Décès Mgr Balla : Micheal Tsokos « Je n’ai trouvé aucune blessure sur le corps »

Le médecin légiste allemand revient sur l’autopsie qu’il a pratiquée sur la dépouille de l’évêque Jean Marie Benoit Balla en juin 2017. Directeur de l’Institut de médecine légale de Berlin, en Allemagne, Micheal Tsokos a été sollicité pour une contre-expertise après deux examens pratiqués par des médecins légistes camerounais. Le corps sans vie de l’évêque de Bafia (région du Centre) a été retrouvé le 02 juin 2017 dans le fleuve Sanaga, trois jours après que sa disparition a été signalée. Réunie à Yaoundé les 7 et 8 janvier sur le thème de la nouvelle catéchèse, la Conférence épiscopale nationale de l’Église catholique, qui défend toujours la thèse de l’assassinat, n’a plus abordé le cas Mgr Balla.

 

Êtes-vous bien le professeur Michael Tsokos, celui qui a pratiqué une autopsie sur le corps de l’évêque Jean Marie Jean-Marie Benoît Bala ?

 Oui, exactement. J’ai pratiqué cette autopsie en juin 2017.

Comment êtes-vous arrivé sur ce cas ?  

 J’ai été contacté par Interpol (organisation de police internationale avec 194 pays membres, Ndlr) de Lyon, en France. Ils m’ont téléphoné à propos d’un cas d’autopsie au Cameroun ; et m’ont demandé si je pouvais m’y rendre avec un inspecteur d’Interpol pour pratiquer cette autopsie. Donc, Interpol m’a appelé.

Vous avez travaillé avec Marc Mulder sur ce cas…

 Oui. Est-ce que vous lui avez parlé ?

 Nous n’avons pas pu rentrer en contact. Qu’avez-vous trouvé exactement au cours de cette autopsie ?

 J’ai trouvé un corps en putréfaction avancée. Tellement en putréfaction. Et je n’ai trouvé aucune blessure sur le corps. Je pourrais donc exclure une mort violente. Et j’ai trouvé des signes de noyade.

J’ai également constaté que les deux autopsies qui avaient été effectuées auparavant n’étaient pas des autopsies complètes, car de nombreux organes à l’intérieur du corps n’avaient pas été touchés. De plus, les organes du cou n’ont pas été disséqués. J’ai donc eu l’occasion de refaire une autopsie complète. Et nous avons également effectué des analyses toxicologiques en laboratoire qui se sont révélées négatives. J’ai également passé un examen microscopique qui a révélé que la noyade était la cause de décès la plus probable.

Vous avez donc conclu que l’évêque est décédé des suites de noyade ?  Il n’a pas été torturé ?

La noyade était la cause de décès la plus probable, car il était difficile de prouver autre chose à partir d’un corps en putréfaction avancée. Mais comme il n’y avait pas d’autres causes de décès, donc pas de maladie interne pouvant expliquer la mort, pas de violence, la noyade était donc la cause la plus probable de décès.

Une certaine opinion continue de croire que les conclusions de cette autopsie pourraient avoir été biaisées par les autorités. Le gouvernement a-t-il pesé sur vos résultats ?  

Non. Il y a une chose essentielle. Je suis médecin légiste depuis 25 ans et quand je suis arrivé, j’ai dit aux policiers : « Je ne veux pas savoir ce que vous pensez ni ce que les autres pensent de la cause de son décès. Je vais pratiquer mon autopsie et je vais vous dire ce que j’ai trouvé ». J’étais totalement objectif, car personne ne m’a dit que son corps avait été retrouvé dans un fleuve ou ce qui s’était passé avant. Donc j’étais totalement objectif. C’est une tâche essentielle que vous devez accomplir en tant que médecin légiste expérimenté sans écouter l’opinion de qui que ce soit. Vous devez vous faire votre propre opinion. C’était donc la principale chose que je devais faire avec Marc Mulder pour Interpol. Il y avait des gens du gouvernement d’autres personnes encore. Je leur ai dit : « Écoutez, je ne veux rien entendre. Je vais faire mon examen et vous dire ce qui s’est passé. C’est la raison principale pour laquelle personne ne m’avait dit auparavant : “Nous voulons ceci, nous pensons cela, que c’est l’assassinat qui est à la mode” ou “nous pensons qu’il a été battu à mort” ou “nous pensons qu’il s’est noyé”. Je n’avais aucune information auparavant. J’ai eu des cas similaires comme cela tout le temps ; et c’est le principal piège dans lequel vous pouvez tomber lorsque des gens vous racontent ce qui s’est passé auparavant. Et pour ce cas, je leur ai dit que je leur donnerais mon opinion et les laisserais décider de ce qu’ils pensent.

