie, dont sept dans la seule banlieue nord de Khartoum, où des centaines de protestataires défilent encore. La plupart des morts et des blessures par balles recensées dans la capitale soudanaise ont été touchés « à la tête, au cou ou au torse », précisent les médecins. L’Association des professionnels soudanais, un des fers de lance de la révolte de 2019 qui a renversé le dictateur Omar El-Bechir, accuse les forces de l’ordre de « meurtres prémédités ».
Outre Khartoum, des défilés conspuant le général Burhane se sont également déployés mercredi à Port-Soudan, dans l’est du pays, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 17h55

Israël : Attaque au couteau à Jérusalem, l’assaillant abattu par la police

Un homme ayant mené mercredi 17 novembre une attaque au couteau contre les forces israéliennes dans la Vieille ville de Jérusalem a été abattu, a indiqué la police israélienne.
Deux membres de la police des frontières ont été «poignardés» à proximité d’une yeshiva (école talmudique) sur la rue al-Wad, qui traverse le quartier musulman de la Vieille ville, selon un communiqué de la police. Contacté par l’AFP, un porte-parole de la police a confirmé que l’assaillant avait été abattu par les forces de l’ordre.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 17h55

Israël : Attaque au couteau à Jérusalem, l’assaillant abattu par la police

Un homme ayant mené mercredi 17 novembre une attaque au couteau contre les forces israéliennes dans la Vieille ville de Jérusalem a été abattu, a indiqué la police israélienne.
Deux membres de la police des frontières ont été «poignardés» à proximité d’une yeshiva (école talmudique) sur la rue al-Wad, qui traverse le quartier musulman de la Vieille ville, selon un communiqué de la police. Contacté par l’AFP, un porte-parole de la police a confirmé que l’assaillant avait été abattu par les forces de l’ordre.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 17h52

Le missile russe qui relance la bataille de l’espace

Les diplomates, militaires et scientifiques américains ont dénoncé un comportement «irresponsable» après la destruction d’un satellite par Moscou. L’essai de missile antisatellite mené par la Russie a suscité les vives protestations des autorités américaines. Diplomates, militaires et scientifiques ont dénoncé un comportement «irresponsable» de la part d’un pays à la longue expérience spatiale. Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a qualifié ce test d’«imprudent».
«Les débris à longue durée de vie créés par ce test dangereux et irresponsable menacent désormais les satellites et les autres objets spatiaux, vitaux pour la sécurité, l’économie et les intérêts scientifiques de toutes les nations pour les décennies à venir. En outre, il augmentera considérablement le risque pour les astronautes et les cosmonautes de la Station spatiale internationale et d’autres activités de vol spatial humain. La sûreté et la sécurité de tous les acteurs qui cherchent à explorer et à utiliser l’espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques ont été imprudemment mises en danger».


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 17h52

Le missile russe qui relance la bataille de l’espace

Les diplomates, militaires et scientifiques américains ont dénoncé un comportement «irresponsable» après la destruction d’un satellite par Moscou. L’essai de missile antisatellite mené par la Russie a suscité les vives protestations des autorités américaines. Diplomates, militaires et scientifiques ont dénoncé un comportement «irresponsable» de la part d’un pays à la longue expérience spatiale. Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a qualifié ce test d’«imprudent».
«Les débris à longue durée de vie créés par ce test dangereux et irresponsable menacent désormais les satellites et les autres objets spatiaux, vitaux pour la sécurité, l’économie et les intérêts scientifiques de toutes les nations pour les décennies à venir. En outre, il augmentera considérablement le risque pour les astronautes et les cosmonautes de la Station spatiale internationale et d’autres activités de vol spatial humain. La sûreté et la sécurité de tous les acteurs qui cherchent à explorer et à utiliser l’espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques ont été imprudemment mises en danger».

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 17h35

Nigeria : des nanosatellites pour observer la Terre

L’agence spatiale nationale du Nigeria et la start-up française Prométhée s’associent pour développer des activités des systèmes de satellites d’observation de la Terre. Agence nationale de recherche et de développement spatial nigériane (NASRDA) et la société française Prométhée ont signé, mardi 9 novembre à Abuja, une lettre d’intention posant les bases d’une coopération couvrant le domaine des systèmes de constellations de nanosatellites d’observation de la Terre.
Ces satellites miniatures, dits aussi « cubesats », comportent une structure modulaire composée d’une à six unités de 10 x 10 x 10 cm pouvant avoir une masse de moins de 100 kg. Ces dimensions sont suffisantes pour réaliser les fonctions de base du satellite (la communication, l’électronique, la navigation, etc.) et pour porter une « charge utile » permettant au satellite de remplir sa mission scientifique. Plus d’une centaine ont déjà été lancés.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 17h35

Nigeria : des nanosatellites pour observer la Terre

L’agence spatiale nationale du Nigeria et la start-up française Prométhée s’associent pour développer des activités des systèmes de satellites d’observation de la Terre. Agence nationale de recherche et de développement spatial nigériane (NASRDA) et la société française Prométhée ont signé, mardi 9 novembre à Abuja, une lettre d’intention posant les bases d’une coopération couvrant le domaine des systèmes de constellations de nanosatellites d’observation de la Terre.
Ces satellites miniatures, dits aussi « cubesats », comportent une structure modulaire composée d’une à six unités de 10 x 10 x 10 cm pouvant avoir une masse de moins de 100 kg. Ces dimensions sont suffisantes pour réaliser les fonctions de base du satellite (la communication, l’électronique, la navigation, etc.) et pour porter une « charge utile » permettant au satellite de remplir sa mission scientifique. Plus d’une centaine ont déjà été lancés.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h30

