vendredi 22 octobre

Rfi.fr - 16h56

Libye : la conférence de Tripoli s’achève sur un espoir de stabilité pérenne

La conférence internationale pour la stabilité de la Libye s’est tenue, à l’initiative du gouvernement intérimaire, à Tripoli jeudi 21 octobre. Une trentaine de délégations ministérielles ainsi que l’ONU, l’Union européenne et l’Union africaine étaient présentes pour soutenir le processus de transition en Libye. Durant cette conférence chargée d’une forte dimension symbolique, la priorité a été redite : tenir les élections du 24 décembre prochain, comme prévu.
C’est la dernière ligne droite pour le scrutin du 24 décembre, l’échéance fixée par les Libyens l’an dernier, sous l’égide de l’ONU. À l’heure actuelle, les trois millions de Libyens inscrits sur les listes électorales ne savent pas comment ils vont voter.
En deux mois donc, la commission électorale libyenne devra déterminer le calendrier des élections présidentielles et législatives et les organiser. Les instances internationales et les délégations étrangères, présentes à Tripoli jeudi 21 octobre pour la conférence internationale, ont promis leur soutien à la commission électorale pour organiser des élections transparentes.
De son côté, le Premier ministre intérimaire Abdel Hamid Dbeibah, en place depuis mars dernier et garant de cette échéance, a promis que le scrutin se tiendrait bien le 24 décembre malgré des divisions qui persistent avec les factions de l’Est libyen.
NewsletterRecevez toute l’actualité internationale directement dans votre boite mail
La conférence de Tripoli a aussi été l’occasion d’aborder le dossier épineux des combattants étrangers sur le sol libyen. Réunis en commission militaire mixte, sous l’égide de l’ONU, les militaires libyens de l’Est et de l’Ouest du pays ont enfin réussi à établir un plan pour le retrait de ces forces. Ils l’ont présenté aux délégations jeudi.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 16h56

Libye : la conférence de Tripoli s’achève sur un espoir de stabilité pérenne

La conférence internationale pour la stabilité de la Libye s’est tenue, à l’initiative du gouvernement intérimaire, à Tripoli jeudi 21 octobre. Une trentaine de délégations ministérielles ainsi que l’ONU, l’Union européenne et l’Union africaine étaient présentes pour soutenir le processus de transition en Libye. Durant cette conférence chargée d’une forte dimension symbolique, la priorité a été redite : tenir les élections du 24 décembre prochain, comme prévu.
C’est la dernière ligne droite pour le scrutin du 24 décembre, l’échéance fixée par les Libyens l’an dernier, sous l’égide de l’ONU. À l’heure actuelle, les trois millions de Libyens inscrits sur les listes électorales ne savent pas comment ils vont voter.
En deux mois donc, la commission électorale libyenne devra déterminer le calendrier des élections présidentielles et législatives et les organiser. Les instances internationales et les délégations étrangères, présentes à Tripoli jeudi 21 octobre pour la conférence internationale, ont promis leur soutien à la commission électorale pour organiser des élections transparentes.
De son côté, le Premier ministre intérimaire Abdel Hamid Dbeibah, en place depuis mars dernier et garant de cette échéance, a promis que le scrutin se tiendrait bien le 24 décembre malgré des divisions qui persistent avec les factions de l’Est libyen.
NewsletterRecevez toute l’actualité internationale directement dans votre boite mail
La conférence de Tripoli a aussi été l’occasion d’aborder le dossier épineux des combattants étrangers sur le sol libyen. Réunis en commission militaire mixte, sous l’égide de l’ONU, les militaires libyens de l’Est et de l’Ouest du pays ont enfin réussi à établir un plan pour le retrait de ces forces. Ils l’ont présenté aux délégations jeudi.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 16h50

Haïti : les 17 otages étrangers menacés de mort par le chef d’un gang

En Haïti, l’insécurité causée par les gangs plonge chaque jour davantage dans le chaos. Le pays a déjà recensé plus de 119 enlèvements depuis début octobre, soit déjà plus que ce qui avait été enregistré pour tout le mois de septembre. La recrudescence exponentielle des rapts crapuleux perdure et dans un court film, le chef du gang qui a enlevé les 17 citoyens nord-américains samedi 16 octobre menace aujourd’hui de les exécuter.
La vidéo a été diffusée jeudi 21 octobre sur les réseaux sociaux mais la scène s’est déroulée mercredi. Devant les cercueils où sont placés les cadavres de cinq de ses hommes, tués par la police selon lui, Wilson Joseph, chef du gang appelé « 400 mawozo » est bref mais ses propos sont sans ambiguïté : il dit que s’il « n’obtient pas ce dont il a besoin, il tuera les Américains ».
Cela fait six jours qu’un groupe de missionnaires et des membres de leurs familles ont été enlevés dans la zone que contrôle cette bande armée. Seize citoyens américains et un ressortissant canadien, parmi lesquels cinq enfants dont le plus jeune n’a que huit mois. Selon une source sécuritaire, les ravisseurs de ces citoyens nord-américains auraient réclamé un million de dollars de rançon par personne.
Les gangs, qui multiplient les enlèvements depuis cet été et dont les Haïtiens sont les premières victimes, n’hésitent pas à réclamer de telles rançons de dizaines, centaines de milliers de dollars, même si les familles de leurs otages vivent sous le seuil de pauvreté. Et quand les négociations durent trop longtemps au goût des ravisseurs ou quand ils jugent que les sommes versées sont insuffisantes, il arrive malheureusement que les personnes enlevées soient tuées.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 16h50

Haïti : les 17 otages étrangers menacés de mort par le chef d’un gang

En Haïti, l’insécurité causée par les gangs plonge chaque jour davantage dans le chaos. Le pays a déjà recensé plus de 119 enlèvements depuis début octobre, soit déjà plus que ce qui avait été enregistré pour tout le mois de septembre. La recrudescence exponentielle des rapts crapuleux perdure et dans un court film, le chef du gang qui a enlevé les 17 citoyens nord-américains samedi 16 octobre menace aujourd’hui de les exécuter.
La vidéo a été diffusée jeudi 21 octobre sur les réseaux sociaux mais la scène s’est déroulée mercredi. Devant les cercueils où sont placés les cadavres de cinq de ses hommes, tués par la police selon lui, Wilson Joseph, chef du gang appelé « 400 mawozo » est bref mais ses propos sont sans ambiguïté : il dit que s’il « n’obtient pas ce dont il a besoin, il tuera les Américains ».
Cela fait six jours qu’un groupe de missionnaires et des membres de leurs familles ont été enlevés dans la zone que contrôle cette bande armée. Seize citoyens américains et un ressortissant canadien, parmi lesquels cinq enfants dont le plus jeune n’a que huit mois. Selon une source sécuritaire, les ravisseurs de ces citoyens nord-américains auraient réclamé un million de dollars de rançon par personne.
Les gangs, qui multiplient les enlèvements depuis cet été et dont les Haïtiens sont les premières victimes, n’hésitent pas à réclamer de telles rançons de dizaines, centaines de milliers de dollars, même si les familles de leurs otages vivent sous le seuil de pauvreté. Et quand les négociations durent trop longtemps au goût des ravisseurs ou quand ils jugent que les sommes versées sont insuffisantes, il arrive malheureusement que les personnes enlevées soient tuées.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h10

Le Togo condamné par la Cour de justice de la Cédéao dans deux affaires de torture

Les deux arrêts ont été rendus en juillet, ils viennent d’être publiés sur le site de la Cour de justice de la Cédéao. La première victime est une femme battue lors de la répression d’une manifestation d’opposants à Lomé en septembre 2017. La deuxième affaire remonte à 1998 et concerne un militaire.
« Il faut des limites! Ce qui a été fait à la dame ne peut pas entrer dans le cadre de la gestion pacifique d’une manifestation. La dame s’est retrouvée avec des blessures profondes, qui laissaient voir les éléments osseux. Les détails étaient suffisamment donnés pour que l’administration togolaise, ou le juge togolais, puissent investiguer, mais ils ne l’ont pas fait. Alors, dans le cas du soldat, c’est en 1998 qu’il y a eu une rumeur de tentative de coup d’État ».
Avant d‘ajouter : « À l’époque, on a déclenché une purge contre certaines personnes qu’on considérait comme être proches de l’opposition. Ce militaire, malheureusement, va voir sa maison brûlée, le monsieur va être lui-même renversé deux fois de suite de sa moto. Ensuite, d’autres soldats qu’il a nommément désignés, l’ont poursuivi, l’ont arrêté, l’ont frappé jusqu’à ce qu’il perde conscience. On ne peut pas continuer comme ça à chaque fois à molester des gens, en espérant que, quand la Cour va condamner, on va payer et ce serait fini. »


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h10

Le Togo condamné par la Cour de justice de la Cédéao dans deux affaires de torture

