Pour Julien Eymard Plong, sous-préfet de la commune de Maroua II, les organisateurs veulent porter atteinte à l’unité et à la paix sociale.
La marche interdite avait été organisée par le «le collectif citoyen contre les souffrances du peuple « , pour justement plaider contre ses souffrances. Celle-ci devait se tenir dans l’arrondissement de Maroua 2, région de l’Extrême-Nord. Mais le sous-préfet en a décidé autrement selon nos confrères de Cameroun-info.net.
Le journal rapporte que Julien Eymard Plong, le sous-préfet a estimé qu’il s’agit d’une « démarche visant à porter atteinte à l’unité et à la paix sociale». Ainsi, le 20 novembre 2020, il a rejeté la demande de manifestation déposée dans ses services par Jean Pierre Boutche, porte-parole du «le collectif citoyen contre les souffrances du peuple», par ailleurs Secrétaire de la fédération communale du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) à Maroua.
L’autorité administrative affirme par ailleurs que le Collectif suscité souffre d’un défaut de légalisation.