Benchmarking : le Cameroun et la RCA se rencontrent pour échanger sur les PME

Le ministre des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale et de l’Artisanat, Achille Bassilekin III a reçu en audience Hyppolite Jean-Paul Ngate Robard ministre centrafricain chargé des Petites et Moyennes entreprises et de la Promotion du Secteur Privé.

Achille Bassilekin III a reçu Hyppolite Jean-Paul Ngate Robard en audience. L’occasion a été donnée aux deux protagonistes de revisiter la coopération entre le Cameroun et la Centrafrique dans les secteurs des PME et de l’Artisanat et ensuite d’échanger sur des préparatifs de la 11ème Conférence des Ministres du Comité de Coordination pour le Développement de l’Artisanat Africain (CODEPA) qui se tiendra au mois d’août 2024 à Brazzaville au Congo.

Selon le ministère camerounais des PME, il est à signaler que le Cameroun et la RCA sont membres de plusieurs organisations communautaires (CEMAC, CEEAC, OHADA), ainsi que du Comité de Coordination pour le Développement de l’Artisanat Africain (CODEPA), ce qui implique une appartenance commune à divers instruments juridiques en rapport avec le secteur des PME et de l’artisanat, notamment en ce qui concerne les investissements, la libre circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux, le droit des affaires. Par ailleurs, un projet d’accord dans les domaines des PME et de l’artisanat est en cours de négociation. Le texte a été paraphé par les deux parties mais reste en attente de signature.

Aussi, les PME et artisans des deux pays prennent part à un certain nombre de manifestations à caractère promotionnel organisées dans l’un ou l’autre pays. Ainsi, par le passé, la RCA a pris part au Salon International de l’Entreprise, de la PME et du Partenariat de Yaoundé (PROMOTE) tout comme à l’édition en cours, au Salon International de l’Artisanat du Cameroun (SIARC), au Salon international de l’entrepreneuriat féminin de Douala ainsi qu’à la Foire Transfrontalière de la CEMAC (FOTRAC).

A la sortie d’audience, le ministre centrafricain s’est dit prêt à venir partager l’expérience camerounaise dans le secteur des PME. Les discussions ont par ailleurs permis de faire un tour d’horizon des sujets en discussion au sein du CODEPA, en particulier en ce qui concerne la 11ème session.

Les deux personnalités sont d’avis qu’il est nécessaire de relancer les échanges en vue de la finalisation du projet d’accord de coopération entre les deux pays dans les domaines des PME et de l’artisanat afin d’encadrer et de dynamiser la coopération technique entre les deux pays.

 

Salon International de l’Artisanat 2024 : le Cameroun invite l’expertise Tunisienne

L’information ressort de l’audience accordée le 1er février 2024 par Achille Bassilekin III à S.E Karim Ben Becher, Ambassadeur de la République Tunisienne au Cameroun.

Le Ministre des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale et de l’Artisanat Achille BASSILEKIN III a accordé ce jeudi 1er février 2024 à son Cabinet à S.E KARIM BEN BECHER, Ambassadeur de la République Tunisienne au Cameroun arrivé en fin de séjour.

Au cours de l’audience, le Ministre des PMEESA et l’Ambassadeur ont convenu de la participation de la Tunisie comme « Pays Invité d’Honneur » à la 8ème édition du Salon International de l’Artisanat du Cameroun (SIARC).

A l’occasion leministère des PME a souligné à nouveau sa volonté de tirer profit des avancées de la Tunisie dans le secteur des PMEESA à travers la conclusion d’un plan d’action conjoint qui permettrait au Cameroun d’accéder au savoir-faire et à l’expérience tunisienne dans le domaine de la PME, notamment en ce qui concerne l’encadrement et le développement des start-up, la mobilisation des financements auprès des partenaires du monde islamique, l’expansion et l’externalisation des activités des entreprises à travers l’e-commerce.

Aussi, la promotion et le développement des structures d’incubation et la diffusion de l’innovation technologique auprès des PME camerounaises ; développer les aptitudes des artisans camerounais dans les domaines où la Tunisie dispose d’un avantage comparatif, notamment la tapisserie, la broderie et le tissage, d’une part, et renforcer la compétitivité des artisans et des Unités de Productions Artisanales, d’autre part et explorer le modèle d’économie sociale de la Tunisie pour s’approprier les forces et les opportunités éventuelles de celui-ci.

Selon le ministère des PME, cette rencontre a permis aux deux personnalités de revisiter la coopération sectorielle entre les deux pays. Plusieurs opportunités et perspectives de coopération dans le secteur des PMEESA existent entre le Cameroun et la Tunisie.

