Présidence du Gicam: Les élections annoncées pour le 21 décembre 2011

Officieusement, on parle de deux listes, l’une d’Olivier Behle, l’actuel président et l’autre d’André Fotso, le président de la commission promotion de l’entreprise

Nouvelles dispositions des textes organiques
Les élections de décembre 2011 seront les premières à bénéficier de nouvelles dispositions des textes organiques du patronat modifiés lors d’une session mixte de l’Assemblée générale de juillet 2011. Concernant les élections, l’article 6, alinéa 1er nouveau lève, par exemple, l’exigence concernant la présence de huit organisations professionnelles dans la liste des membres du Bureau. « Non seulement cette exigence n’est pas respectée dans le cadre du bureau actuel, mais elle devient nocive si le groupement ne comprend pas un nombre élevé de membres organisations professionnelles, de nature à permettre la constitution de plusieurs listes et de favoriser la compétition pour l’élection du bureau », peut-on lire dans l’exposé des motifs. En tout cas, le 21 décembre 2011, une nouvelle page va s’ouvrir au Groupement inter patronal du Cameroun, après l’épisode de toilettage des textes. Jusqu’ici, ce n’est que l’information officieuse qui gagne du terrain. En effet, apprend-on, le renouvellement du bureau a constitué le point central des travaux du comité exécutif qui s’est tenu le 4 novembre 2011. Certaines indiscrétions font état de ce qu’après plus de quatre heures de débat, les membres du conseil exécutif n’ont pas réussi à s’accorder. Ceci, face à la détermination d’Olivier Behlé de se proposer comme candidat. Une démarche fortement désapprouvée par plusieurs membres du conseil, qui ont estimé que le directeur général du cabinet Behlé et associés n’a pas évolué dans la même division que son prédécesseur André Siaka, le consul honoraire de Monaco au Cameroun.

Préférence pour André Fotso
Ceux-ci auraient préféré plutôt André Fotso, le PDG du Holding Taf Investment Group (Fme-Gaz, 3T Cameroun, Cometal) comme tête de liste. Si cela arrivait à se confirmer, le 21 décembre 2011 il y aura donc deux listes lors des élections. Celle d’Olivier Behlé, l’actuel président et l’autre d’André Fotso, actuellement président de la commission Promotion de l’entreprise au comité exécutif du GICAM. Pour l’instant, le secrétariat exécutif du Groupement inter patronal du Cameroun n’a encore divulgué aucune liste. Concernant l’AG élective du 21 décembre, le secrétariat exécutif du GICAM a jusqu’au 6 décembre 2011 pour remplir cette formalité de taille. «Je respecterai cette date-là », parie Martin Abega, qui joue la carte de la prudence, en rejetant toute demande consistant à arracher la moindre information concernant le dépôt des candidatures. «Les prétendants ont tout le mois de novembre pour se déclarer et j’ai une date pour publier les noms des candidatures enregistrées et le moment venu, je le ferai », insiste le secrétaire exécutif du GICAM, en citant quelques extraits des textes organiques du GICAM qui intéressent les prétendants. Morceaux choisis. « Seuls les membres à jour de leurs cotisations prennent part au scrutin », article 9, alinéa 1er des statuts, version 2004. «Pour conduire une liste électorale, il faut avoir été Adhérent du GICAM pendant cinq ans », article 6, alinéa 2. Le même article oblige le candidat à constituer une liste représentative des quatre secteurs d’activités énumérés dans l’article 4. Il s’agit respectivement des secteurs primaires (pêche, forêt, élevage, agriculture, entreprises agro-industrielles et assimilées), secondaire (industries extractives, industries manufacturières, bâtiments, travaux publics et industries annexes, tertiaire I (transports terrestres, aériens, maritimes et auxiliaires de transport, transitaires) et tertiaire II (Commerce, assurances, établissements de crédit, les télécommunications, la communication, les professions libérales et tout autre entreprise de services.

