Cameroun : une compétition de beauté qui promeut l’écologie

Face au changement climatique actuel, des jeunes demoiselles mettent leur beauté au service de la nature.

Miss Eco international. Il ne s’agit pas d’eco comme économie, mais plutôt comme écologie. C’est un mot qui est désormais au centre de plusieurs discussions et rencontres mondiales à cause du changement climatique que connait la planète.

Face à cette dégradation de mère nature, il devient nécessaire de la sauver. Autrement dit, protéger l’environnement. Telle est donc l’esprit du concours de beauté Miss Eco international.

Il s’agit d’une compétition qui se déroule dans plusieurs pays, question de sélectionner celle qui représentera les couleurs de sa nation, à la grande finale. Cette année, la finale internationale aura lieu en Egypte. 45 pays au total parmi lesquelles les Etats-Unis, la France, la Palestine, l’Allemagne, l’Afrique du Sud et l’Egypte y participent.

Au Cameroun, elles sont prêts de 400 jeunes femmes à avoir mis les pieds sur le podium. Même si, seulement 40 d’entre elles ont été retenues pour les demi-finales. Après quoi 20 ont engrangé le plus grand nombre de vote, pour participer à la finale nationale.

protéger la nature
Audrey Bieme, présidente du comité d’organisation

Un élément essentiel du choix de la représentante du Cameroun pour cette ultime étape de la compétition est la pertinence de son projet écologique. Ce dernier devrait mettre un accent sur la protection de la nature.

C’est au soir du 19 février que la Miss Eco international Cameroun sera connue. Sa mission va se décliner autour de la lutte contre la pollution de l’environnement et la déforestation.

 

 

Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016 élue par le peuple

Julie Frankline Cheugueu

Chers « standers » qui me soutenez jour et nuit avant même le tournant historique du 30 juillet 2016 ; chères jeunes femmes camerounaises amies du même destin social ; chers jeunes frères camerounais protecteurs de votre nation ; chers ainés dans la construction d’un Cameroun debout et fier ; chers parents qui avez enseigné à vos enfants la dignité, la persévérance et l’innovation ; chers grands parents qui nous ont précédés dans la tanière Camerounaise et qui nous ont légué l’héritage des Lions Indomptables, des Lionnes Indomptables, c’est à chacun de vous que j’adresse cette lettre.

Le 30 juillet 2016, grâce à vos conseils stratégiques, grâce à vos encouragements, grâce à vos votes j’ai eu l’immense honneur d’être élue Miss Cameroun 2016. Une élection que j’ai accueillie avec beaucoup de joie et surtout beaucoup de sérieux car, j’avais compris alors que les Camerounais m’avaient choisi pour un but collectif, voire national et international. Ma seule et modeste personne n’était pas au centre de mon projet, mais c’est le Cameroun, le Grand Cameroun, les enfants et les femmes du Cameroun, c’est eux qui étaient, sont et seront toujours au centre de mon projet. J’ai tellement été honoré par votre élection que je ne pouvais que me donner en retour pour nos enfants, notre jeunesse et nos femmes. Un choix qui ne s’opposait pas aux missions régaliennes d’une Miss selon le «code de conduite» que le Comica m’avait fait signé à la veille du concours. Mais la roublardise juridique et le mensonge médiatique qui se sont tenus ce 26 janvier 2017 montre bien que le club du Comica sert ses propres intérêts et non celui du Grand Cameroun.

Je ne vous écris pas pour relayer ce que je considère comme un non événement. J’aimerai par-dessus tout vous réaffirmer ce que je vous avait promis le 30 juillet 2016 lors de ma prise de parole, ce que j’ai réitéré le 28 novembre 2016 dans mon communiqué de presse : je suis Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016 ; je ne serai devenue que peu de chose si je m’appuyais sur mon orgueil ; je ne serai devenue que peu de chose si je m’appuyais sur les ambitions mercantiles et immorales du Comica ; mais je suis devenue la femme que je suis parce que je m’appui sur tout un peuple. J’ai été choisi par les votes des Camerounais ; jusqu’à preuve du contraire, le Comica n’a pas démontré de manière irréfutable ce qu’il me reproche au point de me livrer une virulente vendetta et au point de prétendre me destituer d’une légitimité que je dois au peuple Camerounais. Cette attitude du Comica qui dure depuis plus d’une décennie ; cette attitude du Comica qui a emporté plus de cinq Miss Cameroun et de nombreuses dauphines qui, acculées, harcelées et meurtries ont baissé les bras et ont disparu de la face du peuple qui les avait élus ; cette attitude du Comica démontre qu’il existe un «petit Cameroun» et un «Grand Cameroun».

