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Le Cameroun appelé à réviser sa taxe à l’exportation de diamant (société civile)

Selon une note publiée par le Relufa, la taxe à l’exportation de diamant dans le pays est passée de 12,5% en 2012 à 24,5% en 2015. Une hausse qui décourage les opérateurs et incite à la contrebande

Le Réseau de lutte contre la faim (Relufa) analyse l’impact de l’augmentation des taxes à l’exportation de diamant au Cameroun sur l’application du Système de certification du processus de Kimberley (SCPK) et sur les recettes que pourrait générer cette activité dans le pays.

Dans une « note de politique » publiée au mois d’août dernier, le Relufa souligne que la taxe à l’exportation de diamant en vigueur au Cameroun est passée de 12,5% en 2012 à 24,5% en 2015. «La conséquence politique immédiate possible d’une telle augmentation est que ceux qui sont impliqués dans la production et l’exportation du diamant au Cameroun pourraient être poussés à opérer dans la clandestinité pour éviter de payer des taxes élevées à l’exportation du diamant et préférer de ne pas commercialiser leurs diamants à travers les canaux officiels tel que l’exige le SCPK», souligne l’organisation.

Le 14 août 2012, le Cameroun s’est joint à 46 autres pays africains et occidentaux dans le cadre du Processus de Kimberley, lequel est un régime international de certification des diamants bruts qui réunit industriels, société civile et gouvernements dans le but d’éviter que ne soit commercialisés sur le marché mondial des «diamants de conflit». Ces derniers utiliseraient cette ressource pour financer leurs activités militaires.

Le SCPK exige des gouvernements que toute exportation ou importation de diamants se fasse dans un conteneur sécurisé accompagné d’un numéro de série unique attestant que ledit minerai ne provient pas de pays en guerre. Or, pour le Relufa, la taxe élevée pratiquée au Cameroun est de nature à empêcher la surveillance de la chaîne de production et d’exportation du diamant sur l’étendue du territoire national.

«Le Cameroun était déjà considéré avec beaucoup de suspicions comme étant un pays de transit de diamants suite à la guerre civile intervenue en République centrafricaine et sa suspension subséquente du SCPK en mai 2013. La contrebande du diamant au Cameroun à travers la RCA est possible à cause de leur taxe à l’exportation qui est inférieure à 12% comparée au 24, 5% du Cameroun. Les diamants sont déjà en train d’être cachés et sortis du Cameroun par les exportateurs sans les certificats appropriés du SCPK, et c’est pour cela que de faux certificats du Processus de Kimbeley originaires du Cameroun sont régulièrement découverts et signalés en Europe et dans d’autres destinations. Il est très important pour le Cameroun d’adopter des politiques qui peuvent lui permettre de capter au maximum les bénéfices de ses exportations de diamant», ajoute l’organisation.

Elle recommande au gouvernement de réviser le taux de sa taxe et de l’harmoniser avec ceux des pays voisins pour que cette dernière ne soit pas un moyen de dissuasion pour les exportateurs de diamants de recourir aux canaux officiels ; de renforcer le potentiel et la capacité des ressources humaines du ministère en charge des Mines et du secrétariat national permanent du Processus de Kimberley pour le suivi et l’acheminement effectif de la production artisanale de diamant.

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Des experts pour rentabiliser la ressource du diamant au Cameroun

En visite à Yaoundé au nom de l’Association des pays africains producteurs de diamants (ADPA), ils ont été reçus en audience mercredi par le Minmidt, Emmanuel Bonde

Des experts de l’Association des pays africains producteurs de diamants (ADPA), en séjour actuellement au Cameroun, ont été reçus en audience mercredi, 26 août 2015 à Yaoundé, par le ministre des Mines, de l’Industrie et du Développement technologique (Minmidt), Emmanuel Bonde.

Ces experts venus inviter le Cameroun à «rejoindre l’association panafricaine, vieille de neuf ans», ont pour mission d’«empêcher que les diamants servent à financer la guerre».

«Nous sommes au Cameroun pour comprendre comment est-ce que le secteur du diamant est organisé mais surtout, pour proposer l’expérience des autres pays producteurs de diamant, afin de rentabiliser sa ressource», a indiqué le chef de la délégation d’experts, Edgar Diogo de Carvalho, par ailleurs, secrétaire exécutif de l’ADPA.