Les deux arrêts ont été rendus en juillet, ils viennent d’être publiés sur le site de la Cour de justice de la Cédéao. La première victime est une femme battue lors de la répression d’une manifestation d’opposants à Lomé en septembre 2017. La deuxième affaire remonte à 1998 et concerne un militaire.
« Il faut des limites! Ce qui a été fait à la dame ne peut pas entrer dans le cadre de la gestion pacifique d’une manifestation. La dame s’est retrouvée avec des blessures profondes, qui laissaient voir les éléments osseux. Les détails étaient suffisamment donnés pour que l’administration togolaise, ou le juge togolais, puissent investiguer, mais ils ne l’ont pas fait. Alors, dans le cas du soldat, c’est en 1998 qu’il y a eu une rumeur de tentative de coup d’État ».
Avant d‘ajouter : « À l’époque, on a déclenché une purge contre certaines personnes qu’on considérait comme être proches de l’opposition. Ce militaire, malheureusement, va voir sa maison brûlée, le monsieur va être lui-même renversé deux fois de suite de sa moto. Ensuite, d’autres soldats qu’il a nommément désignés, l’ont poursuivi, l’ont arrêté, l’ont frappé jusqu’à ce qu’il perde conscience. On ne peut pas continuer comme ça à chaque fois à molester des gens, en espérant que, quand la Cour va condamner, on va payer et ce serait fini. »

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h05

RDC: mise en place d’une «police des polices» pour moraliser les agents nationaux

La structure existait déjà sur le papier, mais vient d’être « redynamisée ». Près de 72 officiers de cette unité ont prêté serment, ce jeudi 21 octobre 2021, en qualité d’officiers de police judiciaire. L’objectif est de traquer tous les comportements ne respectant pas les valeurs de la police.
Des policiers affectés à la circulation routière qui tracassent les conducteurs, d’autres chargés d’encadrer des manifestants qui les chargent sans ménagement, d’autres encore qui rançonnent les paisibles citoyens. Ce sont des scènes très fréquentes dans les provinces du pays.
Selon le général Raüs Chalwe Ngwashi, il faut mettre fin à toutes ces pratiques : « On a formé des inspecteurs, surtout pour continuer à traquer tous les anti-valeurs dans la police et à traquer aussi des commandants qui détournent les biens des policiers.
Il y a aussi des policiers qui eux-mêmes sont victimes des abus de leur hiérarchie, pour le général Raüs Chalwe Ngwashi : « On a essayé de former les agents à être loyaux et à savoir comment être à l’écoute des policiers qui sont en détresse, dans l’exercice de leurs fonctions. »


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h05

RDC: mise en place d’une «police des polices» pour moraliser les agents nationaux

La structure existait déjà sur le papier, mais vient d’être « redynamisée ». Près de 72 officiers de cette unité ont prêté serment, ce jeudi 21 octobre 2021, en qualité d’officiers de police judiciaire. L’objectif est de traquer tous les comportements ne respectant pas les valeurs de la police.
Des policiers affectés à la circulation routière qui tracassent les conducteurs, d’autres chargés d’encadrer des manifestants qui les chargent sans ménagement, d’autres encore qui rançonnent les paisibles citoyens. Ce sont des scènes très fréquentes dans les provinces du pays.
Selon le général Raüs Chalwe Ngwashi, il faut mettre fin à toutes ces pratiques : « On a formé des inspecteurs, surtout pour continuer à traquer tous les anti-valeurs dans la police et à traquer aussi des commandants qui détournent les biens des policiers.
Il y a aussi des policiers qui eux-mêmes sont victimes des abus de leur hiérarchie, pour le général Raüs Chalwe Ngwashi : « On a essayé de former les agents à être loyaux et à savoir comment être à l’écoute des policiers qui sont en détresse, dans l’exercice de leurs fonctions. »

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

jeudi 21 octobre

Rfi.fr - 12h29

Libye: stabiliser le pays, l’objectif de la conférence internationale de Tripoli

C’est une première à Tripoli depuis dix ans : le ministère libyen des Affaires étrangères organise, jeudi 21 octobre, une conférence ministérielle internationale pour la stabilité en Libye. Une trentaine de délégations sont attendues dans la capitale libyenne. Priorité affichée de ce rendez-vous : la tenue des élections, prévues normalement en décembre et considérées par les partenaires de la Libye comme cruciales pour consolider la transition. Le gouvernement d’Abdel Hamid Dbeibah souhaite reprendre l’initiative.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h29

Libye: stabiliser le pays, l’objectif de la conférence internationale de Tripoli

C’est une première à Tripoli depuis dix ans : le ministère libyen des Affaires étrangères organise, jeudi 21 octobre, une conférence ministérielle internationale pour la stabilité en Libye. Une trentaine de délégations sont attendues dans la capitale libyenne. Priorité affichée de ce rendez-vous : la tenue des élections, prévues normalement en décembre et considérées par les partenaires de la Libye comme cruciales pour consolider la transition. Le gouvernement d’Abdel Hamid Dbeibah souhaite reprendre l’initiative.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h27

Covid : Moscou ordonne la fermeture des services non essentiels du 28 octobre au 7 novembre

La mairie de Moscou a ordonné jeudi la fermeture, du 28 octobre au 7 novembre, de toutes les entreprises et organisations non essentielles afin d’endiguer sa flambée la plus meurtrière de l’épidémie de Covid-19. « Pendant cette période, toutes les entreprises et organisations de Moscou devront arrêter le travail », a écrit le maire Sergueï Sobianine, précisant que sont exemptés les lieux de « vente de médicaments, de produits alimentaire et de première nécessité ».


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 12h27

Covid : Moscou ordonne la fermeture des services non essentiels du 28 octobre au 7 novembre

La mairie de Moscou a ordonné jeudi la fermeture, du 28 octobre au 7 novembre, de toutes les entreprises et organisations non essentielles afin d’endiguer sa flambée la plus meurtrière de l’épidémie de Covid-19. « Pendant cette période, toutes les entreprises et organisations de Moscou devront arrêter le travail », a écrit le maire Sergueï Sobianine, précisant que sont exemptés les lieux de « vente de médicaments, de produits alimentaire et de première nécessité ».

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 12h09

La gestion « criminelle » de la pandémie de Jair Bolsonaro au Brésil

Une commission du Sénat impute au président d’extrême droite la responsabilité de milliers de morts par la dissémination de fausses informations et l’abandon intentionnel des populations indigènes.
Tout faire pour tourner la page au plus vite. Ne surtout pas laisser les termes « crimes contre l’humanité », « négligence intentionnelle », « retards inexcusables » s’installer un peu plus longtemps dans l’opinion publique. Jair Bolsonaro avait bien une stratégie toute prête, mercredi 20 octobre, pour tenter de faire oublier la publication du rapport accablant de la commission d’enquête parlementaire (CPI) au Sénat sur la gestion de la pandémie.
Le président a passé la journée à présenter son nouveau programme social, créé pour remplacer la légendaire Bolsa familia (« bourse famille ») mise en place il y a quinze ans par son opposant, l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, dit Lula. Comme par miracle, le programme Auxilio Brasil (« aide Brésil »), annoncé depuis des mois, a été révélé le jour même où « la gestion désastreuse et criminelle de la pandémie par le gouvernement Bolsonaro » faisait la une de tous les médias.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 12h09

La gestion « criminelle » de la pandémie de Jair Bolsonaro au Brésil

Une commission du Sénat impute au président d’extrême droite la responsabilité de milliers de morts par la dissémination de fausses informations et l’abandon intentionnel des populations indigènes.
Tout faire pour tourner la page au plus vite. Ne surtout pas laisser les termes « crimes contre l’humanité », « négligence intentionnelle », « retards inexcusables » s’installer un peu plus longtemps dans l’opinion publique. Jair Bolsonaro avait bien une stratégie toute prête, mercredi 20 octobre, pour tenter de faire oublier la publication du rapport accablant de la commission d’enquête parlementaire (CPI) au Sénat sur la gestion de la pandémie.
Le président a passé la journée à présenter son nouveau programme social, créé pour remplacer la légendaire Bolsa familia (« bourse famille ») mise en place il y a quinze ans par son opposant, l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, dit Lula. Comme par miracle, le programme Auxilio Brasil (« aide Brésil »), annoncé depuis des mois, a été révélé le jour même où « la gestion désastreuse et criminelle de la pandémie par le gouvernement Bolsonaro » faisait la une de tous les médias.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 12h06

Turquie : Erdogan menace d’expulser dix ambassadeurs après un appel à libérer un opposant

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé d’expulser les ambassadeurs de dix pays dont la France, l’Allemagne et les États-Unis après un appel en faveur de la libération de l’opposant Osman Kavala lancé par ces États, ont rapporté jeudi des médias turcs.
«J’ai dit à notre ministère des Affaires étrangères que nous ne pouvons pas nous permettre de les accueillir dans notre pays. Est-ce votre devoir de donner une leçon à la Turquie ?», a déclaré Recep Tayyip Erdogan, selon des propos rapportés par plusieurs médias turcs. Dans un communiqué publié lundi soir, dix pays occidentaux avaient appelé à un «règlement juste et rapide de l’affaire» Osman Kavala, éditeur et mécène turc devenu une bête noire du régime, emprisonné depuis quatre ans sans jugement.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 12h06

Turquie : Erdogan menace d’expulser dix ambassadeurs après un appel à libérer un opposant

