jeudi 16 septembre

Le Figaro - 08h51

Annulation du «contrat du siècle» : Jean-Yves Le Drian dénonce un «coup dans le dos» de l’Australie

Le ministre des Affaires étrangères Français, comme sa collègue aux Armées Florence Parly, s’est ému de la décision de l’Australie d’annuler l’achat de douze sous-marins français.
Quelques heures après l’annulation brutale par l’Australie de l’achat de douze sous-marins français, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a dénoncé un «coup dans le dos». «Nous avions établi avec l’Australie une relation de confiance et cette confiance est trahie», a-t-il asséné sur Franceinfo. «Je suis aujourd’hui très en colère. Ça ne se fait pas entre alliés». Jean-Yves Le Drian s’est également emporté contre «le comportement américain», qui a noué avec l’Australie un partenariat stratégique pour la construction d’engins à propulsion nucléaire américains. «Cette décision unilatérale, brutale, imprévisible, ça ressemble beaucoup à ce que faisait Monsieur Trump», a regretté le ministre.
Au même moment, sur RFI, la ministre des Armées Florence Parly a qualifié cette rupture de contrat de «grave», estimant qu’elle constituait «une très mauvaise nouvelle pour le respect de la parole donnée». «En matière de géopolitique et de politique internationale, c’est grave», a dénoncé Mme Parly, qui s’est également dite «lucide sur la façon dont les États-Unis traitent leurs alliés», après que Washington eut annoncé avoir conclu un accord pour la livraison à Canberra de sous-marins à propulsion nucléaire, avec la Grande-Bretagne, mais sans la France.


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Le Figaro - 08h51

Annulation du «contrat du siècle» : Jean-Yves Le Drian dénonce un «coup dans le dos» de l’Australie

Le ministre des Affaires étrangères Français, comme sa collègue aux Armées Florence Parly, s’est ému de la décision de l’Australie d’annuler l’achat de douze sous-marins français.
Quelques heures après l’annulation brutale par l’Australie de l’achat de douze sous-marins français, le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a dénoncé un «coup dans le dos». «Nous avions établi avec l’Australie une relation de confiance et cette confiance est trahie», a-t-il asséné sur Franceinfo. «Je suis aujourd’hui très en colère. Ça ne se fait pas entre alliés». Jean-Yves Le Drian s’est également emporté contre «le comportement américain», qui a noué avec l’Australie un partenariat stratégique pour la construction d’engins à propulsion nucléaire américains. «Cette décision unilatérale, brutale, imprévisible, ça ressemble beaucoup à ce que faisait Monsieur Trump», a regretté le ministre.
Au même moment, sur RFI, la ministre des Armées Florence Parly a qualifié cette rupture de contrat de «grave», estimant qu’elle constituait «une très mauvaise nouvelle pour le respect de la parole donnée». «En matière de géopolitique et de politique internationale, c’est grave», a dénoncé Mme Parly, qui s’est également dite «lucide sur la façon dont les États-Unis traitent leurs alliés», après que Washington eut annoncé avoir conclu un accord pour la livraison à Canberra de sous-marins à propulsion nucléaire, avec la Grande-Bretagne, mais sans la France.

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Le Figaro avec AFP - 08h48

Yémen : au moins 50 morts dans des combats dans le centre du pays

Au moins 50 rebelles et soldats pro-gouvernement parmi lesquels un officier de haut rang ont été tués dans des affrontements dans le centre du Yémen, ont indiqué jeudi 16 septembre à l’AFP des sources militaires.
«Un colonel et 19 autres loyalistes ont été tués au cours des dernières 24 heures dans des combats contre des rebelles Houthis dans le district d’Al-Bayda», a déclaré un responsable militaire gouvernemental, ajoutant que 30 rebelles avaient également péri. Ce bilan a été confirmé par d’autres sources militaires. Les Houthis communiquent rarement le nombre de victimes dans leurs rangs.
Ces dernières semaines, les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, ont progressé dans cette province. Ils luttent également pour le contrôle de la ville stratégique de Marib, dans le nord du pays. Les forces gouvernementales sont appuyées sur le terrain par une coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite, voisine du Yémen et grand rival régional de l’Iran.


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Le Figaro avec AFP - 08h48

Yémen : au moins 50 morts dans des combats dans le centre du pays

Au moins 50 rebelles et soldats pro-gouvernement parmi lesquels un officier de haut rang ont été tués dans des affrontements dans le centre du Yémen, ont indiqué jeudi 16 septembre à l’AFP des sources militaires.
«Un colonel et 19 autres loyalistes ont été tués au cours des dernières 24 heures dans des combats contre des rebelles Houthis dans le district d’Al-Bayda», a déclaré un responsable militaire gouvernemental, ajoutant que 30 rebelles avaient également péri. Ce bilan a été confirmé par d’autres sources militaires. Les Houthis communiquent rarement le nombre de victimes dans leurs rangs.
Ces dernières semaines, les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, ont progressé dans cette province. Ils luttent également pour le contrôle de la ville stratégique de Marib, dans le nord du pays. Les forces gouvernementales sont appuyées sur le terrain par une coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite, voisine du Yémen et grand rival régional de l’Iran.

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Rfi.fr - 08h45

La Guinée sera-t-elle sanctionnée lors du sommet de la Cédéao?

La Cédéao se réunit, ce jeudi 16 septembre, en sommet extraordinaire pour statuer sur le cas de la Guinée, onze jours après le coup d’État. La semaine dernière, l’organisation sous-régionale avait suspendu le pays de ses instances. Ira-t-elle plus loin ce jeudi en sanctionnant directement le pays ? L’hypothèse est sur la table. Pour les aider à trancher, les chefs d’États ouest-africains auront entre leurs mains le rapport de la mission qui s’est rendue sur place vendredi dernier.
Dans leur rapport de mission, les émissaires de la Cédéao formulent plusieurs recommandations. D’abord que la transition soit civile ensuite qu’elle soit courte. Les membres de la mission étaient divisés sur sa durée, certains plaidant pour une transition rapide de 6 mois, d’autres pour une parenthèse d’un an. « Mais tout le monde est d’accord qu’on ne doit pas dépasser les 12 mois », assure hors micro un des membres de la mission.
Parmi les autres recommandations figurent la libération des prisonniers et en particulier celle du président déchu Alpha Condé. Ces préconisations seront au centre des débats ce jeudi. Les chefs d’État choisiront-ils en parallèle de sanctionner le pays comme ils l’avaient fait l’an passé pour le Mali après le 1er coup d’État ? L’hypothèse est sur la table mais la question semble faire débat.


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Rfi.fr - 08h45

La Guinée sera-t-elle sanctionnée lors du sommet de la Cédéao?

La Cédéao se réunit, ce jeudi 16 septembre, en sommet extraordinaire pour statuer sur le cas de la Guinée, onze jours après le coup d’État. La semaine dernière, l’organisation sous-régionale avait suspendu le pays de ses instances. Ira-t-elle plus loin ce jeudi en sanctionnant directement le pays ? L’hypothèse est sur la table. Pour les aider à trancher, les chefs d’États ouest-africains auront entre leurs mains le rapport de la mission qui s’est rendue sur place vendredi dernier.
Dans leur rapport de mission, les émissaires de la Cédéao formulent plusieurs recommandations. D’abord que la transition soit civile ensuite qu’elle soit courte. Les membres de la mission étaient divisés sur sa durée, certains plaidant pour une transition rapide de 6 mois, d’autres pour une parenthèse d’un an. « Mais tout le monde est d’accord qu’on ne doit pas dépasser les 12 mois », assure hors micro un des membres de la mission.
Parmi les autres recommandations figurent la libération des prisonniers et en particulier celle du président déchu Alpha Condé. Ces préconisations seront au centre des débats ce jeudi. Les chefs d’État choisiront-ils en parallèle de sanctionner le pays comme ils l’avaient fait l’an passé pour le Mali après le 1er coup d’État ? L’hypothèse est sur la table mais la question semble faire débat.

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Rfi.fr - 08h39

Le chef du groupe jihadiste État islamique au Grand Sahara tué par les forces françaises

Le chef du groupe jihadiste État islamique au Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid al-Sahraoui, a été « neutralisé » par les forces françaises. Le président français Emmanuel Macron l’a annoncé dans la nuit de mercredi à jeudi sur son compte Twitter.
« Il s’agit d’un nouveau succès majeur dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes au Sahel », a tweeté Emmanuel Macron, ajoutant que la France pense « aux familles endeuillées » et aux blessés. « Avec nos partenaires africains, européens et américains, nous poursuivrons ce combat ».
Adnan Abou Walid al Sahraoui, chef du groupe terroriste État islamique au Grand Sahara a été neutralisé par les forces françaises. Il s’agit d’un nouveau succès majeur dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes au Sahel.
Adnan Abou Walid al-Sahraoui serait tombé le mois dernier entre la localité malienne de Ménaka et la frontière nigérienne lors d’une opération militaire ciblée, explique notre correspondant à Bamako, Serge Daniel. Une source sécuritaire française précise qu’après l’avoir repéré, les forces françaises sur le terrain ont mené une opération militaire fin août. Mais il a fallu du temps pour procéder aux vérifications nécessaire et confirmer son identité, selon une autre source bien informée.
Adnan Abou Walid al-Sahraoui, originaire du Sahara Occidental, était l’ex-dirigeant du Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest) et le chef historique de l’État islamique au Grand Sahara depuis sa création en 2015. Il a été tué ainsi que plusieurs autres de ses compagnons qui tentaient de quitter le nord du Mali pour le Niger voisin.


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Rfi.fr - 08h39

Le chef du groupe jihadiste État islamique au Grand Sahara tué par les forces françaises

Le chef du groupe jihadiste État islamique au Grand Sahara (EIGS), Adnan Abou Walid al-Sahraoui, a été « neutralisé » par les forces françaises. Le président français Emmanuel Macron l’a annoncé dans la nuit de mercredi à jeudi sur son compte Twitter.
« Il s’agit d’un nouveau succès majeur dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes au Sahel », a tweeté Emmanuel Macron, ajoutant que la France pense « aux familles endeuillées » et aux blessés. « Avec nos partenaires africains, européens et américains, nous poursuivrons ce combat ».
Adnan Abou Walid al Sahraoui, chef du groupe terroriste État islamique au Grand Sahara a été neutralisé par les forces françaises. Il s’agit d’un nouveau succès majeur dans le combat que nous menons contre les groupes terroristes au Sahel.
Adnan Abou Walid al-Sahraoui serait tombé le mois dernier entre la localité malienne de Ménaka et la frontière nigérienne lors d’une opération militaire ciblée, explique notre correspondant à Bamako, Serge Daniel. Une source sécuritaire française précise qu’après l’avoir repéré, les forces françaises sur le terrain ont mené une opération militaire fin août. Mais il a fallu du temps pour procéder aux vérifications nécessaire et confirmer son identité, selon une autre source bien informée.
Adnan Abou Walid al-Sahraoui, originaire du Sahara Occidental, était l’ex-dirigeant du Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest) et le chef historique de l’État islamique au Grand Sahara depuis sa création en 2015. Il a été tué ainsi que plusieurs autres de ses compagnons qui tentaient de quitter le nord du Mali pour le Niger voisin.