Créée en Angola en 2006, L’ADPA a pour but de régir le secteur du diamant en Afrique en régulant le marché diamantifère sur le continent, de sorte que les populations puissent bénéficier des retombées de l’exploitation. D’où les mises en garde et l’encadrement qu’elle apporte aux 18 Etats-membres. Le regroupement fonctionne en se basant sur le processus de Kimberley, auquel le Cameroun est admis depuis 2012.

Au Cameroun, l’encadrement proposé par l’ADPA permettra d’améliorer la production nationale, montrer les bonnes pratiques et rentabiliser la ressource de diamant. [i «le Cameroun n’a produit que 3000 carats en 2014 alors que la ressource est abondante. Dans le futur, nous comptons produire beaucoup plus. On a donc intérêt à profiter de l’expérience des anciens pour y arriver», a précisé le Minmidt.

Au cours des échanges avec Emmanuel Bonde, les experts de l’ADPA ont présenté un projet en gestation, portant sur la création d’une bourse du diamant en Afrique.

«L’Afrique produit plus de 60% du diamant mondial et le vend à l’extérieur. Si on met en uvre une bourse, les acheteurs viendraient vers nous pour acheter sur place, au lieu que ce soit toujours l’inverse. En plus, tous les autres services que la bourse va créer seront profitables à l’Afrique», a assuré, pour conclure, Edgar Diogo de Carvalho.

Le Cameroun compte en produire beaucoup plus.
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Processus de Kimberley: Une admission pleine de défis pour le Cameroun

Le ministre des mines l’a fait savoir mercredi 22 août devant la presse, en présence du secrétaire permanent du processus de Kimberley au Cameroun

Le gouvernement camerounais récemment admis comme pays participant au Processus de Kimberley, a reconnu que ce succès reposait sur de nombreux défis, mais qu’il était prêt à surmonter. « La notification du Cameroun comme pays participant au Processus de Kimberley s’assimile à un véritable défi. Aussi, pour le relever, le ministre des mines, de l’industrie et du développement technologique compte sur la mobilisation et l’engagement de tous les partenaires du secteur minier de notre pays pour le respect scrupuleux des principes et recommandations du PK », a fait savoir Emmanuel Bonde, lors de sa rencontre avec des journalistes mardi 21 août 2012. Monsieur Bonde rappelait une préoccupation, soulevée par la présidente du processus, alors qu’elle faisait l’annonce officielle de l’adhésion du Cameroun. « J’ai le plaisir de vous annoncer que le Cameroun est maintenant officiellement membre du PK. Certains des contrôles internes de la République du Cameroun devant faire l’objet d’un suivi, nous encourageons tous les participants pertinents du PK à fournir à ce pays l’assistance technique dont il pourrait avoir besoin », a fait savoir Gillian A. Milovanivic, lors de la réunion du comité de participation de participation le 07 juin 2012 à Washington D.C. Trois principaux défis ont été relever par le gouvernement. Le premier est celui de sortir l’exploitation artisanale de l’informel. Le deuxième défi est celui de la capacité à enregistrer de manière systématique et complète, toutes les transactions sur la vente du diamant. Le ministre a salué la contribution des administrations partenaires (douanes, police, gendarmerie), mais n’a pas été clair sur les modes et les moyens d’intervention des uns et des autres. Le troisième défi est celui de la sécurisation des financements du secrétariat national du Processus de Kimberley en vue de lui donner les moyens de jouer pleinement son rôle. « Nous ne serons pas une grosse administration, nous allons avoir des ressources humaines précises et nous n’allons pas avoir tout une grosse machine administrative », a indiqué monsieur Mvogo Kisito, le secrétaire permanent du processus de Kimberley au Cameroun.

Cette instance devra s’assurer des données de production, de la régularité de leurs déclarations, de l’identification des points d’extraction. Pour le gouvernement camerounais quoi qu’il en soit c’est une importante réussite. «Nous pourrons désormais exploiter notre diamant, en s’assurant que cela sera une source de revenu supplémentaire pour le trésor public. Le deuxième bénéfice est qu’avec ce processus, nous sortirons de la filière d’exploitation et vente du diamant, tous les clandestins ; ce qui va sécuriser les personnes qui travaillent dans le secteur et enfin cela évitera que le Cameroun devienne un pôle de blanchiment d’argent, à travers des investissements dans le Diamant » a indiqué Monsieur Bondé.