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a menacé d’expulser les ambassadeurs de dix pays dont la France, l’Allemagne et les États-Unis après un appel en faveur de la libération de l’opposant Osman Kavala lancé par ces États, ont rapporté jeudi des médias turcs.
«J’ai dit à notre ministère des Affaires étrangères que nous ne pouvons pas nous permettre de les accueillir dans notre pays. Est-ce votre devoir de donner une leçon à la Turquie ?», a déclaré Recep Tayyip Erdogan, selon des propos rapportés par plusieurs médias turcs. Dans un communiqué publié lundi soir, dix pays occidentaux avaient appelé à un «règlement juste et rapide de l’affaire» Osman Kavala, éditeur et mécène turc devenu une bête noire du régime, emprisonné depuis quatre ans sans jugement.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 11h13

En Mauritanie, la ville de l’or face au danger du sida

La population de Chami a plus que quadruplé en huit ans : un boom démographique qui va de pair avec une explosion de la prostitution et des maladies sexuellement transmissibles. Chami a poussé comme un champignon dans le désert mauritanien. Depuis 2013, la bourgade, située à 240 km au nord de Nouakchott, aimante tout ce que le pays compte d’aventuriers et de prospecteurs. Gonflée par la ruée vers l’or, la population y a plus que quadruplé en huit ans, atteignant les 13 000 habitants. Un boom démographique qui est allé de pair avec une explosion de la prostitution et des maladies sexuellement transmissibles.
Le sujet est tabou dans la nouvelle cité aurifère, comme ailleurs dans le pays, mais les données disponibles inquiètent : d’après un rapport commandé par le Secrétariat exécutif national de lutte contre le sida, la Mauritanie a enregistré une hausse de 22 % de nouvelles infections au VIH entre 2019 et 2020 chez les populations les plus vulnérables (travailleurs du sexe, communauté homosexuelle et population carcérale). La prévalence du virus chez les professionnels du sexe est estimée à 9 %.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 11h13

En Mauritanie, la ville de l’or face au danger du sida

La population de Chami a plus que quadruplé en huit ans : un boom démographique qui va de pair avec une explosion de la prostitution et des maladies sexuellement transmissibles. Chami a poussé comme un champignon dans le désert mauritanien. Depuis 2013, la bourgade, située à 240 km au nord de Nouakchott, aimante tout ce que le pays compte d’aventuriers et de prospecteurs. Gonflée par la ruée vers l’or, la population y a plus que quadruplé en huit ans, atteignant les 13 000 habitants. Un boom démographique qui est allé de pair avec une explosion de la prostitution et des maladies sexuellement transmissibles.
Le sujet est tabou dans la nouvelle cité aurifère, comme ailleurs dans le pays, mais les données disponibles inquiètent : d’après un rapport commandé par le Secrétariat exécutif national de lutte contre le sida, la Mauritanie a enregistré une hausse de 22 % de nouvelles infections au VIH entre 2019 et 2020 chez les populations les plus vulnérables (travailleurs du sexe, communauté homosexuelle et population carcérale). La prévalence du virus chez les professionnels du sexe est estimée à 9 %.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h07

Mali : le commandant d’une importante katiba du GSIM tué par les Français

L’armée française a tué samedi au Mali le chef djihadiste Nasser Al Tergui, commandant de la katiba du Gourma du GSIM (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans) proche d’Al-Qaïda, a annoncé jeudi l’état-major. Nasser Al Tergui était le numéro deux de la katiba du Gourma-Serma du GSIM et chef de la katiba du Gourma, active le long de la frontière malo-burkinabé, détaille l’état-major dans un communiqué.
Selon les armées françaises, «Nasser Al Tergui exerçait d’importantes responsabilités opérationnelles au sein de la katiba du Gourma-Serma. Il était notamment spécialisé dans la pose d’engins explosifs improvisés et de mines». Il avait rejoint les rangs d’Al Qaïda au Maghreb islamique en 2012, lors de la prise de Tombouctou par les groupes jihadistes. «La neutralisation du chef de la katiba du Gourma va permettre de réduire les capacités de nuisance d’un groupe armé terroriste connu pour commettre des attaques contre les forces locales ainsi que de nombreuses exactions contre la population locale», se félicite l’état-major.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h07

Mali : le commandant d’une importante katiba du GSIM tué par les Français

L’armée française a tué samedi au Mali le chef djihadiste Nasser Al Tergui, commandant de la katiba du Gourma du GSIM (Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans) proche d’Al-Qaïda, a annoncé jeudi l’état-major. Nasser Al Tergui était le numéro deux de la katiba du Gourma-Serma du GSIM et chef de la katiba du Gourma, active le long de la frontière malo-burkinabé, détaille l’état-major dans un communiqué.
Selon les armées françaises, «Nasser Al Tergui exerçait d’importantes responsabilités opérationnelles au sein de la katiba du Gourma-Serma. Il était notamment spécialisé dans la pose d’engins explosifs improvisés et de mines». Il avait rejoint les rangs d’Al Qaïda au Maghreb islamique en 2012, lors de la prise de Tombouctou par les groupes jihadistes. «La neutralisation du chef de la katiba du Gourma va permettre de réduire les capacités de nuisance d’un groupe armé terroriste connu pour commettre des attaques contre les forces locales ainsi que de nombreuses exactions contre la population locale», se félicite l’état-major.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 11h03

Près de 200 morts en Inde et au Népal dans des inondations et glissements de terrain

Près de 200 personnes sont mortes après plusieurs jours d’inondations massives et de glissements de terrain dévastateurs en Inde et au Népal, qui ont enseveli des familles entières dans leurs maisons, selon les autorités jeudi, tandis que les prévisions annoncent de nouvelles pluies violentes.
Jeudi le bilan officiel est passé au Népal à 88 morts et à 102 en Inde. Les conditions météorologiques de plus en plus imprévisibles et extrêmes qui ont frappé le sud de l’Asie ces dernières années sont causées par le changement climatique et exacerbées par la déforestation, la construction de barrages entre autres, selon les experts.
Au moins 88 personnes ont trouvé la mort au Népal, dont une famille de six personnes avec trois enfants, dont la maison a été détruite par une avalanche soudaine de terre et de débris.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 11h03

Près de 200 morts en Inde et au Népal dans des inondations et glissements de terrain

Près de 200 personnes sont mortes après plusieurs jours d’inondations massives et de glissements de terrain dévastateurs en Inde et au Népal, qui ont enseveli des familles entières dans leurs maisons, selon les autorités jeudi, tandis que les prévisions annoncent de nouvelles pluies violentes.
Jeudi le bilan officiel est passé au Népal à 88 morts et à 102 en Inde. Les conditions météorologiques de plus en plus imprévisibles et extrêmes qui ont frappé le sud de l’Asie ces dernières années sont causées par le changement climatique et exacerbées par la déforestation, la construction de barrages entre autres, selon les experts.
Au moins 88 personnes ont trouvé la mort au Népal, dont une famille de six personnes avec trois enfants, dont la maison a été détruite par une avalanche soudaine de terre et de débris.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

mercredi 20 octobre

Le Point - 16h09

Le prix Sakharov du Parlement européen décerné à Alexeï Navalny

Ce choix a immédiatement été salué par le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, sur fond de tensions entre la Russie et les Occidentaux. « Il a combattu sans répit la corruption du régime de Vladimir Poutine. Cela lui a coûté sa liberté et presque sa vie. » Ces mots ont été rédigés sur Twitter, mercredi 20 octobre, par le président du Parlement européen, David Sassoli, qui a également réitéré l’appel de l’institution à « la libération immédiate » d’Alexeï Navalny, opposant russe emprisonné. Le même jour, le Parlement européen lui a décerné le prix Sakharov 2021 de défense des droits de l’homme et de la liberté de pensée.
Ce prix est « la reconnaissance du rôle important qu’il a joué depuis de nombreuses années pour défendre les valeurs de la démocratie et être une voix forte en Russie », a dit le chef de l’Alliance atlantique devant la presse à Bruxelles. La candidature d’Alexeï Navalny était soutenue par le PPE (droite), principal groupe politique du Parlement européen, et le groupe centriste Renew, troisième force politique. De leur côté, les groupes S & D (gauche) et écologistes avaient proposé d’honorer les femmes afghanes se battant pour l’égalité et leur liberté face au régime des talibans.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h09

Le prix Sakharov du Parlement européen décerné à Alexeï Navalny

Ce choix a immédiatement été salué par le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, sur fond de tensions entre la Russie et les Occidentaux. « Il a combattu sans répit la corruption du régime de Vladimir Poutine. Cela lui a coûté sa liberté et presque sa vie. » Ces mots ont été rédigés sur Twitter, mercredi 20 octobre, par le président du Parlement européen, David Sassoli, qui a également réitéré l’appel de l’institution à « la libération immédiate » d’Alexeï Navalny, opposant russe emprisonné. Le même jour, le Parlement européen lui a décerné le prix Sakharov 2021 de défense des droits de l’homme et de la liberté de pensée.
Ce prix est « la reconnaissance du rôle important qu’il a joué depuis de nombreuses années pour défendre les valeurs de la démocratie et être une voix forte en Russie », a dit le chef de l’Alliance atlantique devant la presse à Bruxelles. La candidature d’Alexeï Navalny était soutenue par le PPE (droite), principal groupe politique du Parlement européen, et le groupe centriste Renew, troisième force politique. De leur côté, les groupes S & D (gauche) et écologistes avaient proposé d’honorer les femmes afghanes se battant pour l’égalité et leur liberté face au régime des talibans.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h04