Yaoundé abrite la 16e session du Comité des chefs de police d’Afrique centrale

La rencontre qui rentre dans le cadre de la lutte contre la criminalité transfrontalière s’est ouverte mardi à Yaoundé

Les travaux du Comité des chefs de polices d’Afrique centrale (CCPAC) se sont ouverts ce Mardi, 15 septembre 2015, à Yaoundé et s’étendront jusqu’au 18 prochain, sous l’assistance technique d’Interpol représenté par son chef de bureau régional Serge Ngoma. La rencontre couplée au forum des ministres en charge des questions de sécurité dans les Etats de la sous-région a été officiellement ouverte par une cérémonie qu’a présidée le délégué général à la Sureté nationale, Martin Mbarga Nguélé.

Les assises de cette semaine ont pour but de fixer des mesures communes afin de trouver des solutions durables au problème de la criminalité en Afrique centrale. Ce qui passera par la définition d’une stratégie de lutte contre la criminalité, l’identification de nouvelles formes de criminalités, la coordination des activités de coopération en matière de lutte contre la criminalité à l’échelle sous régionale, et la mise à la disposition des autorités nationales et sous régionales, en charge des questions de sécurité, des informations et programmes envisagés contre le fléau.

Il est question pour les huit pays membres du CCPAC (République démocratique du Congo, Gabon, Tchad, Congo, Guinée équatoriale, Cameroun, Sao tomé-et-Principe et République centrafricaine) de se pencher sur les principaux problèmes répertoriés en Afrique centrale. Il s’agit notamment de l’insécurité liée à la situation en Centrafrique et aux exactions de la secte Boko Haram au Cameroun et Nigéria, du trafic des stupéfiants au Gabon, des organes humains, des armes légères et des véhicules, des prises d’otage, de la cybercriminalité, des enlèvements de personnes et de la pédophilie.

Le comité des Chefs de police d’Afrique Centrale a vu le jour le 10 avril 1997 à Brazzaville dans le but d’améliorer la coopération entre l’Organisation internationale de police criminelle (OIPC-Interpol) et les pays de la sous-région en matière de criminalité. Le CCPAC a pour objectif d’améliorer la coopération entre les services de police des pays de la sous-région, de renforcer leur efficacité dans le domaine de la prévention et de la lutte contre la criminalité transfrontalière dans la sous-région et d’y augmenter l’efficacité dans les différentes interventions de la police, tout en respectant les lois, règlements et droits de l’homme.


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La cartographie des principaux foyers de braconnage en Afrique publiée

De nouveaux outils utilisant l’ADN, et présentés jeudi, ont révélé que le braconnage d’éléphants en Afrique pourrait être concentré actuellement dans deux zones

De nouveaux outils utilisant l’ADN ont révélé que le braconnage d’éléphants en Afrique pourrait être concentré actuellement dans deux foyers seulement, ont affirmé jeudi des chercheurs de l’université de Washington et des chercheurs d’Interpol.

Depuis 2006, la plupart des défenses d’éléphants de savane saisies proviennent de la Tanzanie et du Mozambique voisin, tandis que la plupart des défenses d’éléphant de forêt proviennent du Gabon, de République du Congo et de République de Centrafrique, ont rapporté ces chercheurs dans le journal américain Science.