Le chef de la diplomatie américaine au Kenya pour évoquer les crises régionales

Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a entamé, mercredi 17 novembre, une tournée africaine à Nairobi. Arrivé au Kenya, il a rencontré des leaders de la société civile avant un entretien avec son homologue Raychelle Omamo et le président Uhuru Kenyatta.
Lors de ce premier déplacement d’une tournée africaine de plusieurs jours, il a été question de la lutte contre la pandémie de Covid-19, mais surtout, cette première étape s’inscrit dans le contexte agité de la Corne de l’Afrique. Deux sujets en particulier ont été abordés : les conséquences du putsch au Soudan et la guerre civile en Éthiopie. Le Kenya, qui est actuellement membre du Conseil de sécurité des Nations unies, est un allié traditionnel de Washington et fait figure en ce moment d’îlot de stabilité.
Concernant le Soudan, Antony Blinken a soutenu ce mercredi la « volonté populaire de restauration d’une transition démocratique » et a demandé la libération des personnes arrêtées depuis le putsch. Les États-Unis ont déjà suspendu quelque 700 millions de dollars d’aide à Khartoum à la suite du coup d’État.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h30

Le chef de la diplomatie américaine au Kenya pour évoquer les crises régionales

Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a entamé, mercredi 17 novembre, une tournée africaine à Nairobi. Arrivé au Kenya, il a rencontré des leaders de la société civile avant un entretien avec son homologue Raychelle Omamo et le président Uhuru Kenyatta.
Lors de ce premier déplacement d’une tournée africaine de plusieurs jours, il a été question de la lutte contre la pandémie de Covid-19, mais surtout, cette première étape s’inscrit dans le contexte agité de la Corne de l’Afrique. Deux sujets en particulier ont été abordés : les conséquences du putsch au Soudan et la guerre civile en Éthiopie. Le Kenya, qui est actuellement membre du Conseil de sécurité des Nations unies, est un allié traditionnel de Washington et fait figure en ce moment d’îlot de stabilité.
Concernant le Soudan, Antony Blinken a soutenu ce mercredi la « volonté populaire de restauration d’une transition démocratique » et a demandé la libération des personnes arrêtées depuis le putsch. Les États-Unis ont déjà suspendu quelque 700 millions de dollars d’aide à Khartoum à la suite du coup d’État.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h26

Sénégal: l’opposant et candidat à la mairie de Dakar, Barthélémy Dias, de nouveau arrêté

L’opposant sénégalais Barthélémy Dias, candidat à la mairie de Dakar, a de nouveau été interpellé mercredi à la mi-journée, une semaine après avoir été conduit au camp de police Abdou Diassé à la suite de heurts entre ses partisans et les forces de l’ordre, selon des proches du candidat de la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi. Les motifs de cette arrestation sont encore inconnus, rapporte notre correspondante à Dakar, Charlotte Idrac.
« Je confirme l’arrestation de Barthélémy Dias à la sortie de son domicile (…), alors qu’il partait en petit cortège distribuer des flyers au Plateau », a dit l’un de ses avocats, Me Cheikh Khouraissy Ba, à l’AFP. Son interpellation n’a été ni confirmée ni démentie par la police.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h26

Sénégal: l’opposant et candidat à la mairie de Dakar, Barthélémy Dias, de nouveau arrêté

L’opposant sénégalais Barthélémy Dias, candidat à la mairie de Dakar, a de nouveau été interpellé mercredi à la mi-journée, une semaine après avoir été conduit au camp de police Abdou Diassé à la suite de heurts entre ses partisans et les forces de l’ordre, selon des proches du candidat de la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi. Les motifs de cette arrestation sont encore inconnus, rapporte notre correspondante à Dakar, Charlotte Idrac.
« Je confirme l’arrestation de Barthélémy Dias à la sortie de son domicile (…), alors qu’il partait en petit cortège distribuer des flyers au Plateau », a dit l’un de ses avocats, Me Cheikh Khouraissy Ba, à l’AFP. Son interpellation n’a été ni confirmée ni démentie par la police.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

mardi 16 novembre

Rfi.fr - 16h56

Crise migratoire : le président biélorusse Alexandre Loukachenko joue l’apaisement

La situation est toujours très tendue à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie. Face à une situation humanitaire qui se dégrade chaque jour un peu plus, le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, accusé d’orchestrer cette crise, joue désormais la carte de l’apaisement.
« La chancelière et M. Loukachenko ont discuté de la situation difficile à la frontière entre la Biélorussie et l’Union européenne », indique l’Allemagne. Et peu importe si le communiqué ne mentionne pas son titre de président.
Pour Alexandre Loukachenko, auquel les Européens ne parlaient pas depuis sa réélection contestée, il s’agit déjà d’un succès. Sur de courtes vidéos diffusées sur le canal Telegram de sa présidence, le dirigeant biélorusse, entouré de membres de son gouvernement, cherche à montrer sa bonne volonté.
« Nous partageons la même opinion, que personne n’a d’intérêt à ce que la situation s’envenime, ni l’Union européenne, ni la Biélorussie. Nous n’avons jamais voulu aller vers l’escalade. Nous ne ramassons pas les réfugiés dans le monde entier pour les amener en Biélorussie, comme la Pologne en a informé l’Union européenne », a-t-il dit.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 16h56

Crise migratoire : le président biélorusse Alexandre Loukachenko joue l’apaisement

La situation est toujours très tendue à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie. Face à une situation humanitaire qui se dégrade chaque jour un peu plus, le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, accusé d’orchestrer cette crise, joue désormais la carte de l’apaisement.
« La chancelière et M. Loukachenko ont discuté de la situation difficile à la frontière entre la Biélorussie et l’Union européenne », indique l’Allemagne. Et peu importe si le communiqué ne mentionne pas son titre de président.
Pour Alexandre Loukachenko, auquel les Européens ne parlaient pas depuis sa réélection contestée, il s’agit déjà d’un succès. Sur de courtes vidéos diffusées sur le canal Telegram de sa présidence, le dirigeant biélorusse, entouré de membres de son gouvernement, cherche à montrer sa bonne volonté.
« Nous partageons la même opinion, que personne n’a d’intérêt à ce que la situation s’envenime, ni l’Union européenne, ni la Biélorussie. Nous n’avons jamais voulu aller vers l’escalade. Nous ne ramassons pas les réfugiés dans le monde entier pour les amener en Biélorussie, comme la Pologne en a informé l’Union européenne », a-t-il dit.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 15h39