Dispositions des textes du Gicam
C’est Olivier Behlé, le président en exercice du GICAM qui a donné cette date du 21 décembre 2011 ce vendredi 4 novembre 2011. C’était à l’occasion de la conférence de presse organisée en marge des travaux de la réunion du conseil exécutif, la nouvelle appellation du bureau, du patronat tenue quelques heures plus tôt. Le directeur général du cabinet Behlé et associés agit ainsi en conformité avec les textes du GICAM, qui prescrivent que les élections se déroulent à la fin d’année. Le règlement intérieur du principal regroupement patronal du pays est fertile en informations utiles dans ce sens. « Quant à l’Assemblée générale du mois de décembre, elle tend essentiellement à statuer sur la marche du groupement, ainsi que sur ses comptes, à faire le point de l’actualité économique nationale et à élire, le cas échéant, le bureau (le comité exécutif : ndlr) », oriente l’article 5 de la version de 2004. L’article 8 qui renseigne sur la désignation des membres du comité exécutif est encore plus complet. «Le comité exécutif est élu par l’Assemblée générale au suffrage universel direct par scrutin majoritaire de liste. La durée du mandat du comité exécutif est de trois ans. L’élection du comité exécutif doit être annoncée aux membres, lors de la dernière Assemblée générale qui la précède. Les listes en compétition devront être déposées auprès du Comité exécutif au plus tard 45 jours avant la date du scrutin. Le comité exécutif s’assurera de la régularité de chacune des listes, notamment la représentativité au niveau des secteurs d’activité, conformément aux articles 4 et 6.2 des statuts. Les listes arrêtées définitivement par le comité exécutif seront communiquées à l’ensemble des adhérents au plus tard 15 jours avant la date de l’assemblée », peut on lire.

Olivier Behle, l’actuel président du groupement inter-patronal du Cameroun
journalducameroun)/n

Performances économiques: Les critiques du patronat camerounais

Ce constat est celui du président du GICAM, lors de l’assemblée générale annuelle de cette organisation

Des prévisions économiques inquiétantes au regard des déclarations politiques
Dans son discours prononcé lors de la 110ème assemblée générale du Groupement interpatronnal du Cameroun (GICAM), Olivier Behle, a fait savoir que le bilan de l’activité économique au Cameroun, pour l’année 2010, était mauvais. Les performances économiques du Cameroun se situent en deçà de la moyenne mondiale, africaine et sous régionale. Notre pays est l’un des moins performants du monde et ses résultats sont en déphasage avec le potentiel que tout le monde lui reconnaît, a déclaré le président du groupement. Selon lui, les estimations du gouvernement et des organismes parallèles de sondage qui tablent sur une croissance de 2,6% en 2010 en raison de l’effondrement de la production pétrolière, sont le signe de la persistance des difficultés structurelles. Dans l’analyse qu’il a présentée sur les secteurs d’activités, il apparaît que la croissance est estimée à 3,8% dans le primaire, à 3,9% dans le tertiaire et à 0,5% dans le secondaire, qui subit les conséquences de la baisse soutenue de la production pétrolière, avec une chute de l’extraction d’hydrocarbures de plus de 13%. En ce qui concerne l’environnement global des affaires, le président du GICAM a fait savoir que malgré la prise des quelques mesures d’encouragement, les durées des opérations d’importation et d’exportation sont toujours très longues. De même, les procédures et délais de paiement des impôts sont eux aussi longs, les entreprises camerounaises consacrant en moyenne 27 jours par an au règlement des impôts, contre 7 jours environ en Ile Maurice. Aussi critiqué, le manque de politique agricole claire du gouvernement. Pour Olivier Behle, le Cameroun ne peut espérer dans ces conditions, être un pays émergent que s’il améliore de façon concrète, la qualité de la dépense publique et diminue sérieusement le niveau des importations des produits alimentaires agricoles, pour passer de 500 milliards FCFA aujourd’hui à 100 milliards FCFA en deux ans. Le gain réalisé par cette mesure forte, pourrait être investi dans le financement de l’agriculture, dans la multiplication des infrastructures de production et contribuer à augmenter l’accès au crédit a-t-il fait savoir.