« L’Afrique est un continent immense, et le braconnage est partout. Considéré sous cet angle lutter contre ce problème semble être une tâche herculéenne », a déclaré le directeur de recherches, Samuel Wasser, professeur de biologie à l’université de Washington. « Mais si l’on examine les grosses saisies d’ivoire, qui représentent 70% du trafic d’ivoire en termes de volume, on obtient une image différente ».

M. Wasser a auparavant utilisé des déjections, des tissus et des poils d’éléphant collectés sur le continent africain pour cartographier les signatures génétiques des populations d’éléphant des différentes régions. Il a ensuite développé des méthodes pour extraire l’ADN de l’ivoire, lui permettant d’analyser les pièces de contrebande saisies pour déterminer la population d’éléphants dont elles proviennent.

Dans cette nouvelle étude, M. Wasser et ses collègues ont utilisé ces méthodes basées sur l’ADN pour analyser 28 saisies d’ivoire majeures, représentant chacune plus d’une tonne, et effectuées entre 1996 et 2014.

« En analysant ces saisies, nous avons été très très surpris de découvrir que sur la dernière décennie presque toutes les saisies provenaient de deux endroits d’Afrique seulement », a déclaré M. Wasser lors d’une téléconférence.

Les chercheurs ont découvert que plus de 85% de l’ivoire d’éléphants des forêts saisie après 2006 provenait de l’écosystème protégé de Tridom en Afrique centrale, qui s’étend sur le nord-est du Gabon, le nord-ouest de la République du Congo et le sud-est du Cameroun, ainsi que de la réserve adjacente dans le sud-ouest de la République de Centrafrique.

Plus de 85% de l’ivoire d’éléphants des savanes saisie après 2006 provenait d’Afrique de l’Est, et principalement de la Réserve de Selous dans le sud-est de la Tanzanie et de la Réserve de Niassa voisine, dans le nord du Mozambique.

En 2011 cependant, le foyer principal de braconnage d’éléphant des savanes a commencé à se déplacer vers le nord, du sud-est de la Tanzanie vers le parc national de Ruaha et la réserve de Rungwa dans le centre du pays, avançant progressivement vers le Kenya. Environ 50.000 éléphants d’Afrique sont tués chaque année en Afrique où le nombre des éléphants est inférieur à 500.000 animaux.

Selon les chercheurs, connaître les principales zones où les éléphants sont braconnés pourrait aider à combattre le trafic de l’ivoire à sa source.

« Comprendre que de grandes quantités de ce grand commerce transnational est axé sur deux principales zones permet de concentrer l’application de la loi sur les zones et d’éliminer la plus grande quantité de l’abattage illégal », a indiqué M. Wasser.


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Cybercriminalité : Concertation au Cameroun sur le sujet

Une réunion sur la question se tient depuis mardi au bureau régional de la police internationale à Yaoundé

Coordonner les efforts contre la cybercriminalité
Une réunion dite spécialisée sur la cybercriminalité en Afrique centrale, se tient depuis mardi 26 avril 2011 et prendra fin ce jeudi, au bureau régional d’Interpol pour l’Afrique centrale à Yaoundé. La réunion présidée par le responsable local de cette institution regroupe les représentants des services chargés de l’application de la loi (police gendarme) et certains fonctionnaires de l’agence de régulation des télécommunications du Congo Brazzaville, Cameroun, République centrafricaine et du Tchad. Egalement représentés, la délégation générale à la sûreté nationale du Cameroun, la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (Cemac), le groupe d’action contre le blanchiment d’argent (Gabac) et l’Union internationale des télécommunications (Uit). Présentant les objectifs de la rencontre face aux médias, Marcel Yves Mapangou Moussali, Officier régional chargé de la cybercriminalité dans la sous-région, a fait savoir que chaque pays va présenter sa situation et le mode opératoire des cybercriminels constaté. L’échange d’expérience permettra, a-t-il indiqué, de diagnostiquer et d’élaborer des recommandations avec pour objectif de créer dans chaque pays, une synergie entre les hommes de loi, les administrations en charge de réguler les télécommunications et les fournisseurs d’accès Internet. Parlant de la cybercriminalité, il ajoute que « C’est une préoccupation en Afrique. Le phénomène existe. Mais à l’heure actuelle, nous avons du mal à récolter les informations sur les faits constatés, élucidés ou non dans notre sous-région »