En Israël, la guerre éthiopienne ravive un vif débat sur l’immigration

Un débat sans fin se ranime en Israël à la faveur d’une guerre lointaine, en Ethiopie. « L’alya maintenant ! » « Ramenez nos frères ! » Des centaines d’Israéliens d’origine éthiopienne ont manifesté, dimanche 14 novembre, sous les fenêtres du premier ministre. Ils demandent le transfert en Israël de membres de leurs familles en attente de quitter ce pays, qui s’abîme dans une guerre fratricide.
Parmi les manifestants, Gebyal Getahun, 42 ans, pianote sur son téléphone. Vendredi, veille de shabbat, cet ouvrier dans une usine de médicaments à Bet Shemesh (centre) a recommandé à ses trois cousins qui vivent à Addis-Abeba, à leurs femmes et leurs enfants, de ne plus sortir de chez eux, sous aucun prétexte. Ils résident dans un quartier de la capitale éthiopienne, où l’Agence juive a financé le développement d’écoles, de synagogues et de bains rituels dès les années 1970.
L’Etat hébreu venait alors de reconnaître la judéité de « Beta Israël » (la « maison d’Israël »), cette communauté éthiopienne que certaines traditions font remonter à la tribu perdue de Dan, l’une des douze tribus d’Israël. Ses ressortissants pouvaient bénéficier de la loi du retour, qui accorde la citoyenneté à tout juif désirant immigrer en Israël. En 1991, la dernière opération secrète d’envergure, « Salomon », a permis le transfert de 14 000 personnes en deux jours hors des « camps » d’Addis-Abeba et de Gondar (Nord).


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 15h39

En Israël, la guerre éthiopienne ravive un vif débat sur l’immigration

Un débat sans fin se ranime en Israël à la faveur d’une guerre lointaine, en Ethiopie. « L’alya maintenant ! » « Ramenez nos frères ! » Des centaines d’Israéliens d’origine éthiopienne ont manifesté, dimanche 14 novembre, sous les fenêtres du premier ministre. Ils demandent le transfert en Israël de membres de leurs familles en attente de quitter ce pays, qui s’abîme dans une guerre fratricide.
Parmi les manifestants, Gebyal Getahun, 42 ans, pianote sur son téléphone. Vendredi, veille de shabbat, cet ouvrier dans une usine de médicaments à Bet Shemesh (centre) a recommandé à ses trois cousins qui vivent à Addis-Abeba, à leurs femmes et leurs enfants, de ne plus sortir de chez eux, sous aucun prétexte. Ils résident dans un quartier de la capitale éthiopienne, où l’Agence juive a financé le développement d’écoles, de synagogues et de bains rituels dès les années 1970.
L’Etat hébreu venait alors de reconnaître la judéité de « Beta Israël » (la « maison d’Israël »), cette communauté éthiopienne que certaines traditions font remonter à la tribu perdue de Dan, l’une des douze tribus d’Israël. Ses ressortissants pouvaient bénéficier de la loi du retour, qui accorde la citoyenneté à tout juif désirant immigrer en Israël. En 1991, la dernière opération secrète d’envergure, « Salomon », a permis le transfert de 14 000 personnes en deux jours hors des « camps » d’Addis-Abeba et de Gondar (Nord).

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 14h54

La Pologne annonce la construction d’un mur en décembre à sa frontière avec la Biélorussie

La Pologne va commencer en décembre la construction d’un mur le long de la frontière avec la Biélorussie, où de nombreux migrants sont actuellement massés, et la finira au premier semestre 2022, a annoncé lundi 15 novembre dans un communiqué le ministère de l’Intérieur. «L’entreprise que nous devons mener à bien est un investissement absolument stratégique et prioritaire pour la sécurité de la nation et de ses citoyens», a déclaré le ministre de l’Intérieur Mariusz Kaminski.
Le ministère a souligné que les contrats correspondants seraient signés d’ici au 15 décembre et que les travaux seraient entamés plus tard le même mois, les ouvriers devant se relayer 24 heures sur 24 en trois équipes. L’ouvrage coûtera environ 353 millions d’euros (407 millions de dollars) et devrait s’étendre sur 180 kilomètres, soit environ la moitié de la longueur totale de la frontière séparant la Pologne de la Biélorussie. Le Parlement a donné son feu vert à sa construction le mois dernier.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 14h54

La Pologne annonce la construction d’un mur en décembre à sa frontière avec la Biélorussie

La Pologne va commencer en décembre la construction d’un mur le long de la frontière avec la Biélorussie, où de nombreux migrants sont actuellement massés, et la finira au premier semestre 2022, a annoncé lundi 15 novembre dans un communiqué le ministère de l’Intérieur. «L’entreprise que nous devons mener à bien est un investissement absolument stratégique et prioritaire pour la sécurité de la nation et de ses citoyens», a déclaré le ministre de l’Intérieur Mariusz Kaminski.
Le ministère a souligné que les contrats correspondants seraient signés d’ici au 15 décembre et que les travaux seraient entamés plus tard le même mois, les ouvriers devant se relayer 24 heures sur 24 en trois équipes. L’ouvrage coûtera environ 353 millions d’euros (407 millions de dollars) et devrait s’étendre sur 180 kilomètres, soit environ la moitié de la longueur totale de la frontière séparant la Pologne de la Biélorussie. Le Parlement a donné son feu vert à sa construction le mois dernier.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 14h50

Ouganda : trois morts, 33 blessés dans deux « attentats-suicide » à Kampala

Au moins trois personnes ont été tuées et 33 blessées mardi dans la capitale ougandaise Kampala lors d’un double « attentat-suicide » mené par un « groupe local lié aux ADF », une rébellion islamiste affiliée au groupe Etat islamique (EI), a affirmé la police.
Le gouvernement avait déjà attribué deux attaques à la bombe menées fin octobre à Kampala aux Forces démocratiques alliées (ADF), groupe né en Ouganda et qui a fait souche depuis plus de 25 ans dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) voisine, où il est accusé de nombreux massacre de civils.
L’Etat islamique désigne les ADF comme sa « Province d’Afrique centrale » (Iscap en anglais). En mars, les Etats-Unis les ont officiellement déclarés affiliés à l’EI.
Les attaques n’ont pour l’instant pas été revendiquées, mais « leurs caractéristiques correspondent aux ADF », a déclaré un porte-parole de la police, Fred Enanga.
Les deux explosions se sont produites à trois minutes d’intervalle peu après 10H00 locales (07H00 GMT) dans le quartier d’affaires de Kampala.
La première attaque a été menée à un check-point situé près du quartier général de la police par un homme transportant une bombe dans un sac à dos. La deuxième par deux hommes « déguisés en moto taxis » à proximité de l’entrée du Parlement, selon la police.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 14h50

