jeudi 01 juillet

Le Figaro - 12h36

Le cauchemar du PSG se met en place : Mbappé ne serait pas chaud pour prolonger cet été

Libre en 2022, le prodige de 22 ans ne souhaiterait pas prolonger à Paris selon L’Équipe, ce qui mettrait la direction du PSG dans une position (très) délicate. Prolongation ou transfert ? C’est le choix qui semblait s’offrir à Kylian Mbappé, libre en 2022, sachant qu’on n’imagine pas le Paris Saint-Germain prendre le risque de le conserver cet été au risque de le voir partir libre dans un an. Sauf que ce n’est visiblement pas si simple.
L’Équipe confirme, en se basant sur des discussions récentes entre les dirigeants du PSG et du Real Madrid, que l’ex-Monégasque est jugé «intransférable» par le club de la capitale et qu’il n’a pas l’intention d’aller au bras de fer pour partir cet été. Nos confrères assurent néanmoins, et ce serait un coup de tonnerre si cela devait se confirmer, que ledit Mbappé ne veut pas rempiler cet été. Et ce malgré les premiers mouvements ambitieux du Paris-SG du mercato estival (Wijnaldum déjà recruté, Donnarumma et Hakimi à suivre).
«Je veux sentir que je suis dans un endroit où je peux vraiment gagner, ou il y a un projet qui est solide autour de moi. Le projet sportif est primordial», racontait Mbappé fin mai, sur Canal+ . Le projet sportif proposé par le PSG ne serait donc pas suffisamment convaincant aux yeux du champion du monde ? Dans les colonnes de L’Équipe, début juin, Nasser al-Khelaïfi a déjà mis les choses au clair : «Kylian va rester à Paris, on ne va jamais le vendre et il ne partira jamais libre.»


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Le Figaro - 12h36

Le cauchemar du PSG se met en place : Mbappé ne serait pas chaud pour prolonger cet été

Libre en 2022, le prodige de 22 ans ne souhaiterait pas prolonger à Paris selon L’Équipe, ce qui mettrait la direction du PSG dans une position (très) délicate. Prolongation ou transfert ? C’est le choix qui semblait s’offrir à Kylian Mbappé, libre en 2022, sachant qu’on n’imagine pas le Paris Saint-Germain prendre le risque de le conserver cet été au risque de le voir partir libre dans un an. Sauf que ce n’est visiblement pas si simple.
L’Équipe confirme, en se basant sur des discussions récentes entre les dirigeants du PSG et du Real Madrid, que l’ex-Monégasque est jugé «intransférable» par le club de la capitale et qu’il n’a pas l’intention d’aller au bras de fer pour partir cet été. Nos confrères assurent néanmoins, et ce serait un coup de tonnerre si cela devait se confirmer, que ledit Mbappé ne veut pas rempiler cet été. Et ce malgré les premiers mouvements ambitieux du Paris-SG du mercato estival (Wijnaldum déjà recruté, Donnarumma et Hakimi à suivre).
«Je veux sentir que je suis dans un endroit où je peux vraiment gagner, ou il y a un projet qui est solide autour de moi. Le projet sportif est primordial», racontait Mbappé fin mai, sur Canal+ . Le projet sportif proposé par le PSG ne serait donc pas suffisamment convaincant aux yeux du champion du monde ? Dans les colonnes de L’Équipe, début juin, Nasser al-Khelaïfi a déjà mis les choses au clair : «Kylian va rester à Paris, on ne va jamais le vendre et il ne partira jamais libre.»

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Le Figaro - 12h02

Mort de Donald Rumsfeld, deux fois secrétaire à la Défense et artisan de la calamiteuse invasion de l’Irak

L’image est de cet architecte controversé de la guerre d’Afghanistan et de l’invasion de l’Irak est aussi restée associée au scandale de la prison d’Abou Ghraib, révélé en avril 2004. Un échec retentissant suffit parfois à résumer toute une carrière. Le nom de Donald Rumsfeld restera pour toujours associé au plus grand fiasco militaire de l’histoire des États-Unis. L’invasion de l’Irak en 2003 à la recherche d’armes de destruction massive inexistantes, ainsi que le recours généralisé à la torture, sont les principaux legs de l’ancien secrétaire américain à la Défense de George W. Bush.

Mort mercredi à l’âge de 88 ans à Taos, au Nouveau-Mexique, Rumsfeld n’aura pas vu la fin de l’autre expédition commencée sous sa direction voici près de vingt ans. Le retrait américain d’Afghanistan, qui devrait s’achever d’ici quelques semaines, marquera la fin de la plus longue guerre de l’histoire des États-Unis. Commencée comme en Irak par une opération rapide, brutale et efficace, l’invasion américaine s’est là aussi enlisée dans une guerre contre insurrectionnelle sans issue.
Si Rumsfeld n’est pas le seul responsable de ces échecs, les monumentales erreurs de calcul commises par l’administration Bush doivent largement à son influence. Avec son adjoint Paul Wolfowitz et le vice-président Dick Cheney, ils ont joué les boutefeux, oubliant les notions de prudence les plus élémentaires et n’hésitant pas à manipuler l’opinion américaine. Ses efforts visant à dissimuler des faits gênants qui ne correspondaient pas à sa version de la réalité ont aussi empêché d’élaborer une stratégie cohérente, et de fixer des buts politiques réalisables. Même si George W. Bush a rendu hommage à un « serviteur exemplaire de l’état », le président américain avait dû en 2006 se débarrasser de son secrétaire à la Défense discrédité, alors que l’insurrection irakienne avait transformé la promenade militaire promise en bourbier sanglant.


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Le Figaro - 12h02

Mort de Donald Rumsfeld, deux fois secrétaire à la Défense et artisan de la calamiteuse invasion de l’Irak

L’image est de cet architecte controversé de la guerre d’Afghanistan et de l’invasion de l’Irak est aussi restée associée au scandale de la prison d’Abou Ghraib, révélé en avril 2004. Un échec retentissant suffit parfois à résumer toute une carrière. Le nom de Donald Rumsfeld restera pour toujours associé au plus grand fiasco militaire de l’histoire des États-Unis. L’invasion de l’Irak en 2003 à la recherche d’armes de destruction massive inexistantes, ainsi que le recours généralisé à la torture, sont les principaux legs de l’ancien secrétaire américain à la Défense de George W. Bush.

Mort mercredi à l’âge de 88 ans à Taos, au Nouveau-Mexique, Rumsfeld n’aura pas vu la fin de l’autre expédition commencée sous sa direction voici près de vingt ans. Le retrait américain d’Afghanistan, qui devrait s’achever d’ici quelques semaines, marquera la fin de la plus longue guerre de l’histoire des États-Unis. Commencée comme en Irak par une opération rapide, brutale et efficace, l’invasion américaine s’est là aussi enlisée dans une guerre contre insurrectionnelle sans issue.
Si Rumsfeld n’est pas le seul responsable de ces échecs, les monumentales erreurs de calcul commises par l’administration Bush doivent largement à son influence. Avec son adjoint Paul Wolfowitz et le vice-président Dick Cheney, ils ont joué les boutefeux, oubliant les notions de prudence les plus élémentaires et n’hésitant pas à manipuler l’opinion américaine. Ses efforts visant à dissimuler des faits gênants qui ne correspondaient pas à sa version de la réalité ont aussi empêché d’élaborer une stratégie cohérente, et de fixer des buts politiques réalisables. Même si George W. Bush a rendu hommage à un « serviteur exemplaire de l’état », le président américain avait dû en 2006 se débarrasser de son secrétaire à la Défense discrédité, alors que l’insurrection irakienne avait transformé la promenade militaire promise en bourbier sanglant.

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Le Point - 11h57

Algérie : Aïmene Benabderrahmane nommé Premier ministre

Le ministre algérien des Finances Aïmene Benabderrahmane a été désigné mercredi Premier ministre, à la suite des élections législatives du 12 juin, une nomination qui traduit la volonté du pouvoir exécutif de juguler la grave crise socio-économique à laquelle est confrontée l’Algérie. « Conformément aux dispositions de la Constitution, le président de la République Abdelmadjid Tebboune, Aïmene Benabderrahmane a été nommé Premier ministre », a indiqué la présidence algérienne dans un communiqué. « Il est chargé de poursuivre les consultations avec les partis politiques et la société civile pour former le gouvernement dès que possible », ajoute le communiqué.
Aïmene Benabderrahmane, âgé de 60 ans, succède à Abdelaziz Djerad, donné partant ces derniers jours, qui n’a pas réussi à redresser la situation de crise de la première économie du Maghreb, qui repose essentiellement sur la rente pétrolière. En fonction depuis le 28 décembre 2019, Abdelaziz Djerad, 67 ans, a présenté le 24 juin sa démission et celle de son gouvernement au président Tebboune, qui l’avait chargé de gérer les affaires courantes. Le chef de l’État a remercié son Premier ministre pour avoir dirigé le gouvernement « dans des conditions difficiles », notamment en raison de la pandémie de Covid-19. Mais il n’avait pas caché des critiques à l’encontre d’Abdelaziz Djerad, exprimant publiquement son insatisfaction devant l’inaction de son gouvernement en janvier dernier.


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Le Point - 11h57

Algérie : Aïmene Benabderrahmane nommé Premier ministre

Le ministre algérien des Finances Aïmene Benabderrahmane a été désigné mercredi Premier ministre, à la suite des élections législatives du 12 juin, une nomination qui traduit la volonté du pouvoir exécutif de juguler la grave crise socio-économique à laquelle est confrontée l’Algérie. « Conformément aux dispositions de la Constitution, le président de la République Abdelmadjid Tebboune, Aïmene Benabderrahmane a été nommé Premier ministre », a indiqué la présidence algérienne dans un communiqué. « Il est chargé de poursuivre les consultations avec les partis politiques et la société civile pour former le gouvernement dès que possible », ajoute le communiqué.
Aïmene Benabderrahmane, âgé de 60 ans, succède à Abdelaziz Djerad, donné partant ces derniers jours, qui n’a pas réussi à redresser la situation de crise de la première économie du Maghreb, qui repose essentiellement sur la rente pétrolière. En fonction depuis le 28 décembre 2019, Abdelaziz Djerad, 67 ans, a présenté le 24 juin sa démission et celle de son gouvernement au président Tebboune, qui l’avait chargé de gérer les affaires courantes. Le chef de l’État a remercié son Premier ministre pour avoir dirigé le gouvernement « dans des conditions difficiles », notamment en raison de la pandémie de Covid-19. Mais il n’avait pas caché des critiques à l’encontre d’Abdelaziz Djerad, exprimant publiquement son insatisfaction devant l’inaction de son gouvernement en janvier dernier.

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Le Monde - 11h53

Covid-19 : le passe sanitaire européen entre en vigueur

Vacciné, guéri ou testé négatif au Covid-19, il faudra, à partir de jeudi, montrer patte blanche pour franchir les frontières européennes, en utilisant le nouveau « passe sanitaire ». Le certificat sanitaire européen entre en vigueur, jeudi 1er juillet, pour faciliter les déplacements et relancer le tourisme au sein de l’Union européenne (UE) cet été, sous la menace toutefois de nouvelles perturbations liées au variant Delta.
« Le certificat numérique Covid européen », nom officiel de ce passe sanitaire, est gratuit, et doit être reconnu dans les vingt-sept pays de l’UE, plus la Suisse, le Liechtenstein, l’Islande et la Norvège. Selon la Commission, tous les Etats membres devraient être en mesure jeudi d’émettre le document ou de l’accepter, à l’exception de l’Irlande qui, touchée par des cyberattaques, pourrait prendre un peu de retard. Mercredi soir, vingt et un pays de l’UE s’étaient déjà connectés au portail commun du système et les six autres étaient techniquement prêts.
Ce passe s’applique à trois situations : il atteste qu’une personne a été vaccinée contre le Covid-19, qu’elle a passé un test négatif, ou encore qu’elle est immunisée après avoir contracté la maladie. Il revient au pays de destination de décider s’il accepte les tests antigéniques rapides en plus des PCR. L’UE recommande d’accepter les deux et d’harmoniser leur durée de validité (pas plus de soixante-douze heures avant l’arrivée pour les PCR et pas plus de quarante-huit heures pour les antigéniques).