 

Cameroun : Mbalmayo abrite désormais un village artisanal de 950 millions de F CFA

La cérémonie inaugurale de cet édifice a eu lieu le 21 avril 2021 dans le département du Nyong-et-So’o, dans la région du Centre.

Cette infrastructure, dont la construction a couté plus de 950 millions FCFA, va permettre aux artisans d’améliorer la qualité de leur production, a indiqué le ministre.

Selon la page du ministère des PME, Achille Bassilekin III  a indiqué que ce village artisanal est le, « lieu par excellence pour les artisans d’améliorer la qualité de leur production. Il leur a ainsi demandé d’en faire bon usage ». Il a aussi exhorté les populations de même que les autorités de la ville de Mbalmayo et ses environs à faire du Village Artisanal Spécial (VAS) une destination de référence.

Notons que dans la région du Centre, surtout dans le département du Nyong-et-So’o, l’artisanat constitue un vivier important pour les populations. Les six communes de cette unité administrative enregistrent un total de 461 artisans. La vannerie, premier métier artisanal regorge environ 194 artisans.

Puis, viennent les filières élevage/agriculture (63/85), transformation agroalimentaire (24), sculpture (22), recyclage (11) et céramique (05). De toutes ces filières, la filière agroalimentaire rencontre le plus de difficultés en équipements adéquats et en locaux de production, avec notamment la quasi-absence de certification des produits.

Cameroun: le salon africain du bois valorise les métiers artisanaux

La 2e édition du Salon africain du bois, de l’artisanat, de la décoration et du développement des communautés locales (Sabade), se déroulera du 25 octobre au 05 novembre 2019 au musée national de Yaoundé.

«Comment peut-on comprendre que, bien que le bois soit devenu le 2e produit d’exportation du Cameroun derrière le pétrole, les acteurs nationaux de la filière restent presqu’en marge des retombées de ce classement dont les principaux bénéficiaires demeurent des intervenants et entreprises étrangères», cette question a été posée par Jean Claude Dongmo Tanda, promoteur du Salon africain du bois, de l’artisanat, de la décoration et du développement des communautés locales (Sabade).

Profitant de la cérémonie de présentation de ce salon à venir, M. Dongmo a posé une fois encore la problématique de la transformation du bois local. Une thématique qui sera également débattue lors du Sabade. Vitrine de promotion des œuvres, produits et métiers autour du bois. Le thème de cette 2e édition du Sabade est «Le métier du bois, source d’entreprenariat jeune». Cette sortie est l’occasion une fois de plus pour le Sabade, de vulgariser les métiers qui tournent autour du bois auprès des jeunes, pour les amener à s’intéresser aux métiers d’artiste ou d’artisan. Déjà 100 jeunes ont été formés et travaillent à leur propre compte.

Depuis sa première édition en 2017, le promoteur du Sabade, Jean Claude Dongmo Tanda mettait l’accent sur l’exploitation du bois, en tant que richesse, dont on peut se servir pour développer le secteur de l’artisanat et le Cameroun en général. « La filière du bois au Cameroun, est un géant aux pieds d’argile car, les opportunités multiformes de création de richesse et d’emplois qu’elle comporte, restent à peine exploitées par les acteurs nationaux», explique-t-il.

Le Sabade organise pendant cette semaine, des expositions d’arts, ventes, jeux concours et des visites guidées des stands. Le Sabade Awards 2019 viendra primer les différents gagnants aux jeux concours, le vendredi 01 novembre 2019 selon le programme prévisionnel des activités.

Préparatifs de la fête de la jeunesse: le talent camerounais exposé

Entre expositions de produits «made in Cameroon», attractions et promotions diverses, le village de la jeunesse, à Yaoundé attire beau monde.

Installée sous un hangar blanc, mama Angèle responsable de l’association Aggi, a sur sa table, des objets recouvert de tissus: barrettes, bracelets, sacs à main, etc. Une créativité qui suffit à attirer les curiosités et séduire les passants.

Son association s’occupe des orphelins et elle a décidé d’exposer à l’occasion de cette foire, le talent de ces derniers, auteurs de ces œuvres «ce sont les orphelins qui les ont fabriqués. On leur donne le matériel, on les forme à l’art d’habiller les objets et ils le font».

Une initiative appréciée et encouragée par les visiteurs. L’un d’entre eux confie: «C’est très bien et en plus c’est bien fait.» Outre cela, elle expose des œuvres faites à la main, à l’aide de perles, de boutons de chemises, etc.

l’Espace échanges socio-éducatifs au village de la jeunesse (c). Droits réservés

La foire de la jeunesse baptisée «Salon des opportunités socio-économiques pour les jeunes» donne l’opportunité aux entrepreneurs de valoriser leur savoir-faire, mais aussi de rencontrer de potentiels partenaires d’achat ou d’encadrement.