France : Quand Hollande règle son compte à Macron

Dans son livre « Affronter », l’ancien chef de l’État dit tout le mal qu’il pense de son successeur, un homme sans « amarres » ni « doctrine » ni « boussole ». On sent qu’il trépignait. François Hollande n’a pas attendu longtemps pour dire ce qu’il avait sur le cœur concernant Emmanuel Macron. Sur un pavé de près de 400 pages (Affronter, Stock), l’ex-chef de l’État laisse passer 13 petites pages liminaires avant de s’attaquer à son successeur. On sent qu’il se délecte, qu’il pèse ses mots, qu’il les a tournés et retournés dans son esprit avant de les coucher sur papier. François Hollande ne tient pas Macron pour unique responsable de son refus d’obstacle, lorsqu’en décembre 2016 il préféra renoncer à un deuxième mandat présidentiel. D’autres circonstances, comme la désintégration du Parti socialiste, l’expliquent aussi. Mais l’ancien chef de l’État garde une rancœur sans fin à l’égard de son ex-collaborateur, introduit dans son entourage lors de la campagne de 2012 par l’un de ses plus proches amis, Jean-Pierre Jouyet.
Il brocarde d’abord la supposée inconstance macronienne. « Le moins que je puisse dire, écrit Hollande, c’est que la cohérence n’est pas sa matrice principale. Au début de son mandat, il a été flatteusement comparé à Bonaparte Premier consul. Mais il fut vite aussi flottant que l’autre était impérial, changeant d’opinion au gré des événements, sautant d’une conviction à l’autre comme une grenouille sur des nénuphars. Pour rester dans l’évocation du futur empereur, je suis tenté de parodier Victor Hugo parlant du Consulat : “Ce règne avait deux mois, déjà Caméléon perçait sous Bonaparte”. »


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h04

France : Quand Hollande règle son compte à Macron

Dans son livre « Affronter », l’ancien chef de l’État dit tout le mal qu’il pense de son successeur, un homme sans « amarres » ni « doctrine » ni « boussole ». On sent qu’il trépignait. François Hollande n’a pas attendu longtemps pour dire ce qu’il avait sur le cœur concernant Emmanuel Macron. Sur un pavé de près de 400 pages (Affronter, Stock), l’ex-chef de l’État laisse passer 13 petites pages liminaires avant de s’attaquer à son successeur. On sent qu’il se délecte, qu’il pèse ses mots, qu’il les a tournés et retournés dans son esprit avant de les coucher sur papier. François Hollande ne tient pas Macron pour unique responsable de son refus d’obstacle, lorsqu’en décembre 2016 il préféra renoncer à un deuxième mandat présidentiel. D’autres circonstances, comme la désintégration du Parti socialiste, l’expliquent aussi. Mais l’ancien chef de l’État garde une rancœur sans fin à l’égard de son ex-collaborateur, introduit dans son entourage lors de la campagne de 2012 par l’un de ses plus proches amis, Jean-Pierre Jouyet.
Il brocarde d’abord la supposée inconstance macronienne. « Le moins que je puisse dire, écrit Hollande, c’est que la cohérence n’est pas sa matrice principale. Au début de son mandat, il a été flatteusement comparé à Bonaparte Premier consul. Mais il fut vite aussi flottant que l’autre était impérial, changeant d’opinion au gré des événements, sautant d’une conviction à l’autre comme une grenouille sur des nénuphars. Pour rester dans l’évocation du futur empereur, je suis tenté de parodier Victor Hugo parlant du Consulat : “Ce règne avait deux mois, déjà Caméléon perçait sous Bonaparte”. »

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h38

Côte d’ivoire : Laurent Gbagbo lance le Parti des Peuples Africains

L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo a officiellement lancé dimanche 17 octobre sa nouvelle formation politique, le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI), un mouvement «panafricain de gauche» dont il a pris la tête, avec l’élection présidentielle de 2025 en ligne de mire.
«Le nom du nouveau parti du président Laurent Gbabgo est Parti des Peuples Africains – Côte d’Ivoire», a annoncé Sébastien Dano Djédjé, le président du congrès de lancement du parti. Dans la nuit de samedi à dimanche, Laurent Gbagbo a, sans surprise, été élu à la tête de ce nouveau mouvement, par une acclamation des quelque 1600 congressistes présents à Abidjan.
Dimanche midi, le logo du PPA-CI – les doigts des deux mains entrelacées dans une carte de l’Afrique – a été officialisé, symbolisant la visée panafricaine de ce nouveau parti. Plusieurs représentants politiques d’une douzaine de pays africains étaient d’ailleurs présents ce week-end pour le congrès de lancement du parti.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h38

Côte d’ivoire : Laurent Gbagbo lance le Parti des Peuples Africains

L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo a officiellement lancé dimanche 17 octobre sa nouvelle formation politique, le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI), un mouvement «panafricain de gauche» dont il a pris la tête, avec l’élection présidentielle de 2025 en ligne de mire.
«Le nom du nouveau parti du président Laurent Gbabgo est Parti des Peuples Africains – Côte d’Ivoire», a annoncé Sébastien Dano Djédjé, le président du congrès de lancement du parti. Dans la nuit de samedi à dimanche, Laurent Gbagbo a, sans surprise, été élu à la tête de ce nouveau mouvement, par une acclamation des quelque 1600 congressistes présents à Abidjan.
Dimanche midi, le logo du PPA-CI – les doigts des deux mains entrelacées dans une carte de l’Afrique – a été officialisé, symbolisant la visée panafricaine de ce nouveau parti. Plusieurs représentants politiques d’une douzaine de pays africains étaient d’ailleurs présents ce week-end pour le congrès de lancement du parti.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h33

Libye : 10 ans après la mort de Mouammar Kadhafi, l’économie otage des milices

Avec la mort du Mouammar Kadhafi sous les assauts des combattants rebelles à Syrte, une longue période d’instabilité s’est ouverte pour la Libye. Cette décennie de violences quasi ininterrompues a interdit toute perspective de développement. Même si depuis mars dernier, la Libye s’est doté d’un gouvernement unique chargé d’organiser des élections en décembre prochain, l’économie reste l’otage des divisions politiques et de la mainmise des groupes armés.
La division du pays entre deux autorités de l’est et de l’ouest depuis 2014 a mis l’économie libyenne à genoux. Deux banques centrales, deux compagnies nationales du pétrole concurrentes… tout cela a contribué au dédoublement du système monétaire et à l’essor d’un marché noir engloutissant les devises. En conséquence, la valeur du dinar libyen s’est effondrée. L’un des acteurs majeurs de ce marché noir, ce sont les milices libyennes.
Loin d’être désarmées, elles ont renforcé leur mainmise sur les institutions. Une infiltration qui leur permet d’obtenir des devises au taux officiel, revendus au prix fort au marché noir. Cette économie de prédation n’épargne pas non plus les être humains. Des groupes armés se sont fait une spécialité lucrative : celle de la traite des migrants et des réfugiés transitant en Libye.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h33

Libye : 10 ans après la mort de Mouammar Kadhafi, l’économie otage des milices

Avec la mort du Mouammar Kadhafi sous les assauts des combattants rebelles à Syrte, une longue période d’instabilité s’est ouverte pour la Libye. Cette décennie de violences quasi ininterrompues a interdit toute perspective de développement. Même si depuis mars dernier, la Libye s’est doté d’un gouvernement unique chargé d’organiser des élections en décembre prochain, l’économie reste l’otage des divisions politiques et de la mainmise des groupes armés.
La division du pays entre deux autorités de l’est et de l’ouest depuis 2014 a mis l’économie libyenne à genoux. Deux banques centrales, deux compagnies nationales du pétrole concurrentes… tout cela a contribué au dédoublement du système monétaire et à l’essor d’un marché noir engloutissant les devises. En conséquence, la valeur du dinar libyen s’est effondrée. L’un des acteurs majeurs de ce marché noir, ce sont les milices libyennes.
Loin d’être désarmées, elles ont renforcé leur mainmise sur les institutions. Une infiltration qui leur permet d’obtenir des devises au taux officiel, revendus au prix fort au marché noir. Cette économie de prédation n’épargne pas non plus les être humains. Des groupes armés se sont fait une spécialité lucrative : celle de la traite des migrants et des réfugiés transitant en Libye.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
l'AFP - 11h29

Nigeria : la jeunesse commémore les victimes de la répression, 6 manifestants arrêtés

