vendredi 05 novembre

Le Figaro - 11h36

La tension monte au Sahara occidental

Le Maroc aurait tué trois Algériens sur ce territoire qui nourrit l’animosité entre les deux pays. Nouveau cap dans l’escalade des tensions entre l’Algérie et le Maroc: mercredi 3 novembre, la présidence de la République algérienne a condamné dans un communiqué le «lâche assassinat» de trois de ses ressortissants, en accusant «les forces d’occupation marocaines».
Les trois hommes, décrits comme des routiers assurant la liaison entre Nouakchott (en Mauritanie) et Ouargla (dans le Sud algérien) à bord de leurs camions de transport de marchandises, auraient, selon des médias proches du Front Polisario (mouvement indépendantiste du Sahara occidental) été tués par «des armes sophistiquées» – en clair, une frappe de drone – sur la route entre Ain Ben Tili, à l’extrême nord de la Mauritanie, et Bir Lalhlou, au Sahara occidental, territoire sur lequel le Maroc considère qu’il est souverain. Sur les réseaux sociaux, les images de deux poids lourds calcinés ont bien circulé, mais sans pouvoir être vérifiées de manière indépendante.


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Le Figaro - 11h36

La tension monte au Sahara occidental

Le Maroc aurait tué trois Algériens sur ce territoire qui nourrit l’animosité entre les deux pays. Nouveau cap dans l’escalade des tensions entre l’Algérie et le Maroc: mercredi 3 novembre, la présidence de la République algérienne a condamné dans un communiqué le «lâche assassinat» de trois de ses ressortissants, en accusant «les forces d’occupation marocaines».
Les trois hommes, décrits comme des routiers assurant la liaison entre Nouakchott (en Mauritanie) et Ouargla (dans le Sud algérien) à bord de leurs camions de transport de marchandises, auraient, selon des médias proches du Front Polisario (mouvement indépendantiste du Sahara occidental) été tués par «des armes sophistiquées» – en clair, une frappe de drone – sur la route entre Ain Ben Tili, à l’extrême nord de la Mauritanie, et Bir Lalhlou, au Sahara occidental, territoire sur lequel le Maroc considère qu’il est souverain. Sur les réseaux sociaux, les images de deux poids lourds calcinés ont bien circulé, mais sans pouvoir être vérifiées de manière indépendante.

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jeudi 04 novembre

Le Figaro - 15h12

La mystérieuse réapparition au Mali de l’ex-otage Sophie Pétronin provoque un tollé

L’ancienne otage des djihadistes est retournée terminer sa vie au Mali, où elle fut détenue pendant quatre ans.
Son cœur l’a poussée à revenir auprès de sa fille adoptive au Mali, où elle vécut ces vingt-cinq dernières années. Mais la raison aurait dû conduire Sophie Pétronin, 76 ans, à rester prudemment en Suisse, un an après sa libération de quatre douloureuses années de détention par des djihadistes à Gao, dans le nord du Mali.
Paris a dénoncé, par la voix de Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, une «forme d’irresponsabilité» vis-à-vis de «sa sécurité» , mais aussi vis-à-vis «de la sécurité de nos forces militaires» déployées au Mali contre les djihadistes. L’annonce, mardi soir, de sa réapparition a interpellé de nombreux Français, qui s’interrogent sur son retour au Mali, où la menace djihadiste est, à certains endroits, très forte.


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Le Figaro - 15h12

La mystérieuse réapparition au Mali de l’ex-otage Sophie Pétronin provoque un tollé

L’ancienne otage des djihadistes est retournée terminer sa vie au Mali, où elle fut détenue pendant quatre ans.
Son cœur l’a poussée à revenir auprès de sa fille adoptive au Mali, où elle vécut ces vingt-cinq dernières années. Mais la raison aurait dû conduire Sophie Pétronin, 76 ans, à rester prudemment en Suisse, un an après sa libération de quatre douloureuses années de détention par des djihadistes à Gao, dans le nord du Mali.
Paris a dénoncé, par la voix de Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, une «forme d’irresponsabilité» vis-à-vis de «sa sécurité» , mais aussi vis-à-vis «de la sécurité de nos forces militaires» déployées au Mali contre les djihadistes. L’annonce, mardi soir, de sa réapparition a interpellé de nombreux Français, qui s’interrogent sur son retour au Mali, où la menace djihadiste est, à certains endroits, très forte.

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Le Point - 15h02

Covid: l’Europe à nouveau épicentre de la pandémie, record de contaminations en Allemagne

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est alarmée jeudi du rythme « très préoccupant » de transmission du Covid-19 en Europe, qui pourrait déboucher sur un demi-million de morts supplémentaires sur le continent d’ici février.
Cette quatrième vague « massive » frappe tout particulièrement l’Allemagne, qui a battu jeudi son record d’infections quotidiennes datant de décembre 2020, avec 33.949 nouvelles contaminations en 24 heures.
« Nous sommes, de nouveau, à l’épicentre », a déploré le directeur de l’OMS Europe, Hans Kluge, lors d’une conférence de presse en ligne.
« Le rythme actuel de transmission dans les 53 pays de la région européenne est très préoccupant (…). Si nous restons sur cette trajectoire, nous pourrions voir un autre demi-million de décès dus au Covid-19 dans la région d’ici février », a-t-il mis en garde.
Pour l’OMS, l’augmentation des cas s’explique par la combinaison d’une couverture vaccinale insuffisante et de l’assouplissement des mesures anti-Covid.
Selon les données de l’OMS Europe, les hospitalisations liées au Covid ont plus que doublé en une semaine.
Le cap des cinq millions de morts provoqués par la pandémie de Covid-19 a été franchi lundi soir. A elle seule, l’Europe a enregistré plus d’1,4 millions de décès.
Le nombre de nouveaux cas par jour est en hausse depuis près de six semaines consécutives en Europe et le nombre de nouveaux morts par jour est en hausse depuis un peu plus de sept semaines consécutives, avec environ 250.000 cas et 3.600 décès quotidiens, selon les données officielles par pays compilées par l’AFP.
La hausse actuelle est notamment portée par la Russie (8.162 décès ces sept derniers jours, +8 % par rapport à la semaine précédente), l’Ukraine (3.819 décès, +1 %) et la Roumanie (3.100 décès, +4 %).
« La plupart des personnes hospitalisées et mourant du Covid-19 aujourd’hui, ne sont pas complètement vaccinées », a souligné M. Kluge.


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Le Point - 15h02

Covid: l’Europe à nouveau épicentre de la pandémie, record de contaminations en Allemagne

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est alarmée jeudi du rythme « très préoccupant » de transmission du Covid-19 en Europe, qui pourrait déboucher sur un demi-million de morts supplémentaires sur le continent d’ici février.
Cette quatrième vague « massive » frappe tout particulièrement l’Allemagne, qui a battu jeudi son record d’infections quotidiennes datant de décembre 2020, avec 33.949 nouvelles contaminations en 24 heures.
« Nous sommes, de nouveau, à l’épicentre », a déploré le directeur de l’OMS Europe, Hans Kluge, lors d’une conférence de presse en ligne.
« Le rythme actuel de transmission dans les 53 pays de la région européenne est très préoccupant (…). Si nous restons sur cette trajectoire, nous pourrions voir un autre demi-million de décès dus au Covid-19 dans la région d’ici février », a-t-il mis en garde.
Pour l’OMS, l’augmentation des cas s’explique par la combinaison d’une couverture vaccinale insuffisante et de l’assouplissement des mesures anti-Covid.
Selon les données de l’OMS Europe, les hospitalisations liées au Covid ont plus que doublé en une semaine.
Le cap des cinq millions de morts provoqués par la pandémie de Covid-19 a été franchi lundi soir. A elle seule, l’Europe a enregistré plus d’1,4 millions de décès.
Le nombre de nouveaux cas par jour est en hausse depuis près de six semaines consécutives en Europe et le nombre de nouveaux morts par jour est en hausse depuis un peu plus de sept semaines consécutives, avec environ 250.000 cas et 3.600 décès quotidiens, selon les données officielles par pays compilées par l’AFP.
La hausse actuelle est notamment portée par la Russie (8.162 décès ces sept derniers jours, +8 % par rapport à la semaine précédente), l’Ukraine (3.819 décès, +1 %) et la Roumanie (3.100 décès, +4 %).
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Rfi.fr - 14h57

Le Royaume-Uni, premier pays à approuver la pilule contre le Covid-19 de Merck

Le Royaume-Uni a annoncé ce jeudi 4 novembre être le premier pays à autoriser le molnupiravir, traitement par comprimé contre le Covid-19 élaboré par le laboratoire américain Merck. «Aujourd’hui est un jour historique pour notre pays, car le Royaume-Uni est désormais le premier pays au monde à approuver un antiviral qui peut être pris à la maison contre le Covid-19, a déclaré le ministre de la Santé Sajid Javid dans un communiqué, Cela changera la donne pour les plus vulnérables et les immunodéprimés, qui pourront bientôt recevoir le traitement révolutionnaire».


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Rfi.fr - 14h57

Le Royaume-Uni, premier pays à approuver la pilule contre le Covid-19 de Merck

Le Royaume-Uni a annoncé ce jeudi 4 novembre être le premier pays à autoriser le molnupiravir, traitement par comprimé contre le Covid-19 élaboré par le laboratoire américain Merck. «Aujourd’hui est un jour historique pour notre pays, car le Royaume-Uni est désormais le premier pays au monde à approuver un antiviral qui peut être pris à la maison contre le Covid-19, a déclaré le ministre de la Santé Sajid Javid dans un communiqué, Cela changera la donne pour les plus vulnérables et les immunodéprimés, qui pourront bientôt recevoir le traitement révolutionnaire».

