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Licenciements de l’Hopital gyneco de Douala: la version de la hiérarchie

Suite à des informations relayées par la presse locale sur le licenciement de 200 employés dans ledit hôpital, le directeur…

Suite à des informations relayées par la presse locale sur le licenciement de 200 employés dans ledit hôpital, le directeur général indique précise qu’il s’agissait d’un stage pré-emploi arrivé à term

Une semaine après la publication dans certains médias camerounais d’informations relatives au licenciement de 200 employés de l’Hôpital gyneco-obstétrique de Douala, le directeur général de la structure revient sur les faits et Il indique que seules 70 personnes sont concernées par cette situation.

Dans une interview publiée dans la presse publique jeudi, 11 août 2016, Emile Mboudou indique que ce qui avait été qualifié de licenciement était en fait «un stage pré-emploi» qui était arrivé à son terme.

«Pour un hôpital de première catégorie, il faut du personnel compétent. Or sur le marché camerounais, il y a très peu de gens qui ont travaillé dans les structures comme celle-ci. Il a donc été question dans un premier temps de capaciter des paramédicaux. Nous avons pris soin de faire un stage pré-emploi à un certain nombre de personnes. Et le stage d’une durée de trois mois a été reconduit, nous leur avons allouer un forfait pour qu’elles puissent se déplacer jusqu’à l’hôpital.

Une période de stage ne peut pas avoir une durée illimitée qui a été faite. Nous avons procédé à une évaluation qui a été faite par les différents services où ces personnels ont été mis à contribution. Nous avons ainsi recruté 93 personnes. Ceux qui n’ont pas été retenus sont à peu près 70, nous leur avons remis des certificats qui peuvent prévaloir ailleurs»],a déclaré Emile Mboudou.

Le directeur de l’Hôpital gyneco-obstétrique précise par ailleurs que n’eût été des contraintes financières, la structure aurait accueilli en son sein tout ce personnel. «On risquait de se retrouver avec un effectif pléthorique, avec un taux de remplissage qui ne correspond pas à notre capacité actuelle », a-t-il souligné.


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