Ouganda : trois morts, 33 blessés dans deux « attentats-suicide » à Kampala

Au moins trois personnes ont été tuées et 33 blessées mardi dans la capitale ougandaise Kampala lors d’un double « attentat-suicide » mené par un « groupe local lié aux ADF », une rébellion islamiste affiliée au groupe Etat islamique (EI), a affirmé la police.
Le gouvernement avait déjà attribué deux attaques à la bombe menées fin octobre à Kampala aux Forces démocratiques alliées (ADF), groupe né en Ouganda et qui a fait souche depuis plus de 25 ans dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) voisine, où il est accusé de nombreux massacre de civils.
L’Etat islamique désigne les ADF comme sa « Province d’Afrique centrale » (Iscap en anglais). En mars, les Etats-Unis les ont officiellement déclarés affiliés à l’EI.
Les attaques n’ont pour l’instant pas été revendiquées, mais « leurs caractéristiques correspondent aux ADF », a déclaré un porte-parole de la police, Fred Enanga.
Les deux explosions se sont produites à trois minutes d’intervalle peu après 10H00 locales (07H00 GMT) dans le quartier d’affaires de Kampala.
La première attaque a été menée à un check-point situé près du quartier général de la police par un homme transportant une bombe dans un sac à dos. La deuxième par deux hommes « déguisés en moto taxis » à proximité de l’entrée du Parlement, selon la police.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

lundi 15 novembre

Le Monde Afrique - 11h58

Saïf Al-Islam Kadhafi, un revenant à la conquête de la Libye

Le fils de Mouammar Kadhafi, emprisonné puis en résidence surveillée depuis une décennie, a présenté dimanche sa candidature à l’élection présidentielle libyenne. Saïf Al-Islam Kadhafi faisait partie des énigmes les plus troubles de la Libye post-2011. On en parlait d’autant plus qu’on ne le voyait pas, telle une botte secrète à utiliser au tout dernier moment, lorsque l’impasse d’une révolution fourvoyée aurait rendu impératif d’y avoir recours.
Cette « carte » Saïf Al-Islam, deuxième fils de l’ancien « Guide » Mouammar Kadhafi, a été abattue dimanche 14 novembre à Sebha, chef-lieu de la région méridionale du Fezzan, sous la forme d’une déclaration de candidature à l’élection présidentielle, en principe prévue le 24 décembre.
Agé de 49 ans, Saïf Al-Islam Kadhafi, emprisonné puis en résidence surveillée depuis 2011 dans un endroit tenu secret de la ville de Zinten, à 160 km au sud-ouest de Tripoli, est un authentique revenant. Il a apparemment recouvré sa liberté de circulation pour avoir pu se déplacer dimanche jusque dans le Sud libyen où, physiquement métamorphosé – long turban moutarde noué au front à la bédouine, barbe grise – il a écrasé son pouce trempé d’encre sur les documents de la Haute Commission électorale nationale (HNEC).


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 11h58

Saïf Al-Islam Kadhafi, un revenant à la conquête de la Libye

Le fils de Mouammar Kadhafi, emprisonné puis en résidence surveillée depuis une décennie, a présenté dimanche sa candidature à l’élection présidentielle libyenne. Saïf Al-Islam Kadhafi faisait partie des énigmes les plus troubles de la Libye post-2011. On en parlait d’autant plus qu’on ne le voyait pas, telle une botte secrète à utiliser au tout dernier moment, lorsque l’impasse d’une révolution fourvoyée aurait rendu impératif d’y avoir recours.
Cette « carte » Saïf Al-Islam, deuxième fils de l’ancien « Guide » Mouammar Kadhafi, a été abattue dimanche 14 novembre à Sebha, chef-lieu de la région méridionale du Fezzan, sous la forme d’une déclaration de candidature à l’élection présidentielle, en principe prévue le 24 décembre.
Agé de 49 ans, Saïf Al-Islam Kadhafi, emprisonné puis en résidence surveillée depuis 2011 dans un endroit tenu secret de la ville de Zinten, à 160 km au sud-ouest de Tripoli, est un authentique revenant. Il a apparemment recouvré sa liberté de circulation pour avoir pu se déplacer dimanche jusque dans le Sud libyen où, physiquement métamorphosé – long turban moutarde noué au front à la bédouine, barbe grise – il a écrasé son pouce trempé d’encre sur les documents de la Haute Commission électorale nationale (HNEC).

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h53

L’ombre persistante de la Russie et de la Turquie sur la Libye

• Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan, les présidents russe et turc, avaient été invités, mais se sont fait représenter. La conférence internationale sur la Libye, organisée vendredi 12 novembre à Paris, était censée redonner du souffle au délicat processus électoral engagé dans ce pays fracturé, tout en insistant sur le retrait des mercenaires étrangers, russes et turcs en particulier. Le sommet a permis « d’acter ces deux principaux objectifs », s’est réjoui Emmanuel Macron, le président français, à la fin des discussions.
• Pour Angela Merkel, dont c’était peut-être la dernière visite à Paris en tant que chancelière allemande, « les progrès sont parfois lents, mais cela a avancé ». Sans cacher que du travail restait à faire.
• Cette fois, les Européens ont cherché à faire front commun pour espérer mettre un terme à une décennie de violence, depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi à la suite de l’intervention de l’OTAN, de la France et du Royaume-Uni : la réunion était coprésidée par M. Macron, Mme Merkel, le président du conseil italien, Mario Draghi, les Nations unies, ainsi que les autorités libyennes de transition.
• Le chef du gouvernement d’union nationale, Abdel Hamid Dbeibah, et le président du conseil présidentiel, Mohammed Al-Menfi, avaient tout deux fait le déplacement. La vice-présidente américaine, Kamala Harris, était également présente, dans le cadre de sa visite à Paris, cette semaine.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h53