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Rfi.fr - 14h52

L’arsenal nucléaire chinois augmente plus vite que prévu, selon Washington

La Chine a dénoncé ce jeudi 4 novembre une « manipulation » des États-Unis après la publication d’un rapport du Pentagone faisant notamment état d’une accélération plus rapide qu’anticipé du programme nucléaire chinois. Le 18 octobre, Washington avait exprimé ses inquiétudes après le test d’un missile hypersonique chinois, démenti par Pékin.
Dans un rapport publié mercredi 3 novembre, le ministère américain de la Défense estime que Pékin développe son arsenal nucléaire beaucoup plus vite et peut déjà lancer des missiles balistiques armés de têtes nucléaires depuis la terre, la mer et les airs. Pour le Pentagone, la Chine modernise son armée pour « contrer les États-Unis » dans la région indo-pacifique et faciliter une réintégration de Taïwan, qu’elle considère comme l’une de ses provinces.
En réponse, un porte-parole de la diplomatie chinoise, Wang Wenbin, a accusé les Américains de chercher à « monter en épingle » la thèse d’une menace chinoise. « Le rapport publié par le Pentagone, comme les précédents, ignore les faits et est rempli de préjugés », a indiqué à la presse le porte-parole, fustigeant une « manipulation » de Washington.
Dans la précédente édition de ce rapport destiné au Congrès et publiée le 1er septembre 2020, le Pentagone évaluait l’arsenal chinois à « environ 200 » ogives nucléaires, mais considérait que ce chiffre allait doubler au cours des dix années suivantes.


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Rfi.fr - 14h52

L’arsenal nucléaire chinois augmente plus vite que prévu, selon Washington

La Chine a dénoncé ce jeudi 4 novembre une « manipulation » des États-Unis après la publication d’un rapport du Pentagone faisant notamment état d’une accélération plus rapide qu’anticipé du programme nucléaire chinois. Le 18 octobre, Washington avait exprimé ses inquiétudes après le test d’un missile hypersonique chinois, démenti par Pékin.
Dans un rapport publié mercredi 3 novembre, le ministère américain de la Défense estime que Pékin développe son arsenal nucléaire beaucoup plus vite et peut déjà lancer des missiles balistiques armés de têtes nucléaires depuis la terre, la mer et les airs. Pour le Pentagone, la Chine modernise son armée pour « contrer les États-Unis » dans la région indo-pacifique et faciliter une réintégration de Taïwan, qu’elle considère comme l’une de ses provinces.
En réponse, un porte-parole de la diplomatie chinoise, Wang Wenbin, a accusé les Américains de chercher à « monter en épingle » la thèse d’une menace chinoise. « Le rapport publié par le Pentagone, comme les précédents, ignore les faits et est rempli de préjugés », a indiqué à la presse le porte-parole, fustigeant une « manipulation » de Washington.
Dans la précédente édition de ce rapport destiné au Congrès et publiée le 1er septembre 2020, le Pentagone évaluait l’arsenal chinois à « environ 200 » ogives nucléaires, mais considérait que ce chiffre allait doubler au cours des dix années suivantes.

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Le Point - 09h57

Aux Pays-Bas, des villes ont envoyé des espions dans les mosquées

Jusqu’où peuvent aller les communes néerlandaises dans la prévention et la lutte contre la radicalisation ? Un agent privé non déclaré peut-il aller enquêter dans des mosquées afin d’identifier des individus potentiellement radicalisés ? Autant de questions soulevées par la polémique NTA aux Pays-Bas. Selon Courrier international, derrière ces trois lettres se cache la société Nuance door Training & Advies, une firme spécialisée dans la collecte de renseignements.
Son fondateur, Najib Tuzani, ancien chef de la police de la ville d’Utrecht, serait devenu un acteur incontournable auprès des services néerlandais de lutte antiterroriste. En effet, ces derniers ont accordé 7,5 millions d’euros aux municipalités pour gérer localement la question de la radicalisation et du retour éventuel des djihadistes néerlandais. C’est dans ce cadre que NTA aurait reçu au moins 50 000 euros pour utiliser des enquêteurs privés qui se seraient infiltrés, sans mandat, de façon anonyme dans les mosquées du pays. L’argent aurait aussi servi à payer les leaders communautaires pour obtenir des informations.


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Le Point - 09h57

Aux Pays-Bas, des villes ont envoyé des espions dans les mosquées

Jusqu’où peuvent aller les communes néerlandaises dans la prévention et la lutte contre la radicalisation ? Un agent privé non déclaré peut-il aller enquêter dans des mosquées afin d’identifier des individus potentiellement radicalisés ? Autant de questions soulevées par la polémique NTA aux Pays-Bas. Selon Courrier international, derrière ces trois lettres se cache la société Nuance door Training & Advies, une firme spécialisée dans la collecte de renseignements.
Son fondateur, Najib Tuzani, ancien chef de la police de la ville d’Utrecht, serait devenu un acteur incontournable auprès des services néerlandais de lutte antiterroriste. En effet, ces derniers ont accordé 7,5 millions d’euros aux municipalités pour gérer localement la question de la radicalisation et du retour éventuel des djihadistes néerlandais. C’est dans ce cadre que NTA aurait reçu au moins 50 000 euros pour utiliser des enquêteurs privés qui se seraient infiltrés, sans mandat, de façon anonyme dans les mosquées du pays. L’argent aurait aussi servi à payer les leaders communautaires pour obtenir des informations.

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Le Figaro - 09h48

Migrants : la maire de Calais demande au gouvernement «d’engager le bras de fer» avec Johnson

Alors que l’État va créer à Calais un «sas» de «mise à l’abri» permettant d’accueillir temporairement 300 migrants la nuit, la maire LR de Calais, Natacha Bouchart, a demandé jeudi 4 novembre au gouvernement la tenue d’une réunion interministérielle afin que la France engage le bras de fer avec le Royaume-Uni.
«Je demande au gouvernement et au président de la République une réunion interministérielle avec le ministre de l’Intérieur, le ministre de la Justice, le ministre de l’Immigration, le ministre des Affaires étrangères, le ministre de l’Économie et puisque nous sommes devenus une ville frontière, avec Boris Johnson, avec lequel il faut engager le bras de fer pour réviser les accords du Touquet qui n’ont plus rien à voir avec il y a vingt ans», a-t-elle déclaré sur RTL.
Et pour cause, la maire de Calais juge le Royaume-Uni responsable de la situation migratoire dans sa ville. Elle exige que les Britanniques revoient «intégralement leur dispositif concernant leurs conditions d’accueil et de travail» : «On sait qu’un migrant arrivant en Angleterre est pris en charge, est logé, dispose d’un revenu. Pour eux, l’Angleterre reste un eldorado mais le gouvernement britannique n’a pas le courage de revoir sa législation dans le domaine».
D’après elle, la création d’un «sas» de «mis à l’abri» à Calais n’est pas la bonne méthode : «Tous les dispositifs mis en place ont échoué malheureusement. Je ne vois pas pourquoi celui-ci marcherait.»


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Le Figaro - 09h48

Migrants : la maire de Calais demande au gouvernement «d’engager le bras de fer» avec Johnson

Alors que l’État va créer à Calais un «sas» de «mise à l’abri» permettant d’accueillir temporairement 300 migrants la nuit, la maire LR de Calais, Natacha Bouchart, a demandé jeudi 4 novembre au gouvernement la tenue d’une réunion interministérielle afin que la France engage le bras de fer avec le Royaume-Uni.
«Je demande au gouvernement et au président de la République une réunion interministérielle avec le ministre de l’Intérieur, le ministre de la Justice, le ministre de l’Immigration, le ministre des Affaires étrangères, le ministre de l’Économie et puisque nous sommes devenus une ville frontière, avec Boris Johnson, avec lequel il faut engager le bras de fer pour réviser les accords du Touquet qui n’ont plus rien à voir avec il y a vingt ans», a-t-elle déclaré sur RTL.
Et pour cause, la maire de Calais juge le Royaume-Uni responsable de la situation migratoire dans sa ville. Elle exige que les Britanniques revoient «intégralement leur dispositif concernant leurs conditions d’accueil et de travail» : «On sait qu’un migrant arrivant en Angleterre est pris en charge, est logé, dispose d’un revenu. Pour eux, l’Angleterre reste un eldorado mais le gouvernement britannique n’a pas le courage de revoir sa législation dans le domaine».
D’après elle, la création d’un «sas» de «mis à l’abri» à Calais n’est pas la bonne méthode : «Tous les dispositifs mis en place ont échoué malheureusement. Je ne vois pas pourquoi celui-ci marcherait.»

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mercredi 03 novembre

Le Monde Afrique - 10h17

Au Nigeria, les combats ont repris entre Boko Haram et le groupe Etat islamique

Les deux organisations se livrent à un combat à mort dans le nord-est du pays où l’Iswap a pris l’avantage sur la mouvance anciennement dirigée par Abubakar Shekau. La mort brutale d’Abubakar Shekau n’a pas mis fin aux combats entre groupes djihadistes rivaux au Nigeria. En mai, le chef de Jamaat Ahl Al-Sunnah Lil Dawa Wal Jihad (JAS) – l’une des factions de la mouvance communément appelée Boko Haram – avait été forcé de déclencher sa ceinture d’explosifs pour échapper aux hommes du groupe Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap), qui le traquaient jusqu’au cœur de son bastion dans la forêt de la Sambisa.
Mais, six mois plus tard, tous les anciens combattants du groupe considéré comme le canal « historique » de Boko Haram n’ont pas rendu les armes.* Au Cameroun et dans la Sambisa où sont désormais positionnés les hommes de l’Etat islamique, « il n’y a pas vraiment de résistance organisée, mais plutôt des restes de JAS », constate Vincent Foucher, chercheur au CNRS. On les retrouve dans certains groupes d’hommes armés à motos « qui pratiquent le kidnapping et tentent de survivre en dehors du contrôle de l’Etat islamique ».