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mercredi 15 septembre

Rfi.fr - 18h04

Angola: l’ex-président José Eduardo dos Santos de retour à Luanda

Maintes fois annoncé, ce retour en catimini de l’ex-homme fort de l’Angola, José Eduardo dos Santos qui a dirigé le pays 38 ans, est donc effectif. L’ex-président est également protégé par la Constitution. Son statut d’ancien chef d’État bloque en effet toute poursuite criminelle jusqu’en 2022.
Alors que son fils, José Filomeno, a été condamné à cinq ans de prison pour détournements de fonds publics, que sa fille Isabel est soupçonnée dans de nombreux dossiers de corruption, l’ex-président vient-il négocier ? Ce retour a sans aucun doute été validé par l’actuel chef de l’État et ancien ministre de la Défense de dos Santos, Joao Lourenço. C’est en effet lui qui, après avoir été élu président et pris la tête du MPLA, le parti au pouvoir, a déclenché les poursuites contre le clan familial.
Pour le politologue Olívio Kilumbo, malgré son exil de deux ans, officiellement pour raisons médicales, José Eduardo dos Santos a gardé un réel pouvoir d’influence : « C’est un véritable patrimoine des Angolais, car il est le seul ancien président encore en vie. Il a donc une voix importante, car il peut réussir soit à jouer un rôle d’influence positive, soit à exacerber les tensions », analyse-t-il.
Aucune information n’a été donnée sur la durée du retour de l’ex-chef d’État au pays. Un voyage qui coïncide en tout cas avec deux échéances importantes à venir : le congrès du MPLA en fin d’année, et les élections parlementaires en août 2022, qui entraineront la désignation du prochain chef de l’État.


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Rfi.fr - 18h04

Angola: l’ex-président José Eduardo dos Santos de retour à Luanda

Maintes fois annoncé, ce retour en catimini de l’ex-homme fort de l’Angola, José Eduardo dos Santos qui a dirigé le pays 38 ans, est donc effectif. L’ex-président est également protégé par la Constitution. Son statut d’ancien chef d’État bloque en effet toute poursuite criminelle jusqu’en 2022.
Alors que son fils, José Filomeno, a été condamné à cinq ans de prison pour détournements de fonds publics, que sa fille Isabel est soupçonnée dans de nombreux dossiers de corruption, l’ex-président vient-il négocier ? Ce retour a sans aucun doute été validé par l’actuel chef de l’État et ancien ministre de la Défense de dos Santos, Joao Lourenço. C’est en effet lui qui, après avoir été élu président et pris la tête du MPLA, le parti au pouvoir, a déclenché les poursuites contre le clan familial.
Pour le politologue Olívio Kilumbo, malgré son exil de deux ans, officiellement pour raisons médicales, José Eduardo dos Santos a gardé un réel pouvoir d’influence : « C’est un véritable patrimoine des Angolais, car il est le seul ancien président encore en vie. Il a donc une voix importante, car il peut réussir soit à jouer un rôle d’influence positive, soit à exacerber les tensions », analyse-t-il.
Aucune information n’a été donnée sur la durée du retour de l’ex-chef d’État au pays. Un voyage qui coïncide en tout cas avec deux échéances importantes à venir : le congrès du MPLA en fin d’année, et les élections parlementaires en août 2022, qui entraineront la désignation du prochain chef de l’État.

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Le Point - 15h48

Gambie : remous autour de l’accord des partis de Barrow et Jammeh

Quel scénario le NPP du président Barrow et l’APRC de l’ex-autocrate Yahya Jammeh, accusé de violations des droits de l’homme, envisagent-ils ? La température politique monte d’un cran en Gambie, ce petit pays enclavé dans le Sénégal, à deux mois du début de la campagne de l’élection présidentielle. En cause : l’alliance que le parti du président Adama Barrow, tombeur de l’ex-dictateur Yahya Jammeh, vient de nouer avec le parti de son prédécesseur pourtant accusé de violations des droits de l’homme.
Le Parti national du peuple (NPP) de M. Barrow et l’Alliance patriotique pour la réorientation et la construction (APRC) de M. Jammeh ont donc décidé de faire cause commune en vue de l’élection du 4 décembre, ce qui a ulcéré le Centre gambien pour les victimes de violations des droits de l’homme. « Cette alliance survient au moment où la commission Vérité, réconciliation et réparations (TRRC) est sur le point d’achever sa mission et de remettre son rapport final et ses recommandations au président » Barrow, a souligné cette ONG dans un communiqué cité par l’AFP.
Le Centre gambien pour les victimes de violations des droits de l’homme voit dans cette alliance une « menace pour l’application par le gouvernement des recommandations de la TRRC » et accuse le chef de l’État « d’abandonner les citoyens gambiens éplorés pour retourner dans les bras de ce tyran meurtrier et violeur et son parti terroriste » dans le seul but de se maintenir au pouvoir.
En deux ans d’auditions devant la TRRC, plus de 370 témoins ont raconté des assassinats, des tortures, un massacre de migrants ouest-africains pris pour des mercenaires, ou encore des viols, tous imputés à Yahya Jammeh et à son règne de 22 ans sur cette ancienne colonie britannique, marqué du sceau de la paranoïa, selon ses détracteurs.


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Le Point - 15h48

Gambie : remous autour de l’accord des partis de Barrow et Jammeh

Quel scénario le NPP du président Barrow et l’APRC de l’ex-autocrate Yahya Jammeh, accusé de violations des droits de l’homme, envisagent-ils ? La température politique monte d’un cran en Gambie, ce petit pays enclavé dans le Sénégal, à deux mois du début de la campagne de l’élection présidentielle. En cause : l’alliance que le parti du président Adama Barrow, tombeur de l’ex-dictateur Yahya Jammeh, vient de nouer avec le parti de son prédécesseur pourtant accusé de violations des droits de l’homme.
Le Parti national du peuple (NPP) de M. Barrow et l’Alliance patriotique pour la réorientation et la construction (APRC) de M. Jammeh ont donc décidé de faire cause commune en vue de l’élection du 4 décembre, ce qui a ulcéré le Centre gambien pour les victimes de violations des droits de l’homme. « Cette alliance survient au moment où la commission Vérité, réconciliation et réparations (TRRC) est sur le point d’achever sa mission et de remettre son rapport final et ses recommandations au président » Barrow, a souligné cette ONG dans un communiqué cité par l’AFP.
Le Centre gambien pour les victimes de violations des droits de l’homme voit dans cette alliance une « menace pour l’application par le gouvernement des recommandations de la TRRC » et accuse le chef de l’État « d’abandonner les citoyens gambiens éplorés pour retourner dans les bras de ce tyran meurtrier et violeur et son parti terroriste » dans le seul but de se maintenir au pouvoir.
En deux ans d’auditions devant la TRRC, plus de 370 témoins ont raconté des assassinats, des tortures, un massacre de migrants ouest-africains pris pour des mercenaires, ou encore des viols, tous imputés à Yahya Jammeh et à son règne de 22 ans sur cette ancienne colonie britannique, marqué du sceau de la paranoïa, selon ses détracteurs.

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Rfi.fr - 09h02

Référendum en Californie: victoire du gouverneur démocrate, qui échappe à la révocation

Gavin Newsom reste gouverneur de Californie, l’État le plus peuplé et le plus riche des États-Unis. Moins d’une heure après la fermeture des bureaux de vote ce mardi 14 septembre, le « non » obtenait plus de 66% des voix après dépouillement de plus de 60% des bulletins déjà comptabilisés, selon CNN et NBC. Le démocrate devait l’emporter avec la majorité absolue pour éviter la révocation. C’est une victoire pour Gavin Newsom, mais aussi pour l’exécutif et le président Joe Biden, venu le soutenir à la veille du vote..


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Rfi.fr - 09h02

Référendum en Californie: victoire du gouverneur démocrate, qui échappe à la révocation

Gavin Newsom reste gouverneur de Californie, l’État le plus peuplé et le plus riche des États-Unis. Moins d’une heure après la fermeture des bureaux de vote ce mardi 14 septembre, le « non » obtenait plus de 66% des voix après dépouillement de plus de 60% des bulletins déjà comptabilisés, selon CNN et NBC. Le démocrate devait l’emporter avec la majorité absolue pour éviter la révocation. C’est une victoire pour Gavin Newsom, mais aussi pour l’exécutif et le président Joe Biden, venu le soutenir à la veille du vote..

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Le Figaro - 08h57

Mali : la France menace de partir si Bamako a recours aux mercenaires russes

Florence Parly et Jean-Yves Le Drian ont clairement annoncé leur retrait en cas d’accord du nouveau gouvernement malien avec le groupe Wagner. Cette société, très liée au Kremlin, est connue pour ses exactions.
Les autorités françaises se sont ouvertement inquiétées mardi 14 septembre des discussions entre Bamako et la société privée russe Wagner, avertissant qu’un déploiement de ces paramilitaires au Mali pourrait entraîner un retrait des troupes françaises, qui y combattent depuis huit ans les groupes djihadistes.
Une implication de la société privée russe Wagner au Mali serait «incompatible» avec le maintien d’une force française, a averti mardi le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, devant la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.
«C’est absolument inconciliable avec notre présence» et «incompatible avec l’action des partenaires sahéliens et internationaux du Mali», a-t-il martelé, soulignant que les paramilitaires de Wagner «se sont illustrés dans le passé singulièrement en Syrie, en Centrafrique beaucoup avec des exactions, des prédations, des violations en tous genres (et) ne peuvent pas correspondre à une solution quelconque».


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Le Figaro - 08h57

Mali : la France menace de partir si Bamako a recours aux mercenaires russes

Florence Parly et Jean-Yves Le Drian ont clairement annoncé leur retrait en cas d’accord du nouveau gouvernement malien avec le groupe Wagner. Cette société, très liée au Kremlin, est connue pour ses exactions.
Les autorités françaises se sont ouvertement inquiétées mardi 14 septembre des discussions entre Bamako et la société privée russe Wagner, avertissant qu’un déploiement de ces paramilitaires au Mali pourrait entraîner un retrait des troupes françaises, qui y combattent depuis huit ans les groupes djihadistes.
Une implication de la société privée russe Wagner au Mali serait «incompatible» avec le maintien d’une force française, a averti mardi le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, devant la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.
«C’est absolument inconciliable avec notre présence» et «incompatible avec l’action des partenaires sahéliens et internationaux du Mali», a-t-il martelé, soulignant que les paramilitaires de Wagner «se sont illustrés dans le passé singulièrement en Syrie, en Centrafrique beaucoup avec des exactions, des prédations, des violations en tous genres (et) ne peuvent pas correspondre à une solution quelconque».