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Le Monde - 11h53

Covid-19 : le passe sanitaire européen entre en vigueur

Vacciné, guéri ou testé négatif au Covid-19, il faudra, à partir de jeudi, montrer patte blanche pour franchir les frontières européennes, en utilisant le nouveau « passe sanitaire ». Le certificat sanitaire européen entre en vigueur, jeudi 1er juillet, pour faciliter les déplacements et relancer le tourisme au sein de l’Union européenne (UE) cet été, sous la menace toutefois de nouvelles perturbations liées au variant Delta.
« Le certificat numérique Covid européen », nom officiel de ce passe sanitaire, est gratuit, et doit être reconnu dans les vingt-sept pays de l’UE, plus la Suisse, le Liechtenstein, l’Islande et la Norvège. Selon la Commission, tous les Etats membres devraient être en mesure jeudi d’émettre le document ou de l’accepter, à l’exception de l’Irlande qui, touchée par des cyberattaques, pourrait prendre un peu de retard. Mercredi soir, vingt et un pays de l’UE s’étaient déjà connectés au portail commun du système et les six autres étaient techniquement prêts.
Ce passe s’applique à trois situations : il atteste qu’une personne a été vaccinée contre le Covid-19, qu’elle a passé un test négatif, ou encore qu’elle est immunisée après avoir contracté la maladie. Il revient au pays de destination de décider s’il accepte les tests antigéniques rapides en plus des PCR. L’UE recommande d’accepter les deux et d’harmoniser leur durée de validité (pas plus de soixante-douze heures avant l’arrivée pour les PCR et pas plus de quarante-huit heures pour les antigéniques).

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Le Monde Afrique - 11h49

En Afrique du Sud, le camp Zuma rejette la condamnation de l’ancien président

La condamnation à la prison de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma a été jugée mercredi 30 juin « inconstitutionnelle » par sa fondation, un message fort à ses partisans, dont certains convergent déjà vers le domicile de l’ancien dirigeant, qui a jusqu’à dimanche pour se constituer prisonnier.
L’ancien chef d’Etat, 79 ans, qui au lendemain de sa condamnation s’est montré tout sourire, en costume, sur des photos postées sur Twitter, a été condamné par la Cour constitutionnelle, plus haute juridiction du pays, à quinze mois ferme, dans une décision qui ne peut pas faire l’objet d’un appel.
En 24 heures, la nouvelle a déjà suscité des appels sur les réseaux sociaux, les plus fervents soutiens au leader charismatique et volontiers provocateur se mettant en route vers sa résidence de Nkandla, dans la campagne zoulou (est). S’il ne se rend pas de lui-même dans un commissariat au cours des prochains jours, la police a ordre de venir l’arrêter et de le conduire en prison afin qu’il purge sa peine.
Comptant peut-être sur une vague populaire d’ici là, la fondation Jacob Zuma a rejeté dans un communiqué un jugement « non conforme à notre Constitution », accusant les juges d’avoir laissé parler leur « sentiment » et leur « colère ». L’ex-président est accusé d’avoir pillé l’argent public pendant ses neuf années au pouvoir (2009-2018). Englué dans les scandales, il avait été poussé à la démission.


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Le Monde Afrique - 11h49

En Afrique du Sud, le camp Zuma rejette la condamnation de l’ancien président

La condamnation à la prison de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma a été jugée mercredi 30 juin « inconstitutionnelle » par sa fondation, un message fort à ses partisans, dont certains convergent déjà vers le domicile de l’ancien dirigeant, qui a jusqu’à dimanche pour se constituer prisonnier.
L’ancien chef d’Etat, 79 ans, qui au lendemain de sa condamnation s’est montré tout sourire, en costume, sur des photos postées sur Twitter, a été condamné par la Cour constitutionnelle, plus haute juridiction du pays, à quinze mois ferme, dans une décision qui ne peut pas faire l’objet d’un appel.
En 24 heures, la nouvelle a déjà suscité des appels sur les réseaux sociaux, les plus fervents soutiens au leader charismatique et volontiers provocateur se mettant en route vers sa résidence de Nkandla, dans la campagne zoulou (est). S’il ne se rend pas de lui-même dans un commissariat au cours des prochains jours, la police a ordre de venir l’arrêter et de le conduire en prison afin qu’il purge sa peine.
Comptant peut-être sur une vague populaire d’ici là, la fondation Jacob Zuma a rejeté dans un communiqué un jugement « non conforme à notre Constitution », accusant les juges d’avoir laissé parler leur « sentiment » et leur « colère ». L’ex-président est accusé d’avoir pillé l’argent public pendant ses neuf années au pouvoir (2009-2018). Englué dans les scandales, il avait été poussé à la démission.

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mardi 29 juin

maxifoot.fr - 19h06

Euro : Angleterre 2-0 Allemagne

Terminus pour l’Allemagne et Joachim Löw. A l’issue d’une rencontre engagée, la Nationalmannschaft s’est inclinée contre l’Angleterre (2-0), ce mardi à Londres, lors des 8es de finale de l’Euro. Les Three Lions, qui n’ont toujours pas encaissé le moindre but, affronteront la Suède ou l’Ukraine au prochain tour.
Incisifs, les Allemands réalisaient un gros début de match. Cohérents tactiquement et intéressants dans la construction du jeu, les visiteurs mettaient une grosse pression sur le but gardé par Pickford. Une domination qui s’estompait après seulement un quart d’heure. Poussés par des fans venus très nombreux, les Anglais obtenaient la première très grosse opportunité par Sterling, qui chauffait les gants de Neuer. Plus mordants, les Britanniques gagnaient de plus en plus de duels, inversant totalement la tendance en quelques minutes.
Face à la fougue de leurs adversaires, les Allemands tentaient de calmer le jeu. Ils pouvaient compter sur Hummels, qui en plus de cadenasser Kane à merveille, osait des relances osées pour effacer le premier rideau anglais. Une éclaircie qui aurait pu se traduire par un but sans un arrêt réflexe de Pickford devant Werner. Malgré cette alerte, les hommes de Gareth Southgate ne s’affolaient pas et n’hésitaient pas à mettre de l’impact. Juste avant la pause, il fallait même un tacle venu de nulle part d’Hummels pour empêcher la Nationalmannschaft de rentrer au vestiaire avec un but de retard.
Au retour des vestiaires, l’Allemagne remettait la pression. Havertz, de plus en plus à l’aise entre les lignes, n’était pas loin de trouver la faille sur une frappe terrible détournée par Pickford. Une grosse opportunité puis plus grand-chose dans un match qui se fermait entre des protagonistes de plus en plus crispés, apeurés à l’idée de réaliser la moindre erreur. Jusqu’à la libération pour l’Angleterre. Après un rush dans l’axe, Sterling profitait d’un caviar de Shaw pour ajuster Neuer à ras de terre (1-0, 75e).
De héros, l’ailier de Manchester City aurait pu passer à zéro après une terrible perte de balle dont ne profitait pas Müller, qui perdait ses moyens au moment d’ajuster Pickford. Le tournant du match puisque dans la foulée, Kane, totalement transparent durant 85 minutes, profitait d’une passe millimétrée de Grealish pour enfoncer définitivement le clou d’une tête plongeante (2-0, 85e). Un but libérateur pour l’avant-centre de Tottenham, qui sécurisait la qualification de son équipe pour les quarts de finale de l’épreuve.


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maxifoot.fr - 19h06

Euro : Angleterre 2-0 Allemagne

Terminus pour l’Allemagne et Joachim Löw. A l’issue d’une rencontre engagée, la Nationalmannschaft s’est inclinée contre l’Angleterre (2-0), ce mardi à Londres, lors des 8es de finale de l’Euro. Les Three Lions, qui n’ont toujours pas encaissé le moindre but, affronteront la Suède ou l’Ukraine au prochain tour.
Incisifs, les Allemands réalisaient un gros début de match. Cohérents tactiquement et intéressants dans la construction du jeu, les visiteurs mettaient une grosse pression sur le but gardé par Pickford. Une domination qui s’estompait après seulement un quart d’heure. Poussés par des fans venus très nombreux, les Anglais obtenaient la première très grosse opportunité par Sterling, qui chauffait les gants de Neuer. Plus mordants, les Britanniques gagnaient de plus en plus de duels, inversant totalement la tendance en quelques minutes.
Face à la fougue de leurs adversaires, les Allemands tentaient de calmer le jeu. Ils pouvaient compter sur Hummels, qui en plus de cadenasser Kane à merveille, osait des relances osées pour effacer le premier rideau anglais. Une éclaircie qui aurait pu se traduire par un but sans un arrêt réflexe de Pickford devant Werner. Malgré cette alerte, les hommes de Gareth Southgate ne s’affolaient pas et n’hésitaient pas à mettre de l’impact. Juste avant la pause, il fallait même un tacle venu de nulle part d’Hummels pour empêcher la Nationalmannschaft de rentrer au vestiaire avec un but de retard.
Au retour des vestiaires, l’Allemagne remettait la pression. Havertz, de plus en plus à l’aise entre les lignes, n’était pas loin de trouver la faille sur une frappe terrible détournée par Pickford. Une grosse opportunité puis plus grand-chose dans un match qui se fermait entre des protagonistes de plus en plus crispés, apeurés à l’idée de réaliser la moindre erreur. Jusqu’à la libération pour l’Angleterre. Après un rush dans l’axe, Sterling profitait d’un caviar de Shaw pour ajuster Neuer à ras de terre (1-0, 75e).
De héros, l’ailier de Manchester City aurait pu passer à zéro après une terrible perte de balle dont ne profitait pas Müller, qui perdait ses moyens au moment d’ajuster Pickford. Le tournant du match puisque dans la foulée, Kane, totalement transparent durant 85 minutes, profitait d’une passe millimétrée de Grealish pour enfoncer définitivement le clou d’une tête plongeante (2-0, 85e). Un but libérateur pour l’avant-centre de Tottenham, qui sécurisait la qualification de son équipe pour les quarts de finale de l’épreuve.