Un crime difficile à combattre
Sans remettre en cause l’opportunité d’une telle rencontre, certains experts pensent que la cybercriminalité demeure une pratique complexe. Le champ même de cybercriminalité est difficile à définir. Les actions de cybercriminalité les plus connus des internautes camerounais sont les messages illusoires. Le modus opérandi est le même. C’est soit une jeune fille refugiée et héritière d’une famille fortunée, ou une jolie fille qui a besoin de rencontrer des hommes africains (et parfois des femmes) ou encore plus simplement une opportunité d’affaire. Ceux qui se font avoir déboursent parfois une certaine quantité d’argent. Plusieurs internautes ont d’ailleurs appris à se méfier de ce type de mail. Cela dit, la lutte contre la cybercriminalité demeure un challenge difficile pour des pays en Afrique centrale, qui parfois ne s’accordent pas sur des choses les plus simples. Dans ses versions les plus complexes, on a le piratage de systèmes d’information qui sont difficilement réalisables à partir du Cameroun en raison d’une connexion internet relativement faible. Sur le plan de la lutte contre cybercriminalité en elle-même, le Cameroun a déjà fait un pas en adoptant une loi sur la question. Mais de nombreuses interrogations demeurent. Sa mise en pratique risque d’être difficile. Les cybers criminels travaillent souvent en réseau et parfois sur plusieurs pays différents. Il sera question de voir comment est ce que l’Afrique centrale envisage de s’y prendre dans une circonstance d’association de malfaiteurs. En attendant, les experts restent unanimes sur le fait que pour les cas de cybercriminalité les plus courants en Afrique, la réponse la plus efficace pour le moment reste la sensibilisation des internautes aussi bien en entreprise que dans les domiciles et les cybercafés.

La cybercriminalité, un fléau difficile à combattre
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Un général français, « grand ami du Cameroun », poursuivi pour détentions d’images pédo-pornographiques

Il encourt deux ans de prison et 30.000 euros d’amende

Le 9 octobre dernier, R.G., ce général que nous désignons par ses initiales, a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris. Il est inculpé pour « détention d’images pédo-pornographiques » et encourt deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende. Au cours de ses auditions par la juge, il a reconnu les faits et s’est dit prêt à s’engager dans une démarche thérapeutique. Mis en examen en juin 2008, R.G. a été placé sous contrôle judiciaire, ce qui lui interdit notamment de sortir d’Ile-de-France. Les policiers français avaient été alertés en 2006 via Interpol par leurs homologues autrichiens qui étaient parvenus à identifier son adresse Internet sur laquelle avaient été importées des vidéos à caractère pédophile depuis un site autrichien. En perquisitionnant le domicile et en saisissant l’ordinateur du général, les policiers avaient mis la main sur environ 3.000 photos mettant en scène des enfants âgés de 6 mois à 12 ans.

Diplômé de Saint-Cyr, le général 5 étoiles a commandé le prestigieux 2e régiment étranger de parachutistes. Il a également été sous-chef des opérations à l’Etat-major des armées. Il a été membre des cabinets des anciens ministres de la Défense André Giraud et Jean-Pierre Chevènement, avant de diriger les cabinets militaires de leurs successeurs Charles Millon et Alain Richard. Commandeur de la Légion d’honneur, le général R.G. avait été découvert par le grand public alors qu’il était le chef du Sirpa (Service d’information et de relations publiques des armées) durant le Guerre du Golfe (1990-1991). Mais il est davantage connu au Cameroun comme un ami d’ombre du président de la république Paul Biya. Conseiller du président Paul Biya en matière de défense, le journal camerounais le Front dans son édition du 17 janvier 2007 le citait parmi les 7 français qui gouvernent le Cameroun. Sous-chef des opérations à l’état-major des armées de mai 1994 à septembre 1995 à Kigali, il est cité dans le rapport signé par Tharcisse Karugarama, ministre de la Justice et Garde des Sceaux rwandais, parmi les hauts gradés impliqués de près ou de loin dans le génocide.