Le petit Cameroun c’est le groupuscule de quelques personnes qui, croyant qu’ils peuvent se jouer du peuple, se réunissent dans une petite salle, avec un petit nombre de personnes et de petites ambitions personnelles, afin de désigner une personne comme leur miss à eux.

Le Grand Cameroun c’est la foule immense des personnes qui ont fait le déplacement du palais de congrès le 30 juillet 2016 ; le Grand Cameroun c’est les millions de Camerounais qui ont voté ce jour-là ; le Grand Cameroun c’est les milliers de Camerounais qui soutiennent et accompagnent mes actions et mes projets au quotidien ; mais par-dessus tout, le Grand Cameroun c’est tout le peuple de Kolofata à Moloundou, de Bamenda à Yokadouma, et ce Grand Cameroun s’est choisi une Miss que personne ne peut lui retirer ; même pas moi-même.

Ainsi, par les man uvres du Comica, le trouble est semé dans notre nation. Je ne voudrais pas que vous soyez troublé, c’est pourquoi je vous dis tout ceci : il y a la miss du petit Cameroun que le Comica utilise comme étiquette commerciale tantôt ici tantôt là-bas pour les intérêts égoïstes de quelques personnes ; et il y a la Miss Grand Cameroun que le peuple appelle, accueille, envoie et soutien comme étendard citoyen et social pour aller jusqu’à Kolofata passer le nouvel an avec les familles victimes des affres de Boko-Haram et leur donner son temps, son amour et les dons du peuple.

Il y a la miss du petit Cameroun nommée par un comité de quelques personnes qui ont pris en otage l’avenir de jeune femme camerounaise, qui prétendent être seules législatrices et comptables de la moralité de la femme camerounaise et qui envoient à leur guise çà-et-là les miss et les dauphines pour des compétitions dont le crédit n’est compté que pour leurs seuls intérêts ; et il y a la Miss Grand Cameroun soutenue par le peuple, couronnée par les sourires et les soutiens du peuple parce qu’elle est une lionne indomptable, image d’une jeunesse camerounaise qui refuse que ses valeurs et son avenir soient confisqués par quelques individus rompus à l’appât du gain.

Il y a la miss du petit Cameroun qui veut simplement être miss pour elle et pour le Comica ; et il y a la Miss Grand Cameroun qui n’est Miss que pour que chaque jeune soit le changement qu’il souhaite, une Miss qui est Miss pour venir en aide aux enfants affaiblis, aux jeunes qui cherchent l’espoir et aux femmes abandonnées.

Et je voudrais vous le dire chers compatriotes, fans, amies de même destin social, frères protecteurs, ainés, parents et grands-parents : je ne lutterai pas pour l’insignifiant titre de miss petit Cameroun, car vous avez fait de moi la Miss Grand Cameroun. L’histoire retiendra que la Miss Cameroun élue le 30 juillet 2016 par le peuple, Julie Frankline Cheugueu, est devenue grâce à vous Miss Grand Cameroun ; couronnée par les soutiens du prend peuple et enveloppée de l’écharpe du Changement.

Le mouvement «Soyons le changement» que je porte a vu ses rangs grandir considérablement ces derniers mois. Cette association a été créée pour que mes compatriotes comprennent que chacun, avec le talent qu’il a peut aider les enfants affaiblis, les jeunes en quête d’avenir et les femmes abandonnées ; moi j’ai mis ma beauté extérieure et intérieure ; chacun peut y mettre le talent qu’il possède. «Soyons le changement» c’est la voix d’une jeunesse qui veut agir avec ses propres moyens et aider le Grand Cameroun à émerger. Cette association est portée par des Camerounais fidèles, courageux, talentueux et surtout humbles. Ils sont auprès de moi ici à Douala, ils sont à Yaoundé, Buea, Bamenda, Dschang, Maroua ; ils sont en Angleterre, au Maroc, aux USA, au Brésil, en Chine et plus encore. Ils ont cru en mois dès le début et se sont fédérés pour m’épauler et travailler avec moi. Nous travaillons en permanence, parfois 24 heures sur 24, pour un seul objectif, pouvoir apporter de l’espoir aux enfants affaiblis, à la jeunesse estudiantine et aux femmes affaiblis. Pour eux et pour vous, je dois continuer mon programme.