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Le Monde Afrique - 10h17

Au Nigeria, les combats ont repris entre Boko Haram et le groupe Etat islamique

Les deux organisations se livrent à un combat à mort dans le nord-est du pays où l’Iswap a pris l’avantage sur la mouvance anciennement dirigée par Abubakar Shekau. La mort brutale d’Abubakar Shekau n’a pas mis fin aux combats entre groupes djihadistes rivaux au Nigeria. En mai, le chef de Jamaat Ahl Al-Sunnah Lil Dawa Wal Jihad (JAS) – l’une des factions de la mouvance communément appelée Boko Haram – avait été forcé de déclencher sa ceinture d’explosifs pour échapper aux hommes du groupe Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap), qui le traquaient jusqu’au cœur de son bastion dans la forêt de la Sambisa.
Mais, six mois plus tard, tous les anciens combattants du groupe considéré comme le canal « historique » de Boko Haram n’ont pas rendu les armes.* Au Cameroun et dans la Sambisa où sont désormais positionnés les hommes de l’Etat islamique, « il n’y a pas vraiment de résistance organisée, mais plutôt des restes de JAS », constate Vincent Foucher, chercheur au CNRS. On les retrouve dans certains groupes d’hommes armés à motos « qui pratiquent le kidnapping et tentent de survivre en dehors du contrôle de l’Etat islamique ».

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Le Figaro - 10h12

USA : le républicain Glenn Youngkin élu gouverneur de Virginie

La large avance du démocrate Terry McAuliffe a fondu en quelques semaines dans cet État qui avait massivement voté pour Joe Biden lors de la présidentielle il y a un an.
Le républicain Glenn Youngkin a réussi à remporter le poste de gouverneur de l’État de Virginie mercredi, selon les projections des télévisions américaines, à l’issue d’un scrutin considéré comme un test pour les démocrates et pour Joe Biden. Après le décompte de plus de 95% des votes, l’homme d’affaires de 54 ans, sans expérience politique, devance de 2,7 points d’avance son adversaire, Terry McAuliffe, 64 ans, ancien gouverneur de cet État de l’est des États-Unis (2014-2018).
«Nous avons gagné», a-t-il lancé devant ses partisans en liesse au milieu de la nuit, évoquant un «moment déterminant» qui allait «changer la trajectoire» de la Virginie après huit ans de contrôle démocrate. Glenn Youngkin, qui a emporté le vote rural traditionnellement conservateur, a aussi réussi de bons scores dans les fiefs démocrates du nord de l’État. Jusqu’au bout, les démocrates ont voulu croire à leur victoire : «nous allons continuer à compter les bulletins de vote parce que tous les habitants de Virginie méritent que leur vote soit compté», a affirmé Terry McAuliffe devant ses supporteurs en fin de soirée.


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Le Figaro - 10h12

USA : le républicain Glenn Youngkin élu gouverneur de Virginie

La large avance du démocrate Terry McAuliffe a fondu en quelques semaines dans cet État qui avait massivement voté pour Joe Biden lors de la présidentielle il y a un an.
Le républicain Glenn Youngkin a réussi à remporter le poste de gouverneur de l’État de Virginie mercredi, selon les projections des télévisions américaines, à l’issue d’un scrutin considéré comme un test pour les démocrates et pour Joe Biden. Après le décompte de plus de 95% des votes, l’homme d’affaires de 54 ans, sans expérience politique, devance de 2,7 points d’avance son adversaire, Terry McAuliffe, 64 ans, ancien gouverneur de cet État de l’est des États-Unis (2014-2018).
«Nous avons gagné», a-t-il lancé devant ses partisans en liesse au milieu de la nuit, évoquant un «moment déterminant» qui allait «changer la trajectoire» de la Virginie après huit ans de contrôle démocrate. Glenn Youngkin, qui a emporté le vote rural traditionnellement conservateur, a aussi réussi de bons scores dans les fiefs démocrates du nord de l’État. Jusqu’au bout, les démocrates ont voulu croire à leur victoire : «nous allons continuer à compter les bulletins de vote parce que tous les habitants de Virginie méritent que leur vote soit compté», a affirmé Terry McAuliffe devant ses supporteurs en fin de soirée.

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AFP - 10h00

USA : Eric Adams élu maire de New York

Un enfant de New York désormais au sommet de la capitale économique et culturelle des États-Unis. C’est ainsi que l’on peut résumer la victoire attendue d’Eric Adams à l’élection municipale de New York. Dans ce bastion démocrate, il n’y avait pas d’enjeu depuis que cet ancien policier avait remporté la primaire du parti. L’homme politique noir aurait remporté plus de deux tiers des suffrages, selon les derniers décomptes des médias américains.
L’élu démocrate de 61 ans a largement battu comme prévu son rival républicain Curtis Sliwa, 67 ans, selon des premiers résultats diffusés par le bureau des élections de la ville, M. Adams remportant 70 % des suffrages contre environ 23 % pour M. Sliwa, dans une ville classée à gauche mais où les inégalités économiques et sociales entre différentes communautés sont extrêmement marquées.
Eric Adams, ancien syndicaliste antiraciste, devient le deuxième maire noir de l’histoire de la capitale économique et culturelle américaine. Cette victoire est une consécration pour Eric Adams, enfant pauvre de Brooklyn, qui a flirté jeune avec la délinquance avant de passer 22 ans dans la police où il a monté un syndicat antiraciste. Il est ensuite devenu élu local de l’Etat et de la ville de New York, tremplin vers la mairie.


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AFP - 10h00

USA : Eric Adams élu maire de New York

Un enfant de New York désormais au sommet de la capitale économique et culturelle des États-Unis. C’est ainsi que l’on peut résumer la victoire attendue d’Eric Adams à l’élection municipale de New York. Dans ce bastion démocrate, il n’y avait pas d’enjeu depuis que cet ancien policier avait remporté la primaire du parti. L’homme politique noir aurait remporté plus de deux tiers des suffrages, selon les derniers décomptes des médias américains.
L’élu démocrate de 61 ans a largement battu comme prévu son rival républicain Curtis Sliwa, 67 ans, selon des premiers résultats diffusés par le bureau des élections de la ville, M. Adams remportant 70 % des suffrages contre environ 23 % pour M. Sliwa, dans une ville classée à gauche mais où les inégalités économiques et sociales entre différentes communautés sont extrêmement marquées.
Eric Adams, ancien syndicaliste antiraciste, devient le deuxième maire noir de l’histoire de la capitale économique et culturelle américaine. Cette victoire est une consécration pour Eric Adams, enfant pauvre de Brooklyn, qui a flirté jeune avec la délinquance avant de passer 22 ans dans la police où il a monté un syndicat antiraciste. Il est ensuite devenu élu local de l’Etat et de la ville de New York, tremplin vers la mairie.

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Rfi.fr - 09h56

L’ex-otage Sophie Pétronin, de retour au Mali, recherchée par la gendarmerie

L’ex-otage Sophie Pétronin, libérée il y a un an, le 8 octobre 2020, après quatre années de captivité dans le Nord, est de retour au Mali où elle est recherchée par les forces de sécurité. L’information a été retenue par RFI pendant plusieurs jours pour des raisons de sécurité, mais elle a depuis été diffusée par d’autres médias, maliens et français, et sur les réseaux sociaux, accompagnée souvent d’informations erronées.
Sophie Pétronin est revenue au Mali en mars dernier. Après plusieurs demandes de visas refusées par Bamako, l’ex-otage accompagnée de son fils Sébastien passe par le Sénégal et franchit la frontière par la route, sans cacher son identité aux agents de police, selon des sources proches de la famille. Ces mêmes sources expliquent que Sophie Pétronin n’était pas heureuse en Suisse et qu’elle voulait retrouver le pays où elle avait passé vingt ans de sa vie et où se trouve toujours sa fille adoptive.
Plus de sept mois s’écoulent sans difficultés, jusqu’à cet avis de recherche émis par la gendarmerie malienne vendredi dernier (le document est daté du 29 octobre), demandant à toutes les unités de gendarmerie d’appréhender Sophie Pétronin et « de la conduire sous escorte » à la direction de la gendarmerie nationale. Selon ce document, authentifié par RFI auprès du ministère malien de la Sécurité, l’ex-otage aurait été « signalée vers Sikasso », à plus de 350 km de Bamako, dans le sud-est du pays.


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Rfi.fr - 09h56

L’ex-otage Sophie Pétronin, de retour au Mali, recherchée par la gendarmerie

L’ex-otage Sophie Pétronin, libérée il y a un an, le 8 octobre 2020, après quatre années de captivité dans le Nord, est de retour au Mali où elle est recherchée par les forces de sécurité. L’information a été retenue par RFI pendant plusieurs jours pour des raisons de sécurité, mais elle a depuis été diffusée par d’autres médias, maliens et français, et sur les réseaux sociaux, accompagnée souvent d’informations erronées.
Sophie Pétronin est revenue au Mali en mars dernier. Après plusieurs demandes de visas refusées par Bamako, l’ex-otage accompagnée de son fils Sébastien passe par le Sénégal et franchit la frontière par la route, sans cacher son identité aux agents de police, selon des sources proches de la famille. Ces mêmes sources expliquent que Sophie Pétronin n’était pas heureuse en Suisse et qu’elle voulait retrouver le pays où elle avait passé vingt ans de sa vie et où se trouve toujours sa fille adoptive.
Plus de sept mois s’écoulent sans difficultés, jusqu’à cet avis de recherche émis par la gendarmerie malienne vendredi dernier (le document est daté du 29 octobre), demandant à toutes les unités de gendarmerie d’appréhender Sophie Pétronin et « de la conduire sous escorte » à la direction de la gendarmerie nationale. Selon ce document, authentifié par RFI auprès du ministère malien de la Sécurité, l’ex-otage aurait été « signalée vers Sikasso », à plus de 350 km de Bamako, dans le sud-est du pays.