Une politique fiscale toujours peu incitative
Le président du Gicam a aussi dénoncé l’attitude unilatérale du gouvernement, qui a élaboré et adopté sa loi de finance sans respecter le principe de consultation préalable du secteur privé. Le patronat dans sa politique de veille, avait porté à l’attention du gouvernement des observations sur des choix de politique fiscale qui pour lui seraient de nature à réduire la pression fiscale et donc relancer ou tout au moins maintenir les investissements. Entre autre mesures critiquées, la suppression de la réduction de 50% de l’impôt sur les sociétés et de l’impôt sur les revenus de capitaux mobiliers pendant la phase d’exploitation dans le cadre des régimes du Code des investissements, la suppression du taux zéro de TVA pour les entreprises situées en zones franches et points francs industriels, l’exigence de mentions obligatoires – concernant le fournisseur et le client – à faire figurer sur une facture, et l’allongement du délai de notification au contribuable du redressement ou de l’avis d’absence de redressement à compter de la fin des opérations de contrôle sur place ainsi que du délai de réponse aux observations du contribuable. Une autre conséquence sérieuse du manque de dialogue franc entre les secteurs privés et publics est selon le groupement, le fait que la loi de finances 2011 récemment votée a dépouillé l’article 262 de l’alinéa « b » et a vidé le régime des investissements de toute sa substance. De la même manière le président du Gicam fait remarquer, qu’avec la modification de l’article 614 du Code Général des Impôts, l’effet rétroactif sera désagréable pour les entreprises auxquelles des avantages fiscaux avaient été accordés par des textes spécifiques. Promettre une chose et décider du contraire deux ans plus tard n’est pas de nature à encourager ceux qui ont pris des risques pour créer de la richesse et encore moins à attirer de nouveaux investisseurs, a conclu le président du Gicam.

Olivier Behle, président du Patronat au Cameroun
lanouvelleexpression.net)/n

Emprunt obligataire: Le patronat camerounais reste prudent

Lors du traditionnel point de presse, donné vendredi 05 novembre dernier, le président de ce groupement est revenu sur la question et d’autres

Aucune information définitive, sur une opération pourtant de grande importance
A deux mois de la clôture de l’exercice budgétaire 2009-2010, l’opération d’emprunt obligataire prévue dans le cadre de cet exercice se met progressivement en place. Depuis l’annonce de la signature par les autorités d’un contrat avec trois banques locales pour mener les opérations d’arrangement, aucune information officielle n’a plus été donnée. Le groupement interpatronnal du Cameroun semble lui aussi sans information. C’est avec un conditionnel appuyé que son président, Olivier Behle, a donné quelques informations y relatives. Il s’avère que l’on tablerait sur 220 milliards de souscriptions potentielles sur la base d’un taux de 5,50%. Logiquement, 40% du montant escompté proviendraient des investisseurs institutionnels tandis que les privés apporteraient les 60% restants. Au total, 200 milliards de francs CFA seraient ventilés dans les grands projets dont la mise en uvre sera appréciée de tous, a-t-il déclaré sur le sujet. Dans le même contexte, le président du Gicam est revenu sur le comice agro-pastoral d’Ebolowa, pour en souligner l’importance et inviter ceux des ses membres qui interviennent dans le secteur agro-pastoral de soutenir l’évènement. Au passage il a fait remarquer que le secteur agricole restait abandonnée et que l’absence de politique claire et chiffrée n’arrangeait pas la situation. Une des causes des niveaux élevés d’importations qui plombent la balance commerciale nationale a laissé entendre Monsieur Behle.