Un tour entre les stands permet de découvrir les potentialités des uns et des autres, et même de susciter des vocations. L’évènement est organisé par le ministère de la Jeunesse et de l’Education civique (MNJEC) en prélude à la 53ème fête nationale de la jeunesse. Le thème retenu cette année est «Jeunesse, grandes opportunités et participation à la construction d’un Cameroun en paix, stable et émergent».

Ouverture d’une galerie virtuelle pour promouvoir l’artisanat camerounais

La galerie Cameroon Gallery.com compte une antenne au Centre artisanal international de Yaoundé et à Limbe, une ville du Sud-ouest du Cameroun

Le ministre camerounais des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, Laurent Serge Etoundi Ngoa, a inauguré jeudi à Yaoundé une galerie virtuelle pour favoriser le commerce en ligne et l’accès de l’artisanat local au marché international.

Le projet, porté par une Camerounaise basée aux Etats-Unis, sous le nom de Cameroon Gallery.com, fait du Cameroun un pionnier dans ce domaine en Afrique subsaharienne. Il est implanté au sein du Centre international artisanal de Yaoundé, inauguré en avril, au lieu-dit « Artisanat », une place animée du centre commercial de la capitale du pays.

Au nom du Premier ministre Philemon Yang, le ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat a salué une grande opportunité pour la promotion à une large échelle des uvres réalisées par les milliers d’artisans locaux, reconnus pour la plupart d’entre eux pour leur créativité appréciée tant des consommateurs nationaux qu’étrangers.

« Les artisans camerounais ont longtemps souffert de la sous-estimation de leurs produits, qui sont néanmoins de qualité », a-t-il relevé dans son allocution. Avant de préciser que « la galerie qui s’ouvre ce jour est appelée à avoir ses activités sur le territoire national ».

Membre influent du Comité de coordination pour le développement et l’artisanat africain (Codepa), organisation interafricaine regroupant 26 pays d’Afrique, le Cameroun mène depuis plusieurs années une politique de valorisation et de structuration de son artisanat, animé par des milliers de créateurs évoluant essentiellement dans l ‘informel.

Pour atteindre ces objectifs, le gouvernement a placé au centre de ses priorités le développement de l’économie numérique, destinée à jouer un rôle de vecteur important de la croissance du produit intérieur brut (PIB).

Le commerce et l’utilisation des uvres de l’artisanat sont régis par une réglementation encadrée par des textes de loi, qui frappent d’interdiction certaines espèces végétales et animales à ces fins, les contrevenants à ces dispositions étant exposés à la menace de poursuites judiciaires.

Par exemple, M. Etoundi Ngoa a mentionné que « certains artisans utilisent des métaux qui font partie de notre potentiel minier », c’est-à-dire sous le coup de cette interdiction.

[i « Dans un monde globalisé, où les économies sont aujourd’hui liées les unes aux autres, il faudrait faire preuve de créativité [et] d’ingéniosité pour que nos produits soient non seulement appréciés mais également présents de manière dense »], a-t-il cependant lancé en direction des artisans, incités à plus de savoir-faire afin de tirer avantage de leur ouverture au marché international et d’améliorer leurs revenus.

En plus de Yaoundé, la galerie Cameroon Gallery.com compte une antenne à Limbe, ville du Sud-ouest du Cameroun.


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Le Centre international de l’artisanat sera seulement ouvert aux «artisans professionnels»

Les «simples revendeurs d’objets d’arts» et les «artisans débutants» ne seront pas admis dans la bâtisse inaugurée lundi, assure le Minpmeesa

Les personnes admises à occuper des locaux dans le tout nouveau Centre international de l’artisanat, inauguré lundi, 04 avril, dans la capitale du Cameroun, seront triés sur le volet. N’y aura pas accès quiconque, assure le ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat (Minpmeesa), Laurent Serge Etoundi Ngoa.

«Seuls les artisans professionnels auront accès à la structure. Nous n’allons pas admettre les simples revendeurs d’objets d’art ou encore les artisans débutants», avertit le Minpmeesa, dans une interview accordée à la presse publique ce 06 avril.

«Le gouvernement a fait un gros investissement et il faut que le centre soit réellement la vitrine du Cameroun en matière d’art. Nous avons déjà une liste des meilleurs artisans répertoriés dans chaque commune. Par ailleurs, un jury a été désigné pour sélectionner et primer ceux dont les uvres sont originales et de bonne qualité. L’attribution des boutiques ne devrait donc pas être difficile», précise-t-il.