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Rfi.fr - 09h51

Éthiopie: le conflit au Tigré marqué par «une brutalité extrême», selon un rapport de l’ONU

Le conflit au Tigré est marqué par une «brutalité extrême», a dénoncé mercredi la Haute-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, présentant une enquête conjointe avec les Éthiopiens, qui conclut à de possibles crimes contre l’humanité commis par toutes les parties. «La gravité des violations et des atteintes que nous avons recensées souligne la nécessité de tenir leurs auteurs responsables, quel que soit leur camp», a estimé Michelle Bachelet, à Genève.


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Rfi.fr - 09h51

Éthiopie: le conflit au Tigré marqué par «une brutalité extrême», selon un rapport de l’ONU

Le conflit au Tigré est marqué par une «brutalité extrême», a dénoncé mercredi la Haute-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, présentant une enquête conjointe avec les Éthiopiens, qui conclut à de possibles crimes contre l’humanité commis par toutes les parties. «La gravité des violations et des atteintes que nous avons recensées souligne la nécessité de tenir leurs auteurs responsables, quel que soit leur camp», a estimé Michelle Bachelet, à Genève.

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mardi 02 novembre

AFP - 11h50

Chypre peine à augmenter la part d’énergie verte

Trois cent quarante jours de soleil par an, mais on ne mise toujours pas sur les énergies renouvelables à Chypre » se désespère Georgia Mouskou, dans son salon baigné de lumière à Nicosie.
Devant sa facture d’électricité qui flambe, la trentenaire dit vouloir « louer une parcelle » pour y installer des panneaux solaires.
Sur l’île méditerranéenne, en un an, le nombre de panneaux installés par des particuliers a augmenté de 16 %, selon l’Autorité chypriote de l’électricité (EAC).
Pourtant, Chypre peine à augmenter sa part d’énergie solaire et éolienne. En 2019, elle stagnait à 13,8 %, en dessous de la moyenne européenne (19,7 %), selon les derniers chiffres de l’office européen des statistiques Eurostat.
Chypre espère voir sa part d’énergies renouvelables atteindre les 23 % d’ici 2030, selon son plan d’action national.
Le problème, selon Markos Asprou, spécialiste de l’électricité au centre de recherche chypriote Kios, c’est que la production d’énergie renouvelable est « difficile à prévoir ».
« Le jour, nous avons de l’énergie d’origine photovoltaïque. La nuit, nous tombons à zéro », explique Giorgos Moniatis, le codirecteur de la principale centrale de production d’électricité de l’île, Vassilikos.
Pour pallier l’absence d’énergie renouvelable, « le réseau doit être flexible, ce qui n’est pas le cas à Chypre » en raison de son isolement, indique M. Asprou.


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AFP - 11h50

Chypre peine à augmenter la part d’énergie verte

Trois cent quarante jours de soleil par an, mais on ne mise toujours pas sur les énergies renouvelables à Chypre » se désespère Georgia Mouskou, dans son salon baigné de lumière à Nicosie.
Devant sa facture d’électricité qui flambe, la trentenaire dit vouloir « louer une parcelle » pour y installer des panneaux solaires.
Sur l’île méditerranéenne, en un an, le nombre de panneaux installés par des particuliers a augmenté de 16 %, selon l’Autorité chypriote de l’électricité (EAC).
Pourtant, Chypre peine à augmenter sa part d’énergie solaire et éolienne. En 2019, elle stagnait à 13,8 %, en dessous de la moyenne européenne (19,7 %), selon les derniers chiffres de l’office européen des statistiques Eurostat.
Chypre espère voir sa part d’énergies renouvelables atteindre les 23 % d’ici 2030, selon son plan d’action national.
Le problème, selon Markos Asprou, spécialiste de l’électricité au centre de recherche chypriote Kios, c’est que la production d’énergie renouvelable est « difficile à prévoir ».
« Le jour, nous avons de l’énergie d’origine photovoltaïque. La nuit, nous tombons à zéro », explique Giorgos Moniatis, le codirecteur de la principale centrale de production d’électricité de l’île, Vassilikos.
Pour pallier l’absence d’énergie renouvelable, « le réseau doit être flexible, ce qui n’est pas le cas à Chypre » en raison de son isolement, indique M. Asprou.

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Le Figaro - 11h45

RCA : dix Casques bleus égyptiens blessés par des tirs de la garde présidentielle

«Les éléments de l’Unité de Police Constituée égyptienne», qui circulaient dans un bus, «ont essuyé des tirs nourris de la garde présidentielle sans sommation préalable ni riposte aucune, alors qu’ils n’étaient pas armés», a assuré l’ONU dans un communiqué. Deux d’entre eux ont été grièvement blessés.
En quittant la zone après les tirs, à 120 mètres environ de la résidence présidentielle, le bus «a heurté une femme qui a perdu la vie», a ajouté la Minusca qui «a présenté ses condoléances à la famille de la victime lors d’une rencontre en fin de journée».
Ces éléments de l’unité de police étaient arrivés dans la journée de l’aéroport de Bangui dans le cadre de la rotation périodique et du déploiement des troupes en Centrafrique. Ils se dirigeaient vers leur base dans un bus clairement identifié «avec les initiales UN», selon Vladimir Monteiro, porte-parole de la Minusca.
Classé deuxième pays le moins développé au monde par l’ONU, la Centrafrique a été plongée dans une guerre civile sanglante après un coup d’État en 2013. Ce conflit perdure mais a considérablement baissé d’intensité depuis trois ans, même si des pans entiers de territoires continuent d’échapper au pouvoir central.


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Le Figaro - 11h45

RCA : dix Casques bleus égyptiens blessés par des tirs de la garde présidentielle

«Les éléments de l’Unité de Police Constituée égyptienne», qui circulaient dans un bus, «ont essuyé des tirs nourris de la garde présidentielle sans sommation préalable ni riposte aucune, alors qu’ils n’étaient pas armés», a assuré l’ONU dans un communiqué. Deux d’entre eux ont été grièvement blessés.
En quittant la zone après les tirs, à 120 mètres environ de la résidence présidentielle, le bus «a heurté une femme qui a perdu la vie», a ajouté la Minusca qui «a présenté ses condoléances à la famille de la victime lors d’une rencontre en fin de journée».
Ces éléments de l’unité de police étaient arrivés dans la journée de l’aéroport de Bangui dans le cadre de la rotation périodique et du déploiement des troupes en Centrafrique. Ils se dirigeaient vers leur base dans un bus clairement identifié «avec les initiales UN», selon Vladimir Monteiro, porte-parole de la Minusca.
Classé deuxième pays le moins développé au monde par l’ONU, la Centrafrique a été plongée dans une guerre civile sanglante après un coup d’État en 2013. Ce conflit perdure mais a considérablement baissé d’intensité depuis trois ans, même si des pans entiers de territoires continuent d’échapper au pouvoir central.

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Le Point - 11h32

Covid-19 : le cap des 5 millions de morts dans le monde franchi

La pandémie de Covid-19 a causé la mort de plus de cinq millions de personnes dans le monde depuis que l’OMS a fait état de l’apparition de la maladie fin décembre 2019 en Chine, selon un comptage réalisé par l’AFP lundi à partir de bilans officiels.
Ce bilan, qui prend en compte les décès comptabilisés par les autorités de santé nationales, ne représente qu’une part des décès réellement liés au coronavirus. L’OMS estime qu’en considérant la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui officiellement recensé.
Tandis que le nombre de décès quotidiens à travers le monde est repassé, pour la première fois depuis près d’un an, sous les 8.000 début octobre, la situation est disparate selon les continents.
« Le nombre total de cas et de décès du Covid-19 est en train d’augmenter pour la première fois depuis deux mois, cela est dû à la hausse actuelle de l’épidémie en Europe, qui surpasse le déclin observé dans les autres régions du monde », a expliqué jeudi Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, lors d’une conférence de presse.


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Le Point - 11h32

Covid-19 : le cap des 5 millions de morts dans le monde franchi

La pandémie de Covid-19 a causé la mort de plus de cinq millions de personnes dans le monde depuis que l’OMS a fait état de l’apparition de la maladie fin décembre 2019 en Chine, selon un comptage réalisé par l’AFP lundi à partir de bilans officiels.
Ce bilan, qui prend en compte les décès comptabilisés par les autorités de santé nationales, ne représente qu’une part des décès réellement liés au coronavirus. L’OMS estime qu’en considérant la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui officiellement recensé.
Tandis que le nombre de décès quotidiens à travers le monde est repassé, pour la première fois depuis près d’un an, sous les 8.000 début octobre, la situation est disparate selon les continents.
« Le nombre total de cas et de décès du Covid-19 est en train d’augmenter pour la première fois depuis deux mois, cela est dû à la hausse actuelle de l’épidémie en Europe, qui surpasse le déclin observé dans les autres régions du monde », a expliqué jeudi Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, lors d’une conférence de presse.