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Cameroun: Yaoundé accueille les fonctionnaires des bureaux nationaux d’Afrique francophone d’Interpol

La cérémonie d’ouverture a été présidée par le DGSN Edgar Alain Mebe Ngo’o

C’est à l’école nationale supérieure de police de Yaoundé qu’a eu lieu le 23 juin 2009, la cérémonie d’ouverture de la cession de formation des hauts cadres des bureaux centraux nationaux de police Interpol d’Afrique Francophone. Cette cérémonie intervient au lendemain de l’inauguration en mai 2009, du siège régional d’Interpol Afrique centrale à Yaoundé la capitale Camerounaise. La cession de formation entamée à Yaoundé est donc une suite logique du processus de lutte contre le banditisme dans les pays d’Afrique francophones. Une fierté pour le Cameroun qui se voit ainsi honoré par cette organisation de police internationale. La salle de conférences de l’Ecole nationale de Police de Yaoundé, était bondée de monde à l’occasion de l’ouverture de ce 7e cycle régional de formation des fonctionnaires de police des bureaux centraux nationaux Interpol des pays d’Afrique d’expression française. Une session de formation qui permettra à coup sûr aux différents représentants des administrations de police concernés, de maitriser avec aisance les ficèles d’Interpol dans le cadre des actions de paix de défense et de sécurité transfrontalière. Maitriser aussi les techniques et les normes et les règlements de l’organisation. La cérémonie d’ouverture, présidée par le délégué général à la Sûreté nationale Edgar Alain Mebe Ngo’o, a été rehaussée par la participation du représentant du Secrétaire général de l’OIPC Interpol, du chef du bureau régional Afrique centrale, et de nombreux hauts cadres de la police Camerounaise. En ce qui concerne la formation, des experts du bureau central d’Interpol à Lyon ont fait le déplacement de Yaoundé tout comme ceux du bureau régional.

Dans son mot d’ouverture, Edgar Alain Mebe Ngo’o Délégué Général à la Sûreté Nationale(DGSN) s’est appesanti sur la modules de formation, ainsi que les enjeux qui l’ont motivée. On y voit déjà un signe de la mondialisation qui englobe quasiment tous les domaines stratégiques tels que la sécurité. A cela s’ajoute le partage des bases de données pour que le réseau Interpol soit toujours un gage d’efficacité. Edgar Alain Mebe Ngo’o, n’a pas manqué de souligner que tout ceci devra faciliter les recherches et les recoupements en temps réels sur la signalisation de malfaiteurs recherchés. Ainsi que les documents, les uvres volés entre autres. C’est un véritable soutien pour la lutte contre la criminalité internationale. Globalement, la formation permettra une initiation au système mondial d’exploitation de communication d’Interpol Interpol 24h/24,7jours/7(, I 24-7). Pour rappel, Edgar Alain Mebe Ngo’o a affirmé que le système d’Interpol a déjà été entendu dans les domaines tels que la sécurisation des frontières ports et aéroports. Un bon projet en somme pour l’image et la sécurité du Cameroun. La lutte contre la criminalité et le grand banditisme va certainement s’intensifier au terme de cette formation salutaire. Edgar Alain Mebe Ngo’o voudrait donc que les participants surtout camerounais, assimilent avec beaucoup de sérieux les enseignements et autres notions qui seront donnés par les experts de la formation.

Edgar Alain Mebe Ngo’o Délégué Général à la Sûreté Nationale(DGSN)
Journal du Cameroun)/n