A Yaoundé, les autorités ont recasé des artisans au quartier Tsinga, en face du lycée éponyme. Ce site artisanal ne disparaitra pas d’après les explications du ministre. «Les plus connus pourront occuper le Centre international de l’artisanat (.) Les installations de Tsinga ne sont pas mal. Ils sont plutôt bien installés là-bas. Mais, il faut dire que beaucoup d’entre eux sont des vendeurs et non de véritables fabricants d’objets d’art».

Le Centre international de l’artisanat est situé en plein centre commercial de Yaoundé. Il comprend des boutiques, bureaux, salles de réunion. Il sera consacré à l’exposition et à la vente d’objets d’arts, ainsi qu’à la formation des artisans.

Laurent Serge Etoundi Ngoa, ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat du Cameroun
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Village artisanal de Maroua: Des équipements attendus

Inauguré il y a deux mois, l’espace d’exhibition culturel de la ville de Maroua réclame l’obtention de son matériel technique avant le début de ses activités

Inauguré le 15 décembre 2015, le village artisanal de Maroua a été créé afin de valoriser l’artisanat du grand nord. Maroquinerie, teinture, couture. tous les domaines de prédilection des artisans de la région vont y passer. Mais à l’heure actuelle son occupation et son fonctionnement se heurtent à une difficulté. « le village n’est pas équipé. Il n’y a pas encore de matériel technique pour les artisans.», explique Adamou Mohamadou délégué régional du ministère des petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat (Minpmessa) pour l’Extrême nord. Il s’agit notamment des machines prévues pour la coupe des peaux, des moules, la fabrication des chaussures, la couture, et la fabrication des sacs, des ceintures entre autres. « pour le moment, les artisans dont les usages se partagent de père en fils, utilisent un matériel rudimentaire ». Et même sur le plan administratif, le site souffre d’un besoin en mobilier de bureau et en matériel informatique.

Toute porte à croire cependant que la situation connaitra une amélioration. « il m’a été demandé de faire tenir les devis des machines qu’il faut. Les équipements vont être envoyés dès qu’ils seront disponibles. Une fois le centre équipé, nous allons lancer les activités. Nous pourrons tenir une session du comité pour évaluer les filières à privilégier au niveau du village artisanal, vu que la loi qui crée ce village demande de faire ressortir les spécificités de la région », souligne Adamou Mohamadou. Ceci dit un accent sera mis sur le traitement du cuir, la maroquinerie et la tannerie.

Rappelons concernant le village que les 16 box dédiés à l’exposition-vente seront occupés par les meilleurs artisans du village. Deux salles de démonstration sont également prévues pour faire découvrir aux visiteurs la confection des objets d’art, tandis que deux autres aménagées pour la formation serviront à renforcer les capacités des artistes en leur permettant de peaufiner leur art. Aussi, précise le délégué régional, « des expositions et des foires seront organisées sur le site afin d’animer le village. On pourrait également en faire un pôle d’activités lors des prochaines coupes d’Afrique des nations de football ».

Village artisanal de Maroua.
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Artisanat: la Centrafrique veut renforcer les échanges avec le Cameroun

La politique artisanale du Cameroun était au centre des échanges entre le Minpmeesa, Laurent Serge Etoundi Ngoa et son homologue centrafricaine, Mauricette Psymhis, vendredi 03 juillet 2015

La ministre centrafricaine du Tourisme, des Arts, de la Culture et de l’Artisanat, Mauricette Psymhis, s’est entretenue vendredi, 03 juillet 2015, avec le ministre camerounais des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat (Minpmeesa), Laurent Serge Etoundi Ngoa.

Au centre des échanges, l’expertise camerounaise sur le plan artisanal sollicitée par la ministre centrafricaine. Notamment la politique artisanale, son impact dans le développement touristique, en termes d’investissements et d’infrastructures dont le Cameroun se dote au quotidien, et l’organisation des événements promotionnels.

Le souhait de la délégation étrangère, conduite Mauricette Psymhis, est qu’une fois le processus électoral centrafricain achevé (entre octobre et novembre), «que les échanges avec le Cameroun puissent s’intensifier».

«Le Cameroun est toujours disposé à faire route avec ses frères de la sous-région. La RCA et nous-mêmes sommes liés par l’histoire. Nous sommes donc obligés de cheminer ensemble. Nous allons collaborer avec eux, leur apporter assistance ou notre expérience chaque fois que cela est possible ou s’avèrera nécessaire», a déclaré Laurent serge Etoundi Ngoa.

Mauricette Psymhis était accompagnée au Minpmeesa par Jean-Baptiste Zinaï, ambassadeur de RCA à Yaoundé.

Artisanat camerounais.
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Siarc 2014: Rideau sur la quatrième édition

La cérémonie de clôture au eu lieu ce lundi 03 mars 2014 au Parc des expositions de Tsinga.