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Le Point - 11h25

Nigeria : au moins quatre morts dans l’effondrement d‘un immeuble

Un gratte-ciel en construction s’est effondré lundi à Lagos, la capitale économique du Nigeria, faisant au moins quatre morts et plusieurs blessés mais le bilan pourrait s’alourdir, des dizaines d’ouvriers étant toujours coincés sous les décombres.
Cet immeuble de 21 étages situé sur l’une des avenues les plus chics de Lagos, dans le quartier d’Ikoyi, s’est effondré un peu avant 15H00 (14H00 GMT) alors que des dizaines d’ouvriers se trouvaient sur le chantier.
« Il y a quatre morts jusque-là et quatre personnes sorties vivantes », a déclaré à l’AFP Ibrahim Farinloyer, de l’Agence nationale de gestion des urgences (Nema), qui précise que l’opération est toujours en cours.
Autour de la montagne de gravats de plus de dix mètres de hauteur, des ouvriers, la peau recouverte de poussière erraient effarés, le regard hagard.
Au moins cinq d’entre eux ont affirmé à l’AFP que plus de quarante personnes travaillaient dans le bâtiment lorsque celui-ci s’est effondré.
« J’étais en train de travailler en bas, c’est pour ça que j’ai la vie sauve », dit Taiwo Sule, 21 ans, la voix encore tremblante.
« Je suis monté sur le tas de gravats et j’ai vu cinq corps morts, on a essayé de les porter, mais on nous a fait redescendre. Regardez mes mains, elles sont pleines de sang », lance en colère le jeune homme, ses paumes rougies tournées vers le ciel.


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Le Point - 11h25

Nigeria : au moins quatre morts dans l’effondrement d‘un immeuble

Un gratte-ciel en construction s’est effondré lundi à Lagos, la capitale économique du Nigeria, faisant au moins quatre morts et plusieurs blessés mais le bilan pourrait s’alourdir, des dizaines d’ouvriers étant toujours coincés sous les décombres.
Cet immeuble de 21 étages situé sur l’une des avenues les plus chics de Lagos, dans le quartier d’Ikoyi, s’est effondré un peu avant 15H00 (14H00 GMT) alors que des dizaines d’ouvriers se trouvaient sur le chantier.
« Il y a quatre morts jusque-là et quatre personnes sorties vivantes », a déclaré à l’AFP Ibrahim Farinloyer, de l’Agence nationale de gestion des urgences (Nema), qui précise que l’opération est toujours en cours.
Autour de la montagne de gravats de plus de dix mètres de hauteur, des ouvriers, la peau recouverte de poussière erraient effarés, le regard hagard.
Au moins cinq d’entre eux ont affirmé à l’AFP que plus de quarante personnes travaillaient dans le bâtiment lorsque celui-ci s’est effondré.
« J’étais en train de travailler en bas, c’est pour ça que j’ai la vie sauve », dit Taiwo Sule, 21 ans, la voix encore tremblante.
« Je suis monté sur le tas de gravats et j’ai vu cinq corps morts, on a essayé de les porter, mais on nous a fait redescendre. Regardez mes mains, elles sont pleines de sang », lance en colère le jeune homme, ses paumes rougies tournées vers le ciel.

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Rfi.fr - 11h16

L’Éthiopie se prépare à une guerre totale face aux avancées des forces rebelles du Tigré

La guerre entre le gouvernement fédéral et les rebelles tigréens pourrait atteindre un point de bascule. Les forces du TPLF, alliées avec l’armée oromo disent avoir pris contrôle de Dressie et Kombolcha, deux villes stratégies dans le nord de la région Amhara. Si confirmée, cette avancée pourrait constituer une menace pour l’armée fédérale, déjà en difficulté, en rendraient possible une route des soldats tigréens vers la capitale Addis-Abeba.
Les forces tigréennes du TPLF assurent s’être emparées de Dessie et Kombolcha, deux grandes villes stratégiques à 400km au nord d’Addis Abeba. Ce que confirme une source humanitaire. Mais le gouvernement éthiopien le nie toujours. La situation reste incertaine aujourd’hui, la coupure des télécommunications ne permettant pas de vérifier les avancées militaires en temps réel.
Coté tigréen, le TPLF assure avoir fait la jonction avec les rebelles de l’armée de libération oromo (ALO), dans le nord de la région Amhara. Autant de déclarations également encore impossibles à vérifier, même si une source dans la région précise que l’OLA est bel et bien active au sud de Kombolcha.


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Rfi.fr - 11h16

L’Éthiopie se prépare à une guerre totale face aux avancées des forces rebelles du Tigré

La guerre entre le gouvernement fédéral et les rebelles tigréens pourrait atteindre un point de bascule. Les forces du TPLF, alliées avec l’armée oromo disent avoir pris contrôle de Dressie et Kombolcha, deux villes stratégies dans le nord de la région Amhara. Si confirmée, cette avancée pourrait constituer une menace pour l’armée fédérale, déjà en difficulté, en rendraient possible une route des soldats tigréens vers la capitale Addis-Abeba.
Les forces tigréennes du TPLF assurent s’être emparées de Dessie et Kombolcha, deux grandes villes stratégiques à 400km au nord d’Addis Abeba. Ce que confirme une source humanitaire. Mais le gouvernement éthiopien le nie toujours. La situation reste incertaine aujourd’hui, la coupure des télécommunications ne permettant pas de vérifier les avancées militaires en temps réel.
Coté tigréen, le TPLF assure avoir fait la jonction avec les rebelles de l’armée de libération oromo (ALO), dans le nord de la région Amhara. Autant de déclarations également encore impossibles à vérifier, même si une source dans la région précise que l’OLA est bel et bien active au sud de Kombolcha.

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Rfi.fr - 11h14

COP26 : plus de cent dirigeants s’engagent à stopper la déforestation d’ici à 2030

Une centaine de chefs d’État et de gouvernement dont les pays regroupent 85 % des forêts mondiales, s’engagent pour mettre un terme à la déforestation. La « déclaration des chefs d’États en faveur des forêts et sur l’utilisation des terres » est présentée comme un accord sans précédent en faveur de la protection des forêts. Parmi les pays signataires : le Brésil, l’Indonésie ou encore la RDC.
L’accord prévoit de mettre un terme à la déforestation et même d’inverser le processus d’ici à 2030. Car les forêts, véritables poumons de la planète capables d’absorber une partie du CO2 libéré chaque année, subissent, elles aussi, l’activité humaine. « L’équivalent de 27 terrains de football de forêt est perdu chaque minute », estime ainsi le Premier ministre Boris Johnson qui doit s’exprimer à ce sujet ce mardi 2 novembre.
Les États signataires s’engagent donc dans une série de mesures politiques et économiques en faveur notamment de la restauration des terres dégradées, la lutte contre les feux de forêt ou encore le soutien aux populations locales.


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Rfi.fr - 11h14

COP26 : plus de cent dirigeants s’engagent à stopper la déforestation d’ici à 2030

Une centaine de chefs d’État et de gouvernement dont les pays regroupent 85 % des forêts mondiales, s’engagent pour mettre un terme à la déforestation. La « déclaration des chefs d’États en faveur des forêts et sur l’utilisation des terres » est présentée comme un accord sans précédent en faveur de la protection des forêts. Parmi les pays signataires : le Brésil, l’Indonésie ou encore la RDC.
L’accord prévoit de mettre un terme à la déforestation et même d’inverser le processus d’ici à 2030. Car les forêts, véritables poumons de la planète capables d’absorber une partie du CO2 libéré chaque année, subissent, elles aussi, l’activité humaine. « L’équivalent de 27 terrains de football de forêt est perdu chaque minute », estime ainsi le Premier ministre Boris Johnson qui doit s’exprimer à ce sujet ce mardi 2 novembre.
Les États signataires s’engagent donc dans une série de mesures politiques et économiques en faveur notamment de la restauration des terres dégradées, la lutte contre les feux de forêt ou encore le soutien aux populations locales.

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lundi 01 novembre

Le Figaro - 18h01

Brexit: Paris prêt au «combat» pour ses pêcheurs face à Londres

«Ce n’est pas la guerre, c’est un combat.» Après l’annonce de mesures de rétorsion pour «défendre les droits des pêcheurs français» face aux Britanniques, la ministre de la Mer, Annick Girardin, s’est défendue de vouloir déclencher les hostilités générales. Mais le «combat» s’est durci ce jeudi avec le déroutage d’un navire de pêche britannique. Et les relations franco-britanniques ne cessent de se dégrader.
Après la saisie par la France d’un chalutier et l’avertissement verbal lancé à un deuxième, le gouvernement de Boris Johnson a dénoncé un acte «décevant et disproportionné». Les deux navires, spécialisés dans la coquille Saint-Jacques, ont été contrôlés par la gendarmerie maritime française en baie de Seine. L’un d’eux, le Cornelis Gert Jan, a été dérouté sur Le Havre. Selon Paris, il ne figurait pas sur les listes de licences accordées au Royaume-Uni par la Commission européenne et la France. Londres affirme au contraire que le bateau était en règle. Le propriétaire de ce chalutier écossais a estimé qu’il s’agissait d’un «malentendu» et dénoncé une manœuvre politique.
Cette passe d’armes au large a suivi de peu l’annonce par la France de l’entrée en vigueur d’une première salve de mesures de rétorsions le 2 novembre, en l’absence de progrès sur le dossier. Au menu, l’interdiction de débarquement de produits de la mer britanniques dans les ports français désignés (au nombre de six) ainsi que le renforcement des contrôles sanitaires, douaniers et de sécurité des navires britanniques. La riposte est aussi élargie avec un contrôle plus serré des camions à destination et en provenance du Royaume-Uni, notamment à Calais. Une deuxième salve pourrait comporter «des mesures énergétiques qui ont trait à la fourniture d’électricité pour les îles anglo-normandes». «Maintenant, il faut parler le langage de la force parce que je crains que, malheureusement, ce gouvernement britannique ne comprenne que cela», a déclaré le secrétaire d’État français aux Affaires européennes, Clément Beaune.