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mardi 14 septembre

Rfi.fr - 17h50

Nigeria : plus de 70 enfants libérés lors d’une vaste opération militaire

Dans le nord-ouest du Nigeria, les autorités de l’Etat de Zamfara ont annoncé la libération de plus de 70 enfants qui avaient été kidnappés début septembre dans leur école de Kaya. Depuis deux semaines, l’armée nigériane est engagée dans une vaste opération militaire visant à démanteler les camps des groupes armés implantés dans la région.
Ces groupes armés sont spécialisés dans le vol de bétail, les attaques de camions, et surtout les kidnappings contre rançon : plus de 1 000 enfants et adolescents ont ainsi été enlevés dans leurs établissements scolaires depuis le mois de décembre 2020. Face à la dégradation de la situation, les autorités ont finalement opté pour la méthode forte.
Après avoir prôné le dialogue et signé bon nombre d’accords d’amnistie avec les gangs criminels locaux, le gouverneur de l’Etat de Zamfara a complètement changé de ton ces dernières semaines. Depuis la fin du mois d’août, une série de mesures ont été prises pour appuyer une opération des forces de sécurités nigérianes, chargées de « nettoyer » l’Etat des « bandits » comme on les surnomme localement.
Pour faciliter le démantèlement des nombreux camps implantés dans l’Etat de Zamfara, les marchés de bétail hebdomadaires ont été suspendus et toutes les communications ont été coupées pour une durée de deux semaines. Une décision qui inquiète les représentants de la société civile, qui estiment que la suspension des lignes téléphoniques et d’internet revient à « punir les citoyens » innocents.


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Rfi.fr - 17h50

Nigeria : plus de 70 enfants libérés lors d’une vaste opération militaire

Dans le nord-ouest du Nigeria, les autorités de l’Etat de Zamfara ont annoncé la libération de plus de 70 enfants qui avaient été kidnappés début septembre dans leur école de Kaya. Depuis deux semaines, l’armée nigériane est engagée dans une vaste opération militaire visant à démanteler les camps des groupes armés implantés dans la région.
Ces groupes armés sont spécialisés dans le vol de bétail, les attaques de camions, et surtout les kidnappings contre rançon : plus de 1 000 enfants et adolescents ont ainsi été enlevés dans leurs établissements scolaires depuis le mois de décembre 2020. Face à la dégradation de la situation, les autorités ont finalement opté pour la méthode forte.
Après avoir prôné le dialogue et signé bon nombre d’accords d’amnistie avec les gangs criminels locaux, le gouverneur de l’Etat de Zamfara a complètement changé de ton ces dernières semaines. Depuis la fin du mois d’août, une série de mesures ont été prises pour appuyer une opération des forces de sécurités nigérianes, chargées de « nettoyer » l’Etat des « bandits » comme on les surnomme localement.
Pour faciliter le démantèlement des nombreux camps implantés dans l’Etat de Zamfara, les marchés de bétail hebdomadaires ont été suspendus et toutes les communications ont été coupées pour une durée de deux semaines. Une décision qui inquiète les représentants de la société civile, qui estiment que la suspension des lignes téléphoniques et d’internet revient à « punir les citoyens » innocents.

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Rfi.fr - 17h02

En Centrafrique, les premières audiences de la Cour martiale attendues d’ici la fin du mois

Les mercenaires russes de la société privée Wagner seront-ils bientôt actifs au Mali ? Oui, selon l’agence de presse britannique Reuters, qui affirme que des négociations entre les autorités de transition et le groupe Wagner sont en cours et même « proches de conclure ».
Le groupe Wagner est déjà présent en Afrique, notamment en Libye ou en Centrafrique, où ses exactions ont été documentées par des journalistes, de RFI notamment, et par des organisations de défense des droits de l’homme. Au Mali, en revanche, ce serait une première et cela, dans un contexte de désengagement français avec la fin annoncée de l’opération Barkhane et la réduction des effectifs militaires français dans le pays.
L’accord en cours de négociation porterait, selon Reuters, sur l’envoi de plusieurs centaines, voire d’un millier de mercenaires russes au Mali. Le groupe Wagner serait payé six milliards de francs CFA – plus de neuf millions d’euros – par mois pour former des militaires maliens et assurer la protection de certains hauts dirigeants. Pas de participation directe au combat contre les groupes terroristes.
L’accès du groupe Wagner à trois sites miniers ferait également partie des discussions. Reuters s’appuie sur sept sources diplomatiques et militaires, mais aucune confirmation officielle, ni côté Wagner, ni côté malien. Sollicitées par RFI, depuis plusieurs jours sur le sujet, aucune des autorités gouvernementales, militaires ou à la présidence contactées n’a confirmé les discussions en cours.


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Rfi.fr - 17h02

En Centrafrique, les premières audiences de la Cour martiale attendues d’ici la fin du mois

Les mercenaires russes de la société privée Wagner seront-ils bientôt actifs au Mali ? Oui, selon l’agence de presse britannique Reuters, qui affirme que des négociations entre les autorités de transition et le groupe Wagner sont en cours et même « proches de conclure ».
Le groupe Wagner est déjà présent en Afrique, notamment en Libye ou en Centrafrique, où ses exactions ont été documentées par des journalistes, de RFI notamment, et par des organisations de défense des droits de l’homme. Au Mali, en revanche, ce serait une première et cela, dans un contexte de désengagement français avec la fin annoncée de l’opération Barkhane et la réduction des effectifs militaires français dans le pays.
L’accord en cours de négociation porterait, selon Reuters, sur l’envoi de plusieurs centaines, voire d’un millier de mercenaires russes au Mali. Le groupe Wagner serait payé six milliards de francs CFA – plus de neuf millions d’euros – par mois pour former des militaires maliens et assurer la protection de certains hauts dirigeants. Pas de participation directe au combat contre les groupes terroristes.
L’accès du groupe Wagner à trois sites miniers ferait également partie des discussions. Reuters s’appuie sur sept sources diplomatiques et militaires, mais aucune confirmation officielle, ni côté Wagner, ni côté malien. Sollicitées par RFI, depuis plusieurs jours sur le sujet, aucune des autorités gouvernementales, militaires ou à la présidence contactées n’a confirmé les discussions en cours.

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Rfi.fr - 17h00

Mali: les mercenaires russes du groupe Wagner bientôt présents dans le pays?

Les mercenaires russes de la société privée Wagner seront-ils bientôt actifs au Mali ? Oui, selon l’agence de presse britannique Reuters, qui affirme que des négociations entre les autorités de transition et le groupe Wagner sont en cours et même « proches de conclure ».
Le groupe Wagner est déjà présent en Afrique, notamment en Libye ou en Centrafrique, où ses exactions ont été documentées par des journalistes, de RFI notamment, et par des organisations de défense des droits de l’homme. Au Mali, en revanche, ce serait une première et cela, dans un contexte de désengagement français avec la fin annoncée de l’opération Barkhane et la réduction des effectifs militaires français dans le pays.
L’accord en cours de négociation porterait, selon Reuters, sur l’envoi de plusieurs centaines, voire d’un millier de mercenaires russes au Mali. Le groupe Wagner serait payé six milliards de francs CFA – plus de neuf millions d’euros – par mois pour former des militaires maliens et assurer la protection de certains hauts dirigeants. Pas de participation directe au combat contre les groupes terroristes.
L’accès du groupe Wagner à trois sites miniers ferait également partie des discussions. Reuters s’appuie sur sept sources diplomatiques et militaires, mais aucune confirmation officielle, ni côté Wagner, ni côté malien. Sollicitées par RFI, depuis plusieurs jours sur le sujet, aucune des autorités gouvernementales, militaires ou à la présidence contactées n’a confirmé les discussions en cours.


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Rfi.fr - 17h00

Mali: les mercenaires russes du groupe Wagner bientôt présents dans le pays?

Les mercenaires russes de la société privée Wagner seront-ils bientôt actifs au Mali ? Oui, selon l’agence de presse britannique Reuters, qui affirme que des négociations entre les autorités de transition et le groupe Wagner sont en cours et même « proches de conclure ».
Le groupe Wagner est déjà présent en Afrique, notamment en Libye ou en Centrafrique, où ses exactions ont été documentées par des journalistes, de RFI notamment, et par des organisations de défense des droits de l’homme. Au Mali, en revanche, ce serait une première et cela, dans un contexte de désengagement français avec la fin annoncée de l’opération Barkhane et la réduction des effectifs militaires français dans le pays.
L’accord en cours de négociation porterait, selon Reuters, sur l’envoi de plusieurs centaines, voire d’un millier de mercenaires russes au Mali. Le groupe Wagner serait payé six milliards de francs CFA – plus de neuf millions d’euros – par mois pour former des militaires maliens et assurer la protection de certains hauts dirigeants. Pas de participation directe au combat contre les groupes terroristes.
L’accès du groupe Wagner à trois sites miniers ferait également partie des discussions. Reuters s’appuie sur sept sources diplomatiques et militaires, mais aucune confirmation officielle, ni côté Wagner, ni côté malien. Sollicitées par RFI, depuis plusieurs jours sur le sujet, aucune des autorités gouvernementales, militaires ou à la présidence contactées n’a confirmé les discussions en cours.

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Le Point - 16h08

Covid-19 : Poutine cas contact et contraint de s’isoler

Le Kremlin a annoncé que plusieurs cas positifs au Covid-19 avaient été détectés dans l’entourage du président russe, vacciné avec le Spoutnik V. Vladimir Poutine est contraint de s’isoler, car il est cas contact. Le président russe a rencontré cette semaine plusieurs personnes testées positives au coronavirus. Le Kremlin a assuré qu’il s’était soumis à un test de dépistage, mais a refusé d’en révéler le résultat. « En raison de cas identifiés de coronavirus dans son entourage, Vladimir Poutine doit respecter un régime d’auto-isolement pendant une certaine période de temps », est-il précisé dans un communiqué. Selon Dmitri Peskov, porte-parole du président russe, plusieurs cas de coronavirus ont été détectés dans l’entourage du président russe, mais il n’a pas précisé de qui il s’agissait, ni s’ils étaient vaccinés contre le Covid-19.
Vladimir Poutine a rappelé, de son côté, qu’il était vacciné avec le vaccin russe Spoutnik V. « J’espère que tout se passera comme il se doit, et que le Spoutnik V démontrera vraiment son haut niveau de protection contre le Covid-19 », a-t-il affirmé lors d’une visioconférence avec des cadres de son parti et de son gouvernement retransmise à la télévision. « L’isolement n’affectera pas directement le travail du président, mais, désormais, il n’y aura pas d’événements à temps plein pendant un certain temps », a par ailleurs indiqué son porte-parole.
La Russie est l’un des États dans le monde où l’épidémie a fait le plus de morts, et la vaccination, sur fond de méfiance à l’égard du gouvernement, est à la traîne. Le pays a été particulièrement endeuillé par le variant Delta qui fait des ravages depuis le mois de juin. Selon l’agence des statistiques Rosstat, quelque 350 000 Russes étaient morts du Covid-19 à la fin juillet 2021. Selon un décompte du site Gogov, seulement 27,3 % de la population russe était totalement vaccinée.