Après notre visite à Kolofata qui s’est très bien passé comme vous le savez, nous prévoyons organiser un match de gala à Douala à l’occasion de la journée mondiale du sport féminin ; un moment qui nous permettra également de parler du Cancer dont la lutte se commémore le même jour ; j’espère vous voir nombreuses et nombreux au Petit Terrain de Bonamoussadi, samedi le 04 février 2017 à 13h. Ce match servira aussi de cérémonie de lancement de la caravane de l’entrepreneuriat 2017 que nous préparons depuis décembre 2016 et dont le premier point d’arrêt se fera au cours de la semaine de la jeunesse. D’autres actions et d’autres projets sont déjà au programme et nous vous informerons à travers les médias que je remercie infiniment pour leur appui et la clairvoyance ; vous trouverez également mon agenda et le programme de Soyons le Changement sur ma page Facebook «Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016». Un site web est actuellement en construction et sera ouvert le 1er février aux adresses www.misscameroun2016.com et www.soyonslechangement.net, les deux pointant convergents vers le même site web.

Chers « standers » qui me soutenez sans relâche depuis le 30 juillet 2016 ; chères jeunes femmes amies du même destin social dans ce pays ; chers jeunes frères camerounais artisans de notre nation ; chers ainés dans la construction de ce Grand Cameroun uni, debout et fier ; chers parents et chers grands parents, pour vous et avec vous je continuerai ce projet de vie. Pour vous et avec vous je m’éloignerai des petites gens pour m’attacher aux grandes personnes que vous êtes toutes.

Femmes au foyer, jeunes assoiffés d’innovation et d’entreprise, Bayam-sellam, fonctionnaires, étudiants, lycéens, cultivateurs, artistes, habitants de nos villes et habitants de nos villages, anglophones et francophones, vous êtes le Grand Cameroun et moi, je continuerai d’être votre Miss.

N’attendons pas le changement, Soyons le Changement, Together we stand.

Fait à Douala le 28 janvier 2017
Julie Frankline Cheugueu, Miss Cameroun 2016


Droits réservés)/n

L’élection de la Miss Cameroun Sénégal c’est samedi

Cinq candidates seront en compétition au restaurant Yuma pour tenter de décrocher le titre de la plus belle Camerounaise résidant au Sénégal

La finale du concours «Miss Cameroun Sénégal 2016» se déroulera le 16 juin 2016 au restaurant Yuma sis au Point E, à Dakar la capitale sénégalaise. Cinq Camerounaises vont rivaliser d’adresse, d’intelligence, de beauté et d’élégance pour remporter la couronne promise au vainqueur.

Pour pouvoir participer à la première édition de ce concours de beauté, les candidates ont dû remplir sept conditions officielles, notamment, être de bonne moralité, parler les langues officielles du Cameroun, être belle, avoir une bonne allocution, être célibataire sans enfant, avoir 1 m 70 pieds nus et être naturelle (sans décapage).

Il s’agit de Mgba Akoumou Berthe Leslie qui réprésente la région du Centre, Samira Nsangou qui représente l’ouest du Cameroun, Sylvanie Bessong originaire de la région du Nord, Sharon Ngwenolla née dans le Littoral et Mbuyong Efon Florence la représentante du Sud-Cameroun.

Le programme de la finale prévoit entre autres activités des défilés, des prestations artistiques et un bal dansant.

Le concours Miss Cameroun Senegal est organisé par Donatela Epouhe Zogo, jeune styliste-décoratrice camerounaise. Il offre l’opportunité aux jeunes camerounaises vivant au Sénégal de représenter l’originalité culturelle du Cameroun. La lauréate de miss Cameroun Sénégal aura le privilège de promouvoir le Cameroun lors des différentes manifestations culturelles au Sénégal et participera à la grande finale de l’élection Miss Cameroun.