Le Processus de Kimberley apparaît en 2003 à l’initiative de l’Organisation des Nations Unies, lorsque le monde découvre, choqué, les images macabres d’une guerre civile angolaise financée par l’argent du diamant. Le Cameroun ayant découvert son potentiel frappe aux portes du processus en novembre 2010. Une première candidature en novembre 2011 est infructueuse avant la réussite de juin 2012. Pays à faible tradition minière, le processus risque de prendre du temps avant de devenir efficient. Le plus gros projet d’exploitation du diamant au Cameroun est le fait d’une entreprise fortement financée par des sud-coréens. D’un autre côté, le pays devra encore se mettre à l’école de la maîtrise de la chaîne des valeurs d’une exploitation diamantifère, un fait qui fragilisera la capacité réelle du pays à contrôler ses ressources.

Le gouvernement camerounais récemment admis comme pays participant au Processus de Kimberley, a reconnu que ce succès reposait sur de nombreux défis
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Zimbabwe: Des mines de diamants cacheraient des camps de torture

Selon la BBC, la police et l’armée enrôlent de force des civils pour chercher des diamants

Une enquête de la BBC, diffusée le lundi 08 Août, révèle l’existence d’un camp de torture près du gisement de Marange au Zimbabwe. Les témoins interrogés par la chaîne de radio-télévision publique britannique décrivent un lieu de cauchemar. Ceint de barbelés, l’endroit appelé Diamond Base est le théâtre de tortures, de viols, humiliations et autres passages à tabac afin de forcer les civils à effectuer le travail dans le gisement de diamants. Un autre camp existerait également près de Muchena. La radio-télévision britannique a recueilli plusieurs témoignages de personnes faisant état de viols et de violences physiques dans un lieu connu sous le nom de Zengeni, près de Marange, l’un des plus riches gisements du monde. Ceux qui se rebellent ou réclament une part des bénéfices sont emmenés dans les camps de torture. Tous les ex-prisonniers interrogés ont requis l’anonymat, mais l’un des hommes a raconté avoir reçu jusqu’à 40 coups de fouet le matin et autant le soir. Ce témoin a pratiquement perdu l’usage d’un bras et marche avec difficulté, séquelles des passages à tabac subis dans le camp.

Les récits sont effrayants
Plusieurs ex-prisonniers ont raconté avoir été détenus plusieurs jours dans ce camp, puis remplacés par d’autres. Des femmes y seraient également détenues, et relâchées après avoir été violées. Ils m’ont frappé sous la plante des pieds avec des branches, et ils m’ont frappé les chevilles avec des pierres dit un homme. Ils menottent les prisonniers, et lâchent des chiens sur eux.Un homme, une première fois interné dans le camp de Muchena en 2008, y a de nouveau été jeté en 2010: rien n’avait vraiment changé entre 2008 et 2010… Beaucoup de gens étaient frappés ou mordus par les chiens.Un tortionnaire, qui affirme avoir travaillé dans le camp en 2008, confirme que les chiens étaient dressés à mordre les prisonniers. Selon lui, une femme a été mordue à la poitrine. Je ne pense pas qu’elle ait survécu, dit-il. Si quelqu’un meurt ici, les soldats n’en parlent pas, ils ne veulent pas qu’on sache, affirme sous couvert de l’anonymat un officier de l’armée zimbabwéenne.

L’Union Européenne se prononce
L’Union européenne, favorable à une reprise des exportations de diamants provenant du Zimbabwe, a indiqué n’avoir pas obtenu à ce jour de preuves solides des allégations de torture dans le riche gisement de Marange dont se fait l’écho une enquête de la BBC diffusée lundi.Nous avons vu des informations d’organisations non gouvernementales sur des supposés camps de torture, il y a même quelques années de cela, mais nous n’avons jamais reçu de preuves solides de l’existence réelle des camps, a affirmé le porte-parole de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton. Si ces allégations étaient avérées, ce serait un sujet extrêmement préoccupant et nous aimerions en avoir les preuves a-t-il précisé. Selon lui, l’UE reste partisane d’une reprise des ventes: Nous suggérons d’autoriser les exportations de la région de Marange qui soient conformes au processus de Kimberley, a souligné le porte-parole. Les mines de Marange avaient été envahies par l’armée zimbabwéenne en 2008. Les soldats avaient alors violemment expulsé les milliers de prospecteurs qui occupaient les lieux, avant de forcer des civils à faire le travail. Quelques 200 personnes y avaient été tuées, et le processus de Kimberley, le régulateur mondial, avait interdit le négoce des diamants de cette région.

Gisement de Marange au Zimbabwe
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