L’ombre persistante de la Russie et de la Turquie sur la Libye

• Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan, les présidents russe et turc, avaient été invités, mais se sont fait représenter. La conférence internationale sur la Libye, organisée vendredi 12 novembre à Paris, était censée redonner du souffle au délicat processus électoral engagé dans ce pays fracturé, tout en insistant sur le retrait des mercenaires étrangers, russes et turcs en particulier. Le sommet a permis « d’acter ces deux principaux objectifs », s’est réjoui Emmanuel Macron, le président français, à la fin des discussions.
• Pour Angela Merkel, dont c’était peut-être la dernière visite à Paris en tant que chancelière allemande, « les progrès sont parfois lents, mais cela a avancé ». Sans cacher que du travail restait à faire.
• Cette fois, les Européens ont cherché à faire front commun pour espérer mettre un terme à une décennie de violence, depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi à la suite de l’intervention de l’OTAN, de la France et du Royaume-Uni : la réunion était coprésidée par M. Macron, Mme Merkel, le président du conseil italien, Mario Draghi, les Nations unies, ainsi que les autorités libyennes de transition.
• Le chef du gouvernement d’union nationale, Abdel Hamid Dbeibah, et le président du conseil présidentiel, Mohammed Al-Menfi, avaient tout deux fait le déplacement. La vice-présidente américaine, Kamala Harris, était également présente, dans le cadre de sa visite à Paris, cette semaine.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h48

Soudan: le fossé se creuse un peu plus entre les civils et les militaires

« La répression sanglante de samedi est bien la preuve que le général Burhan n’est pas décidé à chercher une issue à la crise », estimait samedi après-midi un jeune Soudanais actif dans le réseau des comités de résistance. Le front anti-putsch entend donc maintenir la pression et appelle d’ores et déjà à une nouvelle mobilisation, le mercredi 17 novembre.
Du côté de l’armée, et pendant que la rue soudanaise comptait ses morts, hier, le général Burhan a présidé la première réunion du nouveau Conseil de souveraineté. Faut-il y avoir un symbole ? La nomination de ce nouveau conseil a été qualifiée par l’ONU « d’unilatérale » et a été perçue par beaucoup comme manière pour le chef de l’armée d’entériner son putsch.
Parallèlement, les arrestations se poursuivent, tout comme les purges dans les institutions publiques où des opposants au coup d’État sont discrètement remplacés par des cadres de l’ancien régime.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h48

Soudan: le fossé se creuse un peu plus entre les civils et les militaires

« La répression sanglante de samedi est bien la preuve que le général Burhan n’est pas décidé à chercher une issue à la crise », estimait samedi après-midi un jeune Soudanais actif dans le réseau des comités de résistance. Le front anti-putsch entend donc maintenir la pression et appelle d’ores et déjà à une nouvelle mobilisation, le mercredi 17 novembre.
Du côté de l’armée, et pendant que la rue soudanaise comptait ses morts, hier, le général Burhan a présidé la première réunion du nouveau Conseil de souveraineté. Faut-il y avoir un symbole ? La nomination de ce nouveau conseil a été qualifiée par l’ONU « d’unilatérale » et a été perçue par beaucoup comme manière pour le chef de l’armée d’entériner son putsch.
Parallèlement, les arrestations se poursuivent, tout comme les purges dans les institutions publiques où des opposants au coup d’État sont discrètement remplacés par des cadres de l’ancien régime.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h42

Burkina Faso: au moins vingt morts dans une attaque dans le Soum

Au Burkina Faso, vingt personnes tuées dont dix-neuf gendarmes et un civil, c’est le bilan encore provisoire d’une attaque dans la province du Soum, dans le nord du pays, dimanche 14 novembre. Des hommes armés ont pris d’assaut, tôt ce matin-là, le détachement de la gendarmerie. Il s’agit de l’une des attaques les plus meurtrières subies par les forces de défense et de sécurité depuis le début des attaques dans le pays.
« Des chiffres toujours difficiles à accepter lorsque nous avons des victimes depuis que nous sommes dans cette situation de guerre », déclare Ousséni Tamboura, le porte-parole du gouvernement, en annonçant la nouvelle de l’attaque. Elle a eu lieu sur l’ancienne mine d’Inata.
Des hommes armés venus sur des motos et des véhicules pick-up, selon des sources sécuritaires, ont attaqué le détachement de la gendarmerie autour de 5h00. Et il y a eu des combats. « Nous avons subi une attaque lâche et barbare, mais les hommes ont résisté avec bravoure face à l’ennemi », soutient Maxime Koné, le ministre de la Sécurité.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h42

Burkina Faso: au moins vingt morts dans une attaque dans le Soum

Au Burkina Faso, vingt personnes tuées dont dix-neuf gendarmes et un civil, c’est le bilan encore provisoire d’une attaque dans la province du Soum, dans le nord du pays, dimanche 14 novembre. Des hommes armés ont pris d’assaut, tôt ce matin-là, le détachement de la gendarmerie. Il s’agit de l’une des attaques les plus meurtrières subies par les forces de défense et de sécurité depuis le début des attaques dans le pays.
« Des chiffres toujours difficiles à accepter lorsque nous avons des victimes depuis que nous sommes dans cette situation de guerre », déclare Ousséni Tamboura, le porte-parole du gouvernement, en annonçant la nouvelle de l’attaque. Elle a eu lieu sur l’ancienne mine d’Inata.
Des hommes armés venus sur des motos et des véhicules pick-up, selon des sources sécuritaires, ont attaqué le détachement de la gendarmerie autour de 5h00. Et il y a eu des combats. « Nous avons subi une attaque lâche et barbare, mais les hommes ont résisté avec bravoure face à l’ennemi », soutient Maxime Koné, le ministre de la Sécurité.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

vendredi 12 novembre

Rfi.fr - 17h50

Côte d’Ivoire: les Atchans attendent le retour de leur «tambour parleur»