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Le Figaro - 18h01

Brexit: Paris prêt au «combat» pour ses pêcheurs face à Londres

«Ce n’est pas la guerre, c’est un combat.» Après l’annonce de mesures de rétorsion pour «défendre les droits des pêcheurs français» face aux Britanniques, la ministre de la Mer, Annick Girardin, s’est défendue de vouloir déclencher les hostilités générales. Mais le «combat» s’est durci ce jeudi avec le déroutage d’un navire de pêche britannique. Et les relations franco-britanniques ne cessent de se dégrader.
Après la saisie par la France d’un chalutier et l’avertissement verbal lancé à un deuxième, le gouvernement de Boris Johnson a dénoncé un acte «décevant et disproportionné». Les deux navires, spécialisés dans la coquille Saint-Jacques, ont été contrôlés par la gendarmerie maritime française en baie de Seine. L’un d’eux, le Cornelis Gert Jan, a été dérouté sur Le Havre. Selon Paris, il ne figurait pas sur les listes de licences accordées au Royaume-Uni par la Commission européenne et la France. Londres affirme au contraire que le bateau était en règle. Le propriétaire de ce chalutier écossais a estimé qu’il s’agissait d’un «malentendu» et dénoncé une manœuvre politique.
Cette passe d’armes au large a suivi de peu l’annonce par la France de l’entrée en vigueur d’une première salve de mesures de rétorsions le 2 novembre, en l’absence de progrès sur le dossier. Au menu, l’interdiction de débarquement de produits de la mer britanniques dans les ports français désignés (au nombre de six) ainsi que le renforcement des contrôles sanitaires, douaniers et de sécurité des navires britanniques. La riposte est aussi élargie avec un contrôle plus serré des camions à destination et en provenance du Royaume-Uni, notamment à Calais. Une deuxième salve pourrait comporter «des mesures énergétiques qui ont trait à la fourniture d’électricité pour les îles anglo-normandes». «Maintenant, il faut parler le langage de la force parce que je crains que, malheureusement, ce gouvernement britannique ne comprenne que cela», a déclaré le secrétaire d’État français aux Affaires européennes, Clément Beaune.

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Le Figaro - 17h57

Soudan : des pays de l’ONU veulent une session spéciale du Conseil des droits de l’Homme

Plusieurs dizaines de pays ont réclamé lundi une session spéciale du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU consacrée au Soudan, où la répression exercée par les militaires qui ont pris le pouvoir a déjà fait plusieurs morts parmi les opposants au putsch.
La lettre à la présidente de la plus haute instance de l’ONU en matière de droits de l’Homme, demande que le Conseil examine «les implications de la situation dans la République du Soudan pour les droits de l’Homme». Elle est signée par 48 pays dont 18 pays membres du Conseil.
«Les actions des militaires soudanais sont une trahison de la révolution, de la transition et du peuple soudanais», a accusé dans un tweet, Simon Manley, l’ambassadeur du Royaume-Uni à Genève, qui a relayé la demande au nom de 48 pays.
Les manifestations, rassemblant parfois des dizaines de milliers de personnes qui veulent dénoncer le putsch mené par le général Abdel Fattah al-Burhane, ont déjà fait douze morts parmi les manifestants et près de 300 blessés, selon un bilan d’un syndicat de médecins pro-démocratie.
La police, elle, assure ne jamais avoir tiré à balles réelles. Le général Burhane, chef de l’armée, avait annoncé lundi dernier la dissolution de l’ensemble des institutions de ce pays pauvre plongé dans le marasme économique et miné par des décennies de conflits et dirigé sans partage par Omar el-Béchir de 1989 à 2019.


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Le Figaro - 17h57

Soudan : des pays de l’ONU veulent une session spéciale du Conseil des droits de l’Homme

Plusieurs dizaines de pays ont réclamé lundi une session spéciale du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU consacrée au Soudan, où la répression exercée par les militaires qui ont pris le pouvoir a déjà fait plusieurs morts parmi les opposants au putsch.
La lettre à la présidente de la plus haute instance de l’ONU en matière de droits de l’Homme, demande que le Conseil examine «les implications de la situation dans la République du Soudan pour les droits de l’Homme». Elle est signée par 48 pays dont 18 pays membres du Conseil.
«Les actions des militaires soudanais sont une trahison de la révolution, de la transition et du peuple soudanais», a accusé dans un tweet, Simon Manley, l’ambassadeur du Royaume-Uni à Genève, qui a relayé la demande au nom de 48 pays.
Les manifestations, rassemblant parfois des dizaines de milliers de personnes qui veulent dénoncer le putsch mené par le général Abdel Fattah al-Burhane, ont déjà fait douze morts parmi les manifestants et près de 300 blessés, selon un bilan d’un syndicat de médecins pro-démocratie.
La police, elle, assure ne jamais avoir tiré à balles réelles. Le général Burhane, chef de l’armée, avait annoncé lundi dernier la dissolution de l’ensemble des institutions de ce pays pauvre plongé dans le marasme économique et miné par des décennies de conflits et dirigé sans partage par Omar el-Béchir de 1989 à 2019.

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Le Monde - 16h25

Entre Marseille et Alger, une reprise du trafic maritime attendue avec impatience

Fermée depuis le 19 mars 2020, la liaison maritime entre Marseille et Alger va reprendre du service. Le 12 octobre, le ministère algérien des transports a annoncé par communiqué que la compagnie publique algérienne ENTMV-Algérie Ferries transporterait à nouveau des voyageurs « à destination de la France, à partir du 1er novembre ». Pour le moment, un aller et un retour sont prévus chaque semaine. Corsica Linea, le concurrent français sur cette liaison maritime, n’a pas encore annoncé la reprise de ses traversées.
Mais le principe de réciprocité devrait permettre à la compagnie de reprendre son trafic sur cette ligne courant novembre. Seule ombre au tableau, Alger est actuellement la seule ville desservie. Les trajets vers Oran, Béjaïa, Skikda et Annaba n’ont toujours pas repris. Le ministère algérien des transports « examinera la programmation de voyages supplémentaires vers d’autres destinations selon l’évolution de la situation sanitaire du pays. »
Depuis le début de la pandémie, peu de Franco-Algériens ont pu retourner au bled. Certains ont manqué des mariages, des anniversaires, des enterrements… Et souffrent de ne pas voir leur famille. Les frontières algériennes se sont peu à peu ouvertes depuis juin, mais les trajets en avion, seul moyen d’accès jusqu’alors, se sont raréfiés. « Avant la crise, il y avait 64 vols par jour entre la France et l’Algérie. Aujourd’hui, il y en a 24 par semaine », remarque Elyas Attar, rédacteur en chef du site Visas Voyages Algérie. Une bonne partie des vols affiche donc complet.


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Le Monde - 16h25

Entre Marseille et Alger, une reprise du trafic maritime attendue avec impatience

Fermée depuis le 19 mars 2020, la liaison maritime entre Marseille et Alger va reprendre du service. Le 12 octobre, le ministère algérien des transports a annoncé par communiqué que la compagnie publique algérienne ENTMV-Algérie Ferries transporterait à nouveau des voyageurs « à destination de la France, à partir du 1er novembre ». Pour le moment, un aller et un retour sont prévus chaque semaine. Corsica Linea, le concurrent français sur cette liaison maritime, n’a pas encore annoncé la reprise de ses traversées.
Mais le principe de réciprocité devrait permettre à la compagnie de reprendre son trafic sur cette ligne courant novembre. Seule ombre au tableau, Alger est actuellement la seule ville desservie. Les trajets vers Oran, Béjaïa, Skikda et Annaba n’ont toujours pas repris. Le ministère algérien des transports « examinera la programmation de voyages supplémentaires vers d’autres destinations selon l’évolution de la situation sanitaire du pays. »
Depuis le début de la pandémie, peu de Franco-Algériens ont pu retourner au bled. Certains ont manqué des mariages, des anniversaires, des enterrements… Et souffrent de ne pas voir leur famille. Les frontières algériennes se sont peu à peu ouvertes depuis juin, mais les trajets en avion, seul moyen d’accès jusqu’alors, se sont raréfiés. « Avant la crise, il y avait 64 vols par jour entre la France et l’Algérie. Aujourd’hui, il y en a 24 par semaine », remarque Elyas Attar, rédacteur en chef du site Visas Voyages Algérie. Une bonne partie des vols affiche donc complet.

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Journal du Cameroun - 15h34

Guinée : Kaba Diawara remplace Didier Six

C’était dans l’air depuis quelques semaines, c’est désormais officiel. Didier Six a été démis de ses fonctions de sélectionneur de la Guinée Conakry à l’issue d’une réunion avec le Comité Exécutif de la Fédération Guinéenne de Football (FGF) ce jeudi 28 octobre.
Après une campagne d’éliminatoires pour la Coupe du Monde 2022 décevante (3 nuls et 1 défaite en 4 rencontres), le Sily National s’est séparé du coach de 67 ans. La FGF a porté son choix pour le duo Kaba Diawara et Mandjou Diallo.
« A l’issue de la réunion du Comité exécutif qui s’est tenue ce jeudi 28 octobre, la Fédération Guinéenne de Football a décidé de confier la gestion des deux prochains matchs du Syli National au duo Kaba Diawara (principal) et Mandjou Diallo (adjoint) », annonce l’instance faitière.