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Rfi.fr - 18h58

Massacre de Solhan au Burkina Faso: deux hommes ont été écroués, selon le procureur

Le 5 juin 2021, des hommes armés ont attaqué cette localité de la province du Yagha à l’est du pays, tuant au moins 130 personnes, selon les autorités. Ce lundi 28 juin, le procureur du Faso Emile Zerbo a publié un communiqué pour faire le point sur l’enquête.
Diligentée par la Brigade spéciale des investigations antiterroristes et de lutte contre la criminalité, l’enquête a permis, le 25 juin, la présentation au parquet de deux hommes : Tidjani Mano, appelé aussi Ali, et Dikouré Woba. D’après le communiqué, ces deux hommes, âgés de 28 ans, sont originaires de la localité d’Ouro-Diako dans le département de Boundoré, toujours dans le Yagha. Ils sont membres d’un groupe dénommé « Mouhadine », qui signifie « les gens solidaires ». D’après l’enquête, Tidjani Mano serait le chef de l’une des bases de ce mouvement, cachée en forêt de Boundori.
Le massacre de Solhan ne serait pas leur premier fait d’armes. Dans son communiqué, le procureur du Faso leur attribue plusieurs attaques à Sebba, Boundoré et Koholoko, sans en donner les dates. « Mouhadine » aurait même mené des incursions au Niger et au Bénin, mais là encore, le procureur ne fournit pas plus de détails. Il leur attribue néanmoins l’attaque de Boungou du 6 novembre 2019. Cette embuscade contre le convoi d’une compagnie minière avait fait près de 40 morts


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Rfi.fr - 18h58

Massacre de Solhan au Burkina Faso: deux hommes ont été écroués, selon le procureur

Le 5 juin 2021, des hommes armés ont attaqué cette localité de la province du Yagha à l’est du pays, tuant au moins 130 personnes, selon les autorités. Ce lundi 28 juin, le procureur du Faso Emile Zerbo a publié un communiqué pour faire le point sur l’enquête.
Diligentée par la Brigade spéciale des investigations antiterroristes et de lutte contre la criminalité, l’enquête a permis, le 25 juin, la présentation au parquet de deux hommes : Tidjani Mano, appelé aussi Ali, et Dikouré Woba. D’après le communiqué, ces deux hommes, âgés de 28 ans, sont originaires de la localité d’Ouro-Diako dans le département de Boundoré, toujours dans le Yagha. Ils sont membres d’un groupe dénommé « Mouhadine », qui signifie « les gens solidaires ». D’après l’enquête, Tidjani Mano serait le chef de l’une des bases de ce mouvement, cachée en forêt de Boundori.
Le massacre de Solhan ne serait pas leur premier fait d’armes. Dans son communiqué, le procureur du Faso leur attribue plusieurs attaques à Sebba, Boundoré et Koholoko, sans en donner les dates. « Mouhadine » aurait même mené des incursions au Niger et au Bénin, mais là encore, le procureur ne fournit pas plus de détails. Il leur attribue néanmoins l’attaque de Boungou du 6 novembre 2019. Cette embuscade contre le convoi d’une compagnie minière avait fait près de 40 morts

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Rfi.fr - 18h55

Centrafrique: les experts de l’ONU détaillent les recrutements parallèles pour la sécurité

Publié ce mercredi, le dernier rapport des experts des Nations unies sur la Centrafrique est sévère. Il détaille sur une quarantaine de pages les violations des droits de l’homme commises par les différentes parties au conflit. Il pointe aussi ce que les experts nomment la « factionnalisation du secteur de la sécurité »… des membres de groupes armés ou de milices recrutés ou instrumentalisés par des membres du gouvernement et les forces de sécurité.
Ces groupes sont organisés pour opérer avec ou en soutien aux institutions de sécurité de l’État. Leurs éléments ont reçu un soutien financier, certains du matériel militaire détourné des stocks officiels prévus pour les Forces armées ou les forces intérieures de sécurités. Ceci en violation de l’embargo précise le rapport. D’autres, se sont vus promettre une intégration officielle dans l’armée ou les forces de sécurité intérieure.
La garde présidentielle n’est pas encadrée par le plan de défense nationale et le recrutement de ses membres se fait de manière discrète dans le quartier du président, dans son église ainsi que de son ethnie, assurent les experts. Des éléments anti-balaka connus ont aussi été recrutés. C’est le cas de Thierry Lébéné qui officiait sous les ordres de Patrice-Edouard Ngaïssona, aujourd’hui à la CPI. Sur son compte Facebook, Lébéné alias « 12 Puissances », se présente en tenue aux couleurs de la garde présidentielle.


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Rfi.fr - 18h55

Centrafrique: les experts de l’ONU détaillent les recrutements parallèles pour la sécurité

Publié ce mercredi, le dernier rapport des experts des Nations unies sur la Centrafrique est sévère. Il détaille sur une quarantaine de pages les violations des droits de l’homme commises par les différentes parties au conflit. Il pointe aussi ce que les experts nomment la « factionnalisation du secteur de la sécurité »… des membres de groupes armés ou de milices recrutés ou instrumentalisés par des membres du gouvernement et les forces de sécurité.
Ces groupes sont organisés pour opérer avec ou en soutien aux institutions de sécurité de l’État. Leurs éléments ont reçu un soutien financier, certains du matériel militaire détourné des stocks officiels prévus pour les Forces armées ou les forces intérieures de sécurités. Ceci en violation de l’embargo précise le rapport. D’autres, se sont vus promettre une intégration officielle dans l’armée ou les forces de sécurité intérieure.
La garde présidentielle n’est pas encadrée par le plan de défense nationale et le recrutement de ses membres se fait de manière discrète dans le quartier du président, dans son église ainsi que de son ethnie, assurent les experts. Des éléments anti-balaka connus ont aussi été recrutés. C’est le cas de Thierry Lébéné qui officiait sous les ordres de Patrice-Edouard Ngaïssona, aujourd’hui à la CPI. Sur son compte Facebook, Lébéné alias « 12 Puissances », se présente en tenue aux couleurs de la garde présidentielle.

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Rfi.fr - 14h44

Éthiopie: les forces tigréennes de retour à Mekele et en mesure de contrôler d’autres villes

Retournement de situation spectaculaire au Tigré, dans le nord de l’Éthiopie : la région, en guerre depuis novembre, a été le théâtre, lundi 28 juin 2021, d’une vaste offensive des rebelles tigréens, qui ont mis la main sur la capitale provinciale Mekele. Un camouflet important pour l’armée éthiopienne et le gouvernement d’Abiy Ahmed. Les forces tigréennes (TDF) semblent être en mesure de contrôler d’autres villes.
La capitale régionale est désormais sous contrôle des TDF L’approche des rebelles avait créé un vent de panique à Mekele. L’administration intérimaire avait quitté Fles lieux justes avant, tout comme les troupes fédérales qui, selon des témoins, ont commis des vols, notamment de matériel des organisations humanitaires.
Pour le reste, les informations restent parcellaires, car les communications sont coupées avec le Tigré. Néanmoins, plusieurs sources parlent d’une poussée rebelle vers le sud, avec une reprise des localités de Mehoni et Maychew, sur la route qui mène à Alamata, une zone conquise dès le début de la guerre par les milices amharas de la région voisine, puisque c’est un territoire contesté par les deux côtés. Divers interlocuteurs décrivent également une avancée des TDF au nord de Mekele, avec notamment une reprise de la ville de Shire, confirmée par une source diplomatique, où des milliers d’habitants chassés de l’ouest du Tigré s’entassent dans les camps de déplacés.


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Éthiopie: les forces tigréennes de retour à Mekele et en mesure de contrôler d’autres villes

Retournement de situation spectaculaire au Tigré, dans le nord de l’Éthiopie : la région, en guerre depuis novembre, a été le théâtre, lundi 28 juin 2021, d’une vaste offensive des rebelles tigréens, qui ont mis la main sur la capitale provinciale Mekele. Un camouflet important pour l’armée éthiopienne et le gouvernement d’Abiy Ahmed. Les forces tigréennes (TDF) semblent être en mesure de contrôler d’autres villes.
La capitale régionale est désormais sous contrôle des TDF L’approche des rebelles avait créé un vent de panique à Mekele. L’administration intérimaire avait quitté Fles lieux justes avant, tout comme les troupes fédérales qui, selon des témoins, ont commis des vols, notamment de matériel des organisations humanitaires.
Pour le reste, les informations restent parcellaires, car les communications sont coupées avec le Tigré. Néanmoins, plusieurs sources parlent d’une poussée rebelle vers le sud, avec une reprise des localités de Mehoni et Maychew, sur la route qui mène à Alamata, une zone conquise dès le début de la guerre par les milices amharas de la région voisine, puisque c’est un territoire contesté par les deux côtés. Divers interlocuteurs décrivent également une avancée des TDF au nord de Mekele, avec notamment une reprise de la ville de Shire, confirmée par une source diplomatique, où des milliers d’habitants chassés de l’ouest du Tigré s’entassent dans les camps de déplacés.

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Le Monde - 13h56

Euro 2021 : Kylian Mbappé, le maudit de Bucarest

Il n’a pas marqué pendant le tournoi et a raté le penalty fatidique face à la Suisse en huitième de finale. L’attaquant n’a pourtant pas démérité pendant cet Euro 2021 où il a découvert l’échec avec les Bleus. Par une nuit folle comme le football en propose parfois, le sol de Bucarest se dérobe sous les pieds de Kylian Mbappé. Incrédule, l’attaquant des Bleus jette un œil vers l’arbitre. Un instant, il croit à une seconde chance. Peut-être que Yann Sommer a bougé de sa ligne avant son tir au but, peut-être que monsieur Rapallini va le donner à retirer. Mais non. L’arbitre assistant valide la décision. La France est bien éliminée par la Suisse (3-3, 4-5 aux t.a.b.) au bout d’un improbable huitième de finale lors de cet Euro 2021.
Figé dans la surface de réparation, le Parisien est seul. Très seul même. Ses coéquipiers n’ont pas la présence d’esprit de tout de suite venir le consoler. Eux aussi sont occupés avec leur propre tristesse. Forfait pour cette rencontre, Lucas Digne finit par venir aux nouvelles. De loin, on imagine les mots simples qui se veulent réconfortants mais ne cautérisent pas grand-chose à vif.
Dans une séance de « pénos », celui qui s’avance comme un cinquième tireur sait qu’il a souvent pour les siens le paradis ou l’enfer au bout de son pied. A 22 ans, Mbappé est du genre à demander et à prendre les responsabilités. Certains lui reprochent de trop bien connaître sa valeur et de ne pas assez mimer les faux modestes. Karim Benzema et Antoine Griezmann sortis, il s’est senti le devoir de lever le doigt pour tirer en dernier. On connaît la suite.


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Le Monde - 13h56

Euro 2021 : Kylian Mbappé, le maudit de Bucarest

Il n’a pas marqué pendant le tournoi et a raté le penalty fatidique face à la Suisse en huitième de finale. L’attaquant n’a pourtant pas démérité pendant cet Euro 2021 où il a découvert l’échec avec les Bleus. Par une nuit folle comme le football en propose parfois, le sol de Bucarest se dérobe sous les pieds de Kylian Mbappé. Incrédule, l’attaquant des Bleus jette un œil vers l’arbitre. Un instant, il croit à une seconde chance. Peut-être que Yann Sommer a bougé de sa ligne avant son tir au but, peut-être que monsieur Rapallini va le donner à retirer. Mais non. L’arbitre assistant valide la décision. La France est bien éliminée par la Suisse (3-3, 4-5 aux t.a.b.) au bout d’un improbable huitième de finale lors de cet Euro 2021.
Figé dans la surface de réparation, le Parisien est seul. Très seul même. Ses coéquipiers n’ont pas la présence d’esprit de tout de suite venir le consoler. Eux aussi sont occupés avec leur propre tristesse. Forfait pour cette rencontre, Lucas Digne finit par venir aux nouvelles. De loin, on imagine les mots simples qui se veulent réconfortants mais ne cautérisent pas grand-chose à vif.
Dans une séance de « pénos », celui qui s’avance comme un cinquième tireur sait qu’il a souvent pour les siens le paradis ou l’enfer au bout de son pied. A 22 ans, Mbappé est du genre à demander et à prendre les responsabilités. Certains lui reprochent de trop bien connaître sa valeur et de ne pas assez mimer les faux modestes. Karim Benzema et Antoine Griezmann sortis, il s’est senti le devoir de lever le doigt pour tirer en dernier. On connaît la suite.