Revoir le système des gestions des télécommunications et de la sous-traitance

D’autres points étaient à l’ordre du jour de ce point de presse. Revenant sur la capitalisation des accords avec le groupe hautes études commerciales (HEC), le président du Gicam a annoncé la tenue très prochainement des activités qui viseront à améliorer la compétitivité des grosses entreprises et de l’administration camerounaise par la formation de leurs hauts dirigeants. D’ici à juin 2011, 8 séminaires de formation auront été organisés à l’intention des dirigeants d’entreprises et de hauts fonctionnaires a -t-il dit. Sur le secteur des technologies de l’information et de la communication, le Gicam à travers son président a critiqué le fait que la fibre otique soit gérée au Cameroun par le seul opérateur Cameroon Telecomunication. Il se trouve dans une position de juge et parti a fait savoir le président Behle, rappelant au passage que le Gicam proposait de revenir sur cette disposition afin de permettre un développement des télécommunications au Cameroun. Concernant l’importance des audits environnementaux et leurs impacts sur les grand projets de développement en Afrique et au Cameroun en particulier, le Gicam annonce la tenue le 11 novembre prochain d’un diner-débat, à l’occasion duquel autour du ministre de l’environnement et de la faune, auront lieu des discussions sur le thème «les audits environnementaux : nécessité ou piège pour le pays et pour les entreprises ? » Abordant la question de la sous-traitance, domaine dans lequel s’exercent beaucoup d’entreprises camerounaises, le Gicam critique les dispositions législatives actuelles pour suggérer l’adoption d’une nouvelle loi plus claire, et de façon générale une loi économique qui tienne en compte toute l’évolution de l’économie camerounaise. Il faudrait, tout compte fait, une loi sur la modernisation de l’économie qui intègrerait et indiquerait tous les modèles de réformes à entreprendre.


nordcamerouninfos.files.wordpress.com)/n

Communication: Le Président du GICAM face à la presse

Olivier Behle entretiendra la presse sur l’état des affaires au Cameroun, ce vendredi 3 septembre 2010 au siège du groupe

Quatre points pourraient figurer à l’ordre du jour de la rencontre entre le président du groupement interpatronnal du Cameroun (GICAM) et la presse, à l’occasion du déjeuner de presse organisé ce jour au siège du groupement. Olivier Behle devrait logiquement apporter des éclairages sur les différentes conventions signées par le GICAM avec certains partenaires, durant le mois de juillet 2010. Avec le Medef International, le GICAM a signé une convention dont l’objectif est d’encourager les relations commerciales et d’investissements entre le Cameroun et la France, promouvoir les affaires et l’échange d’informations dans le cadre d’un partenariat gagnant-gagnant, développer le renforcement des capacités des secteurs publics et privés, organiser des rencontres et des échanges entre opérateurs économiques français et camerounais. Il a aussi été question de la signature d’un accord avec Afreximbank, cette institution de financement, qui voudrait avoir une plus grande importance dans le financement du commerce au Cameroun. Enfin il y a la signature d’une convention avec la haute école de commerce (HEC) de Paris en France, en vue de contribuer au renforcement des compétences managériales des dirigeants d’entreprises. Rentrée scolaire oblige, le deuxième point pourrait tourner autour de la réévaluation des stratégies de formations pour relancer et renforcer la compétitivité et l’emploi. Un sujet qui est d’actualité. Le ministère en charge de l’économie et celui en charge du plan, ont confirmé officiellement la situation selon laquelle le solde courant de la balance des paiements pour une période de dix au Cameroun est négatif. Vue sous l’angle des entreprises, cette information est un indicateur de contreperformance. Cela pourrait faire comprendre qu’il n’y a pas suffisamment d’expansion, ou que la demande locale n’est pas satisfaite, ou encore que la compétitivité n’est pas au rendez-vous, ce qui empêche d’exporter plus ou de convaincre les consommateurs locaux. Olivier Behle pourrait aborder cette question.