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Journal du Cameroun - 15h34

Guinée : Kaba Diawara remplace Didier Six

C’était dans l’air depuis quelques semaines, c’est désormais officiel. Didier Six a été démis de ses fonctions de sélectionneur de la Guinée Conakry à l’issue d’une réunion avec le Comité Exécutif de la Fédération Guinéenne de Football (FGF) ce jeudi 28 octobre.
Après une campagne d’éliminatoires pour la Coupe du Monde 2022 décevante (3 nuls et 1 défaite en 4 rencontres), le Sily National s’est séparé du coach de 67 ans. La FGF a porté son choix pour le duo Kaba Diawara et Mandjou Diallo.
« A l’issue de la réunion du Comité exécutif qui s’est tenue ce jeudi 28 octobre, la Fédération Guinéenne de Football a décidé de confier la gestion des deux prochains matchs du Syli National au duo Kaba Diawara (principal) et Mandjou Diallo (adjoint) », annonce l’instance faitière.

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Le Figaro - 10h02

Le Liban puni par l’Arabie saoudite

Riyad a décidé de couper les ponts avec Beyrouth, au prétexte qu’un ministre libanais avait critiqué son intervention militaire au Yémen, ce qui fragilise un peu plus le gouvernement de Mikati et un pays exsangue.
La stabilisation politique relative du Liban aura été de courte durée. Un peu plus d’un mois après son entrée en fonction, qui a mis fin à treize mois de vacance à la tête de l’exécutif, le gouvernement de Najib Mikati est déjà en crise et fait face à une nouvelle tempête, laquelle ne fait qu’aggraver l’effondrement en cours de ce pays depuis deux ans. Le coup est venu d’Arabie saoudite, qui a annoncé l’arrêt de toutes ses importations en provenance du pays du Cèdre, le rappel de son ambassadeur à Beyrouth, et a donné quarante-huit heures à l’ambassadeur du Liban à Riyad pour quitter le royaume. Bahrein lui a emboîté le pas, puis le Koweit, suivis des Émirats arabes unis, mais Oman et le Qatar sont restés sur la réserve.


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Le Figaro - 10h02

Le Liban puni par l’Arabie saoudite

Riyad a décidé de couper les ponts avec Beyrouth, au prétexte qu’un ministre libanais avait critiqué son intervention militaire au Yémen, ce qui fragilise un peu plus le gouvernement de Mikati et un pays exsangue.
La stabilisation politique relative du Liban aura été de courte durée. Un peu plus d’un mois après son entrée en fonction, qui a mis fin à treize mois de vacance à la tête de l’exécutif, le gouvernement de Najib Mikati est déjà en crise et fait face à une nouvelle tempête, laquelle ne fait qu’aggraver l’effondrement en cours de ce pays depuis deux ans. Le coup est venu d’Arabie saoudite, qui a annoncé l’arrêt de toutes ses importations en provenance du pays du Cèdre, le rappel de son ambassadeur à Beyrouth, et a donné quarante-huit heures à l’ambassadeur du Liban à Riyad pour quitter le royaume. Bahrein lui a emboîté le pas, puis le Koweit, suivis des Émirats arabes unis, mais Oman et le Qatar sont restés sur la réserve.

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Rfi.fr - 09h56

Éthiopie: les rebelles tigréens affirment être entrés dans la ville de Kombolcha

En Éthiopie, les rebelles tigréens semblent continuer leur avancée en région Amhara. Les combats se poursuivent dans la ville de Dessie et ses environs. Les rebelles tigréens sont entrés dans l’agglomération de 200 000 habitants samedi, mais ne la contrôleraient pas encore entièrement. Dans la foulée, ils sont aussi entrés dans la grande ville voisine, Kombolcha. Leur progression rapide de ces trois derniers jours inquiète à Addis-Abeba. Dimanche soir, le gouvernement a démenti la prise des deux villes affirmant que de « violents combats » étaient en cours.
La situation militaire reste floue dans cette région du Wollo, situé à 400 km au nord d’Addis-Abeba. Si l’on sait que les rebelles tigréens sont entrés dans les deux principales villes régionales, Dessie et Kombolcha, difficile de savoir s’ils les contrôlent complètement, notamment à cause de la coupure des télécommunications.


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Rfi.fr - 09h56

Éthiopie: les rebelles tigréens affirment être entrés dans la ville de Kombolcha

En Éthiopie, les rebelles tigréens semblent continuer leur avancée en région Amhara. Les combats se poursuivent dans la ville de Dessie et ses environs. Les rebelles tigréens sont entrés dans l’agglomération de 200 000 habitants samedi, mais ne la contrôleraient pas encore entièrement. Dans la foulée, ils sont aussi entrés dans la grande ville voisine, Kombolcha. Leur progression rapide de ces trois derniers jours inquiète à Addis-Abeba. Dimanche soir, le gouvernement a démenti la prise des deux villes affirmant que de « violents combats » étaient en cours.
La situation militaire reste floue dans cette région du Wollo, situé à 400 km au nord d’Addis-Abeba. Si l’on sait que les rebelles tigréens sont entrés dans les deux principales villes régionales, Dessie et Kombolcha, difficile de savoir s’ils les contrôlent complètement, notamment à cause de la coupure des télécommunications.

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Le Point - 09h52

La vie reprend au Mexique : la Fête des morts bat son plein

« La pandémie n’a pas eu raison de notre enthousiasme »: la Fête des morts bat son plein et marque le retour à la vie normale au Mexique après avoir été suspendue en 2020 pour cause de Covid-19 qui a entraîné une mortalité-record.
A Santa Cruz Atizapan près de Mexico, Antonio Briseño, 35 ans, dresse un petit autel pour la Toussaint, célébrée avec ferveur au carrefour des croyances chrétiennes et des rituels indigènes.
Le jeune homme a posé les photos de sa mère, sa grand-mère et sa belle-mère au milieu des offrandes faites aux défuntes: fruits, haricots, « pan de muerto » (brioche saupoudrée de sucre à la fleur d’oranger), sans oublier les inévitables têtes de morts multicolores.
Antonio a dispersé à même le sol des pétales orangés de « cempasuchil » -fleur mexicaine emblématique qui donne sa couleur à la Fête des morts- pour dessiner une allée jusqu’à l’autel afin de guider les esprits.
La Fête des morts prend un relief particulier à Atizapan. La petite bourgade du grand Mexico est la ville du pays la plus frappée en proportion par le Covid-19, avec 303 morts pour 12.894 habitants, selon l’Université autonome du Mexique (UNAM).


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Le Point - 09h52

La vie reprend au Mexique : la Fête des morts bat son plein

« La pandémie n’a pas eu raison de notre enthousiasme »: la Fête des morts bat son plein et marque le retour à la vie normale au Mexique après avoir été suspendue en 2020 pour cause de Covid-19 qui a entraîné une mortalité-record.
A Santa Cruz Atizapan près de Mexico, Antonio Briseño, 35 ans, dresse un petit autel pour la Toussaint, célébrée avec ferveur au carrefour des croyances chrétiennes et des rituels indigènes.
Le jeune homme a posé les photos de sa mère, sa grand-mère et sa belle-mère au milieu des offrandes faites aux défuntes: fruits, haricots, « pan de muerto » (brioche saupoudrée de sucre à la fleur d’oranger), sans oublier les inévitables têtes de morts multicolores.
Antonio a dispersé à même le sol des pétales orangés de « cempasuchil » -fleur mexicaine emblématique qui donne sa couleur à la Fête des morts- pour dessiner une allée jusqu’à l’autel afin de guider les esprits.
La Fête des morts prend un relief particulier à Atizapan. La petite bourgade du grand Mexico est la ville du pays la plus frappée en proportion par le Covid-19, avec 303 morts pour 12.894 habitants, selon l’Université autonome du Mexique (UNAM).

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Le Point - 09h25

Le marché automobile français poursuit son effondrement

En octobre, rapporte le Comité des constructeurs français d’automobiles, le marché français s’est effondré, enregistrant une baisse de 30,7 %. Rien ne va plus pour les constructeurs français. En octobre 2021, les chiffres du marché automobile continuent de s’effondrer, alerte le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) dans un rapport publié lundi 1er novembre. Selon cette étude, le marché français a baissé de 30,7 % sur un an en octobre, un effondrement qui frôle les 40 % si on compare avec les chiffres de 2019 (- 37,3 %).
Depuis le mois de juin 2021, le marché est en baisse constante malgré un début d’année en nette progression par rapport aux premiers mois de 2020, plombés par le Covid. « Les effets du ralentissement des commandes et des retards de livraison liés à la pénurie de semi-conducteurs s’accentuent », a commenté le cabinet AAAdata.
Stellantis, fruit de la fusion de PSA (Peugeot, Citroën, DS et Opel) et de FCA (Fiat, Jeep, Alfa Romeo…), reste à la première place en octobre avec 34,5 % du marché des véhicules particuliersn un périmètre excluant les utilitaires, mais le groupe a perdu près de 4 points de part de marché avec des immatriculations en baisse de 37,6 % en un an.


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Le Point - 09h25

Le marché automobile français poursuit son effondrement

En octobre, rapporte le Comité des constructeurs français d’automobiles, le marché français s’est effondré, enregistrant une baisse de 30,7 %. Rien ne va plus pour les constructeurs français. En octobre 2021, les chiffres du marché automobile continuent de s’effondrer, alerte le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) dans un rapport publié lundi 1er novembre. Selon cette étude, le marché français a baissé de 30,7 % sur un an en octobre, un effondrement qui frôle les 40 % si on compare avec les chiffres de 2019 (- 37,3 %).
Depuis le mois de juin 2021, le marché est en baisse constante malgré un début d’année en nette progression par rapport aux premiers mois de 2020, plombés par le Covid. « Les effets du ralentissement des commandes et des retards de livraison liés à la pénurie de semi-conducteurs s’accentuent », a commenté le cabinet AAAdata.
Stellantis, fruit de la fusion de PSA (Peugeot, Citroën, DS et Opel) et de FCA (Fiat, Jeep, Alfa Romeo…), reste à la première place en octobre avec 34,5 % du marché des véhicules particuliersn un périmètre excluant les utilitaires, mais le groupe a perdu près de 4 points de part de marché avec des immatriculations en baisse de 37,6 % en un an.