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Rfi.fr - 13h50

Afrique du Sud: Jacob Zuma condamné à 15 mois de prison pour outrage à la justice

Un jugement sans précédent en Afrique du Sud : l’ancien président Jacob Zuma a été condamné à 15 mois de prison pour outrage à la justice. Le verdict très attendu de la Cour constitutionnelle est tombé ce mardi 29 juin 2021. Poursuivi dans plusieurs affaires de détournement et blanchiment d’argent, Jacob Zuma était, cette fois-ci, jugé pour son refus de comparaître devant une commission anticorruption.
C’est à la majorité que la plus haute cour du pays a rendu son verdict. « Il n’y a absolument aucun doute », a déclaré la juge de la Cour constitutionnelle, avant l’énoncé de la sentence : « Monsieur Zuma est coupable d’outrage à la justice. » « Jamais auparavant, a-t-elle précisé, l’autorité et la légitimité de cette Cour n’a été sujette à autant d’attaques de la part de Monsieur Zuma. Jamais la justice n’a été autant menacée. Nous n’avons pas d’autres choix que de le juger coupable. »
L’ancien président, qui est poursuivi dans plusieurs affaires de corruption, dont une affaire de pot-de-vin du groupe français Thalès, écope donc de 15 mois de prison. Une peine qui ne concerne pas directement ces affaires puisqu’elles sont encore en instance de jugement, mais pour avoir refusé d’obéir à la justice et de se présenter devant une commission. Une commission qui enquête sur la corruption au sommet de l’État et qui l’avait convoqué pour l’entendre.


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Rfi.fr - 13h50

Afrique du Sud: Jacob Zuma condamné à 15 mois de prison pour outrage à la justice

Un jugement sans précédent en Afrique du Sud : l’ancien président Jacob Zuma a été condamné à 15 mois de prison pour outrage à la justice. Le verdict très attendu de la Cour constitutionnelle est tombé ce mardi 29 juin 2021. Poursuivi dans plusieurs affaires de détournement et blanchiment d’argent, Jacob Zuma était, cette fois-ci, jugé pour son refus de comparaître devant une commission anticorruption.
C’est à la majorité que la plus haute cour du pays a rendu son verdict. « Il n’y a absolument aucun doute », a déclaré la juge de la Cour constitutionnelle, avant l’énoncé de la sentence : « Monsieur Zuma est coupable d’outrage à la justice. » « Jamais auparavant, a-t-elle précisé, l’autorité et la légitimité de cette Cour n’a été sujette à autant d’attaques de la part de Monsieur Zuma. Jamais la justice n’a été autant menacée. Nous n’avons pas d’autres choix que de le juger coupable. »
L’ancien président, qui est poursuivi dans plusieurs affaires de corruption, dont une affaire de pot-de-vin du groupe français Thalès, écope donc de 15 mois de prison. Une peine qui ne concerne pas directement ces affaires puisqu’elles sont encore en instance de jugement, mais pour avoir refusé d’obéir à la justice et de se présenter devant une commission. Une commission qui enquête sur la corruption au sommet de l’État et qui l’avait convoqué pour l’entendre.

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lundi 28 juin

Le Point - 19h35

Australie : avec le variant Delta, « 100 % de transmission au sein des foyers »

Confinement, port du masque, jauge en intérieur et extérieur… Des millions d’Australiens démarrent la semaine sous de nouvelles restrictions sanitaires. En cause, un rebond de l’épidémie de coronavirus – dû au variant Delta – sur l’ensemble du pays. En Nouvelle-Galles du Sud, la métropole de Sydney s’est confinée pour au moins deux semaines. Dix-huit nouvelles contaminations y ont été recensées au cours des dernières 24 heures, portant à 130 le nombre de cas positifs. À l’origine de ce cluster, un chauffeur effectuant la navette entre l’aéroport de Sydney et des hôtels de quarantaine. « Nous devons nous préparer à ce que les chiffres augmentent considérablement. Avec ce variant (Delta, NDLR), nous assistons à près de 100 % de transmission au sein des foyers », s’est inquiétée la Première ministre de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian, lors de son dernier point presse tenu lundi midi, heure australienne.
Confinement éclair – cinq jours – également dans le Territoire du Nord, après qu’un homme a été testé positif alors qu’il revenait pourtant de quarantaine dans un hôtel du Queensland. « Je préfère regretter d’être allé trop fort, trop tôt, plutôt que d’aller trop doucement et tout risquer. Nous savons comment vaincre ce virus », s’est justifié le Premier ministre de cet État du nord de l’Australie, Michael Gunner.
La suite est un jeu de dominos à échelle nationale. Une habitante d’Australie-Occidentale a contraint cet État de l’Ouest australien à imposer trois jours de restrictions sanitaires – port du masque et jauge en extérieur dans la ville de Perth et ses alentours – après avoir contracté le virus lors de son voyage à Sydney. Mêmes restrictions dans certaines villes du Queensland, prononcées pour un minimum de deux semaines, après l’annonce de trois cas positifs, deux personnes revenant du Territoire du Nord et un voyageur international en quarantaine. « Nous sommes sur le point de confiner », a prévenu ce lundi la Première ministre de cet État du Nord-Est, Annastacia Palaszczuk. Lundi également, la ville de Perth (Australie-Occidentale) a été placée en confinement pour une durée de quatre jours, suite à l’annonce d’un troisième cas positif.


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Le Point - 19h35

Australie : avec le variant Delta, « 100 % de transmission au sein des foyers »

Confinement, port du masque, jauge en intérieur et extérieur… Des millions d’Australiens démarrent la semaine sous de nouvelles restrictions sanitaires. En cause, un rebond de l’épidémie de coronavirus – dû au variant Delta – sur l’ensemble du pays. En Nouvelle-Galles du Sud, la métropole de Sydney s’est confinée pour au moins deux semaines. Dix-huit nouvelles contaminations y ont été recensées au cours des dernières 24 heures, portant à 130 le nombre de cas positifs. À l’origine de ce cluster, un chauffeur effectuant la navette entre l’aéroport de Sydney et des hôtels de quarantaine. « Nous devons nous préparer à ce que les chiffres augmentent considérablement. Avec ce variant (Delta, NDLR), nous assistons à près de 100 % de transmission au sein des foyers », s’est inquiétée la Première ministre de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian, lors de son dernier point presse tenu lundi midi, heure australienne.
Confinement éclair – cinq jours – également dans le Territoire du Nord, après qu’un homme a été testé positif alors qu’il revenait pourtant de quarantaine dans un hôtel du Queensland. « Je préfère regretter d’être allé trop fort, trop tôt, plutôt que d’aller trop doucement et tout risquer. Nous savons comment vaincre ce virus », s’est justifié le Premier ministre de cet État du nord de l’Australie, Michael Gunner.
La suite est un jeu de dominos à échelle nationale. Une habitante d’Australie-Occidentale a contraint cet État de l’Ouest australien à imposer trois jours de restrictions sanitaires – port du masque et jauge en extérieur dans la ville de Perth et ses alentours – après avoir contracté le virus lors de son voyage à Sydney. Mêmes restrictions dans certaines villes du Queensland, prononcées pour un minimum de deux semaines, après l’annonce de trois cas positifs, deux personnes revenant du Territoire du Nord et un voyageur international en quarantaine. « Nous sommes sur le point de confiner », a prévenu ce lundi la Première ministre de cet État du Nord-Est, Annastacia Palaszczuk. Lundi également, la ville de Perth (Australie-Occidentale) a été placée en confinement pour une durée de quatre jours, suite à l’annonce d’un troisième cas positif.

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Rfi.fr - 19h32

Tchad: le président de la transition Mahamat Idriss Déby sort de son silence

C’est en officier que Mahamat Idriss Déby a vécu la mort de son père. « J’étais encore en plein combat à quelques kilomètres au Sud », raconte-t-il lorsque le « Maréchal » – c’est ainsi qu’il appelle son père dans toute l’interview – a reçu la blessure qui allait lui être fatale. « Ce n’est que vers midi, après avoir écrasé les mercenaires, que j’ai appris son évacuation par hélicoptère sur Ndjamena. C’est au cours de mon retour que j’ai été informé de son décès. »
« Un choc violent, reconnaît-il. Pour moi, pour notre famille, pour les Tchadiens, pour l’Afrique. Mais le chaos que prévoyaient les soi-disant tchagologues ne s’est pas produit », souligne-t-il. La transition est devenue militaire parce que le président de l’Assemblée nationale, à qui revenait le pouvoir, a refusé de prendre cette charge, insiste Mahamat Idriss Déby, qui refuse toute comparaison avec le putsch militaire au Mali.
Des élections sont prévues dans 18 mois, un délai qui sera respecté à deux conditions, souligne-t-il : que les Tchadiens s’entendent et que le pays reçoive l’aide indispensable, selon lui, à l’organisation du scrutin que le Trésor tchadien ne peut supporter seul.
Toujours dans cette interview, Mahamat Idriss Déby prend acte de la fin annoncée de l’opération Barkhane par le président français. « Je crois que les Africains sont tout à fait capables de se défendre eux-mêmes contre le fléau jihadiste, commente-t-il. Les engagements du Tchad seront maintenus au sein de la Minusma et du G5 Sahel. »


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Rfi.fr - 19h32

Tchad: le président de la transition Mahamat Idriss Déby sort de son silence

C’est en officier que Mahamat Idriss Déby a vécu la mort de son père. « J’étais encore en plein combat à quelques kilomètres au Sud », raconte-t-il lorsque le « Maréchal » – c’est ainsi qu’il appelle son père dans toute l’interview – a reçu la blessure qui allait lui être fatale. « Ce n’est que vers midi, après avoir écrasé les mercenaires, que j’ai appris son évacuation par hélicoptère sur Ndjamena. C’est au cours de mon retour que j’ai été informé de son décès. »
« Un choc violent, reconnaît-il. Pour moi, pour notre famille, pour les Tchadiens, pour l’Afrique. Mais le chaos que prévoyaient les soi-disant tchagologues ne s’est pas produit », souligne-t-il. La transition est devenue militaire parce que le président de l’Assemblée nationale, à qui revenait le pouvoir, a refusé de prendre cette charge, insiste Mahamat Idriss Déby, qui refuse toute comparaison avec le putsch militaire au Mali.
Des élections sont prévues dans 18 mois, un délai qui sera respecté à deux conditions, souligne-t-il : que les Tchadiens s’entendent et que le pays reçoive l’aide indispensable, selon lui, à l’organisation du scrutin que le Trésor tchadien ne peut supporter seul.
Toujours dans cette interview, Mahamat Idriss Déby prend acte de la fin annoncée de l’opération Barkhane par le président français. « Je crois que les Africains sont tout à fait capables de se défendre eux-mêmes contre le fléau jihadiste, commente-t-il. Les engagements du Tchad seront maintenus au sein de la Minusma et du G5 Sahel. »

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Rfi.fr - 19h29

Bénin: coup de filet après la découverte de plusieurs kilos de cocaïne au port de Cotonou

Au Bénin, une affaire de cocaïne retrouvée dans un conteneur au port autonome de Cotonou défraie la chronique. Le patron de la brigade des stupéfiants est mis aux arrêts de rigueur. Neuf personnes dont un homme d’affaires et des agents d’un grand groupe français sont en détention provisoire par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Neuf personnes, dont un homme d’affaires béninois et le directeur d’exploitation d’un grand groupe français sont en détention provisoire depuis le vendredi 25 juin et poursuivis pour « trafic de drogue et corruption ». Selon les informations de RFI, la CRIET a fixé leur procès au 15 juillet prochain.
Le chef de l’Ocertid, l’équivalent de la brigade des stupéfiants, est entendu ce lundi 28 juin pour la première fois par la police judiciaire. Auparavant sa hiérarchie lui avait infligé un arrêt de rigueur. Il n’a pas encore été présenté au procureur spécial. L’affaire est liée à la découverte, début mai, de 145,5 kg de cocaïne dans


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Rfi.fr - 19h29

Bénin: coup de filet après la découverte de plusieurs kilos de cocaïne au port de Cotonou