La jeunesse nigériane rend hommage, un an après, aux victimes de la sanglante répression du mouvement #EndSARS contre les violences policières en manifestant mercredi matin à Abuja et à Lagos, où au moins 6 personnes ont été arrêtées.
Depuis 07H00 GMT à Lagos, la bouillonnante capitale économique, une petite centaine de voitures ont traversé en agitant des drapeaux le péage de Lekki, lieu emblématique de la contestation, où l’armée et la police avaient ouvert le feu le 20 octobre 2020, causant la mort d’au moins 10 personnes et mettant ainsi fin au mouvement.
A bord de 4X4 de luxe ou de simples danfo, les taxi-collectifs de Lagos, des manifestants scandaient à travers les fenêtres « Qui a ordonné la tuerie ? », « Nous voulons la justice » ou encore « Justice pour un meilleur Nigeria ».
Les quelques dizaines de policiers déployés ont laissé les voitures traverser le péage dans des concerts de klaxons. Mais ils ont arrêté au moins six personnes, des manifestants qui s’étaient rendus à pied sur le péage, ont constaté des journalistes de l’AFP.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
l'AFP - 11h29

Nigeria : la jeunesse commémore les victimes de la répression, 6 manifestants arrêtés

La jeunesse nigériane rend hommage, un an après, aux victimes de la sanglante répression du mouvement #EndSARS contre les violences policières en manifestant mercredi matin à Abuja et à Lagos, où au moins 6 personnes ont été arrêtées.
Depuis 07H00 GMT à Lagos, la bouillonnante capitale économique, une petite centaine de voitures ont traversé en agitant des drapeaux le péage de Lekki, lieu emblématique de la contestation, où l’armée et la police avaient ouvert le feu le 20 octobre 2020, causant la mort d’au moins 10 personnes et mettant ainsi fin au mouvement.
A bord de 4X4 de luxe ou de simples danfo, les taxi-collectifs de Lagos, des manifestants scandaient à travers les fenêtres « Qui a ordonné la tuerie ? », « Nous voulons la justice » ou encore « Justice pour un meilleur Nigeria ».
Les quelques dizaines de policiers déployés ont laissé les voitures traverser le péage dans des concerts de klaxons. Mais ils ont arrêté au moins six personnes, des manifestants qui s’étaient rendus à pied sur le péage, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h24

Covid: la Russie bat de nouveau le record de décès quotidiens

La Russie a enregistré mercredi un nouveau record de décès liés au coronavirus ces dernières 24 heures, selon un bilan officiel publié avant une réunion présidée par Vladimir Poutine devant décider d’éventuelles restrictions pour endiguer l’épidémie. Lors des dernières 24 heures, 1.028 décès causés par le nouveau coronavirus ont été recensés, un record, selon le bilan du gouvernement.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 11h24

Covid: la Russie bat de nouveau le record de décès quotidiens

La Russie a enregistré mercredi un nouveau record de décès liés au coronavirus ces dernières 24 heures, selon un bilan officiel publié avant une réunion présidée par Vladimir Poutine devant décider d’éventuelles restrictions pour endiguer l’épidémie. Lors des dernières 24 heures, 1.028 décès causés par le nouveau coronavirus ont été recensés, un record, selon le bilan du gouvernement.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 11h20

Climat : Total au courant du danger depuis un demi-siècle ?

Selon des chercheurs du CNRS, Total aurait sciemment minimisé l’impact des énergies fossiles (et donc de ses propres activités) sur le climat depuis 50 ans. Total savait. Et depuis longtemps. Un article scientifique, rédigé par des chercheurs du CNRS et en histoire, signale mercredi 20 octobre que Total était au courant depuis un demi-siècle que ses activités autour des énergies fossiles étaient néfastes pour le climat. Les premiers doutes ont été émis en interne en 1971. Par la suite, Total et Elf, qui ont fusionné en 2000, ont œuvré pour contrecarrer les efforts pour limiter le recours à ces énergies fossiles.
Christophe Bonneuil, directeur de recherche au CNRS, Pierre-Louis Choquet, sociologue à Sciences Po, et Benjamin Franta, chercheur en histoire à l’université américaine de Stanford, ont étudié les archives du groupe pétrolier, devenu TotalEnergies, ainsi que des revues internes et des interviews, selon cet article paru dans la revue Global Environmental Change.
Une publication dans la revue de Total, en 1971, expliquait que la combustion d’énergies fossiles conduit « à la libération de quantités énormes de gaz carbonique » et à une augmentation de la quantité de gaz carbonique dans l’atmosphère. Une « augmentation […] assez préoccupante », notait le texte de 1971. Pour autant, le groupe a passé ce sujet sous silence, relèvent les chercheurs.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 11h20

Climat : Total au courant du danger depuis un demi-siècle ?

Selon des chercheurs du CNRS, Total aurait sciemment minimisé l’impact des énergies fossiles (et donc de ses propres activités) sur le climat depuis 50 ans. Total savait. Et depuis longtemps. Un article scientifique, rédigé par des chercheurs du CNRS et en histoire, signale mercredi 20 octobre que Total était au courant depuis un demi-siècle que ses activités autour des énergies fossiles étaient néfastes pour le climat. Les premiers doutes ont été émis en interne en 1971. Par la suite, Total et Elf, qui ont fusionné en 2000, ont œuvré pour contrecarrer les efforts pour limiter le recours à ces énergies fossiles.
Christophe Bonneuil, directeur de recherche au CNRS, Pierre-Louis Choquet, sociologue à Sciences Po, et Benjamin Franta, chercheur en histoire à l’université américaine de Stanford, ont étudié les archives du groupe pétrolier, devenu TotalEnergies, ainsi que des revues internes et des interviews, selon cet article paru dans la revue Global Environmental Change.
Une publication dans la revue de Total, en 1971, expliquait que la combustion d’énergies fossiles conduit « à la libération de quantités énormes de gaz carbonique » et à une augmentation de la quantité de gaz carbonique dans l’atmosphère. Une « augmentation […] assez préoccupante », notait le texte de 1971. Pour autant, le groupe a passé ce sujet sous silence, relèvent les chercheurs.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

mardi 19 octobre

Le Figaro - 15h55

Les États-Unis pourraient autoriser les «mélanges» de vaccins pour le rappel anti-Covid

Les autorités sanitaires américaines se préparent à autoriser l’utilisation d’un vaccin anti-Covid différent pour la dose de rappel que celui utilisé initialement pour l’immunisation, selon des médias américains. L’agence américaine des médicaments (FDA) pourrait faire cette annonce mercredi 20 octobre, a notamment rapporté le New York Times, au moment de l’annonce de sa décision concernant l’autorisation de doses de rappel pour les vaccins de Moderna et de Johnson & Johnson.
La FDA pourrait toutefois recommander de privilégier l’injection d’une dose du même vaccin dans la mesure du possible, selon des sources citées par la presse américaine. Une telle annonce de la part des autorités sanitaires est susceptible d’intéresser notamment les personnes ayant reçu le vaccin unidose de Johnson & Johnson, soit quelque 15 millions d’Américains.
Ces informations arrivent en effet après la publication la semaine dernière de résultats préliminaires d’une étude menée aux États-Unis, suggérant que les personnes ayant reçu le vaccin de «J&J» pourraient avoir intérêt à recevoir une dose de rappel d’un vaccin différent, à ARN messager, afin de profiter d’une augmentation plus forte encore de leurs niveaux d’anticorps. Un comité consultatif de la FDA a recommandé la semaine dernière l’autorisation d’une dose de rappel de Johnson & Johnson pour toutes les personnes de 18 et ans et plus, et de Moderna pour certaines catégories de population à risque, notamment les plus âgés.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 15h55

Les États-Unis pourraient autoriser les «mélanges» de vaccins pour le rappel anti-Covid

Les autorités sanitaires américaines se préparent à autoriser l’utilisation d’un vaccin anti-Covid différent pour la dose de rappel que celui utilisé initialement pour l’immunisation, selon des médias américains. L’agence américaine des médicaments (FDA) pourrait faire cette annonce mercredi 20 octobre, a notamment rapporté le New York Times, au moment de l’annonce de sa décision concernant l’autorisation de doses de rappel pour les vaccins de Moderna et de Johnson & Johnson.
La FDA pourrait toutefois recommander de privilégier l’injection d’une dose du même vaccin dans la mesure du possible, selon des sources citées par la presse américaine. Une telle annonce de la part des autorités sanitaires est susceptible d’intéresser notamment les personnes ayant reçu le vaccin unidose de Johnson & Johnson, soit quelque 15 millions d’Américains.
Ces informations arrivent en effet après la publication la semaine dernière de résultats préliminaires d’une étude menée aux États-Unis, suggérant que les personnes ayant reçu le vaccin de «J&J» pourraient avoir intérêt à recevoir une dose de rappel d’un vaccin différent, à ARN messager, afin de profiter d’une augmentation plus forte encore de leurs niveaux d’anticorps. Un comité consultatif de la FDA a recommandé la semaine dernière l’autorisation d’une dose de rappel de Johnson & Johnson pour toutes les personnes de 18 et ans et plus, et de Moderna pour certaines catégories de population à risque, notamment les plus âgés.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 15h50