Droits réservés)/n

Maïté Boulet Ngando sacrée Miss Cameroun France 2016

Elle a été élue le 12 juin à Paris, en même temps que Ngale Éliane et Noupiple Ange-Flore respectivement première et deuxième dauphines

Maïté Boulet Ngando est la Miss Cameroun France 2016. Avec ses 1m72, la nouvelle reine de beauté dudit concours a été couronnée lors de la finale qui s’est tenue le 12 juin 2016 au Théâtre de l’Alhambra à Paris.

Maïté Boulet Ngando qui remplace Linda Betehe, élue en septembre 2015, est titulaire d’une licence en licence en événementiel et relation publique. Elle est arrivée en tête du concours devant Ngale Éliane, la première dauphine, et Noupiple Ange-Flore, la deuxième dauphine.

Maïté Boulet Ngando
Droits réservés )/n

Aubedatu Ibrahim élue Miss Cameroun Belgique 2016

La Jeune fille âgée de 22 ans et étudiante en Optométrie a porté la couronne de beauté lors de la finale du concours tenue le 09 avril 2016 à Bruxelles

La Miss Cameroun Belgique est enfin connue. Aubedatu Ibrahim Adija âgée de 22 ans a été élue le 09 avril 2016 au cours de la finale qui s’est déroulée à la salle Proximus sise à Bruxelles. Jessica Belle et Djomo Marie Ange ont également été désignées comme première et deuxième dauphines.

Aubedatu Ibrahim Adija, étudiante en optometrie, porte désormais la couronne en remplacement d’Audrey Franco, élue Miss Cameroun Belgique 2015.

Ce concours de beauté, organisé par le styliste Russel Ndengoue, a pour objectif de valoriser l’image de marque du pays à travers l’un de ses atouts charme, la femme camerounaise. Il est ouvert aux femmes résident en Belgique, qui possède la nationalité camerounaise ou dont un des parents en est originaire.

a
Groupe GPS France )/n

Vanessa Oben Maya, Miss Seme Beach 2014

La représentante de la région du Sud-Ouest a été élue «Reine des plages» le 11 mai dernier à Limbé, dans la cité balnéaire du Cameroun

Vanessa Oben Maya est la nouvelle Miss Seme Beach. Elle prend la couronne à Valérie Kesse Ayem qui avait remporté le sacre en 2013 lors de la cinquième édition de ce concours. Vanessa Oben Maya a été élue dimanche dernier à l’Hôtel Seme Beach de Limbe, dans le Sud-Ouest du Cameroun, devant Honorée Noah (première dauphine) et Jocelyne Mpouet Ebile (deuxième dauphine). La nouvelle « reine des plages », qui représentait la région du Sud-Ouest, est âgée de 21 ans, et mesure 1,75m. Elle fréquente dans la même région, au sein de l’Institut panafricain de développement de Buea, filière « Ressources humaines ».

La région du centre a occupé les deuxième et troisième places du podium. La première dauphine du concours de beauté, Honorée Noah, est âgée de 20 ans et étudie à l’Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (Esstic), de l’Université de Yaoundé II, filière « Communication des organisations ». La deuxième dauphine, Jocelyne Mpouet Ebile, qui vient également du Centre, est âgée de 23 ans et fréquente à l’École du personnel médico-sanitaire « La Rosière supérieure » de Yaoundé. Le Trio gagnant, d’après le quotidien Le Jour, « a été sélectionné parmi seize candidates retenues au terme des éliminatoires engagées dès le mois d’avril à travers les régions du Littoral, du Centre, de l’Ouest et du Sud-Ouest. »

La miss Seme Beach 2014 a été primée avec un chèque de 500.000 F CFA et de nombreux autres lots. Pendant une année, elle défendra un projet de valorisation du tourisme au Cameroun grâce à ce concours de beauté qui en était dimanche à sa sixième édition. Il est porté depuis 2009 par l’hôtel Seme Beach de Limbé.