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Rfi.fr - 09h22

Soudan: les militaires dans l’impasse, l’ONU tente des médiations

Les Soudanais hostiles au coup d’État du général al-Burhan sont toujours déterminés à tenir tête à l’armée. Dimanche 31 octobre, la grève s’est poursuivie à Khartoum. Le bilan de la répression de la journée de samedi s’est alourdi : un syndicat de médecins, qui avait recensé au moins trois morts et une centaine de blessés, a annoncé la mort de deux autres manifestants. Âgés de 22 et 19 ans, ils ont reçu une balle dans la tête. Dimanche, Volker Perthes, le secrétaire général de la Minuats, la mission de l’ONU pour la transition soudanaise, a rencontré le Premier ministre limogé et indiqué mener des médiations pour tenter de trouver une issue à la crise.


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Rfi.fr - 09h22

Soudan: les militaires dans l’impasse, l’ONU tente des médiations

Les Soudanais hostiles au coup d’État du général al-Burhan sont toujours déterminés à tenir tête à l’armée. Dimanche 31 octobre, la grève s’est poursuivie à Khartoum. Le bilan de la répression de la journée de samedi s’est alourdi : un syndicat de médecins, qui avait recensé au moins trois morts et une centaine de blessés, a annoncé la mort de deux autres manifestants. Âgés de 22 et 19 ans, ils ont reçu une balle dans la tête. Dimanche, Volker Perthes, le secrétaire général de la Minuats, la mission de l’ONU pour la transition soudanaise, a rencontré le Premier ministre limogé et indiqué mener des médiations pour tenter de trouver une issue à la crise.

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Rfi.fr - 09h20

COP26: les Africains vont rappeler aux pays riches leurs promesses

Une vingtaine de chefs d’État africains s’est déplacée à Glasgow pour la 26ème conférence des parties sur le climat (COP26). Ils s’exprimeront, comme tous les autres dirigeants présents, lundi 1er et mardi 2 novembre au cours du sommet de haut niveau, prélude aux négociations. Et ils devraient exprimer les principales revendications de la délégation africaine : en particulier que se concrétise l’aide promise depuis dix ans à l’Afrique pour qu’elle s’adapte au changement climatique.
Les présidents Félix Tshisekedi (RDC), Mohamed Bazoum (Niger), Denis Sassou-Nguesso (Congo-Brazzaville), Ali Bongo (Gabon), Andry Rajoelina (Madagascar), Muhammadu Buhari (Nigeria), Abdel Fattah al-Sissi (Égypte), Nana Akufo-Addo (Ghana), George Weah (Liberia), Uhuru Kenyatta (Kenya)… En tout, une vingtaine de chefs d’État et une trentaine de ministres ont fait le déplacement de Glasgow pour cette COP26 cruciale. Ils auront trois minutes chacun pour porter la voix de l’Afrique. Et pour exprimer d’abord son impatience.
L’Afrique n’a reçu que 70 à 80% des 100 milliards de dollars par an promis pour 2020 par les pays riches pour lui permettre de s’adapter aux événements météo extrêmes de plus en plus fréquents qu’elle subit, à cause d’un réchauffement climatique qu’elle n’a pas créé. Ce montant, par ailleurs largement composé de prêts et non de dons, pourrait n’être atteint qu’en 2023, et il est jugé largement insuffisant


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Rfi.fr - 09h20

COP26: les Africains vont rappeler aux pays riches leurs promesses

Une vingtaine de chefs d’État africains s’est déplacée à Glasgow pour la 26ème conférence des parties sur le climat (COP26). Ils s’exprimeront, comme tous les autres dirigeants présents, lundi 1er et mardi 2 novembre au cours du sommet de haut niveau, prélude aux négociations. Et ils devraient exprimer les principales revendications de la délégation africaine : en particulier que se concrétise l’aide promise depuis dix ans à l’Afrique pour qu’elle s’adapte au changement climatique.
Les présidents Félix Tshisekedi (RDC), Mohamed Bazoum (Niger), Denis Sassou-Nguesso (Congo-Brazzaville), Ali Bongo (Gabon), Andry Rajoelina (Madagascar), Muhammadu Buhari (Nigeria), Abdel Fattah al-Sissi (Égypte), Nana Akufo-Addo (Ghana), George Weah (Liberia), Uhuru Kenyatta (Kenya)… En tout, une vingtaine de chefs d’État et une trentaine de ministres ont fait le déplacement de Glasgow pour cette COP26 cruciale. Ils auront trois minutes chacun pour porter la voix de l’Afrique. Et pour exprimer d’abord son impatience.
L’Afrique n’a reçu que 70 à 80% des 100 milliards de dollars par an promis pour 2020 par les pays riches pour lui permettre de s’adapter aux événements météo extrêmes de plus en plus fréquents qu’elle subit, à cause d’un réchauffement climatique qu’elle n’a pas créé. Ce montant, par ailleurs largement composé de prêts et non de dons, pourrait n’être atteint qu’en 2023, et il est jugé largement insuffisant

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Rfi.fr - 09h16

Le sélectionneur de la Sierra Leone arrêté pour harcèlement sexuel

Le sélectionneur de l’équipe nationale féminine de football de Sierra Leone, accusé de harcèlement sexuel par plusieurs joueuses, a été interpellé ce vendredi 29 octobre.
Abdulai Kaloga Baha a passé la nuit de vendredi à samedi en détention à Freetown, la capitale de la Sierra Leone. Le sélectionneur avait déjà été suspendu de ses fonctions lundi par la fédération sierra-léonaise de football (SLFA), dans l’attente des résultats d’une enquête pour « faute professionnelle ».
La fédération a « reçu plusieurs SMS et enregistrements audio de joueuses » qui ont permis de mettre au jour un comportement fait de « harcèlement et d’intimidation », avait alors déclaré à l’AFP Ibrahim Kamara, son porte-parole, sans donner plus de détails.


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Rfi.fr - 09h16

Le sélectionneur de la Sierra Leone arrêté pour harcèlement sexuel

Le sélectionneur de l’équipe nationale féminine de football de Sierra Leone, accusé de harcèlement sexuel par plusieurs joueuses, a été interpellé ce vendredi 29 octobre.
Abdulai Kaloga Baha a passé la nuit de vendredi à samedi en détention à Freetown, la capitale de la Sierra Leone. Le sélectionneur avait déjà été suspendu de ses fonctions lundi par la fédération sierra-léonaise de football (SLFA), dans l’attente des résultats d’une enquête pour « faute professionnelle ».
La fédération a « reçu plusieurs SMS et enregistrements audio de joueuses » qui ont permis de mettre au jour un comportement fait de « harcèlement et d’intimidation », avait alors déclaré à l’AFP Ibrahim Kamara, son porte-parole, sans donner plus de détails.

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vendredi 29 octobre

Le Monde Afrique - 10h39

Au Rwanda, Kigali se rêve en ville verte

La capitale, qui dispose d’un système de vélos en libre-service depuis début septembre, est la vitrine des ambitions du régime de Paul Kagame en matière environnementale.
Placide essuie la sueur de son front. « Cela m’aurait pris plus d’une heure de faire ce trajet en bus. Mais là, en vélo, je n’en ai eu que pour vingt minutes », lâche ce jeune commerçant rwandais en descendant d’une bicyclette flambant neuve. Roues vertes et guidon jaune : la start-up Guraride a choisi les couleurs du drapeau du Rwanda pour ses vélos en libre-service, disponibles à Kigali depuis début septembre.
C’est dans ce petit pays vallonné d’Afrique centrale que l’entrepreneur nigériano-américain Tony Adesina, déjà à l’origine de deux entreprises spécialisées dans l’écomobilité et basées au Rwanda, a décidé de lancer son nouveau projet destiné à réduire l’utilisation des transports polluants.
Et pour cause : dans une région où les centres urbains sont souvent exclusivement réservés aux voitures, Kigali fait figure d’exception. « Le Rwanda fait beaucoup d’efforts en termes d’infrastructures pour les cyclistes. Le pays est prêt à adapter ses politiques et mettre en place les mesures nécessaires pour le bon fonctionnement d’initiatives comme celle-ci », affirme Jerry Ndayishimiye, directeur marketing de la start-up.


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Le Monde Afrique - 10h39

Au Rwanda, Kigali se rêve en ville verte

La capitale, qui dispose d’un système de vélos en libre-service depuis début septembre, est la vitrine des ambitions du régime de Paul Kagame en matière environnementale.
Placide essuie la sueur de son front. « Cela m’aurait pris plus d’une heure de faire ce trajet en bus. Mais là, en vélo, je n’en ai eu que pour vingt minutes », lâche ce jeune commerçant rwandais en descendant d’une bicyclette flambant neuve. Roues vertes et guidon jaune : la start-up Guraride a choisi les couleurs du drapeau du Rwanda pour ses vélos en libre-service, disponibles à Kigali depuis début septembre.
C’est dans ce petit pays vallonné d’Afrique centrale que l’entrepreneur nigériano-américain Tony Adesina, déjà à l’origine de deux entreprises spécialisées dans l’écomobilité et basées au Rwanda, a décidé de lancer son nouveau projet destiné à réduire l’utilisation des transports polluants.
Et pour cause : dans une région où les centres urbains sont souvent exclusivement réservés aux voitures, Kigali fait figure d’exception. « Le Rwanda fait beaucoup d’efforts en termes d’infrastructures pour les cyclistes. Le pays est prêt à adapter ses politiques et mettre en place les mesures nécessaires pour le bon fonctionnement d’initiatives comme celle-ci », affirme Jerry Ndayishimiye, directeur marketing de la start-up.

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