Au Bénin, une affaire de cocaïne retrouvée dans un conteneur au port autonome de Cotonou défraie la chronique. Le patron de la brigade des stupéfiants est mis aux arrêts de rigueur. Neuf personnes dont un homme d’affaires et des agents d’un grand groupe français sont en détention provisoire par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Neuf personnes, dont un homme d’affaires béninois et le directeur d’exploitation d’un grand groupe français sont en détention provisoire depuis le vendredi 25 juin et poursuivis pour « trafic de drogue et corruption ». Selon les informations de RFI, la CRIET a fixé leur procès au 15 juillet prochain.
Le chef de l’Ocertid, l’équivalent de la brigade des stupéfiants, est entendu ce lundi 28 juin pour la première fois par la police judiciaire. Auparavant sa hiérarchie lui avait infligé un arrêt de rigueur. Il n’a pas encore été présenté au procureur spécial. L’affaire est liée à la découverte, début mai, de 145,5 kg de cocaïne dans

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dimanche 27 juin

Le Point - 00h25

Royaume-Uni: le ministre de la Santé démissionne après avoir violé les règles anti-Covid

Sa position était devenue intenable: le ministre britannique de la Santé Matt Hancock, au coeur de l’action gouvernementale contre la pandémie, a démissionné samedi pour avoir violé les restrictions anti-Covid au cours d’une liaison avec une conseillère, étalée dans tous les médias.
Il est remplacé par Sajid Javid, 51 ans, ancien ministre des Finances du Premier ministre Boris Johnson, a annoncé Downing Street. Il revient ainsi au gouvernement après en avoir claqué la porte début 2020, mécontent des conditions imposées dans l’exercice de son portefeuille.
Cet ex-banquier et fils d’un ancien chauffeur de bus pakistanais avait auparavant été le premier membre d’une minorité ethnique à prendre la tête du ministère de l’Intérieur sous le gouvernement conservateur précédent de Theresa May.
Ce changement intervient à un moment critique pour le Royaume-Uni, endeuillé par plus de 128.000 morts et confronté à une flambée de contaminations par le coronavirus attribuée au variant Delta très contagieux. Le pays est engagé dans une course contre la montre pour vacciner le plus de monde possible avec l’objectif de lever en juillet les dernières restrictions encore en place.


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Le Point - 00h25

Royaume-Uni: le ministre de la Santé démissionne après avoir violé les règles anti-Covid

Sa position était devenue intenable: le ministre britannique de la Santé Matt Hancock, au coeur de l’action gouvernementale contre la pandémie, a démissionné samedi pour avoir violé les restrictions anti-Covid au cours d’une liaison avec une conseillère, étalée dans tous les médias.
Il est remplacé par Sajid Javid, 51 ans, ancien ministre des Finances du Premier ministre Boris Johnson, a annoncé Downing Street. Il revient ainsi au gouvernement après en avoir claqué la porte début 2020, mécontent des conditions imposées dans l’exercice de son portefeuille.
Cet ex-banquier et fils d’un ancien chauffeur de bus pakistanais avait auparavant été le premier membre d’une minorité ethnique à prendre la tête du ministère de l’Intérieur sous le gouvernement conservateur précédent de Theresa May.
Ce changement intervient à un moment critique pour le Royaume-Uni, endeuillé par plus de 128.000 morts et confronté à une flambée de contaminations par le coronavirus attribuée au variant Delta très contagieux. Le pays est engagé dans une course contre la montre pour vacciner le plus de monde possible avec l’objectif de lever en juillet les dernières restrictions encore en place.

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Rfi.fr - 00h21

Le changement climatique pousse Madagascar au bord du désastre humanitaire

Avec trois années de sècheresse successives et des conditions climatiques particulièrement difficiles cette année, le sud de la Grande île subit de plein fouet les conséquences du changement climatique.

« Entre décembre et février, il n’y a pas eu une seule goutte de pluie. Et c’est normalement la période des pluies et des semailles, donc les gens se sont retrouvés quasiment sans culture, rapporte Jean-Luc Siblot, coordinateur des urgences pour le Programme alimentaire mondial à Madagascar. Le phénomène s’est amplifié cette année avec des vents de sable inacoutumiers dans cette région qui ont balayé le peu de culture qu’ils avaient. »

Conséquence, 1,130 million de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire sévère. La population est au bord de la famine et beaucoup de démunis migrent vers les villes pour tenter de subsister.

« Au mois de janvier, vous passiez dans certaines régions du sud, c’était des paysages typiques du Sahara et les gens n’ont absolument pas la même culture que les gens qui habitent le Sahara. Il va donc falloir que les gens s’adaptent, mais aussi que le gouvernement, les ONG regardent le problème d’une manière complètement différente pour que les gens puissent survire dans ce genre de climat. Mais ça va être très compliqué, il va falloir des moyens très importants », conclut Jean-Luc Sibiot. Il regrette en fait déjà un manque de moyens. L’aide humanitaire ne permet déjà pas de juguler la crise aujourd’hui selon lui.


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Rfi.fr - 00h21

Le changement climatique pousse Madagascar au bord du désastre humanitaire

Avec trois années de sècheresse successives et des conditions climatiques particulièrement difficiles cette année, le sud de la Grande île subit de plein fouet les conséquences du changement climatique.

« Entre décembre et février, il n’y a pas eu une seule goutte de pluie. Et c’est normalement la période des pluies et des semailles, donc les gens se sont retrouvés quasiment sans culture, rapporte Jean-Luc Siblot, coordinateur des urgences pour le Programme alimentaire mondial à Madagascar. Le phénomène s’est amplifié cette année avec des vents de sable inacoutumiers dans cette région qui ont balayé le peu de culture qu’ils avaient. »

Conséquence, 1,130 million de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire sévère. La population est au bord de la famine et beaucoup de démunis migrent vers les villes pour tenter de subsister.

« Au mois de janvier, vous passiez dans certaines régions du sud, c’était des paysages typiques du Sahara et les gens n’ont absolument pas la même culture que les gens qui habitent le Sahara. Il va donc falloir que les gens s’adaptent, mais aussi que le gouvernement, les ONG regardent le problème d’une manière complètement différente pour que les gens puissent survire dans ce genre de climat. Mais ça va être très compliqué, il va falloir des moyens très importants », conclut Jean-Luc Sibiot. Il regrette en fait déjà un manque de moyens. L’aide humanitaire ne permet déjà pas de juguler la crise aujourd’hui selon lui.

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vendredi 25 juin

Le Point - 16h37

Nigeria : le président Buhari à Londres pour un nouveau congé médical

L’information a été donnée par le conseiller présidentiel Femi Adesina. « Le président Buhari doit être de retour dans le pays au cours de la deuxième semaine de juillet », a-t-il indiqué. M. Buhari, 78 ans, s’est rendu plusieurs fois à Londres pour des raisons médicales depuis sa première élection à la présidence en 2015. Cela a été le cas en 2016 et en 2017. Il avait déclaré n’avoir « jamais été aussi malade » de sa vie et avoir subi plusieurs transfusions sanguines.
L’état de santé de l’ancien général a été un sujet de débat lors de la dernière campagne électorale, en 2019, l’opposition affirmant qu’il n’était pas physiquement en état de gouverner. M. Buhari a remporté l’élection. Le dernier voyage médical à Londres du président a eu lieu de fin mars à la mi-avril, juste avant une grève des médecins des hôpitaux publics du Nigeria protestant contre le niveau des salaires et l’insuffisance des équipements. Son départ avait déclenché une vive polémique dans le pays le plus peuplé d’Afrique, où le système de santé est défaillant avec moins de 42 000 médecins pour 200 millions d’habitants et des hôpitaux délabrés.


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Le Point - 16h37

Nigeria : le président Buhari à Londres pour un nouveau congé médical

L’information a été donnée par le conseiller présidentiel Femi Adesina. « Le président Buhari doit être de retour dans le pays au cours de la deuxième semaine de juillet », a-t-il indiqué. M. Buhari, 78 ans, s’est rendu plusieurs fois à Londres pour des raisons médicales depuis sa première élection à la présidence en 2015. Cela a été le cas en 2016 et en 2017. Il avait déclaré n’avoir « jamais été aussi malade » de sa vie et avoir subi plusieurs transfusions sanguines.
L’état de santé de l’ancien général a été un sujet de débat lors de la dernière campagne électorale, en 2019, l’opposition affirmant qu’il n’était pas physiquement en état de gouverner. M. Buhari a remporté l’élection. Le dernier voyage médical à Londres du président a eu lieu de fin mars à la mi-avril, juste avant une grève des médecins des hôpitaux publics du Nigeria protestant contre le niveau des salaires et l’insuffisance des équipements. Son départ avait déclenché une vive polémique dans le pays le plus peuplé d’Afrique, où le système de santé est défaillant avec moins de 42 000 médecins pour 200 millions d’habitants et des hôpitaux délabrés.

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Rfi.fr - 16h27

Rwanda: le président Kagame reçoit son homologue congolais Félix Tshisekedi

Le président rwandais, Paul Kagame, reçoit ce vendredi 25 juin 2021 à Gisenyi, du côté rwandais de la frontière, Félix Tshisekedi. Samedi, les deux hommes devraient être à Goma pour une conférence de presse. Les deux chefs d’État ne s’étaient pas vus depuis Paris et les propos de Paul Kagame dénigrant le rapport Mapping et l’état de siège. Mais selon la présidence congolaise, cette page est tournée. L’heure est à la coopération.
Le 17 mai à Paris, Félix Tshisekedi avait reçu Paul Kagame en tant que président de l’Union africaine pour préparer le sommet sur le financement des économies africaines qui devait s’ouvrir le lendemain. Le même jour, le chef de l’Etat rwandais avait nié sur RFI et France 24 les crimes commis, notamment par ses troupes, au Congo, dénigré le rapport Mapping de l’ONU, le docteur Denis Mukwege et même l’état de siège, ce qui avait suscité un tollé en République démocratique du Congo (RDC).
Trois jours plus tard, le président Tshisekedi a dit se refuser à lui répondre par médias interposés en promettant de lui en parler. On ne sait pas si cet échange a eu lieu, mais la semaine suivante, le chef de l’État rwandais a alors temporisé ses propos et a reconnu cette fois l’existence de crimes commis au Congo, tout en saluant le travail du docteur Mukwege vis-à-vis des femmes violées.
Mais il n’est plus question de cela aujourd’hui, assure la présidence congolaise, qui vante les bonnes relations. Ce vendredi, selon la presse officielle rwandaise, il s’agit d’une visite d’État d’un jour. Les deux hommes devraient faire l’évaluation des dégâts causés par l’éruption du Nyiragongo et se voir en tête-à-tête. Ils pourraient aborder les questions de sécurité.


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Rfi.fr - 16h27

Rwanda: le président Kagame reçoit son homologue congolais Félix Tshisekedi

Le président rwandais, Paul Kagame, reçoit ce vendredi 25 juin 2021 à Gisenyi, du côté rwandais de la frontière, Félix Tshisekedi. Samedi, les deux hommes devraient être à Goma pour une conférence de presse. Les deux chefs d’État ne s’étaient pas vus depuis Paris et les propos de Paul Kagame dénigrant le rapport Mapping et l’état de siège. Mais selon la présidence congolaise, cette page est tournée. L’heure est à la coopération.
Le 17 mai à Paris, Félix Tshisekedi avait reçu Paul Kagame en tant que président de l’Union africaine pour préparer le sommet sur le financement des économies africaines qui devait s’ouvrir le lendemain. Le même jour, le chef de l’Etat rwandais avait nié sur RFI et France 24 les crimes commis, notamment par ses troupes, au Congo, dénigré le rapport Mapping de l’ONU, le docteur Denis Mukwege et même l’état de siège, ce qui avait suscité un tollé en République démocratique du Congo (RDC).
Trois jours plus tard, le président Tshisekedi a dit se refuser à lui répondre par médias interposés en promettant de lui en parler. On ne sait pas si cet échange a eu lieu, mais la semaine suivante, le chef de l’État rwandais a alors temporisé ses propos et a reconnu cette fois l’existence de crimes commis au Congo, tout en saluant le travail du docteur Mukwege vis-à-vis des femmes violées.
Mais il n’est plus question de cela aujourd’hui, assure la présidence congolaise, qui vante les bonnes relations. Ce vendredi, selon la presse officielle rwandaise, il s’agit d’une visite d’État d’un jour. Les deux hommes devraient faire l’évaluation des dégâts causés par l’éruption du Nyiragongo et se voir en tête-à-tête. Ils pourraient aborder les questions de sécurité.