La Miss avec ses deux dauphines
Hôtel Seme Beach)/n

Cameroun: La région du Nord a élu sa reine

Meleh Perpetue Laure est la nouvelle miss tourisme Nord. Elle a été élue vendredi 21 septembre 2012

C’est en présence d’un public venu nombreux vendredi 21 septembre 2012 à l’hôtel La Bénoué que s’est tenue l’élection de la miss et représentante de la région du Nord à la finale nationale de l’élection miss tourisme 2012. Présidée par l’épouse du gouverneur de la région du Nord, le jury avait le choix entre 10 candidates dont l’âge variait entre 17 et 25 ans. Les candidates élèves ou étudiantes pour certaines, ont été notées sur la base des critères suivants : la beauté physique, l’allure générale, l’originalité des tenues, la maîtrise de la langue et la culture générale. Chaque candidate avait droit à trois passages respectivement en maillot de bain, en tenue traditionnelle et en tenue de ville. Le quatrième passage étant consacré à la maîtrise de la langue et à la culture générale.

Au terme de deux heures de compétition où les candidates ont usé d’artifices divers pour s’arracher les faveurs du jury, c’est Meleh Perpetue Laure qui a été intronisée miss tourisme Nord 2012. Mariam Nawaibao et Kamro Blandine ont été respectivement désignées quant à elles 1ère et 2ème dauphines. Agée de 23 ans, Meleh Perpetue Laure a fait l’unanimité auprès des six membres du jury qu’elle a convaincue non seulement avec sa beauté physique mais également avec son niveau intellectuel. Parfaitement bilingue, c’est à elle que revient la lourde mission de hisser la région Nord sur la première marche du podium lors de la finale nationale le 27 septembre 2012 à Yaoundé face aux représentantes des neuf autres régions du Cameroun.

Organisée par la délégation régionale du tourisme et des loisirs pour le Nord, cette compétition intervient dans le cadre des activités marquant la célébration de la 33ème édition de la journée mondiale du tourisme qui aura lieu le jeudi 27 septembre sous le thème « Tourisme et énergie renouvelable : propulser le développement durable.» Après l’élection miss, samedi 22 septembre a eu lieu à l’avenue des banques une course de garçons de café. Ce lundi 24 septembre, il est prévu une excursion à la forêt communautaire de Nassarao, au jardin zoologique et au centre de biogaz de Laïndé.

Meleh Perpetue (au milieu) est la miss tourisme de la région du Nord Cameroun
Journalducameroun.com)/n

Miss monde 2012 est une chinoise

Miss Chine, Yu Wenxia, 23 ans, 1 m 77, a remporté le titre de Miss Monde face à 115 concurrentes à Ordos, une mégapole chinoise

Miss Monde 2012 est une étudiante de 23 ans qui voudrait devenir professeur de musique dans les années à venir. Le public, composé principalement de Chinois, a explosé de joie à l’annonce de la victoire de Yu Wenxia. «Lorsque j’étais jeune, j’étais très heureuse car de nombreuses personnes m’ont aidée, et j’espère qu’à l’avenir je pourrai aider d’autres enfants à être heureux», a déclaré Miss Monde 2012, qui portait une somptueuse robe bleue. Miss Pays de Galles, Sophie Moules, est arrivée en deuxième position, tandis que Miss Australie, Jessica Kahawaty, a terminé troisième. Miss Monde 2011, la Vénézuelienne Ivian Sarcos, a remis sa couronne à la nouvelle gagnante au cours d’une cérémonie organisée dans le stade Dongsheng de cette ville. Les Miss africaines sélectionnées représentaient l’Angola, le Gabon, l’Afrique du Sud, le Nigeria, le Kenya, la Tanzanie, le Sud-Soudan et la Côte d’Ivoire. Elles n’ont pas été sélectionnées parmi les 15 finalistes.

Le concours Miss Monde, d’origine britannique et dont la première édition remonte à 1951 et s’intitulait « Concours bikini », est en concurrence avec le concours américain Miss Univers repris par Donald Trump. La Suédoise Kiki Hakansson avait remporté le premier concours Miss Monde. En 1986, l’actrice américaine oscarisée Halle Berry avait été finaliste, et la star de Bollywood Aishwarya Rai avait été élue Miss Monde en 1994. L’histoire de cette compétition a parfois été douloureuse. En 2002, le concours avait été déprogrammé au Nigeria et transféré en Grande-Bretagne à la suite de la mort de 200 personnes dans des affrontements entre musulmans et chrétiens après qu’un journal avait écrit que le prophète Mahomet aurait choisi une femme parmi les candidates s’il avait été vivant.