En Inde, au moins 41 morts dans des inondations et des glissements de terrain

Au moins 41 personnes sont mortes dans le nord de l’Inde, emportées par les inondations et glissements de terrain déclenchés par plusieurs jours de fortes pluies, selon un nouveau bilan annoncé mardi 19 octobre par les autorités.
«30 personnes ont été tuées et beaucoup d’autres sont portées disparues», a déclaré à l’AFP un responsable du district de Nainital, dans l’État himalayen de l’Uttarakhand. Ce bilan porte à 35 le nombre de morts mardi dans cet État, où six autres personnes avaient péri la veille dans des glissements de terrain. Selon les prévisions météorologiques, de fortes pluies devraient en outre frapper dans les jours à venir l’État méridional du Kerala où des inondations ont déjà fait plus de 27 morts depuis vendredi, avec des milliers d’évacuations.
Cinq membres d’une même famille ont notamment été ensevelis dans leur maison, a indiqué un responsable local, Prateek Jain. Cinq autres victimes ont été tuées dans un glissement de terrain qui s’est produit dans le district d’Almora, dans le nord de l’Uttarakhand, et a englouti leur maison sous les rochers et la boue.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 15h50

En Inde, au moins 41 morts dans des inondations et des glissements de terrain

Au moins 41 personnes sont mortes dans le nord de l’Inde, emportées par les inondations et glissements de terrain déclenchés par plusieurs jours de fortes pluies, selon un nouveau bilan annoncé mardi 19 octobre par les autorités.
«30 personnes ont été tuées et beaucoup d’autres sont portées disparues», a déclaré à l’AFP un responsable du district de Nainital, dans l’État himalayen de l’Uttarakhand. Ce bilan porte à 35 le nombre de morts mardi dans cet État, où six autres personnes avaient péri la veille dans des glissements de terrain. Selon les prévisions météorologiques, de fortes pluies devraient en outre frapper dans les jours à venir l’État méridional du Kerala où des inondations ont déjà fait plus de 27 morts depuis vendredi, avec des milliers d’évacuations.
Cinq membres d’une même famille ont notamment été ensevelis dans leur maison, a indiqué un responsable local, Prateek Jain. Cinq autres victimes ont été tuées dans un glissement de terrain qui s’est produit dans le district d’Almora, dans le nord de l’Uttarakhand, et a englouti leur maison sous les rochers et la boue.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 15h45

Dix ans après la mort de Kadhafi, la Libye toujours en quête de stabilité

Dix ans après la mort de Mouammar Kadhafi, emporté par une révolte qui a plongé la Libye dans un chaos inextricable, le pays peine à achever sa transition vers la démocratie, des désaccords entre camps rivaux menaçant de saborder l’élection présidentielle de décembre.
Il y a 10 ans, le « Guide » Kadhafi était traqué jusque dans son fief de Syrte (nord), lynché par des combattants avant d’être exécuté le même jour et son corps exposé dans un marché.
Après 42 ans d’un règne autoritaire, le « chef de la révolution » qui renversa la monarchie était ainsi emporté par le vent du Printemps arabe. Une intervention internationale controversée, lancée en 2011 sous l’égide de l’Otan, avait contribué à sa chute.
Mais loin de répondre aux aspirations des manifestants, l’intervention plonge le pays d’Afrique du Nord dans une spirale de violences et divisions internes, alimentées par les ingérences étrangères.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 15h45

Dix ans après la mort de Kadhafi, la Libye toujours en quête de stabilité

Dix ans après la mort de Mouammar Kadhafi, emporté par une révolte qui a plongé la Libye dans un chaos inextricable, le pays peine à achever sa transition vers la démocratie, des désaccords entre camps rivaux menaçant de saborder l’élection présidentielle de décembre.
Il y a 10 ans, le « Guide » Kadhafi était traqué jusque dans son fief de Syrte (nord), lynché par des combattants avant d’être exécuté le même jour et son corps exposé dans un marché.
Après 42 ans d’un règne autoritaire, le « chef de la révolution » qui renversa la monarchie était ainsi emporté par le vent du Printemps arabe. Une intervention internationale controversée, lancée en 2011 sous l’égide de l’Otan, avait contribué à sa chute.
Mais loin de répondre aux aspirations des manifestants, l’intervention plonge le pays d’Afrique du Nord dans une spirale de violences et divisions internes, alimentées par les ingérences étrangères.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 15h38

Yémen : dix mille enfants tués ou blessés depuis le début du conflit

Dix mille enfants ont été tués et blessés au Yémen depuis le début du conflit, a affirmé mardi un porte-parole de l’Unicef à Genève, de retour d’une mission dans le pays. « Le conflit au Yémen vient juste de franchir une étape honteuse avec la marque de 10.000 enfants tués ou blessés, depuis le début des combats en mars 2015. Ce qui fait quatre enfants tous les jours », a dénoncé James Elder, porte-parole du Fonds des Nations Unies pour l’enfance lors du briefing régulier de l’ONU à Genève.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 15h38

Yémen : dix mille enfants tués ou blessés depuis le début du conflit

Dix mille enfants ont été tués et blessés au Yémen depuis le début du conflit, a affirmé mardi un porte-parole de l’Unicef à Genève, de retour d’une mission dans le pays. « Le conflit au Yémen vient juste de franchir une étape honteuse avec la marque de 10.000 enfants tués ou blessés, depuis le début des combats en mars 2015. Ce qui fait quatre enfants tous les jours », a dénoncé James Elder, porte-parole du Fonds des Nations Unies pour l’enfance lors du briefing régulier de l’ONU à Genève.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

lundi 18 octobre

Le Monde Afrique - 16h35

Au Nigeria, l’armée annonce la mort du chef local du groupe Etat islamique

Abou Musab Al-Barnaoui était à la tête de la Province ouest-africaine de l’EI, groupe djihadiste né en 2016 d’une scission de Boko Haram. Le chef du groupe djihadiste nigérian Iswap, affilié au groupe Etat islamique (EI), Abou Musab Al-Barnaoui, est mort, a affirmé jeudi 14 octobre un haut responsable de l’armée nigériane. La Province ouest-africaine de l’EI (Iswap en anglais) n’a pas confirmé la mort de son chef.
« Je peux affirmer avec certitude qu’Al-Barnaoui est mort », a déclaré devant des journalistes le chef d’état-major, le général Lucky Irabor. Il n’a pas précisé les circonstances du décès du leader djihadiste, déjà donné pour mort par les autorités nigérianes par le passé.
L’Iswap est né en 2016 d’une scission avec l’autre groupe djihadiste nigérian Boko Haram, auquel il reproche notamment des meurtres de civils musulmans. Après être monté en puissance, l’Iswap est devenu le groupe djihadiste dominant dans le nord-est du Nigeria, multipliant les attaques d’ampleur contre l’armée nigériane. Il a consolidé son contrôle dans cette région depuis la mort en mai du chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, dans des affrontements entre les deux groupes rivaux.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 16h35

Au Nigeria, l’armée annonce la mort du chef local du groupe Etat islamique

Abou Musab Al-Barnaoui était à la tête de la Province ouest-africaine de l’EI, groupe djihadiste né en 2016 d’une scission de Boko Haram. Le chef du groupe djihadiste nigérian Iswap, affilié au groupe Etat islamique (EI), Abou Musab Al-Barnaoui, est mort, a affirmé jeudi 14 octobre un haut responsable de l’armée nigériane. La Province ouest-africaine de l’EI (Iswap en anglais) n’a pas confirmé la mort de son chef.
« Je peux affirmer avec certitude qu’Al-Barnaoui est mort », a déclaré devant des journalistes le chef d’état-major, le général Lucky Irabor. Il n’a pas précisé les circonstances du décès du leader djihadiste, déjà donné pour mort par les autorités nigérianes par le passé.
L’Iswap est né en 2016 d’une scission avec l’autre groupe djihadiste nigérian Boko Haram, auquel il reproche notamment des meurtres de civils musulmans. Après être monté en puissance, l’Iswap est devenu le groupe djihadiste dominant dans le nord-est du Nigeria, multipliant les attaques d’ampleur contre l’armée nigériane. Il a consolidé son contrôle dans cette région depuis la mort en mai du chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, dans des affrontements entre les deux groupes rivaux.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 16h33

Erdogan cherche à étendre son influence en Afrique

Le président turc a débuté dimanche une visite en Angola, au Togo et au Nigeria ; son offensive sur le continent africain comporte désormais un volet sécuritaire. Une quinzaine de tournées en autant d’années, trente pays visités à l’issue de la visite débutée dimanche 17 octobre : Recep Tayyip Erdogan revient sur le continent africain avec des ambitions en constante progression. A deux mois du troisième sommet Turquie-Afrique qui doit se tenir à Istanbul en décembre, le chef de l’Etat effectue un voyage de trois jours devant le mener en Angola, au Togo et au Nigeria. Le partenariat avec ce continent est « stratégique » pour son pays, a-t-il déclaré.
Si Ankara a un temps envisagé sa relation avec l’Afrique sous un horizon avant tout commercial, porté par un argument qui fait mouche : « Moins cher que les produits européens et de meilleure qualité que les chinois », les perspectives se sont depuis élargies au champ sécuritaire. Comme le rapporte la lettre spécialisée Africa Intelligence, une importante délégation du Savunma Sanayii Baskanlıgı, l’agence qui pilote l’industrie militaire turque, est du voyage.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Monde Afrique - 16h33