Mercredi 10 novembre, la France a restitué au Bénin 26 œuvres volées pendant la colonisation. Fin 2018, la Côte d’Ivoire, elle aussi, avait demandé officiellement la restitution de près de 150 œuvres. Emmanuel Macron s’est engagé, il y a un mois, à restituer à la Côte d’Ivoire l’une d’entre elles : le « djidji ayôkwé » (le « tambour parleur ») des Ébriés, initialement appelés « Atchans », exposé au musée du quai Branly, à Paris. Depuis, la chefferie traditionnelle atchan salue le geste de la France et attend le retour à Abidjan de cet objet volé en 1916.
Le « tambour parleur » servait à prévenir des dangers, mobiliser pour la guerre ou convoquer à des cérémonies ou des fêtes. Des sept villages atchans qui bordaient la lagune autrefois, Adjamé faisait office de centre névralgique, car dépositaire du tam-tam parleur, explique le doyen Clavaire Mobio Aguego, actuellement détenteur de l’autorité traditionnelle à Adjamé.
« C’était un moyen de communication à l’occasion d’une fête, à l’occasion… Quel que soit ce qui devait se passer, c’est Adjamé qui tapait le tam-tam pour les appeler. C’est un tam-tam qui, vraiment, jouait beaucoup de rôles. Si les colons l’ont pris, c’était une manière de pouvoir avoir la mainmise sur le groupe atchan », raconte-t-il.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h50

Côte d’Ivoire: les Atchans attendent le retour de leur «tambour parleur»

Mercredi 10 novembre, la France a restitué au Bénin 26 œuvres volées pendant la colonisation. Fin 2018, la Côte d’Ivoire, elle aussi, avait demandé officiellement la restitution de près de 150 œuvres. Emmanuel Macron s’est engagé, il y a un mois, à restituer à la Côte d’Ivoire l’une d’entre elles : le « djidji ayôkwé » (le « tambour parleur ») des Ébriés, initialement appelés « Atchans », exposé au musée du quai Branly, à Paris. Depuis, la chefferie traditionnelle atchan salue le geste de la France et attend le retour à Abidjan de cet objet volé en 1916.
Le « tambour parleur » servait à prévenir des dangers, mobiliser pour la guerre ou convoquer à des cérémonies ou des fêtes. Des sept villages atchans qui bordaient la lagune autrefois, Adjamé faisait office de centre névralgique, car dépositaire du tam-tam parleur, explique le doyen Clavaire Mobio Aguego, actuellement détenteur de l’autorité traditionnelle à Adjamé.
« C’était un moyen de communication à l’occasion d’une fête, à l’occasion… Quel que soit ce qui devait se passer, c’est Adjamé qui tapait le tam-tam pour les appeler. C’est un tam-tam qui, vraiment, jouait beaucoup de rôles. Si les colons l’ont pris, c’était une manière de pouvoir avoir la mainmise sur le groupe atchan », raconte-t-il.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h44

Tchad : les avocats pas satisfaits des consultations pour préparer le dialogue national

Une délégation du Comité d’organisation du dialogue national inclusif (Codni), conduite par Alixe Naimbaye, secrétaire d’État aux Finances, se rendra en France ce week-end pour échanger avec la diaspora. Mais déjà, des voix s’élèvent pour dénoncer des manipulations et irrégularités dans les consultations. La sonnette d’alarme est tirée par le Conseil de l’ordre des avocats du Tchad dans un communiqué diffusé jeudi 11 novembre, dans lequel il évoque « un dialogue qui risque d’être biaisé ».
Pour le barreau du Tchad, il y a d’abord des tentatives de manipulations des participants aux consultations par des partis politiques, mais surtout, des différences entre les recommandations adoptées par les participants et celles inscrites dans le rapport final.
« Il a été clairement indiqué que la question sur la forme de l’État soit soumise à un référendum, parce que les membres du groupe n’ont pas pu s’entendre à la grande surprise de mes confrères qui étaient là. On dit que non, c’est plutôt la forme de l’État unitaire décentralisé. Alors nous, en tant que barreau, nous nous sommes engagés dans ces activités pour apporter notre pierre à la préparation et à la réussite de ce dialogue. Et nous voulons justement que les choses se passent de manière transparente », estime Djérandi Laguerre Dionro, président du Conseil de l’ordre des avocats.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 17h44

Tchad : les avocats pas satisfaits des consultations pour préparer le dialogue national

Une délégation du Comité d’organisation du dialogue national inclusif (Codni), conduite par Alixe Naimbaye, secrétaire d’État aux Finances, se rendra en France ce week-end pour échanger avec la diaspora. Mais déjà, des voix s’élèvent pour dénoncer des manipulations et irrégularités dans les consultations. La sonnette d’alarme est tirée par le Conseil de l’ordre des avocats du Tchad dans un communiqué diffusé jeudi 11 novembre, dans lequel il évoque « un dialogue qui risque d’être biaisé ».
Pour le barreau du Tchad, il y a d’abord des tentatives de manipulations des participants aux consultations par des partis politiques, mais surtout, des différences entre les recommandations adoptées par les participants et celles inscrites dans le rapport final.
« Il a été clairement indiqué que la question sur la forme de l’État soit soumise à un référendum, parce que les membres du groupe n’ont pas pu s’entendre à la grande surprise de mes confrères qui étaient là. On dit que non, c’est plutôt la forme de l’État unitaire décentralisé. Alors nous, en tant que barreau, nous nous sommes engagés dans ces activités pour apporter notre pierre à la préparation et à la réussite de ce dialogue. Et nous voulons justement que les choses se passent de manière transparente », estime Djérandi Laguerre Dionro, président du Conseil de l’ordre des avocats.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Sofoot.com - 16h36

ANGLETERRE-ASTON VILLA : STEVEN GERRARD IS BACK !