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Le Point - 16h08

Covid-19 : Poutine cas contact et contraint de s’isoler

Le Kremlin a annoncé que plusieurs cas positifs au Covid-19 avaient été détectés dans l’entourage du président russe, vacciné avec le Spoutnik V. Vladimir Poutine est contraint de s’isoler, car il est cas contact. Le président russe a rencontré cette semaine plusieurs personnes testées positives au coronavirus. Le Kremlin a assuré qu’il s’était soumis à un test de dépistage, mais a refusé d’en révéler le résultat. « En raison de cas identifiés de coronavirus dans son entourage, Vladimir Poutine doit respecter un régime d’auto-isolement pendant une certaine période de temps », est-il précisé dans un communiqué. Selon Dmitri Peskov, porte-parole du président russe, plusieurs cas de coronavirus ont été détectés dans l’entourage du président russe, mais il n’a pas précisé de qui il s’agissait, ni s’ils étaient vaccinés contre le Covid-19.
Vladimir Poutine a rappelé, de son côté, qu’il était vacciné avec le vaccin russe Spoutnik V. « J’espère que tout se passera comme il se doit, et que le Spoutnik V démontrera vraiment son haut niveau de protection contre le Covid-19 », a-t-il affirmé lors d’une visioconférence avec des cadres de son parti et de son gouvernement retransmise à la télévision. « L’isolement n’affectera pas directement le travail du président, mais, désormais, il n’y aura pas d’événements à temps plein pendant un certain temps », a par ailleurs indiqué son porte-parole.
La Russie est l’un des États dans le monde où l’épidémie a fait le plus de morts, et la vaccination, sur fond de méfiance à l’égard du gouvernement, est à la traîne. Le pays a été particulièrement endeuillé par le variant Delta qui fait des ravages depuis le mois de juin. Selon l’agence des statistiques Rosstat, quelque 350 000 Russes étaient morts du Covid-19 à la fin juillet 2021. Selon un décompte du site Gogov, seulement 27,3 % de la population russe était totalement vaccinée.

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Le Point - 16h02

Guinée: les militaires lancent une concertation cruciale en vue d’un rétablissement d’un pouvoir civil

Les militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée ont ouvert mardi quatre jours de consultations tous azimuts pour définir le contenu d’une transition censée ramener les civils à la tête du pays, à une date inconnue.
Jusqu’à vendredi vont se succéder auprès des putschistes les chefs des partis politiques, puis ceux des confessions religieuses mardi, suivis par la société civile, les diplomates étrangers, les patrons des compagnies minières ou encore les syndicats.
Les discussions, qui se sont ouvertes en fin de matinée au Palais du peuple, siège du Parlement, se sont déroulées à huis clos, sans les médias internationaux, mais plusieurs participants ont ensuite indiqué que le nouveau maître du pays, le lieutenant-colonel Mamady Doumbouya, s’était montré « rassembleur » et à l’écoute lors de cette première rencontre.
Il a rappelé les motivations du putsch du 5 septembre contre le président Alpha Condé, détenu depuis, mais n’a donné aucun détail, selon les participants sur la transition à venir, qui doit être confiée à un futur « gouvernement d’union nationale ».


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Le Point - 16h02

Guinée: les militaires lancent une concertation cruciale en vue d’un rétablissement d’un pouvoir civil

Les militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée ont ouvert mardi quatre jours de consultations tous azimuts pour définir le contenu d’une transition censée ramener les civils à la tête du pays, à une date inconnue.
Jusqu’à vendredi vont se succéder auprès des putschistes les chefs des partis politiques, puis ceux des confessions religieuses mardi, suivis par la société civile, les diplomates étrangers, les patrons des compagnies minières ou encore les syndicats.
Les discussions, qui se sont ouvertes en fin de matinée au Palais du peuple, siège du Parlement, se sont déroulées à huis clos, sans les médias internationaux, mais plusieurs participants ont ensuite indiqué que le nouveau maître du pays, le lieutenant-colonel Mamady Doumbouya, s’était montré « rassembleur » et à l’écoute lors de cette première rencontre.
Il a rappelé les motivations du putsch du 5 septembre contre le président Alpha Condé, détenu depuis, mais n’a donné aucun détail, selon les participants sur la transition à venir, qui doit être confiée à un futur « gouvernement d’union nationale ».

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Le Figaro - 15h47

Etats-Unis : le gouverneur de Californie menacé de révocation

Gavin Newsom sera-t-il toujours le gouverneur démocrate de la Californie, l’État le plus peuplé de l’Union, mercredi, ou devra-t-il céder la place à un fervent défenseur de Donald Trump, l’animateur de radio afro-américain ultraconservateur de 66 ans Larry Elder? Telle est la question que se posent 40 millions d’anxieux Californiens sommés de voter en personne ou par correspondance d’ici à ce mardi pour ou contre le recall.
Cette procédure permet aux citoyens de révoquer un élu avant le terme de son mandat si les partisans de cette action, spécifique à la Californie, parviennent à recueillir assez de signatures (1.495.708 dans ce cas) pour forcer un vote par référendum. Or, au printemps, le camp républicain en a récolté plus de 2 millions. Dans l’histoire de l’État, seul le gouverneur démocrate Gray Davis a été révoqué, en 2003, pour être remplacé par le républicain Arnold Schwarzenegger.


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Le Figaro - 15h47

Etats-Unis : le gouverneur de Californie menacé de révocation

Gavin Newsom sera-t-il toujours le gouverneur démocrate de la Californie, l’État le plus peuplé de l’Union, mercredi, ou devra-t-il céder la place à un fervent défenseur de Donald Trump, l’animateur de radio afro-américain ultraconservateur de 66 ans Larry Elder? Telle est la question que se posent 40 millions d’anxieux Californiens sommés de voter en personne ou par correspondance d’ici à ce mardi pour ou contre le recall.
Cette procédure permet aux citoyens de révoquer un élu avant le terme de son mandat si les partisans de cette action, spécifique à la Californie, parviennent à recueillir assez de signatures (1.495.708 dans ce cas) pour forcer un vote par référendum. Or, au printemps, le camp républicain en a récolté plus de 2 millions. Dans l’histoire de l’État, seul le gouverneur démocrate Gray Davis a été révoqué, en 2003, pour être remplacé par le républicain Arnold Schwarzenegger.

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lundi 13 septembre

Rfi.fr - 11h27

Rentrée scolaire en Côte d’Ivoire: un rapport dénonce la marchandisation de l’éducation

Deux organisations spécialisées dans les droits sociaux et l’éducation, Global initiative for economic social and cultural rights et le Réseau de recherche francophone sur la privatisation de l’éducation, se sont associées au MIDH pour produire cette étude réalisée entre 2019 et 2021 dans des établissements scolaires d’Abidjan, de Bouaké et de Daloa.
Les auteurs de l’étude notent un important mouvement de privatisation de l’éducation. « Il y a trop d’acteurs privés dans l’éducation, explique Drissa Bamba, le président du MIDH. Pour s’en convaincre, il faut regarder le ratio d’établissements publics et d’établissements privés dans les différentes localités. »
Le pays compte 3 300 écoles privées qui accueillent un peu plus de 2,5 millions d’élèves, soit 37% du total du nombre d’élèves. Problème : Drissa Bamba déplore le non-respect des normes pédagogiques et sociales dans ces établissements privés : « Au terme de notre étude, nous pouvons affirmer sans ambages que l’école est devenue, aujourd’hui, une marchandise qui permet à certains acteurs de notre système scolaire de s’enrichir. Ceci relègue au second plan la notion d’éducation et de formation de nos enfants. »


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Rfi.fr - 11h27

Rentrée scolaire en Côte d’Ivoire: un rapport dénonce la marchandisation de l’éducation

Deux organisations spécialisées dans les droits sociaux et l’éducation, Global initiative for economic social and cultural rights et le Réseau de recherche francophone sur la privatisation de l’éducation, se sont associées au MIDH pour produire cette étude réalisée entre 2019 et 2021 dans des établissements scolaires d’Abidjan, de Bouaké et de Daloa.
Les auteurs de l’étude notent un important mouvement de privatisation de l’éducation. « Il y a trop d’acteurs privés dans l’éducation, explique Drissa Bamba, le président du MIDH. Pour s’en convaincre, il faut regarder le ratio d’établissements publics et d’établissements privés dans les différentes localités. »
Le pays compte 3 300 écoles privées qui accueillent un peu plus de 2,5 millions d’élèves, soit 37% du total du nombre d’élèves. Problème : Drissa Bamba déplore le non-respect des normes pédagogiques et sociales dans ces établissements privés : « Au terme de notre étude, nous pouvons affirmer sans ambages que l’école est devenue, aujourd’hui, une marchandise qui permet à certains acteurs de notre système scolaire de s’enrichir. Ceci relègue au second plan la notion d’éducation et de formation de nos enfants. »

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Rfi.fr - 11h17

États-Unis: le plan de relance de Joe Biden freiné par un sénateur démocrate

Dimanche, le sénateur démocrate de Virginie occidentale Joe Manchin a fait savoir qu’il ne soutiendrait pas les 3 500 milliards d’investissements voulus par le président américain.
Depuis le début des discussions autour de ce plan de réformes, Joe Manchin est sans doute le maillon le moins fiable du camp démocrate. À plusieurs reprises, il a exprimé des doutes, devenant l’élu à convaincre et même à courtiser pour s’assurer d’un vote au Sénat. Mais alors que les démocrates pensaient avoir le soutien de tous les élus du parti, le sénateur de Virginie occidentale fait barrage.
Ce qui risque de compliquer la tâche de Chuck Schumer, le chef des démocrates au Sénat. « Il n’aura pas mon vote et Chuck le sait. On en a déjà parlé. On a déjà débloqué 5 000 milliards pour relancer l’économie et aider les Américains autant qu’on peut. »
Le plan de Joe Biden, élément crucial de sa politique Build Back Better, « reconstruire l’Amérique » prévoit une enveloppe de plus de 3 000 milliards de dollars sur les 10 prochaines années pour des réformes en profondeur pour Les écoles, les hôpitaux, le logement ou encore le climat.
Vu l’avance très courte des démocrates au Sénat, et l’opposition des républicains, ils ont besoin des votes de tous les élus du parti. Ils ne peuvent donc pas se permettre de perdre le vote de Joe Manchin qui se dit favorable à une enveloppe moins coûteuse.


