Cameroun : Erika, fille de Samuel Eto’o réclame son emprisonnement

Erika Eto’o do Rosario Nieves entame une nouvelle bataille juridique contre son géniteur Samuel Eto’o.

La jeune femme de 22 ans, reconnue judiciairement en février 2022 comme étant la fille de l’actuel  président de la Fédération camerounaise de football, requiert un an de prison ferme pour son père pour non-paiement de pension alimentaire. La somme cumulée de certains paiements non effectués s’élèveraient à 90 000 euros, tel que publié par El Diario de Sevilla

« Il doit à sa fille plus de cinq ans de pension et continue de défier la Justice. Les finances d’Érika est très limitées alors qu’Eto’o vit dans le luxe », explique Fernando Osuna, l’avocat de la jeune femme, dont les propos ont été recueillis par les médias précités.

Dans le document préparé par l’avocat, les différents casiers judiciaires de l’ancien joueur sont également exposés. Rappelons que Samuel Eto’o a déjà écopé d’un an et dix mois de prison pour un délit fiscal sur le territoire national, et d’une amende pécuniaire pour non-paiement d’une pension alimentaire à une autre fille extraconjugale.

La défense d’Erika do Rosario demande l’application « des circonstances aggravantes de récidive et d’abus d’autorité compte tenu de la supériorité qu’il a sur la jeune femme ». De même, Osuna juge « anormal » que Samuel Eto’o puisse accéder à n’importe quels postes publics auxquels il aspire dans son pays compte tenu de ses ennuis judiciaires.

Cameroun : un papa enceinte sa fille au quartier Kotto à Douala

Sidonie M. 19, ans, étudiante, accuse son père d’être aussi celui du bébé dont elle ne s’est sue porteuse que lundi dernier.

Les faits sont rapportés par Cameroon tribune. C’est horrible mais possible : on peut être à la fois père et grand-père d’un bébé. C’est la double casquette qui prend forme sur la tête de Gérald M. 58 ans, ancien cheminot reconverti dans l’agriculture, indexé par sa fille Sidonie, étudiante de 19 ans, enceinte de quatre mois.

Une jeune fille orpheline de mère depuis l’âge de deux ans, et qui a été élevée par la seconde épouse de son père-dont les deux premiers enfants, des garçons résident à Yaoundé. La famille vit à Kotto, arrondissement de Douala V.

D’après les informations obtenues par Cameroon tribune, tout part d’une soirée arrosée le 10 février dernier. Sidonie est sortie avec des amis dans l’ambiance de la fête de la jeunesse, et a bu deux bières puis un verre de whisky. Juste trop pour l’étudiante, qui avouera son état d’ivresse une fois rentrée.

Papa Gérald ne la gronde pas, lui dit que l’alcool n’est pas si mauvais  que ça et …lui fait prendre encore un verre. Puis demande d’aller prendre un bain. Son épouse, elle, doit visiter une sœur endeuillée. Gérald M ; dit ne pas se sentir bien et ne l’accompagne pas.

Encore vaseuse, Sidonie sort de son bain et va se coucher. Elle n’a pas eu la force de porter une robe de nuit, ni même d’éteindre la lumière. Dans sa déposition à la police, elle dira avoir eu un sommeil étrange. Au départ, une impression de rêve érotique : elle a senti son intimité investie, et ne s’en est pas défendue. Mais quand le partenaire mi- onirique, mi- physique a voulu se lever, la jeune fille s’est réveillée en sursaut.

Stupeur, elle a senti la présence, et s’est demandé qui avait éteint la lumière. Elle va rallumer avant que la personne dans la pièce ait pu s’enfuir. C’est son père. Nouvelle stupeur. Sidonie comprend tout est fond en larmes.

Le secret sera tout de gardé jusqu’à ce que les malaises répétés (et absence de menstrues) de la jeune femme poussent sa belle-mère à la conduire à l’hôpital. Après une série d’examens, le verdict tombe ce lundi 13 juin : elle est enceinte de quatre mois. Sidonie va jurer que son dernier rapport intime avant l’inceste remonte à avril 2021. C’était d’ailleurs le premier de sa vie. Avec son petit ami parti depuis en Europe, mais resté en contact via WhatsApp.

La belle-mère, outrée, ameutera la famille. Au moment où la nouvelle de la grossesse tombe, Gérald M. est dans le Moungo, pour ses activités champêtres. Il était attendu à Douala mardi, mais n’est pas venu. La famille maternelle de Sidonie (originaire du Centre) devrait arriver samedi de Yaoundé. La police suit l’affaire.

Yaoundé: une fillette de 6 ans emportée par le torrent

La dépouille de la nommée Viviane a été retrouvée mercredi, 23 mars, au quartier Damas à Yaoundé, quatre jours après l’avis de recherche. Elle s’était retrouvée dehors sous une forte pluie

Les populations du quartier Damas étaient tristes ce mercredi, 23 mars 2016, à la vue de la dépouille d’une fillette. D’après la FM94, radio locale émettant à Yaoundé, la nommée Viviane a été emportée par la fureur des eaux de pluie qui a arrosé la ville de Yaoundé samedi, 19 mars 2016.

Après quatre jours de recherches, le corps sans vie de la fillette, entrainé par le torrent des eaux d’une rivière a été retrouvé au pont Damas. La dépouille a été remise à ses parents.

Son père a du mal à comprendre ce qui s’est passé. « Elle était la plus intelligente de la maison. Parfois, c’est elle qui disait à son frère qu’on ne joue pas sous la pluie. Aujourd’hui, c’est elle que le torrent emporte», se désole-t-il.


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Retournement: La fille d’Ahmadou Ahidjo rejoint le RDPC

Elle a indiqué vouloir mettre sur la table des discussions les concepts de réconciliation et justifie sa position par sa volonté de rentrer dans un parti dirigé par un sage

Amina Ahidjo, fille du premier président du Cameroun indépendant (1960-1982,) a officiellement rejoint les rangs du Rassemblement démocratique du peuple Camerounais (RDPC) du président Paul Biya le 6 septembre 2013. Une décision rendue publique après qu’elle ait rencontré le secrétaire général de ce parti. A sa sortie d’audience avec Jean Kuete, elle a expliqué avoir été marquée par la vision du Président Paul Biya, qui dirige Cameroun avec sagesse et efficacité, ce qui l’a persuadé à rejoindre le party. Elle a aussi ajouté que son geste était un signe de gratitude à l’endroit de celui qui s’est montré chaleureux lorsqu’elle a annoncé son désir de retourner au Cameroun. Le président Biya que je considère comme mon père m’a permis de revenir dans mon pays et retrouver ma citoyenneté camerounaise, a-t-elle fait savoir, ajoutant que son avenir immédiat serait marqué par la loyauté et un soutien sa faille au président. Un président qu’elle servirait désormais fidèlement. Le président Paul Biya est un homme de paix, qui possède une force de ralliement et est un humaniste qui cherche le progrès et le bien-être des tous les Camerounais a-t-elle fait savoir. Au sein du RDPC, très peu de ralliement ont mobilisé autant de cadre. Ils étaient tous là pour accueillir la fille de l’ancien président.