La rumeur qui courait avec intensité depuis plusieurs jours est devenue officielle : à 41 ans, Steven Gerrard est le nouveau manager d’Aston Villa et va retrouver la Premier League plus de six ans après son dernier match en tant que joueur. La suite logique pour l’ancienne gloire de Liverpool qui quitte le banc des Glasgow Rangers après un mandat réussi de plus de trois ans, en attendant d’atteindre son objectif ultime : entraîner les Reds.
« Le club d’Aston Villa est ravi d’annoncer la nomination de Steven Gerrard en tant que nouveau manager. » C’est par cette phrase solennelle que les Villans ont officiellement communiqué ce jeudi le nom du remplaçant de Dean Smith, démis de ses fonctions il y a cinq jours après une terrible série de cinq défaites consécutives. Un trou noir qui a plongé le club de Birmingham à la seizième place de Premier League et surtout convaincu ses dirigeants de miser sur Gerrard jusqu’en juin 2025 dès le mois de novembre.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Sofoot.com - 16h36

ANGLETERRE-ASTON VILLA : STEVEN GERRARD IS BACK !

La rumeur qui courait avec intensité depuis plusieurs jours est devenue officielle : à 41 ans, Steven Gerrard est le nouveau manager d’Aston Villa et va retrouver la Premier League plus de six ans après son dernier match en tant que joueur. La suite logique pour l’ancienne gloire de Liverpool qui quitte le banc des Glasgow Rangers après un mandat réussi de plus de trois ans, en attendant d’atteindre son objectif ultime : entraîner les Reds.
« Le club d’Aston Villa est ravi d’annoncer la nomination de Steven Gerrard en tant que nouveau manager. » C’est par cette phrase solennelle que les Villans ont officiellement communiqué ce jeudi le nom du remplaçant de Dean Smith, démis de ses fonctions il y a cinq jours après une terrible série de cinq défaites consécutives. Un trou noir qui a plongé le club de Birmingham à la seizième place de Premier League et surtout convaincu ses dirigeants de miser sur Gerrard jusqu’en juin 2025 dès le mois de novembre.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h24

Covid-19 : l’Autriche s’apprête à confiner les non-vaccinés

Alexander Schallenberg, chancelier autrichien, a annoncé, vendredi 12 novembre, qu’il s’apprêtait à décréter le confinement des personnes non vaccinées et des patients pas encore guéris, dans le cadre d’un retour du Covid-19. Pour ce faire, il attend encore le feu vert du Parlement autrichien, qui devrait intervenir dimanche 14 novembre.
Au cours de sa conférence de presse, Alexander Schallenberg s’est montré déterminé : « L’objectif est clair : nous voulons donner dimanche le feu vert à un confinement national pour les personnes non vaccinées. » Il n’a pas cependant précisé la date de l’entrée en vigueur d’une telle mesure.
L’État régional de Haute-Autriche et la ville-État de Salzbourg, qui ont connu certains des taux de contamination les plus élevés, ont déjà introduit ce confinement à partir de lundi. Pour que la mesure s’applique à l’ensemble du pays, elle devra être approuvée par le Parlement et par une réunion des chefs de gouvernement régionaux au cours du week-end. Le ministre de la Santé, Wolfgang Müeckstein, a par ailleurs annoncé vendredi qu’il allait ordonner la vaccination obligatoire du personnel de santé.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h24

Covid-19 : l’Autriche s’apprête à confiner les non-vaccinés

Alexander Schallenberg, chancelier autrichien, a annoncé, vendredi 12 novembre, qu’il s’apprêtait à décréter le confinement des personnes non vaccinées et des patients pas encore guéris, dans le cadre d’un retour du Covid-19. Pour ce faire, il attend encore le feu vert du Parlement autrichien, qui devrait intervenir dimanche 14 novembre.
Au cours de sa conférence de presse, Alexander Schallenberg s’est montré déterminé : « L’objectif est clair : nous voulons donner dimanche le feu vert à un confinement national pour les personnes non vaccinées. » Il n’a pas cependant précisé la date de l’entrée en vigueur d’une telle mesure.
L’État régional de Haute-Autriche et la ville-État de Salzbourg, qui ont connu certains des taux de contamination les plus élevés, ont déjà introduit ce confinement à partir de lundi. Pour que la mesure s’applique à l’ensemble du pays, elle devra être approuvée par le Parlement et par une réunion des chefs de gouvernement régionaux au cours du week-end. Le ministre de la Santé, Wolfgang Müeckstein, a par ailleurs annoncé vendredi qu’il allait ordonner la vaccination obligatoire du personnel de santé.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Lequipe.fr - 16h19

Le Brésil premier pays qualifié pour la Coupe du monde 2022 de la zone Amérique du Sud

Grâce à sa victoire face à la Colombie (1-0), jeudi, le Brésil a validé son billet pour la Coupe du monde 2022 au Qatar. Il est le premier pays qualifié dans la zone AmSud. L’unique but du match a été inscrit par Lucas Paqueta.
La qualification pour le Mondial 2022 ne faisait aucun doute. C’était une évidence, presque une formalité, que le Brésil devait néanmoins valider. De préférence à la maison. Mission accomplie grâce à un succès étriqué obtenu face à la Colombie (1-0), devant seulement 22 000 spectateurs à l’Arena Corinthians de São Paulo. Comme un symbole, c’est le meilleur joueur du match, Lucas Paqueta, qui a offert cette victoire décisive à son pays.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Lequipe.fr - 16h19

Le Brésil premier pays qualifié pour la Coupe du monde 2022 de la zone Amérique du Sud

Grâce à sa victoire face à la Colombie (1-0), jeudi, le Brésil a validé son billet pour la Coupe du monde 2022 au Qatar. Il est le premier pays qualifié dans la zone AmSud. L’unique but du match a été inscrit par Lucas Paqueta.
La qualification pour le Mondial 2022 ne faisait aucun doute. C’était une évidence, presque une formalité, que le Brésil devait néanmoins valider. De préférence à la maison. Mission accomplie grâce à un succès étriqué obtenu face à la Colombie (1-0), devant seulement 22 000 spectateurs à l’Arena Corinthians de São Paulo. Comme un symbole, c’est le meilleur joueur du match, Lucas Paqueta, qui a offert cette victoire décisive à son pays.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 14h38