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Rfi.fr - 16h22

Ouganda: le fils du président Museveni nommé à la tête de l’armée de terre

C’est un changement de taille au sein de l’armée ougandaise. Avec cette nomination, le général Muhoozi Kainerugaba confirme qu’il prend depuis quelques années une place de plus en plus importante dans l’appareil sécuritaire.
À 47 ans, le général Muhoozi Kainerugaba est maintenant le numéro 3 de l’UPDF (Uganda peuple defense forces, l’armée ougandaise), à la tête de la plus grande des différentes unités qui composent les forces militaires. Un poste considéré comme un tremplin avant celui de chef des forces de défense, rang le plus haut gradé et équivalent de chef d’état-major.
Le fils aîné du président Yoweri Museveni a rapidement gravi les échelons au sein de l’armée. À partir de 2008, il est nommé à la tête des très influentes forces spéciales, l’unité qui coordonne notamment la protection du chef de l’État et les opérations militaires les plus sensibles. En 2017, il devient également le conseiller présidentiel en charge de la sécurité.
Depuis plusieurs années, des rumeurs circulent affirmant que Yoweri Museveni prépare son fils à sa succession. Pour l’instant, le général Muhoozi Kainerugaba n’a jamais exprimé d’ambition politique. Mais depuis un an, il rencontre de nombreux ambassadeurs et diplomates.
Selon l’analyste et journaliste Andrew Mwenda, ce nouveau poste pourrait être un premier pas vers une nouvelle carrière. En Ouganda, de nombreux commandants de l’armée de terre ont ensuite été nommés au sein du gouvernement.


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Rfi.fr - 16h22

Ouganda: le fils du président Museveni nommé à la tête de l’armée de terre

C’est un changement de taille au sein de l’armée ougandaise. Avec cette nomination, le général Muhoozi Kainerugaba confirme qu’il prend depuis quelques années une place de plus en plus importante dans l’appareil sécuritaire.
À 47 ans, le général Muhoozi Kainerugaba est maintenant le numéro 3 de l’UPDF (Uganda peuple defense forces, l’armée ougandaise), à la tête de la plus grande des différentes unités qui composent les forces militaires. Un poste considéré comme un tremplin avant celui de chef des forces de défense, rang le plus haut gradé et équivalent de chef d’état-major.
Le fils aîné du président Yoweri Museveni a rapidement gravi les échelons au sein de l’armée. À partir de 2008, il est nommé à la tête des très influentes forces spéciales, l’unité qui coordonne notamment la protection du chef de l’État et les opérations militaires les plus sensibles. En 2017, il devient également le conseiller présidentiel en charge de la sécurité.
Depuis plusieurs années, des rumeurs circulent affirmant que Yoweri Museveni prépare son fils à sa succession. Pour l’instant, le général Muhoozi Kainerugaba n’a jamais exprimé d’ambition politique. Mais depuis un an, il rencontre de nombreux ambassadeurs et diplomates.
Selon l’analyste et journaliste Andrew Mwenda, ce nouveau poste pourrait être un premier pas vers une nouvelle carrière. En Ouganda, de nombreux commandants de l’armée de terre ont ensuite été nommés au sein du gouvernement.

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Le Figaro - 11h38

L’UE rejette le sommet UE-Russie proposé par Merkel et Macron

Le couple franco-allemand voulait relancer le dialogue avec Moscou. Il a essuyé un tir de barrage jeudi soir. Ont-ils sous-estimé les résistances qu’il leur faudrait surmonter ? Jeudi soir, au terme de longues heures de discussions, Angela Merkel et Emmanuel Macron n’ont pas réussi à convaincre les Vingt-Sept de la pertinence d’un sommet UE-Russie pour relancer le dialogue avec Moscou. «Il n’a pas été possible de convenir aujourd’hui que nous devrions nous rencontrer immédiatement en sommet», a regretté la chancelière Angela Merkel à l’issue de la réunion. Cette proposition d’une rencontre entre les Européens et Poutine avait été mise sur la table mercredi, à savoir la veille du Conseil européen et avait alors suscité beaucoup d’agacement dans les rangs des diplomates de l’UE. Pour des questions de fond mais aussi de forme. «Nous avons besoin de davantage de temps pour travailler», râlait mercredi un diplomate de l’UE parlant d’«une proposition tardive».


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Le Figaro - 11h38

L’UE rejette le sommet UE-Russie proposé par Merkel et Macron

Le couple franco-allemand voulait relancer le dialogue avec Moscou. Il a essuyé un tir de barrage jeudi soir. Ont-ils sous-estimé les résistances qu’il leur faudrait surmonter ? Jeudi soir, au terme de longues heures de discussions, Angela Merkel et Emmanuel Macron n’ont pas réussi à convaincre les Vingt-Sept de la pertinence d’un sommet UE-Russie pour relancer le dialogue avec Moscou. «Il n’a pas été possible de convenir aujourd’hui que nous devrions nous rencontrer immédiatement en sommet», a regretté la chancelière Angela Merkel à l’issue de la réunion. Cette proposition d’une rencontre entre les Européens et Poutine avait été mise sur la table mercredi, à savoir la veille du Conseil européen et avait alors suscité beaucoup d’agacement dans les rangs des diplomates de l’UE. Pour des questions de fond mais aussi de forme. «Nous avons besoin de davantage de temps pour travailler», râlait mercredi un diplomate de l’UE parlant d’«une proposition tardive».

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Le Point - 11h34

Effondrement d’un immeuble en Floride: un mort, pas de nouvelles de 99 personnes

Les autorités américaines étaient toujours sans nouvelles de 99 personnes jeudi après l’effondrement spectaculaire d’un immeuble résidentiel près de Miami, faisant redouter un lourd bilan pendant que les secours fouillaient les décombres à la recherche d’éventuels survivants.
Au moins une personne a trouvé la mort dans cette catastrophe pour l’heure inexpliquée. « 102 personnes ont été localisées (…) et elles sont en sécurité », a dit lors d’une conférence de presse Daniella Levine Cava, la maire du comté de Miami-Dade. « Nous sommes encore sans nouvelles d’au moins 99 » personnes.
Pompiers et unités cynophiles s’activent toujours dans les ruines, a-t-elle plus tard ajouté, en précisant que le prochain point de presse était prévu pour le lendemain matin, vers 08H00 (12H GMT). Le président Joe Biden a déclaré que l’Etat fédéral se tenait prêt à assister les opérations de secours et de relogement d’urgence des rescapés.
Selon le sénateur républicain de Floride Marco Rubio, « presque un tiers des disparus (…) sont étrangers ». « Nous travaillons avec les consulats de divers pays en Amérique latine pour aider les membres des familles des victimes qui ont besoin de venir aux Etats-Unis à obtenir des visas », a-t-il tweeté.


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Le Point - 11h34

Effondrement d’un immeuble en Floride: un mort, pas de nouvelles de 99 personnes

Les autorités américaines étaient toujours sans nouvelles de 99 personnes jeudi après l’effondrement spectaculaire d’un immeuble résidentiel près de Miami, faisant redouter un lourd bilan pendant que les secours fouillaient les décombres à la recherche d’éventuels survivants.
Au moins une personne a trouvé la mort dans cette catastrophe pour l’heure inexpliquée. « 102 personnes ont été localisées (…) et elles sont en sécurité », a dit lors d’une conférence de presse Daniella Levine Cava, la maire du comté de Miami-Dade. « Nous sommes encore sans nouvelles d’au moins 99 » personnes.
Pompiers et unités cynophiles s’activent toujours dans les ruines, a-t-elle plus tard ajouté, en précisant que le prochain point de presse était prévu pour le lendemain matin, vers 08H00 (12H GMT). Le président Joe Biden a déclaré que l’Etat fédéral se tenait prêt à assister les opérations de secours et de relogement d’urgence des rescapés.
Selon le sénateur républicain de Floride Marco Rubio, « presque un tiers des disparus (…) sont étrangers ». « Nous travaillons avec les consulats de divers pays en Amérique latine pour aider les membres des familles des victimes qui ont besoin de venir aux Etats-Unis à obtenir des visas », a-t-il tweeté.

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Le Point - 11h30

Chine : 18 morts dans l’incendie d’une école d’arts martiaux

Ce vendredi 25 juin, dix-huit personnes ont perdu la vie dans l’incendie d’une école d’arts martiaux, dans le centre de la Chine. Dans le même temps, seize personnes ont été blessées. D’après un communiqué officiel, le responsable de l’établissement situé dans la province du Henan a été arrêté. La plupart des victimes sont des élèves de l’école, âgés de 7 à 16 ans, selon des médias locaux.
D’après un communiqué du comté de Zhecheng, l’incendie a été éteint. Le sinistre s’est déclaré de nuit alors que 34 pensionnaires étaient présents au premier étage de l’école, selon des fonctionnaires interrogés par le site Beijing Toutiao News. Les blessés, dont quatre dans un état grave, ont été acheminés vers un hôpital où un médecin a assuré que « tout est fait » pour les sauver, selon la même source.
Les incendies sont fréquents en Chine, avec des dizaines de victimes enregistrées ces dernières années lors de feux de forêts ou d’installations industrielles. Dans des locaux d’habitation, un incendie avait fait 19 morts au sud de Pékin fin 2017, dans un hôtel où étaient hébergés des migrants internes. Cet événement avait été suivi d’une campagne de destruction des logements illégaux habités par les migrants, dont beaucoup ont dû regagner leur province. L’incendie de vendredi survient alors que le pouvoir chinois renforce les mesures de sécurité tous azimuts, à l’approche des célébrations du centenaire du Parti communiste au pouvoir le 1er juillet.


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Le Point - 11h30

Chine : 18 morts dans l’incendie d’une école d’arts martiaux

Ce vendredi 25 juin, dix-huit personnes ont perdu la vie dans l’incendie d’une école d’arts martiaux, dans le centre de la Chine. Dans le même temps, seize personnes ont été blessées. D’après un communiqué officiel, le responsable de l’établissement situé dans la province du Henan a été arrêté. La plupart des victimes sont des élèves de l’école, âgés de 7 à 16 ans, selon des médias locaux.
D’après un communiqué du comté de Zhecheng, l’incendie a été éteint. Le sinistre s’est déclaré de nuit alors que 34 pensionnaires étaient présents au premier étage de l’école, selon des fonctionnaires interrogés par le site Beijing Toutiao News. Les blessés, dont quatre dans un état grave, ont été acheminés vers un hôpital où un médecin a assuré que « tout est fait » pour les sauver, selon la même source.
Les incendies sont fréquents en Chine, avec des dizaines de victimes enregistrées ces dernières années lors de feux de forêts ou d’installations industrielles. Dans des locaux d’habitation, un incendie avait fait 19 morts au sud de Pékin fin 2017, dans un hôtel où étaient hébergés des migrants internes. Cet événement avait été suivi d’une campagne de destruction des logements illégaux habités par les migrants, dont beaucoup ont dû regagner leur province. L’incendie de vendredi survient alors que le pouvoir chinois renforce les mesures de sécurité tous azimuts, à l’approche des célébrations du centenaire du Parti communiste au pouvoir le 1er juillet.