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Rfi.fr - 11h17

États-Unis: le plan de relance de Joe Biden freiné par un sénateur démocrate

Dimanche, le sénateur démocrate de Virginie occidentale Joe Manchin a fait savoir qu’il ne soutiendrait pas les 3 500 milliards d’investissements voulus par le président américain.
Depuis le début des discussions autour de ce plan de réformes, Joe Manchin est sans doute le maillon le moins fiable du camp démocrate. À plusieurs reprises, il a exprimé des doutes, devenant l’élu à convaincre et même à courtiser pour s’assurer d’un vote au Sénat. Mais alors que les démocrates pensaient avoir le soutien de tous les élus du parti, le sénateur de Virginie occidentale fait barrage.
Ce qui risque de compliquer la tâche de Chuck Schumer, le chef des démocrates au Sénat. « Il n’aura pas mon vote et Chuck le sait. On en a déjà parlé. On a déjà débloqué 5 000 milliards pour relancer l’économie et aider les Américains autant qu’on peut. »
Le plan de Joe Biden, élément crucial de sa politique Build Back Better, « reconstruire l’Amérique » prévoit une enveloppe de plus de 3 000 milliards de dollars sur les 10 prochaines années pour des réformes en profondeur pour Les écoles, les hôpitaux, le logement ou encore le climat.
Vu l’avance très courte des démocrates au Sénat, et l’opposition des républicains, ils ont besoin des votes de tous les élus du parti. Ils ne peuvent donc pas se permettre de perdre le vote de Joe Manchin qui se dit favorable à une enveloppe moins coûteuse.

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Le Point - 10h05

Le trompettiste était accompagné d’un ambassadeur, qui était en fait le chef de la CIA, chargé de récolter des renseignements, selon « The Guardian ». Alors que le célèbre musicien pensait faire une tournée musicale dans plusieurs pays africains, anciennement colonisés, afin de redorer l’image des États-Unis, il était en réalité la couverture de la plus grande agence de renseignements américaine. La duperie a notamment eu lieu lors d’une soirée de novembre 1960. Louis Armstrong, son épouse et un prétendu diplomate de l’ambassade américaine sortaient dîner dans un restaurant de Léopoldville, capitale du Congo, nouvellement indépendant. Mais le trompettiste ignorait que son hôte n’était pas attaché politique, mais le chef de la CIA du pays de d’Afrique centrale. « Armstrong était essentiellement un cheval de Troie pour la CIA. C’est vraiment déchirant », a déclaré Susan Williams, chercheuse à la London University’s School of Advanced Study, à l’origine de ces révélations, auprès de The Guardian. « Il a été amené pour servir un intérêt qui était complètement contraire à sa propre vision de ce qui était bien ou mal. Il aurait été horrifié. »

Le trompettiste était accompagné d’un ambassadeur, qui était en fait le chef de la CIA, chargé de récolter des renseignements, selon « The Guardian ». Alors que le célèbre musicien pensait faire une tournée musicale dans plusieurs pays africains, anciennement colonisés, afin de redorer l’image des États-Unis, il était en réalité la couverture de la plus grande agence de renseignements américaine.
La duperie a notamment eu lieu lors d’une soirée de novembre 1960. Louis Armstrong, son épouse et un prétendu diplomate de l’ambassade américaine sortaient dîner dans un restaurant de Léopoldville, capitale du Congo, nouvellement indépendant. Mais le trompettiste ignorait que son hôte n’était pas attaché politique, mais le chef de la CIA du pays de d’Afrique centrale.
« Armstrong était essentiellement un cheval de Troie pour la CIA. C’est vraiment déchirant », a déclaré Susan Williams, chercheuse à la London University’s School of Advanced Study, à l’origine de ces révélations, auprès de The Guardian. « Il a été amené pour servir un intérêt qui était complètement contraire à sa propre vision de ce qui était bien ou mal. Il aurait été horrifié. »


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Le Point - 10h05

Le trompettiste était accompagné d’un ambassadeur, qui était en fait le chef de la CIA, chargé de récolter des renseignements, selon « The Guardian ». Alors que le célèbre musicien pensait faire une tournée musicale dans plusieurs pays africains, anciennement colonisés, afin de redorer l’image des États-Unis, il était en réalité la couverture de la plus grande agence de renseignements américaine. La duperie a notamment eu lieu lors d’une soirée de novembre 1960. Louis Armstrong, son épouse et un prétendu diplomate de l’ambassade américaine sortaient dîner dans un restaurant de Léopoldville, capitale du Congo, nouvellement indépendant. Mais le trompettiste ignorait que son hôte n’était pas attaché politique, mais le chef de la CIA du pays de d’Afrique centrale. « Armstrong était essentiellement un cheval de Troie pour la CIA. C’est vraiment déchirant », a déclaré Susan Williams, chercheuse à la London University’s School of Advanced Study, à l’origine de ces révélations, auprès de The Guardian. « Il a été amené pour servir un intérêt qui était complètement contraire à sa propre vision de ce qui était bien ou mal. Il aurait été horrifié. »

Le trompettiste était accompagné d’un ambassadeur, qui était en fait le chef de la CIA, chargé de récolter des renseignements, selon « The Guardian ». Alors que le célèbre musicien pensait faire une tournée musicale dans plusieurs pays africains, anciennement colonisés, afin de redorer l’image des États-Unis, il était en réalité la couverture de la plus grande agence de renseignements américaine.
La duperie a notamment eu lieu lors d’une soirée de novembre 1960. Louis Armstrong, son épouse et un prétendu diplomate de l’ambassade américaine sortaient dîner dans un restaurant de Léopoldville, capitale du Congo, nouvellement indépendant. Mais le trompettiste ignorait que son hôte n’était pas attaché politique, mais le chef de la CIA du pays de d’Afrique centrale.
« Armstrong était essentiellement un cheval de Troie pour la CIA. C’est vraiment déchirant », a déclaré Susan Williams, chercheuse à la London University’s School of Advanced Study, à l’origine de ces révélations, auprès de The Guardian. « Il a été amené pour servir un intérêt qui était complètement contraire à sa propre vision de ce qui était bien ou mal. Il aurait été horrifié. »

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Le Point - 09h56

Covid-19 : en Israël, l’heure des doutes

La quatrième vague, toujours en cours, et ce en dépit des premières injections de troisièmes doses, suscite de nombreuses interrogations dans le pays. En Israël, depuis le début du mois, deux groupes d’experts s’opposent sur les plateaux de télévision : les optimistes qui prévoient la décrue progressive de la quatrième vague. Et les pessimistes qui ne cessent d’avertir : il est trop tôt pour crier victoire. Avec la rentrée des classes et les nombreux rassemblements durant les fêtes juives de septembre, on risque de se retrouver avec des courbes en forte hausse. À l’heure où ces lignes sont écrites, force est de reconnaître que le deuxième groupe, celui des pessimistes, gagne du terrain.


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Le Point - 09h56

Covid-19 : en Israël, l’heure des doutes

La quatrième vague, toujours en cours, et ce en dépit des premières injections de troisièmes doses, suscite de nombreuses interrogations dans le pays. En Israël, depuis le début du mois, deux groupes d’experts s’opposent sur les plateaux de télévision : les optimistes qui prévoient la décrue progressive de la quatrième vague. Et les pessimistes qui ne cessent d’avertir : il est trop tôt pour crier victoire. Avec la rentrée des classes et les nombreux rassemblements durant les fêtes juives de septembre, on risque de se retrouver avec des courbes en forte hausse. À l’heure où ces lignes sont écrites, force est de reconnaître que le deuxième groupe, celui des pessimistes, gagne du terrain.

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Le Figaro - 09h38

Record d’assassinats de défenseurs de la nature en 2020

Au moins 227 défenseurs de l’environnement ont été assassinés dans le monde en 2020, au rythme de quatre par semaine, et la plupart en Amérique Latine, a dénoncé l’ONG Global Witness, dans un nouveau rapport publié lundi 13 septembre s’inquiétant de ce chiffre record.
Pour la deuxième année consécutive, la Colombie arrive en tête de ce macabre décompte, avec 65 activistes et leaders communautaires tués pour leur engagement en faveur de la défense de la nature, selon ce rapport. En dehors de Colombie, les crimes sont concentrés au Mexique (30), aux Philippines (29), au Brésil (20), au Honduras (17) et dans une douzaine d’autres pays.
Près de «trois attaques sur quatre» ont eu lieu en Amérique centrale ou en Amérique du Sud, ajoute Global Witness, qui souligne que ces attaques sont en augmentation constante depuis 2018. Les victimes ont plusieurs points en commun : 70 % d’entre elles travaillaient pour mettre fin à la déforestation et toutes, sauf une, vivaient dans des pays en développement. Un tiers appartenaient à des peuples autochtones.
*
Global Witness tient ces statistiques depuis 2012, et constate dans ce dernier rapport une augmentation constante de ces crimes ces trois dernières années (167 en 2018 et 212 en 2019). L’ONG a voulu cette année, comme l’indique le titre de son rapport, attirer l’attention sur «les industries qui sont la cause de la crise climatique et des attaques contre les défenseurs de l’environnement», selon elle. L’exploitation de bois, la construction de barrages, l’agro-industrie et l’exploitation minière sont les secteurs liés à la majorité des assassinats.


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Le Figaro - 09h38

Record d’assassinats de défenseurs de la nature en 2020

Au moins 227 défenseurs de l’environnement ont été assassinés dans le monde en 2020, au rythme de quatre par semaine, et la plupart en Amérique Latine, a dénoncé l’ONG Global Witness, dans un nouveau rapport publié lundi 13 septembre s’inquiétant de ce chiffre record.
Pour la deuxième année consécutive, la Colombie arrive en tête de ce macabre décompte, avec 65 activistes et leaders communautaires tués pour leur engagement en faveur de la défense de la nature, selon ce rapport. En dehors de Colombie, les crimes sont concentrés au Mexique (30), aux Philippines (29), au Brésil (20), au Honduras (17) et dans une douzaine d’autres pays.
Près de «trois attaques sur quatre» ont eu lieu en Amérique centrale ou en Amérique du Sud, ajoute Global Witness, qui souligne que ces attaques sont en augmentation constante depuis 2018. Les victimes ont plusieurs points en commun : 70 % d’entre elles travaillaient pour mettre fin à la déforestation et toutes, sauf une, vivaient dans des pays en développement. Un tiers appartenaient à des peuples autochtones.
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Global Witness tient ces statistiques depuis 2012, et constate dans ce dernier rapport une augmentation constante de ces crimes ces trois dernières années (167 en 2018 et 212 en 2019). L’ONG a voulu cette année, comme l’indique le titre de son rapport, attirer l’attention sur «les industries qui sont la cause de la crise climatique et des attaques contre les défenseurs de l’environnement», selon elle. L’exploitation de bois, la construction de barrages, l’agro-industrie et l’exploitation minière sont les secteurs liés à la majorité des assassinats.

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Rfi.fr - 09h31

Mali : deux camionneurs marocains tués lors d’une attaque à Didiéni

Tous les témoignages concordent : parmi les hommes armés en question, certains étaient cagoulés, d’autres portaient des gilets pare-balle, et dans le groupe au moins deux personnes avaient en mains des appareils de communication, des talkie-walkie.
Ce sont d’abord les camionneurs marocains qui venaient du Sénégal en direction de Bamako qui ont été attaqués. Deux ont été tués, un autre blessé. Les assaillants n’ont emporté ni les camions, ni leurs contenus.
Quelques instants après, c’est un convoi de véhicules transportant des civils maliens empruntant le même axe routier qui a été pris pour cible. Parmi les passagers, au moins un magistrat. Il est formel : les assaillants –plusieurs dizaines et lourdement armés – étaient des jihadistes. Le convoi arrêté, ces derniers ont demandé les pièces d’identité des passagers. Le ton est monté. Et finalement tout le groupe a été autorisé à repartir.
Plusieurs questions : les deux Marocains tués étaient-ils ciblés ? Un exemplaire très visible du coran dans un véhicule du convoi de civils maliens a-t-il joué en leur faveur ? Les enquêtes se poursuivent. Des éléments des forces de sécurité et de défense ont été dépêchés sur les lieux.


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Rfi.fr - 09h31

Mali : deux camionneurs marocains tués lors d’une attaque à Didiéni

Tous les témoignages concordent : parmi les hommes armés en question, certains étaient cagoulés, d’autres portaient des gilets pare-balle, et dans le groupe au moins deux personnes avaient en mains des appareils de communication, des talkie-walkie.
Ce sont d’abord les camionneurs marocains qui venaient du Sénégal en direction de Bamako qui ont été attaqués. Deux ont été tués, un autre blessé. Les assaillants n’ont emporté ni les camions, ni leurs contenus.
Quelques instants après, c’est un convoi de véhicules transportant des civils maliens empruntant le même axe routier qui a été pris pour cible. Parmi les passagers, au moins un magistrat. Il est formel : les assaillants –plusieurs dizaines et lourdement armés – étaient des jihadistes. Le convoi arrêté, ces derniers ont demandé les pièces d’identité des passagers. Le ton est monté. Et finalement tout le groupe a été autorisé à repartir.
Plusieurs questions : les deux Marocains tués étaient-ils ciblés ? Un exemplaire très visible du coran dans un véhicule du convoi de civils maliens a-t-il joué en leur faveur ? Les enquêtes se poursuivent. Des éléments des forces de sécurité et de défense ont été dépêchés sur les lieux.

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Rfi.fr - 09h28

La Corée du Nord procède à des tirs d’essai d’un nouveau «missile de croisière longue portée»

Pyongyang a effectué avec succès des tirs d’essai d’un nouveau « missile de croisière longue portée » durant le week-end, ses premiers tirs depuis mars, a annoncé l’agence officielle KCNA ce lundi. Ce qui a suscité l’inquiétude de Tokyo et Washington face aux « menaces » sur les voisins du pays de Kim Jong-un.
« Cette activité souligne le développement continu par la Corée du Nord de son programme nucléaire et les menaces que cela fait peser sur ses voisins et la communauté internationale », a réagi le Pentagone dans un communiqué. Les précédents tirs nord-coréens en mars en mer du Japon, avaient déjà été interprétés comme un signe de défi à l’égard de l’administration du président américain Joe Biden, en place depuis janvier. Les missiles, dont KCNA a publié des photos, ont parcouru une trajectoire de 1 500 kilomètres, avant d’atteindre leur cible, non spécifiée par l’agence, qui célèbre des « armes stratégiques de grande importance ».
Ces missiles de croisière longue portée, s’ils sont confirmés, représenteraient une avancée technologique pour la Corée du Nord, selon les analystes. L’armée sud-coréenne, qui est habituellement la première source d’information sur les tirs nord-coréens, n’a pas confirmé ce tir dans un premier temps. « Nos militaires mènent une analyse détaillée, en coopération étroite avec les renseignements sud-coréen et américain », a prudemment réagi l’armée à Séoul.
Les missiles qui ont été testés ce week-end restent une provocation de moindre portée, car la Corée du Nord est uniquement bannie par l’ONU de l’utilisation de missiles balistiques et non pas de croisières, précise notre correspondant à Séoul, Nicolas Rocca.


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Rfi.fr - 09h28

La Corée du Nord procède à des tirs d’essai d’un nouveau «missile de croisière longue portée»

Pyongyang a effectué avec succès des tirs d’essai d’un nouveau « missile de croisière longue portée » durant le week-end, ses premiers tirs depuis mars, a annoncé l’agence officielle KCNA ce lundi. Ce qui a suscité l’inquiétude de Tokyo et Washington face aux « menaces » sur les voisins du pays de Kim Jong-un.
« Cette activité souligne le développement continu par la Corée du Nord de son programme nucléaire et les menaces que cela fait peser sur ses voisins et la communauté internationale », a réagi le Pentagone dans un communiqué. Les précédents tirs nord-coréens en mars en mer du Japon, avaient déjà été interprétés comme un signe de défi à l’égard de l’administration du président américain Joe Biden, en place depuis janvier. Les missiles, dont KCNA a publié des photos, ont parcouru une trajectoire de 1 500 kilomètres, avant d’atteindre leur cible, non spécifiée par l’agence, qui célèbre des « armes stratégiques de grande importance ».
Ces missiles de croisière longue portée, s’ils sont confirmés, représenteraient une avancée technologique pour la Corée du Nord, selon les analystes. L’armée sud-coréenne, qui est habituellement la première source d’information sur les tirs nord-coréens, n’a pas confirmé ce tir dans un premier temps. « Nos militaires mènent une analyse détaillée, en coopération étroite avec les renseignements sud-coréen et américain », a prudemment réagi l’armée à Séoul.
Les missiles qui ont été testés ce week-end restent une provocation de moindre portée, car la Corée du Nord est uniquement bannie par l’ONU de l’utilisation de missiles balistiques et non pas de croisières, précise notre correspondant à Séoul, Nicolas Rocca.

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vendredi 10 septembre

Le Point - 10h22

France : Incendie dans une usine de métallurgie à Ariège

Les accès de la ville ont été interdits à la circulation, les personnes habitant dans un rayon de 200 mètres sont invitées à ne pas sortir. Un incendie s’est déclaré vendredi matin dans un « bac d’acide » d’une usine de métallurgie proche du centre de la ville de Pamiers (Ariège) et les riverains ont été appelés à se confiner, a indiqué la préfecture.
« Les habitants résidant dans un rayon de 200 mètres autour de l’usine sont invités à se confiner par mesure de précaution. Le reste de la population est invité à ne plus se déplacer. Les accès de Pamiers sont interdits à la circulation pour ne pas gêner l’action des services de secours », a tweeté la préfecture.
Des policiers circulent dans les rues avec des haut-parleurs en disant aux gens de fermer les fenêtres de leur voiture, de leur appartement et de ne pas sortir à cause d’un risque de toxicité, a constaté une correspondante de l’Agence France-Presse. « Aucune mesure d’évacuation de la ville n’est à cette heure envisagée. Le Sdis de l’Ariège a engagé tous les moyens disponibles sur le site », précise la préfecture.
L’incendie s’est déclaré vendredi vers 6 h 30, dans un bac d’acide situé dans un bâtiment de 400 m² au sein de cette usine de métallurgie de pointe, sous-traitant d’Airbus, et plus gros employeur privé d’Ariège. « Le feu s’est propagé rapidement à tout le bâtiment. Le personnel a été immédiatement évacué. Aucun blessé n’est à déplorer », dit la préfecture. « J’ai vu depuis ma fenêtre que les gamins qui jouaient dans la cour de récréation ont été rapidement ramenés en classe », a témoigné une habitante dont l’appartement est situé à 200 mètres de l’usine


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Le Point - 10h22

France : Incendie dans une usine de métallurgie à Ariège

Les accès de la ville ont été interdits à la circulation, les personnes habitant dans un rayon de 200 mètres sont invitées à ne pas sortir. Un incendie s’est déclaré vendredi matin dans un « bac d’acide » d’une usine de métallurgie proche du centre de la ville de Pamiers (Ariège) et les riverains ont été appelés à se confiner, a indiqué la préfecture.
« Les habitants résidant dans un rayon de 200 mètres autour de l’usine sont invités à se confiner par mesure de précaution. Le reste de la population est invité à ne plus se déplacer. Les accès de Pamiers sont interdits à la circulation pour ne pas gêner l’action des services de secours », a tweeté la préfecture.
Des policiers circulent dans les rues avec des haut-parleurs en disant aux gens de fermer les fenêtres de leur voiture, de leur appartement et de ne pas sortir à cause d’un risque de toxicité, a constaté une correspondante de l’Agence France-Presse. « Aucune mesure d’évacuation de la ville n’est à cette heure envisagée. Le Sdis de l’Ariège a engagé tous les moyens disponibles sur le site », précise la préfecture.
L’incendie s’est déclaré vendredi vers 6 h 30, dans un bac d’acide situé dans un bâtiment de 400 m² au sein de cette usine de métallurgie de pointe, sous-traitant d’Airbus, et plus gros employeur privé d’Ariège. « Le feu s’est propagé rapidement à tout le bâtiment. Le personnel a été immédiatement évacué. Aucun blessé n’est à déplorer », dit la préfecture. « J’ai vu depuis ma fenêtre que les gamins qui jouaient dans la cour de récréation ont été rapidement ramenés en classe », a témoigné une habitante dont l’appartement est situé à 200 mètres de l’usine

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Le Figaro - 10h14

Hongkong : des élus prêtent serment de loyauté, des centaines ont préféré démissionner

Plusieurs dizaines d’élus locaux d’Hongkong ont prêté un nouveau serment de loyauté vendredi, après que plus de la moitié de leurs collègues ont démissionné en signe de protestation, les autorités tentant de purger les éléments «non patriotiques». Lors d’une cérémonie à huis clos, 24 premiers conseillers ont prêté serment, selon le gouvernement.
«Si nous avons des doutes sur la prestation de serment de certains conseillers et que nous ne pouvons pas faire totalement confiance à leur loyauté et à leur allégeance, nous leur donnerons la possibilité de s’expliquer…. Si leurs serments ne sont pas valides, ils seront disqualifiés», a déclaré le chef de l’exécutif Carrie Lam en début de semaine.
Des cérémonies de prestation de serment similaires ont été organisées pour d’autres secteurs, notamment pour les fonctionnaires, les responsables gouvernementaux et les parlementaires.
Quelque 180 conseillers de district devraient sacrifier à l’exercice dans les semaines à venir et ceux qui refuseront de se présenter perdront leur siège. La majorité des conseillers de district élus ont préféré démissionner plutôt que de se soumettre à ce processus de vérification. Jusqu’à présent, ils sont 260, soit plus de la moitié des 452 membres élus, à avoir renoncé à leur mandat.
La prestation de serment est «devenue l’outil du régime pour vous tenir en laisse», a déclaré Debbie Chan, ancienne conseillère de district, qui a démissionné en juillet. «Ils veulent éliminer le camp pro démocratie à Hongkong».


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Le Figaro - 10h14

Hongkong : des élus prêtent serment de loyauté, des centaines ont préféré démissionner

Plusieurs dizaines d’élus locaux d’Hongkong ont prêté un nouveau serment de loyauté vendredi, après que plus de la moitié de leurs collègues ont démissionné en signe de protestation, les autorités tentant de purger les éléments «non patriotiques». Lors d’une cérémonie à huis clos, 24 premiers conseillers ont prêté serment, selon le gouvernement.
«Si nous avons des doutes sur la prestation de serment de certains conseillers et que nous ne pouvons pas faire totalement confiance à leur loyauté et à leur allégeance, nous leur donnerons la possibilité de s’expliquer…. Si leurs serments ne sont pas valides, ils seront disqualifiés», a déclaré le chef de l’exécutif Carrie Lam en début de semaine.
Des cérémonies de prestation de serment similaires ont été organisées pour d’autres secteurs, notamment pour les fonctionnaires, les responsables gouvernementaux et les parlementaires.
Quelque 180 conseillers de district devraient sacrifier à l’exercice dans les semaines à venir et ceux qui refuseront de se présenter perdront leur siège. La majorité des conseillers de district élus ont préféré démissionner plutôt que de se soumettre à ce processus de vérification. Jusqu’à présent, ils sont 260, soit plus de la moitié des 452 membres élus, à avoir renoncé à leur mandat.
La prestation de serment est «devenue l’outil du régime pour vous tenir en laisse», a déclaré Debbie Chan, ancienne conseillère de district, qui a démissionné en juillet. «Ils veulent éliminer le camp pro démocratie à Hongkong».

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Le Figaro - 09h58

L’afflux de migrants suscite la tension entre Paris et Londres

Une fois de plus, la question des migrants met aux prises Paris et Londres. Alors que les Britanniques reprochent aux Français leur inaction sur le sujet et menacent de durcir leur riposte, les Français accusent le gouvernement de Boris Johnson de «chantage». La visite du ministre français de l’Intérieur à Londres, mercredi, n’a pas apaisé les esprits, tant s’en faut. Dès jeudi matin, la presse titrait sur les menaces de Priti Patel, son homologue britannique, de refouler les bateaux de migrants vers la France. Au début de la semaine, elle avait déjà laissé entendre que le Royaume-Uni pourrait ne pas verser les 60 millions d’euros promis pour financer le renforcement des forces de l’ordre françaises sur les côtes. «La France n’acceptera aucune pratique contraire au droit de la mer ni aucun chantage financier», a réagi sur Twitter Gérald Darmanin.


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Le Figaro - 09h58

L’afflux de migrants suscite la tension entre Paris et Londres

Une fois de plus, la question des migrants met aux prises Paris et Londres. Alors que les Britanniques reprochent aux Français leur inaction sur le sujet et menacent de durcir leur riposte, les Français accusent le gouvernement de Boris Johnson de «chantage». La visite du ministre français de l’Intérieur à Londres, mercredi, n’a pas apaisé les esprits, tant s’en faut. Dès jeudi matin, la presse titrait sur les menaces de Priti Patel, son homologue britannique, de refouler les bateaux de migrants vers la France. Au début de la semaine, elle avait déjà laissé entendre que le Royaume-Uni pourrait ne pas verser les 60 millions d’euros promis pour financer le renforcement des forces de l’ordre françaises sur les côtes. «La France n’acceptera aucune pratique contraire au droit de la mer ni aucun chantage financier», a réagi sur Twitter Gérald Darmanin.

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Rfi.fr - 09h51

États-Unis-Chine: première conversation téléphonique en sept mois entre Joe Biden et Xi Jinping

Le président américain Joe Biden s’est entretenu, jeudi 9 septembre, avec son homologue chinois Xi Jinping pour la première fois en sept mois. Il s’agissait de tenter de faire en sorte que la « concurrence » entre les deux pays ne se transforme pas en « conflit », a indiqué la Maison Blanche.
Le président chinois Xi Jinping a déclaré au téléphone à son homologue américain Joe Biden que l’hostilité de Washington envers Pékin a causé de « sérieuses difficultés » pour les relations bilatérales, selon un média d’État. Il s’agit du premier entretien téléphonique entre les deux dirigeants depuis février. M. Biden venait alors de succéder depuis peu à Donald Trump, et avait passé deux heures au téléphone avec M. Xi. Les relations entre Washington et Pékin sont tendues depuis le mandat de l’ex-président américain, qui avait lancé une guerre commerciale contre la Chine et lui avait reproché sa gestion de la pandémie de Covid-19.
« Nos deux pays et le monde entier souffriraient en cas de confrontation sino-américaine », a indiqué Xi Jinping au locataire de la Maison Blanche. « L’avenir et le destin du monde dépendent de la capacité de la Chine et des États-Unis à bien gérer leurs relations. C’est la question du siècle, à laquelle nos deux pays devront répondre », a encore déclaré M. Xi. dans des propos rapportés par la télévision centrale de Chine, signale notre correspondant à Pékin, Stéphane Lagarde.


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Rfi.fr - 09h51

États-Unis-Chine: première conversation téléphonique en sept mois entre Joe Biden et Xi Jinping

Le président américain Joe Biden s’est entretenu, jeudi 9 septembre, avec son homologue chinois Xi Jinping pour la première fois en sept mois. Il s’agissait de tenter de faire en sorte que la « concurrence » entre les deux pays ne se transforme pas en « conflit », a indiqué la Maison Blanche.
Le président chinois Xi Jinping a déclaré au téléphone à son homologue américain Joe Biden que l’hostilité de Washington envers Pékin a causé de « sérieuses difficultés » pour les relations bilatérales, selon un média d’État. Il s’agit du premier entretien téléphonique entre les deux dirigeants depuis février. M. Biden venait alors de succéder depuis peu à Donald Trump, et avait passé deux heures au téléphone avec M. Xi. Les relations entre Washington et Pékin sont tendues depuis le mandat de l’ex-président américain, qui avait lancé une guerre commerciale contre la Chine et lui avait reproché sa gestion de la pandémie de Covid-19.
« Nos deux pays et le monde entier souffriraient en cas de confrontation sino-américaine », a indiqué Xi Jinping au locataire de la Maison Blanche. « L’avenir et le destin du monde dépendent de la capacité de la Chine et des États-Unis à bien gérer leurs relations. C’est la question du siècle, à laquelle nos deux pays devront répondre », a encore déclaré M. Xi. dans des propos rapportés par la télévision centrale de Chine, signale notre correspondant à Pékin, Stéphane Lagarde.

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jeudi 09 septembre

Rfi.fr - 17h00

RDC : des élèves exclus de leur établissement après la diffusion d’une «sextape»

Scandale sexuel en milieu scolaire à Kinshasa. La semaine passée, à la fin des épreuves de l’examen d’État, des images d’une grande immoralité d’écoliers et d’écolières font le buzz sur les réseaux sociaux. Des sanctions sont tombées : cinq élèves identifiés ont été exclus définitivement d’un établissement catholique.
Les images ont choqué dans l’opinion et pas seulement en RDC. Des lycéens ont été filmés en pleins ébats sexuels portant leur uniforme bleu-blanc. Étienne Musampa, un parent âgé d’une soixantaine d’années, constate les effets des réseaux sociaux : « La réalité veut que, avec la profusion des films pornographiques l’environnement dans lequel on vit, ces enfants ont une expérience plus riche même que la nôtre. La première réaction a été un choc, mais après, j’ai réalisé que non, il fallait les comprendre vu l’environnement dans lequel on vit. »
Étienne Musampa rejette la faute sur la société : « Cela arrive. Nous vivons dans un monde tel qu’il est et nous devons l’accepter. C’est le fruit de notre société. Voilà ce que nous avons produit en tant d’années, voilà ce que nous avons donné à nos enfants. »


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Rfi.fr - 17h00

RDC : des élèves exclus de leur établissement après la diffusion d’une «sextape»

Scandale sexuel en milieu scolaire à Kinshasa. La semaine passée, à la fin des épreuves de l’examen d’État, des images d’une grande immoralité d’écoliers et d’écolières font le buzz sur les réseaux sociaux. Des sanctions sont tombées : cinq élèves identifiés ont été exclus définitivement d’un établissement catholique.
Les images ont choqué dans l’opinion et pas seulement en RDC. Des lycéens ont été filmés en pleins ébats sexuels portant leur uniforme bleu-blanc. Étienne Musampa, un parent âgé d’une soixantaine d’années, constate les effets des réseaux sociaux : « La réalité veut que, avec la profusion des films pornographiques l’environnement dans lequel on vit, ces enfants ont une expérience plus riche même que la nôtre. La première réaction a été un choc, mais après, j’ai réalisé que non, il fallait les comprendre vu l’environnement dans lequel on vit. »
Étienne Musampa rejette la faute sur la société : « Cela arrive. Nous vivons dans un monde tel qu’il est et nous devons l’accepter. C’est le fruit de notre société. Voilà ce que nous avons produit en tant d’années, voilà ce que nous avons donné à nos enfants. »

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Rfi.fr - 15h08

Guinée: la situation d’Alpha Condé au cœur de la mission de la Cédéao à Conakry

L’envoi de cette mission diplomatique, annoncée dans un premier temps pour ce jeudi, est donc repoussé à demain. Elle devrait comprendre plusieurs ministres des Affaires étrangères de la sous-région, notamment du Ghana, du Togo du Burkina Faso et du Nigeria, ainsi que le président de la commission de la Cédéao, Jean-Claude Kassi Brou.
Cette délégation devrait donc rencontrer les nouvelles autorités du CNRD, le Comité national pour le rassemblement et le développement, avec à sa tête le colonel Mamady Doumbouya et voir quelles sont ses intentions. La mission devrait aussi insister sur le sort d’Alpha Condé, qui n’est pas apparu en public depuis les photos qui ont circulé dimanche lors de son arrestation.
La Cédéao « tient les putschistes du CNRD responsables individuellement et collectivement de l’intégrité physique » du président renversé, selon le communiqué publié après le sommet virtuel. Un sommet qui n’a pas débouché sur des sanctions économiques ni sur des sanctions individuelles contre les responsables de la junte, mais la Cédéao indique qu’elle « réexaminera la situation selon la suite des évènements et après le rapport de la mission diplomatique. »


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Rfi.fr - 15h08

Guinée: la situation d’Alpha Condé au cœur de la mission de la Cédéao à Conakry

L’envoi de cette mission diplomatique, annoncée dans un premier temps pour ce jeudi, est donc repoussé à demain. Elle devrait comprendre plusieurs ministres des Affaires étrangères de la sous-région, notamment du Ghana, du Togo du Burkina Faso et du Nigeria, ainsi que le président de la commission de la Cédéao, Jean-Claude Kassi Brou.
Cette délégation devrait donc rencontrer les nouvelles autorités du CNRD, le Comité national pour le rassemblement et le développement, avec à sa tête le colonel Mamady Doumbouya et voir quelles sont ses intentions. La mission devrait aussi insister sur le sort d’Alpha Condé, qui n’est pas apparu en public depuis les photos qui ont circulé dimanche lors de son arrestation.
La Cédéao « tient les putschistes du CNRD responsables individuellement et collectivement de l’intégrité physique » du président renversé, selon le communiqué publié après le sommet virtuel. Un sommet qui n’a pas débouché sur des sanctions économiques ni sur des sanctions individuelles contre les responsables de la junte, mais la Cédéao indique qu’elle « réexaminera la situation selon la suite des évènements et après le rapport de la mission diplomatique. »

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Le Figaro - 10h05

Migrants : Londres voudrait les refouler en mer quand ils traversent la Manche

Londres, qui a fait du durcissement de la lutte contre l’immigration une priorité depuis le Brexit, veut rendre ces périlleuses traversées impraticables. La ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel, a approuvé une nouvelle stratégie de refoulement vers la France des bateaux de migrants traversant la Manche pour atteindre le Royaume-Uni, indiquent jeudi plusieurs journaux britanniques, une pratique fermement rejetée par Paris.
Selon ces journaux, la police des frontières britannique (Border Force) est entraînée à de méthodes permettant de refouler ces embarcations avant qu’elles n’atteignent le sud de l’Angleterre, alors que des flux record ont été observés ces derniers mois.
Le Times précise que Patel a demandé que soit réécrite en ce sens l’interprétation par le Royaume-Uni du droit maritime international. Cette stratégie, qui a reçu l’assentiment du premier ministre Boris Johnson, ne serait utilisée que dans «des circonstances très limitées» d’après le Telegraph, pour les plus gros bateaux et quand la situation est jugée sûre.
Après des «discussions constructives» avec son homologue français Gérald Darmanin mercredi à Londres, elle a indiqué sur Twitter vouloir obtenir des «résultats» et faire de l’arrêt des traversées «une priorité absolue».


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Le Figaro - 10h05

Migrants : Londres voudrait les refouler en mer quand ils traversent la Manche

Londres, qui a fait du durcissement de la lutte contre l’immigration une priorité depuis le Brexit, veut rendre ces périlleuses traversées impraticables. La ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel, a approuvé une nouvelle stratégie de refoulement vers la France des bateaux de migrants traversant la Manche pour atteindre le Royaume-Uni, indiquent jeudi plusieurs journaux britanniques, une pratique fermement rejetée par Paris.
Selon ces journaux, la police des frontières britannique (Border Force) est entraînée à de méthodes permettant de refouler ces embarcations avant qu’elles n’atteignent le sud de l’Angleterre, alors que des flux record ont été observés ces derniers mois.
Le Times précise que Patel a demandé que soit réécrite en ce sens l’interprétation par le Royaume-Uni du droit maritime international. Cette stratégie, qui a reçu l’assentiment du premier ministre Boris Johnson, ne serait utilisée que dans «des circonstances très limitées» d’après le Telegraph, pour les plus gros bateaux et quand la situation est jugée sûre.
Après des «discussions constructives» avec son homologue français Gérald Darmanin mercredi à Londres, elle a indiqué sur Twitter vouloir obtenir des «résultats» et faire de l’arrêt des traversées «une priorité absolue».

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mercredi 08 septembre

Rfi.fr - 14h48

Les cryptomonnaies grapillent du terrain en Afrique

En Afrique comme ailleurs dans le monde, les banques centrales sont méfiantes envers les crypto-monnaies. Mais il y a celles qui sont prêtes à tenter l’expérience, c’est le cas des banques centrales du Ghana et du Nigeria. Puis, il y a les banques centrales qui préfèrent garder leurs distances et réguler le secteur des cryptomonnaies. Les autorités sud-africaines annoncent un nouveau tour de vis réglementaire pour les sociétés financières qui utilisent bitcoin et autre Ethereum.
En Afrique comme ailleurs dans le monde, les banques centrales sont méfiantes envers les crypto-monnaies. Mais il y a celles qui sont prêtes à tenter l’expérience, c’est le cas des banques centrales du Ghana et du Nigeria. Puis, il y a les banques centrales qui préfèrent garder leurs distances et réguler le secteur des cryptomonnaies. Les autorités sud-africaines annoncent un nouveau tour de vis réglementaire pour les sociétés financières qui utilisent bitcoin et autre Ethereum.
Il y a enfin les pays qui s’y intéressent, mais qui ont d’autres priorités, c’est le cas de la RDC comme l’explique Nicolas Kazadi, le ministre des Finances congolais : « Simplement, c’est que dans la hiérarchie des problèmes rencontrés, ce n’est peut-être pas encore la priorité. Il faut savoir que contrairement à des pays comme le Nigeria ou le Kenya, la RDC est encore très en retard en termes de numérisation. Mais, d’une manière générale, nous avons un autre grand défi sur le plan monétaire chez nous, c’est d’abord la dé-dollarisation de l’économie. »


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Les cryptomonnaies grapillent du terrain en Afrique

En Afrique comme ailleurs dans le monde, les banques centrales sont méfiantes envers les crypto-monnaies. Mais il y a celles qui sont prêtes à tenter l’expérience, c’est le cas des banques centrales du Ghana et du Nigeria. Puis, il y a les banques centrales qui préfèrent garder leurs distances et réguler le secteur des cryptomonnaies. Les autorités sud-africaines annoncent un nouveau tour de vis réglementaire pour les sociétés financières qui utilisent bitcoin et autre Ethereum.
En Afrique comme ailleurs dans le monde, les banques centrales sont méfiantes envers les crypto-monnaies. Mais il y a celles qui sont prêtes à tenter l’expérience, c’est le cas des banques centrales du Ghana et du Nigeria. Puis, il y a les banques centrales qui préfèrent garder leurs distances et réguler le secteur des cryptomonnaies. Les autorités sud-africaines annoncent un nouveau tour de vis réglementaire pour les sociétés financières qui utilisent bitcoin et autre Ethereum.
Il y a enfin les pays qui s’y intéressent, mais qui ont d’autres priorités, c’est le cas de la RDC comme l’explique Nicolas Kazadi, le ministre des Finances congolais : « Simplement, c’est que dans la hiérarchie des problèmes rencontrés, ce n’est peut-être pas encore la priorité. Il faut savoir que contrairement à des pays comme le Nigeria ou le Kenya, la RDC est encore très en retard en termes de numérisation. Mais, d’une manière générale, nous avons un autre grand défi sur le plan monétaire chez nous, c’est d’abord la dé-dollarisation de l’économie. »

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Rfi.fr - 14h34

Guinée: plusieurs dizaines d’opposants libérés

Un premier groupe de plusieurs dizaines d’opposants au président guinéen déchu Alpha Condé, détenus à la prison civile de Conakry, ont été libérés hier, mardi 7 septembre en début de soirée. Parmi eux : Abdoulaye Bah (UFDG), Étienne Soropogui (Valeurs communes), Ismaël Condé (maire adjoint de Matam), Kéamou Bogolan Haba (porte-parole de l’Anad, alliance d’une cinquantaine de partis politiques qui soutiennent l’opposant Cellou Dalein Diallo), ou encore Foniké Mengué, sorti, lui, de l’hôpital.
Après le rendez-vous manqué de lundi, celui de mardi fut le bon, nous raconte notre correspondant à Conakry, Mouctar Bah. En début de soirée, Abdoulaye Bah, de l’UFDG, et ses compagnons d’infortune franchissent un à un le portail de la prison civile de Conakry. « Nous sommes libres aujourd’hui. La liberté n’a pas de prix, c’est une nouvelle naissance quand on quitte la prison. C’est une joie d’être parmi les siens. J’estime que c’est une épreuve dans ma vie et, par conséquent, je n’ai de haine contre personne », confie Abdoulaye Bah à RFI.


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Rfi.fr - 14h34

Guinée: plusieurs dizaines d’opposants libérés

Un premier groupe de plusieurs dizaines d’opposants au président guinéen déchu Alpha Condé, détenus à la prison civile de Conakry, ont été libérés hier, mardi 7 septembre en début de soirée. Parmi eux : Abdoulaye Bah (UFDG), Étienne Soropogui (Valeurs communes), Ismaël Condé (maire adjoint de Matam), Kéamou Bogolan Haba (porte-parole de l’Anad, alliance d’une cinquantaine de partis politiques qui soutiennent l’opposant Cellou Dalein Diallo), ou encore Foniké Mengué, sorti, lui, de l’hôpital.
Après le rendez-vous manqué de lundi, celui de mardi fut le bon, nous raconte notre correspondant à Conakry, Mouctar Bah. En début de soirée, Abdoulaye Bah, de l’UFDG, et ses compagnons d’infortune franchissent un à un le portail de la prison civile de Conakry. « Nous sommes libres aujourd’hui. La liberté n’a pas de prix, c’est une nouvelle naissance quand on quitte la prison. C’est une joie d’être parmi les siens. J’estime que c’est une épreuve dans ma vie et, par conséquent, je n’ai de haine contre personne », confie Abdoulaye Bah à RFI.

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