Libye : 300 mercenaires pro-Haftar rapatriés « à la demande de la France »

Trois cents « mercenaires et combattants étrangers » des zones contrôlées par le camp de l’homme fort de l’Est libyen, Khalifa Haftar, vont être rapatriés « à la demande de la France », a annoncé l’Armée nationale libyenne, jeudi 11 novembre. La France va par ailleurs accueillir vendredi une conférence sur la Libye.
« Le commandement de l’Armée nationale libyenne (ANL, loyale au maréchal Haftar) a décidé de faire partir un premier groupe de 300 mercenaires et combattants étrangers », ont indiqué des représentants de l’ANL dans un communiqué. Le communiqué, dont l’AFP a obtenu une copie, émane des représentants du camp Haftar dans le « Comité militaire mixte libyen (5 + 5) », une structure regroupant cinq membres du gouvernement libyen sis à Tripoli et cinq membres représentant l’Est et chargée de la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu signé entre les deux parties en octobre 2020.
Lors de la guerre entre les pouvoirs rivaux dans l’Ouest et l’Est en 2019 et 2020, la Turquie a soutenu l’ancien gouvernement basé à Tripoli tandis que le maréchal Haftar a reçu l’appui des Émirats arabes unis, de la Russie et de l’Égypte. Parmi les acteurs extérieurs figuraient aussi des mercenaires du groupe privé russe Wagner, soutiens du camp de l’Est, ainsi que des Tchadiens, des Soudanais et des Syriens. L’accord de cessez-le-feu d’octobre 2020 prévoyait le départ simultané des combattants étrangers dans un délai de 90 jours, mais aucun retrait significatif n’a été signalé depuis.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 14h38

Libye : 300 mercenaires pro-Haftar rapatriés « à la demande de la France »

Trois cents « mercenaires et combattants étrangers » des zones contrôlées par le camp de l’homme fort de l’Est libyen, Khalifa Haftar, vont être rapatriés « à la demande de la France », a annoncé l’Armée nationale libyenne, jeudi 11 novembre. La France va par ailleurs accueillir vendredi une conférence sur la Libye.
« Le commandement de l’Armée nationale libyenne (ANL, loyale au maréchal Haftar) a décidé de faire partir un premier groupe de 300 mercenaires et combattants étrangers », ont indiqué des représentants de l’ANL dans un communiqué. Le communiqué, dont l’AFP a obtenu une copie, émane des représentants du camp Haftar dans le « Comité militaire mixte libyen (5 + 5) », une structure regroupant cinq membres du gouvernement libyen sis à Tripoli et cinq membres représentant l’Est et chargée de la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu signé entre les deux parties en octobre 2020.
Lors de la guerre entre les pouvoirs rivaux dans l’Ouest et l’Est en 2019 et 2020, la Turquie a soutenu l’ancien gouvernement basé à Tripoli tandis que le maréchal Haftar a reçu l’appui des Émirats arabes unis, de la Russie et de l’Égypte. Parmi les acteurs extérieurs figuraient aussi des mercenaires du groupe privé russe Wagner, soutiens du camp de l’Est, ainsi que des Tchadiens, des Soudanais et des Syriens. L’accord de cessez-le-feu d’octobre 2020 prévoyait le départ simultané des combattants étrangers dans un délai de 90 jours, mais aucun retrait significatif n’a été signalé depuis.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h18

Un responsable de la fondation du prince Charles démissionne après un scandale

Un ancien assistant du prince Charles a démissionné de son rôle à la tête d’une fondation créée par le fils aîné de la reine Elizabeth II, en raison d’un scandale au sujet de ses liens avec un homme d’affaire saoudien.
Michael Fawcett, ancien valet adjoint de Charles, est soupçonné d’avoir usé de son influence pour aider l’homme d’affaires saoudien Mahfouz Marei Mubarak bin Mahfouz, généreux donateur d’œuvres caritatives liées à la monarchie britannique, à obtenir une décoration, avaient révélé début septembre les journaux Sunday Times et Mail on Sunday.
Il a «démissionné de son poste de directeur général de la Prince’s Foundation», selon un porte-parole de l’institution. Selon le Sunday Times, Mahfouz, 51 ans, a été fait commandeur de l’Empire britannique par le prince Charles lors d’une cérémonie privée à Buckingham Palace en novembre 2016, un événement qui n’avait pas été publié dans la liste officielle des engagements royaux.
Bénéficier d’une telle distinction permettait d’appuyer la demande de nationalité britannique du Saoudien, selon le journal. Le Sunday Times indiquait que Mahfouz, qui nie toute faute, aurait donné de fortes sommes d’argent à des projets de restauration intéressant particulièrement le prince de Galles.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h18

Un responsable de la fondation du prince Charles démissionne après un scandale

Un ancien assistant du prince Charles a démissionné de son rôle à la tête d’une fondation créée par le fils aîné de la reine Elizabeth II, en raison d’un scandale au sujet de ses liens avec un homme d’affaire saoudien.
Michael Fawcett, ancien valet adjoint de Charles, est soupçonné d’avoir usé de son influence pour aider l’homme d’affaires saoudien Mahfouz Marei Mubarak bin Mahfouz, généreux donateur d’œuvres caritatives liées à la monarchie britannique, à obtenir une décoration, avaient révélé début septembre les journaux Sunday Times et Mail on Sunday.
Il a «démissionné de son poste de directeur général de la Prince’s Foundation», selon un porte-parole de l’institution. Selon le Sunday Times, Mahfouz, 51 ans, a été fait commandeur de l’Empire britannique par le prince Charles lors d’une cérémonie privée à Buckingham Palace en novembre 2016, un événement qui n’avait pas été publié dans la liste officielle des engagements royaux.
Bénéficier d’une telle distinction permettait d’appuyer la demande de nationalité britannique du Saoudien, selon le journal. Le Sunday Times indiquait que Mahfouz, qui nie toute faute, aurait donné de fortes sommes d’argent à des projets de restauration intéressant particulièrement le prince de Galles.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne