Ils ont eu des échanges avec le président de la Commission de l’Union Africaine, et les secrétaires générales du Commonwealth, et de l’Organisation internationale de la Francophonie, au sujet des violences dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest.
«Aujourd’hui plus que jamais, le Cameroun a besoin d’une attention urgente de ses partenaires en Afrique et dans le monde. Une conversation franche, approfondie rassurante et la Paix», écrit Akere Muna sur son compte twitter.
Le leader du mouvement Now fait référence aux échanges que les leaders politiques et de la société civile ont eu hier, 27 novembre 2019 avec le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki Mahamat et les Secrétaires générales du Commonwealth, Patricia Scotland, et de l’Organisation internationale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo.
Le porte-parole de Maurice Kamto, président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), Bibou Nissack a indiqu dans un communiqué que le parti avait lui aussi participé à « la recherche des solutions pour la résolution des crises multiformes qui minent négativement l’essor du Cameroun» au cours de la rencontre avec ces hôtes en visite au Cameroun.
D’autres leaders politiques tels que Bello Bouba Maïgari de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès (Undp), Bapot Lipot de l’Union des populations du Cameroun (Upc) et Patricia Ndam Njoya de l’Union démocratique du Cameroun (Udc) étaient présents à cette rencontre.
D’autres leaders d’opinion et organisations de la société civile ont également été appelés à proposer des solutions pour en finir avec la crise anglophone. Il s’agit des représentants de la conférence épiscopale et de la Presbyterian Church in Cameroon, le coordonnateur du Conseil des imams et dignitaires musulmans du Cameroun (Cidimuc), la présidente du Conseil national de la jeunesse ou encore la présidente de More Women in Politics