Le rideau est définitivement tombé sur la quatrième édition du Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) qui a ouvert ses portes officiellement le 24 février 2014. C’était au cours d’une cérémonie officielle, organisée ce lundi 03 mars 2014 et présidée par Laurent Serges Etoundi Ngoa, ministre des Petites et moyennes, de l’Economie sociale et de l’artisanat, représentant du premier ministre chef du gouvernement.

Aux côtés du ministre, Marie Louise Secke Pouka, secrétaire général dudit ministère, Malet ma Njami Mal Njam, commissaire général du Siarc, Francis Tchianga, représentant des artisans ainsi que plusieurs hauts responsables du ministère des Pme. Dans une allocution improvisée, Laurent Serge Etoundi Ngoa qui tient à ce que « le Siarc continue et s’améliore » lancera à l’endroit des artisans que « l’originalité ne doit pas payer le prix de la modernité. » Certainement eu égard à ces nombreuses uvres d’art qui avaient fini par perdre de leur éclat du fait des nombreuses transformations subies.

Parmi les lauréats retenus à la suite de la compétition organisée par le jury, l’on retiendra que le prix de la meilleure ouvre d’art nationale est revenu à Jean Claude Dongmo Tanda avec une salle à manger en bois massif. C’est la troisième fois que ce dernier remporte ce prix.

« Je suis très ému comme la première fois, parce que cette fois-là je n’y en revenais pas. Aujourd’hui je reviens encore de très loin et remporter ce prix devant près de 700 personnes prouve que j’ai fait un bon travail », a déclaré Jean Claude Dongmo Tanda.

Piam Fokam a quant à lui reçu le deuxième prix avec une égraineuse de maïs. Dans le domaine du tissage, de la broderie, de la tapisserie et du tricotage, le premier est revenu à Issa Soudani, le deuxième à Atina Marie et le 3e à Moukori Epoh Hélène. Quant à la catégorie menuiserie et ameublement, Mistral Plus décroche le 1er prix.

Le Niger a décroché le titre de meilleur uvre d’art étrangère tandis que la Centrafricaine a remporté le prix du meilleur stand. D’autres catégories comme la forge, la transformation alimentaire, la couture, l’industrie artisanale, la peinture, la sculpture, la vannerie, la transformation des produits forestiers ont également été primées.

Jean Claude Dongmo Tanda (à droite), meilleur oeuvre d’art nationale
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Le Siarc 2014 se referme ainsi après un plus de 10 jours d’exposition des artisans qui en ont profité pour conclure de belles affaires dans cette quatrième édition comme dans les précédentes.

En marge de ces expositions qui constituaient la partie centrale de cette édition du Siarc, des ateliers thématiques ont été organisés. Ils visaient à permettre aux différents exposants ainsi qu’aux autres participants de mieux développer la réflexion sur les solutions pouvant permettre l’épanouissement de leurs activités en particulier et de l’artisanat national en général.

M. Abdoulaye (à droite), Représentant de la Centrafrique, recevant le prix du meilleur stand
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Le Siarc prolongé de deux jours

La cérémonie de clôture initialement prévue le samedi 1er mars a été reportée au lundi 03 mars 2014.

Ouverte officiellement le lundi 24 février 2014, la quatrième édition du Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) ne refermera plus ses portes le 01er mars 2014 comme initialement prévu.

La cérémonie de clôture a été en effet reportée au lundi 03 mars 2014. L’information a été confirmée hier jeudi 27 février 2014 par le Comité d’organisation à la sortie d’une réunion. Pour justifier ce report, on évoque le retard accusé par le démarrage effectif de cette quatrième édition. Un retard causé par la tenue du Cinquantenaire de la Réunification à Buea le 20 février 2014.

« Ce report est une réponse aux doléances des artisans qui estiment que c’est après l’ouverture officielle de la foire que les visiteurs ont commencé à s’y rendre en masse. Ils ont donc deux jours de plus pour continuer à faire des bonnes affaires », a déclaré à Journalducameroun, Malet ma Njami Mal Njam, commissaire général de la foire.

Le ministre des Petites et Moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, Laurent-Serge Etoundi Ngoa
Journalducameroun.com/ Sylvestre Kamga)/n

Siarc 2014 : La foire est officiellement lancée

Plusieurs activités ont eu lieu à cet effet ce 24 février 2014 au parc des expositions de Tsinga à Yaoundé, site hôte dudit événement culturel.