Erdogan cherche à étendre son influence en Afrique

Le président turc a débuté dimanche une visite en Angola, au Togo et au Nigeria ; son offensive sur le continent africain comporte désormais un volet sécuritaire. Une quinzaine de tournées en autant d’années, trente pays visités à l’issue de la visite débutée dimanche 17 octobre : Recep Tayyip Erdogan revient sur le continent africain avec des ambitions en constante progression. A deux mois du troisième sommet Turquie-Afrique qui doit se tenir à Istanbul en décembre, le chef de l’Etat effectue un voyage de trois jours devant le mener en Angola, au Togo et au Nigeria. Le partenariat avec ce continent est « stratégique » pour son pays, a-t-il déclaré.
Si Ankara a un temps envisagé sa relation avec l’Afrique sous un horizon avant tout commercial, porté par un argument qui fait mouche : « Moins cher que les produits européens et de meilleure qualité que les chinois », les perspectives se sont depuis élargies au champ sécuritaire. Comme le rapporte la lettre spécialisée Africa Intelligence, une importante délégation du Savunma Sanayii Baskanlıgı, l’agence qui pilote l’industrie militaire turque, est du voyage.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h07

Attaque en Norvège : les cinq victimes n’ont pas été tuées avec un arc

Le mode opératoire du principal suspect dans l’attaque en Norvège se précise. Les cinq victimes de la tuerie perpétrée la semaine dernière ont en effet été tuées à l’arme blanche par le suspect, qui, vraisemblablement, a perdu ou s’est débarrassé de son arc et de ses flèches au cours de son périple meurtrier, a annoncé la police norvégienne lundi 18 octobre 2021. «  À un certain moment, il se débarrasse ou perd son arc et ses flèches », a affirmé l’inspecteur Per Thomas Omholt en faisant le récit de l’attaque lors d’une conférence de presse. «  À Hyttegata, il tue cinq personnes à l’arme blanche à la fois dans des lieux privés et dans l’espace public. »
La police, qui avait jusqu’alors indiqué que le suspect, Espen Andersen Bråthen, était armé d’un arc et de flèches ainsi que de deux autres armes, n’a pas voulu préciser la nature de ces armes blanches pour les besoins de l’enquête. «  Tout indique que ces victimes ont été tuées au hasard », a affirmé Per Thomas Omholt. Selon la police, plus d’une dizaine de personnes ont aussi été visées par des tirs à l’arc au début de l’attaque, mais aucune n’a été tuée avec cette arme.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 16h07

Attaque en Norvège : les cinq victimes n’ont pas été tuées avec un arc

Le mode opératoire du principal suspect dans l’attaque en Norvège se précise. Les cinq victimes de la tuerie perpétrée la semaine dernière ont en effet été tuées à l’arme blanche par le suspect, qui, vraisemblablement, a perdu ou s’est débarrassé de son arc et de ses flèches au cours de son périple meurtrier, a annoncé la police norvégienne lundi 18 octobre 2021. «  À un certain moment, il se débarrasse ou perd son arc et ses flèches », a affirmé l’inspecteur Per Thomas Omholt en faisant le récit de l’attaque lors d’une conférence de presse. «  À Hyttegata, il tue cinq personnes à l’arme blanche à la fois dans des lieux privés et dans l’espace public. »
La police, qui avait jusqu’alors indiqué que le suspect, Espen Andersen Bråthen, était armé d’un arc et de flèches ainsi que de deux autres armes, n’a pas voulu préciser la nature de ces armes blanches pour les besoins de l’enquête. «  Tout indique que ces victimes ont été tuées au hasard », a affirmé Per Thomas Omholt. Selon la police, plus d’une dizaine de personnes ont aussi été visées par des tirs à l’arc au début de l’attaque, mais aucune n’a été tuée avec cette arme.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 16h04

Colin Powell, ancien secrétaire d’État de George W. Bush, est décédé

Le premier Afro-Américain à avoir occupé le poste de chef d’état-major des armées est mort de « complications liées au Covid-19 », a annoncé sa famille. L’ancien secrétaire d’État sous George W. Bush, Colin Powell, est décédé à l’âge de 84 ans de « complications liées au Covid-19 », a annoncé sa famille lundi. « Nous avons perdu un mari, un père et grand-père remarquable et aimant, et un grand Américain », ont-ils déclaré dans un communiqué, précisant qu’il était « entièrement vacciné ».
Colin Powell a été le premier Afro-Américain à avoir occupé le poste de chef d’état-major des armées, avant de devenir chef de la diplomatie américaine sous la présidence républicaine de George W. Bush. Ce dernier a salué la mémoire d’« un grand serviteur de l’État », « très respecté ». « De nombreux présidents se sont fiés au jugement et à l’expérience du général Powell », a noté l’ancien président républicain dans un communiqué. « Il était très respecté dans le pays et à l’étranger », a-t-il ajouté. « Le monde a perdu l’un de ses plus grands hommes », a affirmé le ministre américain de la Défense Lloyd Austin. « Son héritage et ses états de service inégalés ne seront pas oubliés », a déclaré l’ancien vice-président Dick Cheney.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Rfi.fr - 16h04

Colin Powell, ancien secrétaire d’État de George W. Bush, est décédé

Le premier Afro-Américain à avoir occupé le poste de chef d’état-major des armées est mort de « complications liées au Covid-19 », a annoncé sa famille. L’ancien secrétaire d’État sous George W. Bush, Colin Powell, est décédé à l’âge de 84 ans de « complications liées au Covid-19 », a annoncé sa famille lundi. « Nous avons perdu un mari, un père et grand-père remarquable et aimant, et un grand Américain », ont-ils déclaré dans un communiqué, précisant qu’il était « entièrement vacciné ».
Colin Powell a été le premier Afro-Américain à avoir occupé le poste de chef d’état-major des armées, avant de devenir chef de la diplomatie américaine sous la présidence républicaine de George W. Bush. Ce dernier a salué la mémoire d’« un grand serviteur de l’État », « très respecté ». « De nombreux présidents se sont fiés au jugement et à l’expérience du général Powell », a noté l’ancien président républicain dans un communiqué. « Il était très respecté dans le pays et à l’étranger », a-t-il ajouté. « Le monde a perdu l’un de ses plus grands hommes », a affirmé le ministre américain de la Défense Lloyd Austin. « Son héritage et ses états de service inégalés ne seront pas oubliés », a déclaré l’ancien vice-président Dick Cheney.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 12h06

France : un détenu en fuite décède en tentant d’échapper à la police

Un homme âgé de 30 ans, recherché pour ne pas être retourné en prison, est mort noyé en voulant échapper à la police. Il était poursuivi pour violences. Un détenu évadé, âgé de 30 ans, est mort noyé dans la nuit de dimanche 17 à lundi 18 octobre, alors qu’il fuyait la police. Le trentenaire, qui aurait dû regagner le centre de détention de Saint-Michel (Meuse) de lui-même, s’est noyé dans la Meurthe près de la commune de Saint-Max. L’homme, condamné à plusieurs reprises pour violences aggravées, délits routiers et trafic de stupéfiants, était « recherché comme évadé » faute d’avoir regagné l’établissement pénitentiaire après une permission de sortie, a indiqué à l’Agence France-Presse le procureur de la République de Nancy, François Pérain.
Selon ce magistrat, les policiers de la BAC de Nancy avaient repéré dimanche soir le fugitif. Au cours d’un contrôle, l’homme a pris la fuite « en direction de la Meurthe en courant », avant de sauter dans la rivière, a-t-il précisé.
Constatant qu’il avait des « difficultés à nager », un policier a tenté de « lui porter secours », mais l’homme a finalement coulé. Il a été retrouvé par les plongeurs-pompiers à plusieurs mètres de fond, toujours selon François Pérain. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte, confiée à la Direction territoriale de la police judiciaire de Nancy, et une autopsie requise.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 12h06

France : un détenu en fuite décède en tentant d’échapper à la police

Un homme âgé de 30 ans, recherché pour ne pas être retourné en prison, est mort noyé en voulant échapper à la police. Il était poursuivi pour violences. Un détenu évadé, âgé de 30 ans, est mort noyé dans la nuit de dimanche 17 à lundi 18 octobre, alors qu’il fuyait la police. Le trentenaire, qui aurait dû regagner le centre de détention de Saint-Michel (Meuse) de lui-même, s’est noyé dans la Meurthe près de la commune de Saint-Max. L’homme, condamné à plusieurs reprises pour violences aggravées, délits routiers et trafic de stupéfiants, était « recherché comme évadé » faute d’avoir regagné l’établissement pénitentiaire après une permission de sortie, a indiqué à l’Agence France-Presse le procureur de la République de Nancy, François Pérain.
Selon ce magistrat, les policiers de la BAC de Nancy avaient repéré dimanche soir le fugitif. Au cours d’un contrôle, l’homme a pris la fuite « en direction de la Meurthe en courant », avant de sauter dans la rivière, a-t-il précisé.
Constatant qu’il avait des « difficultés à nager », un policier a tenté de « lui porter secours », mais l’homme a finalement coulé. Il a été retrouvé par les plongeurs-pompiers à plusieurs mètres de fond, toujours selon François Pérain. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte, confiée à la Direction territoriale de la police judiciaire de Nancy, et une autopsie requise.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h41