Miss Chine, Yu Wenxia, 23 ans, est devenue miss monde samedi 18 août 2012
http://soirmag.lesoir.be)/n

Sonia Minkoe Moutche: «J’ai toujours rêvé d’être hôtesse de l’air»

La Miss Seme Beach 2012 fait le bilan de ses activités depuis son élection le 10 juin 2012, se prononce sur son mandat et ses ambitions

Le 10 juin 2012, vous avez été élue la plus belle fille de la plage Seme Beach, à Limbé pour l’année 2012. Pouvez-vous vous présenter de manière exhaustive?
Je suis effectivement Sonia Minkoe Moutcheu,Bamiléké de père, et Beti de mère. Concrètement, mon papa est de Bafang et ma mère d’Ambam dans la Vallée du Ntem. J’ai 21 ans et je suis étudiante en première année d’histoire à la Faculté des arts, des lettres et sciences humaines de l’Université de Yaoundé I.

En quoi ont consisté vos activités depuis votre élection ?
Depuis mon élection, je m’emploi à médiatiser le concept Miss Seme beach. Il y a des personnes qui n’étaient pas au courant de ce concept, et mes différents passages à la télévision, à la radio et dans les journaux me donnent l’opportunité d’expliciter le programme dans l’ensemble. J’ai aussi assisté à plusieurs événements. Comme par exemple ce vendredi 22 juin 2012, j’étais à l’avant-première du film Folle d’amour, à Douala. Globalement, mes activités sont résumées autour de deux axes. Faire connaître la miss Beach 2012, ainsi que l’hôtel Seme Beach.

Tout s’est-il passé bien jusqu’ici?
Oui, très bien dans l’ensemble. Je fais le maximum d’efforts pour atteindre mes objectifs. Je reconnais néanmoins que cela demande beaucoup d’énergie.

Quels sont les autres chantiers à court terme qui vous attendent ?
Je vais faire la promotion des sites touristiques du Cameroun, selon un agenda qui sera déterminé bientôt avec l’appui de l’organisateur du concours. Aussi, la vente de l’image de l’hôtel Seme. Faire la promotion de cet hôtel dans l’ensemble. C’est vrai que la 4e édition de miss Seme est déterminée, mais la 5e édition est déjà en chantier. Je vais contribuer dans la recherche des partenaires, pour que la prochaine édition soit plus courue.

Pouvez-vous nous énumérer quelques projets qui rentrent dans le cadre de votre mandat?
Mon projet phare est d’attirer beaucoup plus la clientèle à l’hôtel Seme. Ceci, afin de découvrir les merveilles dont regorge cet établissement qui est plus qu’un site touristique. Je pense à la plage, à la piscine naturelle, aux infrastructures sportives et surtout au spa qui est vraiment exceptionnel.

Vous êtes toujours étudiante à l’université de Yaoundé I, comment comptez-vous concilier vos activités de votre mandat avec vos études?
Pour l’instant, je suis libre. Mais, quand les cours vont commencer, on va d’abord privilégier les études bien entendu. Je vais consacrer mes week-ends aux activités relatives à mon mandat, mais en semaine, je me consacrerai à mes études. Donc, je vais privilégier mes études en tout cas, c’est la priorité.

Dans ce cas, les activités de votre mandat ne vont pas prendre un grand coup?
Je ne pense pas, puis que l’organisateur va tenir compte de mon agenda dans la programmation des activités. Donc les activités seront programmées en fonction de mon agenda.

Quel est le rêve de Sonia Minkoe ?
Etant toute petite, j’ai toujours rêvé d’être hôtesse de l’air. Maintenant, je ne suis plus sûre de le réaliser, car je vais virer en communication d’entreprises. Mon nouveau rêve est de faire carrière dans les relations publiques. Mais, je ne me suis pas encore décidée. Je dois discuter avec mes parents qui me soutiennent énormément dans ce sens.

Que pensez-vous du concept miss Seme Beach?
C’est un très bon concept à mon avis qu’il faudra pérenniser. Car, au-delà de la beauté, ce concept met beaucoup plus en avant l’aspect intellect. Je suggère seulement qu’on y ajoute la partie danse, pour que les candidates défilent en dansant. Il faudrait aussi qu’il y ait un peu plus de sponsors, pour donner une autre allure à l’événement et permettre pourquoi pas à ce que le défilé soit retransmis en direct sur les différentes chaînes de télévision nationale.