Des annonces envisagées
Le président du GICAM pourra aussi faire ce jour, l’annonce des journées germano-camerounaises qui auront lieu du 22 au 23 Octobre 2010, sous le patronage du premier ministre Philémon Yang. Une rencontre dont les objectifs sont de mener une discussion sur les possibilités et exigences d’une intensification des investissements allemands au Cameroun, mieux connaître le Cameroun et les différentes possibilités d’investissements qui se présentent dans ce pays, discuter sur le rôle de la diaspora en matière d’investissement au Cameroun, présenter les différents types de financement – allemands et internationaux – des projets et présenter les différentes possibilités d’un partenariat public-privé tant du côté allemand que du côté camerounais. Olivier Behle aura aussi l’opportunité de présenter les conclusions de l’assemblée générale du GICAM, qui s’est tenu le 24 juin dernier et dont le thème central tournait autour des risques et des opportunités des grands projets structurants du Cameroun. Très attendues aussi, les données sur l’environnement des affaires depuis le mois de mai, et les perspectives de l’économie camerounaise, tant sur le plan régional que sur une perspective plus globalisante. La rencontre de presse entre le président du GICAM et la presse est progressivement devenue une tradition. Elle est l’occasion pour la presse d’être informée de la situation globale de l’environnement et du cadre des affaires au cameroun.

Olivier Behle, président du GICAM
lanouvelleexpression.net)/n

Cameroun: Le Gicam fait son bilan à mi-parcours

Le président Olivier Behlé a donné une conférence de presse vendredi, 07 mai à Douala

L’une des salles de conférence du groupement inter patronal du Cameroun, Gicam basé à Douala, a servi de cadre vendredi, 07 mai 2010, à la conférence de presse donnée par le président du groupe, Olivier Behlé. La rencontre avec les hommes de médias a porté sur quatre points: le suivi des résolution du Cameroon Business forum, les PME/PMI, la lutte contre le commerce illicite et les mutations du Gicam. Sur le premier point, le patron du Gicam, s’est dit satisfait de la mise en application des recommandations adoptées lors de la tenue de la première édition du Cameroon business forum à laquelle a participé le Gicam le 18 février 2010 à Yaoundé. Les travaux avaient regroupés les acteurs des secteurs publics et privés. Le Gicam constate que le comité de suivi et d’évaluation des activités du Cameroon business forum est fonctionnel. De même, le projet de circulaire relatif au rappel des procédures actualisées et les pièces requises liées à la création d’entreprise au Cameroun ont été publié par le premier ministre. Les centres de facilitation de la création d’entreprise ont été lancés, poursuit Olivier Behlé, qui a tout de même regretté que la création des chambres spécialisées auprès des juridictions d’instances pour les litiges commerciaux, n’est pas encore concrétisée. Car ce sont les indicateurs qui permettent au patronat de juger de l’amélioration ou non du climat des affaires au Cameroun.

Lutte Gicam-Mecam?
Sur la lutte contre le commerce illicite, le Gicam appelle les consommateurs à plus de vigilance lors de l’achat des produits. Lancée en décembre 2009, la campagne de sensibilisation contre les effets du commerce illicite va s’achever le 14 mai prochain. A mi-parcours, le Gicam se dit satisfait de son déroulement actuel. L’organe a largement atteint son objectif à savoir, provoquer la réflexion, susciter le débat et sensibiliser l’Etat et les consommateurs, selon le Président Behlé. Au chapitre des grands projets du groupement inter patronal du Cameroun, celui-ci annonce son intention de continue à encourager les petites et moyennes entreprises à se regrouper en filière, en passant par la mise sur pied des mesures destinées à consolider la qualité des services offerts par les PME. Seulement, cette intention soulève quelques interrogations, quand on sait que les PME/PMI constituent la cible première du Mouvement des entrepreneurs du Cameroun, Mecam. Le Gicam se sentirait-il alors menacé par le Mecam qui de plus en plus gagne du terrain grâce à la grande mobilisation des acteurs des PME plus nombreux que ceux des grandes entreprises? Comment comprendre la sortie médiatique du Gicam vendredi, 07 mai, juste au lendemain de la tenue de l’assemblée générale très courue du Mecam mardi, 04 mai à Douala? Les deux organes seraient-ils en concurrence? Autant des questions que se posent les observateurs de la scène économique camerounaise.

Olivier Behlé, le président du Gicam
lanouvelleexpression.net)/n