L’Union européenne a exporté plus d’un milliard de doses de vaccins anti-Covid depuis janvier

En moins d’un an, plus d’un milliard de vaccins contre le Covid-19 ont été fournis par l’UE à 150 pays. Des millions de doses supplémentaires devraient encore être livrées. L’UE a exporté plus d’un milliard de doses de vaccins anti-Covid en dix mois vers plus de 150 pays, soit la moitié des doses produites en Europe, a affirmé lundi 18 octobre la Commission européenne. «Très clairement, l’UE est le premier exportateur au monde de vaccins», a souligné la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, dans une courte vidéo diffusée en ligne.
Selon le comptage réalisé lundi par l’AFP, quelque 580 millions de doses ont été administrées à ce jour dans l’UE, où plus de 75% des adultes sont désormais totalement vaccinés. «Nous avons toujours équitablement partagé nos vaccins avec le reste du monde», et les Vingt-Sept ont livré à ce jour environ 87 millions de doses aux pays à faibles et moyens revenus par l’intermédiaire du programme international Covax, a précisé la chef de l’exécutif européen. L’UE donnera encore «au cours des prochains mois» au moins 500 millions de doses supplémentaires à ces pays vulnérables, «mais d’autres pays doivent aussi redoubler d’efforts», a ajouté Ursula von der Leyen.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 11h41

L’Union européenne a exporté plus d’un milliard de doses de vaccins anti-Covid depuis janvier

En moins d’un an, plus d’un milliard de vaccins contre le Covid-19 ont été fournis par l’UE à 150 pays. Des millions de doses supplémentaires devraient encore être livrées. L’UE a exporté plus d’un milliard de doses de vaccins anti-Covid en dix mois vers plus de 150 pays, soit la moitié des doses produites en Europe, a affirmé lundi 18 octobre la Commission européenne. «Très clairement, l’UE est le premier exportateur au monde de vaccins», a souligné la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, dans une courte vidéo diffusée en ligne.
Selon le comptage réalisé lundi par l’AFP, quelque 580 millions de doses ont été administrées à ce jour dans l’UE, où plus de 75% des adultes sont désormais totalement vaccinés. «Nous avons toujours équitablement partagé nos vaccins avec le reste du monde», et les Vingt-Sept ont livré à ce jour environ 87 millions de doses aux pays à faibles et moyens revenus par l’intermédiaire du programme international Covax, a précisé la chef de l’exécutif européen. L’UE donnera encore «au cours des prochains mois» au moins 500 millions de doses supplémentaires à ces pays vulnérables, «mais d’autres pays doivent aussi redoubler d’efforts», a ajouté Ursula von der Leyen.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne

vendredi 15 octobre

Le Figaro - 18h33

Migrants fauchés par un train : un 5e Algérien présent lors de l’accident retrouvé

Un cinquième migrant algérien présent au moment de l’accident de train qui a coûté la vie à trois d’entre eux et grièvement blessé un quatrième, mardi à Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), a été retrouvé jeudi à Bayonne et entendu, a indiqué vendredi 15 octobre à l’AFP le procureur de Bayonne.
Ce migrant algérien de 28 ans, retrouvé dans une rue de la ville par une patrouille de la BAC, a confirmé à la police le fait que le petit groupe d’exilés, d’abord formé de quatre personnes puis de cinq, avait marché depuis l’Espagne, a expliqué Jérôme Bourrier. Le groupe empruntait les voies ferrées afin d’échapper à d’éventuels contrôles de police. Dans la nuit, les cinq Algériens se sont allongés sur les voies ferrées pour se reposer.
L’homme retrouvé jeudi a indiqué s’être réveillé un peu avant les autres et s’être écarté au passage du TER à 05h00, peu avant son entrée en gare de Ciboure en provenance d’Hendaye, à la frontière franco-espagnole. Il a pris la fuite après avoir assisté à la scène.


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Figaro - 18h33

Migrants fauchés par un train : un 5e Algérien présent lors de l’accident retrouvé

Un cinquième migrant algérien présent au moment de l’accident de train qui a coûté la vie à trois d’entre eux et grièvement blessé un quatrième, mardi à Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), a été retrouvé jeudi à Bayonne et entendu, a indiqué vendredi 15 octobre à l’AFP le procureur de Bayonne.
Ce migrant algérien de 28 ans, retrouvé dans une rue de la ville par une patrouille de la BAC, a confirmé à la police le fait que le petit groupe d’exilés, d’abord formé de quatre personnes puis de cinq, avait marché depuis l’Espagne, a expliqué Jérôme Bourrier. Le groupe empruntait les voies ferrées afin d’échapper à d’éventuels contrôles de police. Dans la nuit, les cinq Algériens se sont allongés sur les voies ferrées pour se reposer.
L’homme retrouvé jeudi a indiqué s’être réveillé un peu avant les autres et s’être écarté au passage du TER à 05h00, peu avant son entrée en gare de Ciboure en provenance d’Hendaye, à la frontière franco-espagnole. Il a pris la fuite après avoir assisté à la scène.

Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 18h29

Député britannique mort : Boris Johnson, choqué, exprime sa tristesse

David Amess est décédé après avoir été poignardé à plusieurs reprises lors d’une permanence parlementaire, ce vendredi. Un homme de 25 ans a été arrêté. Il a été poignardé à plusieurs reprises. Le député conservateur britannique David Amess, 69 ans, est décédé après avoir été attaqué, ce vendredi 15 octobre, lors d’une permanence parlementaire qu’il tenait dans une église de sa circonscription à Leigh-on-Sea, à l’est de Londres, selon la police et les médias locaux. La police locale, qui n’a pas nommé la victime, a indiqué dans un communiqué que l’homme qui avait été retrouvé blessé était mort sur place, en dépit des efforts des services de secours. « Un homme de 25 ans a été rapidement arrêté après l’arrivée de la police sur place, soupçonné de meurtre », a-t-elle ajouté, précisant qu’un couteau a été retrouvé.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a exprimé vendredi son « choc » et sa « tristesse ». « Nos cœurs sont très choqués et tristes aujourd’hui, après la disparition du député Davis Amess, qui a été tué lors de sa permanence parlementaire, dans une église, après presque 40 ans au service » de ses administrés et du Royaume-Uni, a déclaré le chef du gouvernement conservateur dans une brève intervention télévisée. « C’était l’une des personnes les plus gentilles et les plus douces en politique », a déclaré le Premier ministre Boris Johnson. Il a loué le bilan « exceptionnel » du député « pour aider les plus vulnérables, que ce soit les personnes qui souffrent d’endométriose », maladie chronique touchant les femmes que le député avait aidé à faire connaître, « en adoptant des lois pour mettre fin à la cruauté envers les animaux, ou en faisant énormément pour réduire la précarité énergétique ».


Suivez l'information en direct sur notre chaîne
Le Point - 18h29

Député britannique mort : Boris Johnson, choqué, exprime sa tristesse

David Amess est décédé après avoir été poignardé à plusieurs reprises lors d’une permanence parlementaire, ce vendredi. Un homme de 25 ans a été arrêté. Il a été poignardé à plusieurs reprises. Le député conservateur britannique David Amess, 69 ans, est décédé après avoir été attaqué, ce vendredi 15 octobre, lors d’une permanence parlementaire qu’il tenait dans une église de sa circonscription à Leigh-on-Sea, à l’est de Londres, selon la police et les médias locaux. La police locale, qui n’a pas nommé la victime, a indiqué dans un communiqué que l’homme qui avait été retrouvé blessé était mort sur place, en dépit des efforts des services de secours. « Un homme de 25 ans a été rapidement arrêté après l’arrivée de la police sur place, soupçonné de meurtre », a-t-elle ajouté, précisant qu’un couteau a été retrouvé.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a exprimé vendredi son « choc » et sa « tristesse ». « Nos cœurs sont très choqués et tristes aujourd’hui, après la disparition du député Davis Amess, qui a été tué lors de sa permanence parlementaire, dans une église, après presque 40 ans au service » de ses administrés et du Royaume-Uni, a déclaré le chef du gouvernement conservateur dans une brève intervention télévisée. « C’était l’une des personnes les plus gentilles et les plus douces en politique », a déclaré le Premier ministre Boris Johnson. Il a loué le bilan « exceptionnel » du député « pour aider les plus vulnérables, que ce soit les personnes qui souffrent d’endométriose », maladie chronique touchant les femmes que le député avait aidé à faire connaître, « en adoptant des lois pour mettre fin à la cruauté envers les animaux, ou en faisant énormément pour réduire la précarité énergétique ».

Suivez l'information en direct sur notre chaîne