C’est dans une ambiance festive que s’est déroulée l’ouverture de la quatrième édition du Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc). Une cérémonie présidée par le ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, Laurent Serge Etoundi Ngoa, représentant le Premier ministre, chef du gouvernement. Trois temps forts ont marqué l’évènement : les discours, la coupure du ruban symbolique et la visite du Salon par les officiels. Parmi ceux-ci, les membres du gouvernement et du corps diplomatique, mais aussi des invités spéciaux, venus des Républiques s urs.

Cette quatrième édition du Siarc se veut, selon le Commissaire général du Salon, Malet Mal Njam, celle qui devra entre autres conforter les efforts des précédentes éditions. « Le Siarc est en même temps un défi (.) C’est le salon de l’artisan producteur, qui doit aller directement au contact du consommateur », relève-t-il.

Selon Laurent Serge Etoundi Ngoa, cet évènement est également un lieu de « promotion couplée de l’artisanat et du tourisme », tant intérieur qu’international.

Plusieurs délégations étrangères sont présentes à l’édition 2014 du Siarc : Syrie, Equateur, Nigéria, Madagascar, Côte d’Ivoire, Guinée Conakry, RD Congo, Congo, Mali, Tchad, Gabon, République Centrafricaine, Burkina Faso.

Cette présence massive de la communauté internationale témoigne, tel que l’a rappelé le ministre de l’Artisanat, du déploiement culturel et artistique du Cameroun vers l’extérieur. Une politique qui rentre dans le cadre de la formation, de la promotion, et de la commercialisation vers lequel l’artisanat camerounais devrait être conduit dans quelques années.

Le Siarc 2014 a été officiellement lancé le 24 février 2014. Il fermera ses portes le 01er mars prochain.
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Siarc 2014 : 100.000 visiteurs attendus

Le grand salon de l’artisanat, qui se tient à Yaoundé du 24 février prochain au 01er mars 2014, devrait permettre de mettre en lumière la part de ce secteur dans l’économie camerounaise.

Le ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat (Minpemeesa), Laurent Serge Etoundi Ngoa, projette 100.000 visiteurs pour l’édition 2014 du Salon international de l’Artisanat du Cameroun (Siarc). L’ouverture de ce salon, qui devait initialement avoir lieu le 20 février 2014, a été reportée au 24 février prochain. Laurent Serge Etoundi Ngoa a accordé une interview au Quotidien de l’économie où il a présenté le bilan de l’édition 2013 de ce salon et les perspectives pour l’année 2014. En 2013, d’après le ministre, 70.000 personnes ont assisté au Salon international de l’Artisanat du Cameroun. Evènement qui se tient sur 10 jours, 10.000 personnes sont potentiellement attendus en 2014, au quotidien.

Le Minpemeesa a par ailleurs relevé, d’après les chiffres qui datent de 2010, que le secteur de l’artisanat contribue à hauteur de 17 à 20% au Produit intérieur brut(Pib). Outre le Siarc, Laurent Serge Etoundi Ngoa a également abordé d’autres sujets à l’instar des Accords de partenariat économiques (APE) entre l’Union Européenne et les pays du groupe Afrique-Caraïbes-Pacifique (ACP). Interrogé sur une probable ratification des accords de libre-échange entre l’UE et le Cameroun, le ministre s’est voulu prudent : « Il n’y a que le chef de l’Etat qui va décider si on va aux accords de partenariat économique, et pour l’instant, il n’a encore rien dit », a-t-il souligné. Toutefois, a complété le ministre, si le Cameroun le fait à l’opposé de la volonté des autres pays membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (Cemac), « Ce ne sera pas un premier exemple. Et puis, si on signe, ça nous concerne, ça ne les concerne pas. Puisque les méfaits que nous prétendons fuir tous vont se ressentir dans notre pays, et non pas chez eux. »

Des oeuvres exposées lors de l’édition 2012 du Siarc.
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Siarc 2014 : 800 exposants attendus

Le ministre camerounais des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat a fait le point avec la presse sur l’édition 2014 de ce salon consacré à l’artisan.

« L’artisanat camerounais à l’ère de la décentralisation : enjeux et défis », tel sera le thème de la quatrième édition du Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) qui aura lieu du 20 février au 01er mars 2014 au Parc des Expositions de Tsinga à Yaoundé. « Cette thématique cadre avec la nouvelle vision qui veut que les choses bougent au Cameroun (…) La permanence et l’extension de l’événement montre réellement que le Cameroun est dans cette dynamique d’avancement », a déclaré le ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de l’Artisanat, Laurent-Serge Etoundi Ngoa, lors de la conférence de presse organisée sur le site de l’événement le 12 février 2014.

Le nombre d’exposants est passé de près de 500 à 800, selon les chiffres officiels. Les exposants attendus sont issus du Cameroun, du Congo Brazzaville, de la République Centrafricaine, de la République démocratique du Congo, du Brésil, de l’Allemagne, du Burkina Faso, du Gabon, du Nigéria et de neuf autres pays dont la confirmation de participation reste attendue.