La nouvelle militante devrait se rendre à Garoua le 15 septembre pour le lancement de la campagne électorale avec le vice-président du sénat sa majesté Aboubakari Abdoulaye. Son message de campagne devrait surtout porter sur le pardon et la réconciliation. Dans la presse de nombreux articles parlent déjà d’une campagne de séduction à l’endroit de grande partie septentrionale du Cameroun, zone dont était originaire Ahmadou Ahidjo. D’autres médias proches du pouvoir comme le magazine « The Spark », parle d’un choix délibéré de la part d’une femme indépendante, cultivée. Pourtant le discours sur la réconciliation ne semble pas le pertinent. Les personnes dont la venue d’Amina Ahidjo au RDPC pourrait combler l’absence, n’étaient pas les plus apprécié de la région du nord, quoiqu’étant les plus influentes. Dans le même sens, il est difficile dans un nord équitablement occupé par les musulman, les animistes et les chrétiens d’une part, et par les peuhls et les autres d’autre part de parler réconciliation. L’ancien président Ahidjo régnait d’une main forte notamment dans la région, mais n’était pas forcément apprécié de tous, de fortes personnalités de ces parties du pays s’étant retrouvé en prison durant son règne. Les contours de ce ralliement de la fille du défunt président serait-il un pas de plus vers le désir du président Biya de réparer des torts et de se faire bonne conscience, seul l’évolution de l’histoire permettra de le savoir. Trop peu d’éléments officiels et publics permettent d’argumenter aujourd’hui.

La fille d’Ahmadou Ahidjo rejoint le RDPC
The Spark)/n

Cameroun: Horreur et terreur à Bafoussam

Une jeune fille a été retrouvée la tête tranchée, les coupables auraient menacé de faire subir le même sort à un autre enfant

Assassinée et découpée
Ce mardi 6 juillet 2010, Bafoussam la principale ville de la région de l’Ouest du Cameroun, est encore sous le choc du scandale qui s’y déroule. L’horreur est venue se mélanger à la terreur, affirme un habitant de cette ville contacté par téléphone. Dans la matinée du lundi 5 juillet, le corps d’une fillette de 7 ans a été retrouvé découpé en plusieurs morceaux. La victime était élève au cours préparatoire (Cp) dans une école primaire à Douala et en vacances à Bafoussam depuis deux jours chez sa tante, promotrice d’une clinique de traitement traditionnel. Selon les premiers témoignages, la fillette aurait été envoyée dans la soirée du dimanche 4 juillet pour chercher de la farine de maïs. Tardant à revenir, sa tante a signalé sa disparition. Des recherches ont été organisées. Les chaînes de radios locales ont été mises à contribution. Nous avons appris petite fille était morte mystérieusement. Je suis sorti pour voir. A mon arrivée, j’ai trouvé un corps sans tête, les membres découpés, certains organes avaient disparu, affirme une source qui ajoute qu’à côté du corps de la victime, il y avait une petite bouteille contenant une croix en bois rouge. La Tante de la victime est consternée, elle dit ne pas comprendre ce qui arrive.

La police et les populations perplexes
Cette dernière image commande l’hypothèse d’un meurtre ésotérique. Hypothèse très vite démentie en fin de journée lundi. Un père de famille a saisi les tribunaux de Bafoussam, pour porter plainte contre x. Au moment où on découvrait le corps de la jeune fillette, lui a retrouvé un objet qu’il identifiera après comme un morceau de bras humain. J’ai terriblement tremblé, a-t-il affirmé à un journaliste sur place. Après cela, j’ai reçu un coup de fil anonyme et une voix que je ne connaissais pas m’a demandé une somme d’argent si je ne voulais pas que mon fils qui est encore très jeune soit lui aussi retrouvé comme la fillette. Je n’ai rien compris mais j’ai pris la menace au sérieux, rapporte notre source médiatique, citant le concerné. Le procureur de la République a été informé de cette histoire. Il est descendu sur les lieux pour témoigner lui-même de la situation. Une enquête a ouverte et le monsieur qui s’est dit victime d’un chantage a été arrêté avec un autre suspect. Mais il est très difficile de savoir ce qui s’est passé, surtout que le meurtre et la menace d’en commettre un autre qui semblent liés n’ont pas le même mobile. Sauf à supposer que les proches des victimes n’ont pas dit toute la vérité. Les populations environnantes sont consternées. Elles n’arrivent pas à comprendre comment dans un quartier qui abrite un commissariat de police, deux meurtres aient pu être commis en moins de 24 heures. Dimanche dernier dans le même quartier, un homme âgé de la soixantaine a été retrouvé mort. Comme avec la jeune fille, certains de ses organes étaient manquant.


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