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Rfi.fr - 11h26

Guerre au Tigré: les habitants dans la crainte permanente des soldats érythréens

L’Éthiopie a voté pour ses premières élections législatives depuis 2018 lundi 21 juin. Néanmoins le scrutin ne s’est pas tenu dans un cinquième des bureaux de vote, notamment au Tigré. La province du Nord subit un conflit entre l’ancien pouvoir local et le pouvoir fédéral, aidé par l’armée érythréenne. Les soldats d’Asmara sont accusés de multiples crimes contre les civils et leur présence inspire désormais la terreur.
Sur cette ligne de transport, les bus arrivant de la capitale s’arrêtent à Mèlvé. Par défaut, le village s’est transformé en terminus car plus loin, les Érythréens ont installé un barrage. Depuis l’arrivée de ces soldats il y a trois mois, les Tigréens ne s’en approchent plus.
« Un jour, les soldats ont stoppé le bus, m’ont ordonné de descendre, de m’agenouiller et ils m’ont tabassé. Ils ont dit que la route était coupée maintenant, explique Girmay qui est chauffeur de bus sur la ligne. Depuis je n’y vais plus car j’ai trop peur. Sur la route on demande aux collègues où sont les soldats. S’ils sont trop proches, on rebrousse chemin ».
À cause du barrage, les usagers continuent à pied en évitant à tout prix les soldats. John va tenter de rejoindre Samra, à 40 km. « Ma famille vit là-bas. Elle m’a dit que les militaires violaient et pillaient, donc on contourne les soldats à pied, par des chemins qu’ils ne connaissent pas. Ça prend une journée. Ces Érythréens sont juste là pour nous détruire », déplore-t-il.


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Rfi.fr - 11h26

Guerre au Tigré: les habitants dans la crainte permanente des soldats érythréens

L’Éthiopie a voté pour ses premières élections législatives depuis 2018 lundi 21 juin. Néanmoins le scrutin ne s’est pas tenu dans un cinquième des bureaux de vote, notamment au Tigré. La province du Nord subit un conflit entre l’ancien pouvoir local et le pouvoir fédéral, aidé par l’armée érythréenne. Les soldats d’Asmara sont accusés de multiples crimes contre les civils et leur présence inspire désormais la terreur.
Sur cette ligne de transport, les bus arrivant de la capitale s’arrêtent à Mèlvé. Par défaut, le village s’est transformé en terminus car plus loin, les Érythréens ont installé un barrage. Depuis l’arrivée de ces soldats il y a trois mois, les Tigréens ne s’en approchent plus.
« Un jour, les soldats ont stoppé le bus, m’ont ordonné de descendre, de m’agenouiller et ils m’ont tabassé. Ils ont dit que la route était coupée maintenant, explique Girmay qui est chauffeur de bus sur la ligne. Depuis je n’y vais plus car j’ai trop peur. Sur la route on demande aux collègues où sont les soldats. S’ils sont trop proches, on rebrousse chemin ».
À cause du barrage, les usagers continuent à pied en évitant à tout prix les soldats. John va tenter de rejoindre Samra, à 40 km. « Ma famille vit là-bas. Elle m’a dit que les militaires violaient et pillaient, donc on contourne les soldats à pied, par des chemins qu’ils ne connaissent pas. Ça prend une journée. Ces Érythréens sont juste là pour nous détruire », déplore-t-il.

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Rfi.fr - 11h22

Les avocats de Guillaume Soro promettent de nouvelles actions contre l’État ivoirien

L’ancien Premier ministre Guillaume Soro a été condamné à la prison à perpétuité mercredi par le tribunal criminel d’Abidjan, pour « atteinte à l’autorité de l’État », « complot » et « diffusion de fausses informations ». Les autres accusés ont écopé de peines allant de 17 mois à 20 ans de prison.
À la sortie de l’audience à Abidjan, Me Raoul Gohi Bi, un des avocats des condamnés, a promis de contester le verdict, comptant sur la « sagesse » des juges d’appel pour l’« aider à rétablir le droit ». En Europe, où Guillaume Soro réside toujours, ses conseils s’interrogent sur cet appel, qui ne « changera rien face à une justice aux ordres » selon l’un d’entre eux. Mais ils préviennent déjà : « dès que le jugement sera publié, nous l’attaquerons », nous a dit Me Robin Binsard.
L’avocat prévoit de déposer des « compléments de plaintes » devant les juridictions internationales déjà saisies au nom de l’ex-président de l’Assemblée nationale et de ses proches.
Quatre procédures sont actuellement en cours : devant le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire, devant le Comité des droits de l’homme de l’ONU, devant la justice française pour un enregistrement diffusé par le procureur ivoirien Richard Adou, et devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.


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Rfi.fr - 11h22

Les avocats de Guillaume Soro promettent de nouvelles actions contre l’État ivoirien

L’ancien Premier ministre Guillaume Soro a été condamné à la prison à perpétuité mercredi par le tribunal criminel d’Abidjan, pour « atteinte à l’autorité de l’État », « complot » et « diffusion de fausses informations ». Les autres accusés ont écopé de peines allant de 17 mois à 20 ans de prison.
À la sortie de l’audience à Abidjan, Me Raoul Gohi Bi, un des avocats des condamnés, a promis de contester le verdict, comptant sur la « sagesse » des juges d’appel pour l’« aider à rétablir le droit ». En Europe, où Guillaume Soro réside toujours, ses conseils s’interrogent sur cet appel, qui ne « changera rien face à une justice aux ordres » selon l’un d’entre eux. Mais ils préviennent déjà : « dès que le jugement sera publié, nous l’attaquerons », nous a dit Me Robin Binsard.
L’avocat prévoit de déposer des « compléments de plaintes » devant les juridictions internationales déjà saisies au nom de l’ex-président de l’Assemblée nationale et de ses proches.
Quatre procédures sont actuellement en cours : devant le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire, devant le Comité des droits de l’homme de l’ONU, devant la justice française pour un enregistrement diffusé par le procureur ivoirien Richard Adou, et devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.

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Rfi.fr - 11h17

Procès du putsch manqué de 2019 au Gabon: la cour militaire garde sa compétence

Le 7 janvier 2019, au Gabon, un commando dirigé par le lieutenant Kelly Ondo Obiang avait pris le contrôle de la radio nationale pour diffuser un message sur la prise du pouvoir par un groupe de jeunes officiers. L’intervention des forces loyalistes avait rapidement mis fin à la tentative de coup d’État. Deux ans après, Kelly Ondo et ses complices comparaissent devant la cour militaire spéciale.
Ce jeudi, le lieutenant Kelly Ondo Obiang et ses huit coaccusés, sont entrés dans une salle bondée, dans le box des accusés, pour la troisième fois après les audiences du 18 et du 21 juin dernier. Leurs avocats ont soulevé plusieurs exceptions d’inconstitutionnalité. Ils contestent particulièrement la compétence de la cour spéciale militaire.
Selon eux, le Code pénal indique que lorsqu’une procédure implique au moins un civil, cette cour n’est plus compétente. C’est le cas de Ballack Obame, militant de l’opposition qui se trouve parmi les accusés. « Mes clients sont prêts, même si aujourd’hui la cour s’est érigée en juge constitutionnel en lieu et place de la Cour constitutionnelle. Nous sommes déçus certes, mais nous sommes prêts pour démontrer que si mes clients se sont mis debout, c’était pour empêcher un coup d’Etat qui se préparait », explique maître Jean-Paul Moumbembe, avocat de la défense.
Me Homa Moussavou, avocat de l’État, a refusé de s’adresser à la presse. Finalement, la Cour a rejeté toutes les demandes des avocats de la défense. Elle s’est déclarée compétente. La prochaine audience est prévue lundi avec audition des témoins.


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Rfi.fr - 11h17

Procès du putsch manqué de 2019 au Gabon: la cour militaire garde sa compétence

Le 7 janvier 2019, au Gabon, un commando dirigé par le lieutenant Kelly Ondo Obiang avait pris le contrôle de la radio nationale pour diffuser un message sur la prise du pouvoir par un groupe de jeunes officiers. L’intervention des forces loyalistes avait rapidement mis fin à la tentative de coup d’État. Deux ans après, Kelly Ondo et ses complices comparaissent devant la cour militaire spéciale.
Ce jeudi, le lieutenant Kelly Ondo Obiang et ses huit coaccusés, sont entrés dans une salle bondée, dans le box des accusés, pour la troisième fois après les audiences du 18 et du 21 juin dernier. Leurs avocats ont soulevé plusieurs exceptions d’inconstitutionnalité. Ils contestent particulièrement la compétence de la cour spéciale militaire.
Selon eux, le Code pénal indique que lorsqu’une procédure implique au moins un civil, cette cour n’est plus compétente. C’est le cas de Ballack Obame, militant de l’opposition qui se trouve parmi les accusés. « Mes clients sont prêts, même si aujourd’hui la cour s’est érigée en juge constitutionnel en lieu et place de la Cour constitutionnelle. Nous sommes déçus certes, mais nous sommes prêts pour démontrer que si mes clients se sont mis debout, c’était pour empêcher un coup d’Etat qui se préparait », explique maître Jean-Paul Moumbembe, avocat de la défense.
Me Homa Moussavou, avocat de l’État, a refusé de s’adresser à la presse. Finalement, la Cour a rejeté toutes les demandes des avocats de la défense. Elle s’est déclarée compétente. La prochaine audience est prévue lundi avec audition des témoins.

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jeudi 24 juin

Le Figaro avec AFP - 12h14

États-Unis: 34 femmes portent plainte contre Pornhub pour des vidéos d’abus sexuels

Leurs avocats reprochent au site pornographique d’être «une entreprise criminelle classique» dont le modèle économique repose sur l’exploitation de contenu sexuel non consensuel. Une plainte a été déposée jeudi 17 juin en Californie par 34 femmes qui accusent le site Internet Pornhub et sa maison mère d’avoir sciemment mis en ligne des vidéos où elles sont victimes de viols et autres abus sexuels, y compris lorsqu’elles étaient mineures. «Il s’agit d’une affaire qui porte sur des viols, pas sur la pornographie», insiste cette plainte au civil dont l’AFP a eu une copie.
Les avocats représentant les 34 plaignantes accusent Pornhub et sa maison mère MindGeek, l’un des géants mondiaux de l’Internet pour adultes, d’être «une entreprise criminelle classique» dont le modèle économique repose sur l’exploitation à des fins financières de contenu sexuel non consensuel. Parmi les 34 plaignantes, qui résident aux États-Unis ou à l’étranger, toutes sauf une ont souhaité rester anonymes. Quatorze d’entre elles disent avoir été mineures au moment des faits et être à ce titre «victimes de la traite sexuelle des enfants». Toutes reprochent à Pornhub d’avoir tiré profit des vidéos ayant été mises en ligne à leur insu et donc sans leur consentement – souvent par des petits amis ou des agresseurs – et réclament des dommages et intérêts pour les préjudices subis.
Serena Fleites, qui s’est déjà exprimée publiquement dans la presse, est la seule plaignante à être citée nommément. En 2014, elle avait appris qu’une vidéo «sexuellement explicite» que son petit ami l’avait contrainte à réaliser alors qu’elle était âgée de 13 ans seulement avait été placée sur Pornhub. Malgré le titre faisant sans ambiguïté référence à une «brunette de 13 ans», la vidéo était demeurée en ligne jusqu’à ce que l’adolescente, se faisant passer pour sa mère, ne demande à Pornhub de la retirer. La plateforme avait mis plusieurs semaines à s’exécuter, laissant largement le temps à la vidéo d’être diffusée, déplore la plainte.