Pendant dix jours, les meilleures productions artisanales du Cameroun seront concentrées sur un même site aux côtés des artisans venus des quatre coins du globe. Les artisans producteurs auront ainsi la possibilité d’échanger et de partager des expériences d’horizons divers, de nouer des contacts et même des contrats d’affaires. Des ateliers thématiques sont prévus lors de ce salon. Le ministère des Petites et moyennes entreprises espère y développer des partenariats avec les collectivités territoriales décentralisées en vue d’une gestion plus efficiente du secteur artisanal.

Une vue des panélistes lors de la conférence de Presse
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Cameroun: Un salon dédié à l’artisanat se tient actuellement à Douala

La première édition de ce salon a été officiellement ouverte ce mercredi 31 août et s’achève vendredi 2 septembre 2011

La Salle des fêtes d’Akwa à Douala aura vu du monde ce mercredi 31 août et pour diverses raisons. D’un côté il y avait les manifestations marquant la célébration de la 9ème journée africaine de la médecine traditionnelle et de l’autre, la grande cérémonie inaugurale de la première édition du salon départemental de l’artisanat du Wouri. De ce salon, l’on dit que c’est l’une des premières matérialisations sur le terrain des compétences transférées par l’Etat aux collectivités territoriales décentralisées. C’est du moins ce qu’à laissé entendre le préfet du département du Wouri Bernard Okalia Bilai, sous le parrainage duquel est placé l’événement. C’est ce dernier qui a présidé la cérémonie officielle d’ouverture du salon, un événement qui se veut annuel. D’après le préfet, il devrait servir de « plate forme par excellence où les artisans du département du Wouri viendront exposer leurs uvres et leur savoir-faire ».

Ainsi, dans la quinzaine de stands dressés à cette occasion, l’on peut y voir exposés des uvres issues de divers secteurs d’activité. Du bois, du textile (couture, teinture, broderie.), l’art floral, la décoration, mais aussi de la transformation agro-alimentaire. Pour les exposants, il s’agit là d’une belle initiative, « reste à chacun de nous de mettre à la patte pour qu’elle soit pérennisée ». Le rendez-vous se veut festif, populaire, ouvert aux créations et productions artisanales de tout le Cameroun, tout en gardant l’âme promotionnelle et commerciale. Avec une ambition, celle de concentrer dans un même espace, les meilleures productions artisanales du département, de la région du Littoral et « du tout Cameroun ». L’organisation a également prévu pour meubler le salon, des débats thématiques, des ateliers d’information, de promotion et de pédagogie. Le salon se referme ce vendredi 2 septembre au soir.

Un salon dédié à l’artisanat se tient actuellement à Douala
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L’artisanat au Cameroun : Un secteur encore mal exploité.

Une Biennale en Janvier pour booster le secteur. Il constitue l’un des domaines les plus créatifs et productifs du pays

En créant le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Economie Sociale et de l’Artisanat (MINPMEESA) en décembre 2004, le gouvernement camerounais a mis en place un cadre institutionnel permettant d’élever l’artisanat au rang de fonction gouvernementale. La loi n° 2007/004 du 3 juillet 2007 est venue consolider cet acquis en règlementant ce sous-secteur d’activités. Au regard des potentialités qu’il offre, aussi bien sur le plan de l’expression d’un patrimoine culturel et/ou d’un savoir-faire spécifique hérité de père en fils, l’artisanat peut être considérée comme la « première Entreprise du Cameroun » si l’on prend en compte les filières nombreuses, variées et très porteuses.

Le Corps National des Artisans du Cameroun (CNAC) recense à ce jour, près de 40000 artisans dans les dix régions du Cameroun. Ils sont répartis dans une quarantaine d’organisations et pas loin de 300 groupes et associations; une véritable fourmilière nationale qui, en fonction des régions et des traditions, dresse la carte du Cameroun de l’artisanat basé sur les différents types d’activités : Dans le grand Nord : la tannerie, le tissage et la poterie ; Dans le grand Sud : le bois et les sous-produits de la forêt ; Dans l’Ouest et le Nord Ouest : le cuivre, le bronze, la sculpture sur bois, le tissage et la broderie ; Dans le Littoral et le Sud Ouest : le bois et les sous produits du bois, la vannerie, la décoration et l’art floral, le textile et l’habillement.

Une difficile émergence du secteur
Le Cameroun, bien qu’étant l’un des plus anciens foyers de l’art africain est demeuré des décennies durant, timide dans la mise sur orbite de ce secteur, confronté à de nombreuses difficultés, qui freinent son évolution, sa modernisation et sa promotion. Sont ainsi à revoir, l’organisation et la structuration du secteur, l’accès aux crédits pour acquérir les équipements nécessaires au développement des activités, l’accès à la formation (gestion, renforcement des capacités), la mise en place d’un dispositif de protection sociale et d’une fiscalité adaptée.

Pour aider à relever ces défis, le gouvernement camerounais envisage à terme, la construction de douze grands complexes artisanaux qui comprendront chacun un espace formation, une exhibition des produits fabriqués et un atelier de fabrication. Ces complexes artisanaux seront répartis à raison d’un par région, deux villages spéciaux dont un à Foumban dans la région Ouest, spécialisé dans le travail du métal et l’autre dans la région Centre à Mbalmayo, spécialisé dans la céramique. L’autre option majeure du gouvernement pour célébrer le renouveau de l’artisanat au Cameroun, c’est l’organisation biennale au mois de janvier à Yaoundé, d’un salon international dédié exclusivement à l’artisanat. Une occasion pour les artisans de sortir leurs uvres des ateliers et les exposer au grand jour.

De leur côté, les artisans eux-mêmes doivent prendre conscience de leur rôle dans la société, rationaliser les activités pouvant les sortir des sentiers battus de l’informel et adopter des comportements citoyens qui feront d’eux des partenaires dignes et crédibles sur qui la nation pourra compter. Pour rappel, la loi du 03 juillet 2007 régissant l’artisanat au Cameroun coordonne les activités des artisans et fixe le statut d’artisan. Car, précise le délégué régional du MINPMEESA pour le littoral, «l’artisanat est l’ensemble des activités de production, d’extraction, de transformation, de réparation de tout genre d’entretien, de prestation de service essentiellement manuel». Toutefois, les artisans continuent de déplorer « les menaces venant des maires à cause de la fiscalité et des taxes sur les droits sanitaires »

rationaliser et sortir de l’informel
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Douala: 1ère édition du Salon de l’Artisanat du Cameroun (SAC 2009)

L’évènement aura lieu jusqu’au 31 décembre à Douala.

C’est le parc des princes de Bali qui abrite ce salon, qui se déroule sous le thème central, Artisanat et développement commercial. L’événement qui se déroulera sous l’égide du ministère camerounais des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Artisanat et de l’Economie sociale, a pour objectif principal de promouvoir la richesse artistique et encourager les opérateurs de ce secteur. Aussi s’agit-il de permettre aux artisans et entreprises artisanales d’exprimer leur savoir faire et d’écouler leurs uvres ; Présenter au grand public une meilleure connaissance et une bonne visibilité du secteur de l’artisanat au Cameroun (artisanat de service, artisanat de production, artisanat d’art.) ; et créer une vitrine d’exposition virtuelle des meilleures uvres et adresses des artisans pour le E-commerce.

Pour ce faire, le programme prévoit jusqu’au 31 décembre prochain des conférences débats, défilés de mode, concerts de musique chaque soir, des jeux et autres expositions – vente. L’exposition concerne plusieurs secteurs, entre autres les filières bois, textile, art, sculpture, peinture, teinture, broderie, mode, tissage, menuiserie ébénisterie, toute activité de prestation de services, et même la gastronomie. Pour les organisateurs, cette rencontre constitue un début de solution aux difficultés multiformes liées à la production et à la commercialisation des uvres et services qui souffrent des effets de la mévente. Les conférences – débats permettront aux participants de mieux s’imprégner du processus de financement dans une filière où les banques accordent très peu de crédits. « Il est temps de considérer l’artisanat comme un métier plein avec ce que cela comporte comme appuis de financement pour permettre aux artisans de sortir de l’ornière », souligne Michel Ndjinga Nkwepo, le commissaire général du salon.

Et comme artisan rime avec artiste, plusieurs musiciens camerounais toutes générations confondues sont annoncés pour assurer le côté festif du salon ; Dina bell, Henry Njoh, Barga Soukouss, Longue Longue, Petit pays, Tsimi Toro, Belka tobis, Marole Tchamba, Nicole Mara, Hugo Nyame, mais aussi les jeunes X-maleya, Valsero, Bantou possi, Lady B, Koppo, pour ne citer que ceux là. Au sortir du SAC 2009, l’artisan devrait pouvoir améliorer la tactique de vente et écoulement fiable de ses produits auprès d’un grand nombre de clients, maîtriser la gestion managériale de son entreprise, et surtout nouer des contacts pour des opportunités d’affaires.

A noter qu’une soirée de gala VIP dénommée La nuit de l’excellence artisanale est prévue pour la clôture de ce salon. Elle aura lieu le samedi 02 janvier 2010.

Stand d’exposition
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