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Le Figaro avec AFP - 12h14

États-Unis: 34 femmes portent plainte contre Pornhub pour des vidéos d’abus sexuels

Leurs avocats reprochent au site pornographique d’être «une entreprise criminelle classique» dont le modèle économique repose sur l’exploitation de contenu sexuel non consensuel. Une plainte a été déposée jeudi 17 juin en Californie par 34 femmes qui accusent le site Internet Pornhub et sa maison mère d’avoir sciemment mis en ligne des vidéos où elles sont victimes de viols et autres abus sexuels, y compris lorsqu’elles étaient mineures. «Il s’agit d’une affaire qui porte sur des viols, pas sur la pornographie», insiste cette plainte au civil dont l’AFP a eu une copie.
Les avocats représentant les 34 plaignantes accusent Pornhub et sa maison mère MindGeek, l’un des géants mondiaux de l’Internet pour adultes, d’être «une entreprise criminelle classique» dont le modèle économique repose sur l’exploitation à des fins financières de contenu sexuel non consensuel. Parmi les 34 plaignantes, qui résident aux États-Unis ou à l’étranger, toutes sauf une ont souhaité rester anonymes. Quatorze d’entre elles disent avoir été mineures au moment des faits et être à ce titre «victimes de la traite sexuelle des enfants». Toutes reprochent à Pornhub d’avoir tiré profit des vidéos ayant été mises en ligne à leur insu et donc sans leur consentement – souvent par des petits amis ou des agresseurs – et réclament des dommages et intérêts pour les préjudices subis.
Serena Fleites, qui s’est déjà exprimée publiquement dans la presse, est la seule plaignante à être citée nommément. En 2014, elle avait appris qu’une vidéo «sexuellement explicite» que son petit ami l’avait contrainte à réaliser alors qu’elle était âgée de 13 ans seulement avait été placée sur Pornhub. Malgré le titre faisant sans ambiguïté référence à une «brunette de 13 ans», la vidéo était demeurée en ligne jusqu’à ce que l’adolescente, se faisant passer pour sa mère, ne demande à Pornhub de la retirer. La plateforme avait mis plusieurs semaines à s’exécuter, laissant largement le temps à la vidéo d’être diffusée, déplore la plainte.

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Le Point - 12h07

Nouvelle vague de Covid : Israël retient son souffle

Malgré un taux de vaccination record, le nombre de contaminations est reparti à la hausse en Israël en raison de la propagation du variant Delta. La fin du port obligatoire du masque dans les lieux clos il y a moins de quinze jours avait été l’ultime signal du retour à la liberté. Et les Israéliens y croyaient dur comme fer : fini, la pandémie et ses cauchemars. Mais patatras ! La courbe des contaminations s’affole de nouveau, passant, en l’espace de soixante-douze heures d’une quarantaine de cas positifs à plus de 110 par jour. Des cas actifs ou contacts, certains vaccinés d’autres non, sont envoyés en quarantaine. Parmi eux, pas mal de jeunes, des parents ou des enseignants. Dans les médias, c’est le grand retour, en prime time, des responsables de la santé publique, experts, épidémiologistes, virologues…
Malgré un taux record de vaccination – plus de 5 millions de personnes sur 9 millions ont reçu les deux doses de Pfizer – le Covid, et plus spécifiquement le variant « Delta », apparu en Inde, a transformé en clusters des quartiers de trois villes du pays : Binyamina dans le Nord, Modiin à l’ouest de Jérusalem et Netanya sur la route côtière. Des cas positifs ont également été détectés dans des écoles et des jardins d’enfants dans d’autres villes du centre du pays.


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Le Point - 12h07

Nouvelle vague de Covid : Israël retient son souffle

Malgré un taux de vaccination record, le nombre de contaminations est reparti à la hausse en Israël en raison de la propagation du variant Delta. La fin du port obligatoire du masque dans les lieux clos il y a moins de quinze jours avait été l’ultime signal du retour à la liberté. Et les Israéliens y croyaient dur comme fer : fini, la pandémie et ses cauchemars. Mais patatras ! La courbe des contaminations s’affole de nouveau, passant, en l’espace de soixante-douze heures d’une quarantaine de cas positifs à plus de 110 par jour. Des cas actifs ou contacts, certains vaccinés d’autres non, sont envoyés en quarantaine. Parmi eux, pas mal de jeunes, des parents ou des enseignants. Dans les médias, c’est le grand retour, en prime time, des responsables de la santé publique, experts, épidémiologistes, virologues…
Malgré un taux record de vaccination – plus de 5 millions de personnes sur 9 millions ont reçu les deux doses de Pfizer – le Covid, et plus spécifiquement le variant « Delta », apparu en Inde, a transformé en clusters des quartiers de trois villes du pays : Binyamina dans le Nord, Modiin à l’ouest de Jérusalem et Netanya sur la route côtière. Des cas positifs ont également été détectés dans des écoles et des jardins d’enfants dans d’autres villes du centre du pays.

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Le Point - 12h03

Le chanteur Lionel Leroy est mort à l’âge de 65 ans

Ses génériques cultes resteront à jamais dans la mémoire de nombreux enfants. Comme l’a repéré BFMTV, la chanteuse Sheila a annoncé, mercredi 23 juin, que son ex-mari Lionel Leroy, connu pour avoir interprété les génériques « Ulysse 31 » et « Goldorak ’82 », est décédé le week-end dernier, à l’âge de 65 ans.
Le chanteur, de son vrai nom Yves Martin, a également composé une dizaine de chansons pour sa compagne après avoir commencé sa carrière en tant que choriste pour Dave et Gérard Lenorman, dans les années 1970.
« C’est le cœur plein de chagrin que je vous écris. Yves nous a quittés ce week-end. Il est parti discrètement, comme il avait choisi de faire sa vie. En grand épicurien, son talent, sa musique, ses fous rires, ses excès ont animé plus de vingt-cinq ans de ma vie. Il me reste les magnifiques chansons qu’il a écrites, les spectacles que nous avons créés. Il est dans mon cœur. Laissons vivre sa musique » a écrit Sheila sur Facebook, après vingt-cinq années de vie commune avec Lionel Leroy. Le couple s’était séparé en 2016.


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Le Point - 12h03

Le chanteur Lionel Leroy est mort à l’âge de 65 ans

Ses génériques cultes resteront à jamais dans la mémoire de nombreux enfants. Comme l’a repéré BFMTV, la chanteuse Sheila a annoncé, mercredi 23 juin, que son ex-mari Lionel Leroy, connu pour avoir interprété les génériques « Ulysse 31 » et « Goldorak ’82 », est décédé le week-end dernier, à l’âge de 65 ans.
Le chanteur, de son vrai nom Yves Martin, a également composé une dizaine de chansons pour sa compagne après avoir commencé sa carrière en tant que choriste pour Dave et Gérard Lenorman, dans les années 1970.
« C’est le cœur plein de chagrin que je vous écris. Yves nous a quittés ce week-end. Il est parti discrètement, comme il avait choisi de faire sa vie. En grand épicurien, son talent, sa musique, ses fous rires, ses excès ont animé plus de vingt-cinq ans de ma vie. Il me reste les magnifiques chansons qu’il a écrites, les spectacles que nous avons créés. Il est dans mon cœur. Laissons vivre sa musique » a écrit Sheila sur Facebook, après vingt-cinq années de vie commune avec Lionel Leroy. Le couple s’était séparé en 2016.

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Le Point - 11h38

Un TGV ciblé par des tirs lors de son entrée en gare de Marseille

Un train a été visé par une attaque à Marseille, mercredi 23 juin. Selon les informations de RTL, un TGV en service commercial a été la cible de tirs d’armes à feu au moment de son entrée en gare de Marseille Saint-Charles, à la sortie d’un tunnel, vers 21 heures. Plusieurs impacts ont été constatés sur la carrosserie du train et l’un des projectiles a traversé une partie métallique. Aucun blessé n’est à déplorer.
La SNCF a annoncé qu’une enquête, confiée au commissariat local de Marseille, était en cours et qu’elle comptait déposer une plainte ce jeudi 24 juin. Les impacts ont « étoilé » une à deux baies vitrées de voitures du TGV, qui ont donc été fissurées, a fait savoir la compagnie ferroviaire. Il s’agit d’un fait « rarissime », assure-t-elle, rappelant que certains précédents avaient eu lieu à cause de tirs de chasseurs.


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Le Point - 11h38

Un TGV ciblé par des tirs lors de son entrée en gare de Marseille

Un train a été visé par une attaque à Marseille, mercredi 23 juin. Selon les informations de RTL, un TGV en service commercial a été la cible de tirs d’armes à feu au moment de son entrée en gare de Marseille Saint-Charles, à la sortie d’un tunnel, vers 21 heures. Plusieurs impacts ont été constatés sur la carrosserie du train et l’un des projectiles a traversé une partie métallique. Aucun blessé n’est à déplorer.
La SNCF a annoncé qu’une enquête, confiée au commissariat local de Marseille, était en cours et qu’elle comptait déposer une plainte ce jeudi 24 juin. Les impacts ont « étoilé » une à deux baies vitrées de voitures du TGV, qui ont donc été fissurées, a fait savoir la compagnie ferroviaire. Il s’agit d’un fait « rarissime », assure-t-elle, rappelant que certains précédents avaient eu lieu à cause de tirs de chasseurs.

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Rfi.fr - 10h24

Burkina Faso : les précisions du gouvernement sur les assaillants de Solhan

Trois semaines après l’attaque de Solhan, dans la région du Sahel, qui avait fait officiellement 132 morts, le gouvernement affirme que l’attaque a été menée par un groupe dénommé Mujaïd al-Qaïda, un groupe affilié au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans. Selon Ousseini Tamboura, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, deux suspects interpellés quelques jours avant l’attaque et interrogés ont donné des précisions sur l’âge des combattants de ce groupe.
« Quelques éléments d’enquête et d’informations qui ont pu être obtenus par deux suspects qui avaient été donc appréhendés quelques jours avant l’attaque de Solhan et qui, après les interrogatoires à Ouagadougou quelques jours après l’attaque, a pu révéler les informations. Les assaillants étaient en majorité par exemple des enfants dont l’âge est compris entre 12 et 14 ans. Ça, c’est une information que nous n’avions pas au moment de l’attaque. Des femmes aussi avaient joué un rôle en indiquant des concessions ou des cibles. Mais, l’information la plus importante, c’est que l’interrogatoire de ces deux personnes indiquent que le groupe s’appelle le Mujaïd al-Qaïda. C’est un groupe affilié au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, GSIM. Ça permet aussi naturellement de se renseigner davantage sur ces groupes-là ».


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Rfi.fr - 10h24

Burkina Faso : les précisions du gouvernement sur les assaillants de Solhan

Trois semaines après l’attaque de Solhan, dans la région du Sahel, qui avait fait officiellement 132 morts, le gouvernement affirme que l’attaque a été menée par un groupe dénommé Mujaïd al-Qaïda, un groupe affilié au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans. Selon Ousseini Tamboura, le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, deux suspects interpellés quelques jours avant l’attaque et interrogés ont donné des précisions sur l’âge des combattants de ce groupe.
« Quelques éléments d’enquête et d’informations qui ont pu être obtenus par deux suspects qui avaient été donc appréhendés quelques jours avant l’attaque de Solhan et qui, après les interrogatoires à Ouagadougou quelques jours après l’attaque, a pu révéler les informations. Les assaillants étaient en majorité par exemple des enfants dont l’âge est compris entre 12 et 14 ans. Ça, c’est une information que nous n’avions pas au moment de l’attaque. Des femmes aussi avaient joué un rôle en indiquant des concessions ou des cibles. Mais, l’information la plus importante, c’est que l’interrogatoire de ces deux personnes indiquent que le groupe s’appelle le Mujaïd al-Qaïda. C’est un groupe affilié au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, GSIM. Ça permet aussi naturellement de se renseigner davantage sur ces groupes-là ».

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