Etes-vous en contact avec vos deux dauphines?
Oui, nous nous voyons constamment. Puis que nous sommes dans la même ville, presque dans le même quartier.

Sonia Minkoe Moutcheu, « Miss Seme Beach 2012 »
JDC)/n

Côte d’Ivoire: L’appel à la paix de Miss Cameroun

Présente à l’élection de Miss Côte d’ivoire 2011, elle a voulu passer un message de paix à l’endroit des ivoiriens qui sortent de la guerre civile

Miss Cameroun 2011 a invité les ivoiriens à se réconcilier pour reconstruire leur pays dévasté par une longue période guerre civile. « Je demande aux Ivoiriens de s’unir, de s’accepter, d’oublier leurs différences. Car, ce sont leurs différences qui font de la Côte d’Ivoire ce qu’elle est. Et c’est cette différence qui fait de nous Africains, ce que nous sommes » a fait savoir Ngnangouet Sophie Christine (22 ans). Les mêmes v ux elle les a aussi formulés pour une Afrique qui doit aller de l’avant. «Je souhaite que le bonheur, la paix et la réconciliation soient dans votre pays et aussi dans toute l’Afrique. Notre Afrique veut aller de l’avant» a ajouté la jeune camerounaise. Son dernier propos enfin elle l’a adressé à l’endroit des martyrs. «Il y a des martyrs qui meurent pour que la démocratie prenne forme en Afrique. Pour eux, j’aimerais que nous priions pour que leurs âmes reposent en paix à chaque fois que nous invoquerons le nom de Dieu » a-t-elle terminé. Miss Cameroun à prononcé ces phrases dans la salle de la fondation Félix Houphouet Boigny à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne. Elle répondait à une invitation du comité d’organisation miss Côte d’ivoire. Avec Sophie, étaient présentes, Miss Congo 2010, Togo 2010, Cameroun 2011, Guinée 2011 et Miss Naïades 2010.

L’entraide entre peuples africains, c’est aussi cette raison qu’Ingrid Solange Amougou la promotrice de l’évènement Miss Cameroun a avancé pour justifier ce déplacement. « Spécialement pour cette édition de 2011, nous sommes venues pour soutenir M. Victor Yapobi et par rapport à la crise qu’il y a eu. Parce qu’entre nous, Africains, nous devons nous entraider. Et nous souhaitons que la paix règne et que le peuple oublie ce qui s’est passé. Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire », a-t-elle indiqué au site d’information Abodjanonline.net. C’est au mois d’août que Ngnangouet Sophie Christine 22 ans, a eu le titre de Miss Cameroun 2011. Elle succédait à Marie Barbara Matagnigni qui lui a remis elle-même la couronne. Après son élection, elle avait promis de se battre pour encourager les jeunes camerounais à participer aux élections. Pour l’instant, le bilan de la miss sur le processus des inscriptions n’est pas connu. On l’attendra encore sur le terrain du vote.

Ngnangouet Sophie Christine, miss Cameroun 2011
Bonabéri.com)/n

Miss Cameroun 2011: Encore une victoire de l’Ouest

Sophie Christine Ngnangnouet, 2e dauphine de la région de l’ouest, a succédé à Marie Barbara Matagnigni au terme d’une longue soirée de finale

Joies, pleurs, rires, mais aussi beaucoup de politique, le cocktail de l’élection Miss Cameroun 2011 aura été dense. Mais au final, c’est la beauté qui l’a emporté. Pour la deuxième année consécutive, c’est la région de l’ouest qui est à l’honneur. Et pour la deuxième fois consécutive aussi, c’est une deuxième dauphine qui est érigée au plus haut niveau de la beauté camerounaise. Ngnamgouet Sophie Christine était totalement en larmes. Sa victoire est avant tout, l’histoire d’une confusion heureuse. Elle est envoyée sur le podium comme troisième dauphine dans un premier temps. Le jury constate l’erreur en même temps que le public venu très nombreux. On la prie de quitter la scène, mais le meilleur restait à venir. Comme dans un souffle, son nom est prononcé une fois encore, mais cette fois au titre de Miss Cameroun 2011. C’est une grosse explosion de joie pour son fan club venu en grand nombre, et pour Sophie des larmes de bonheur, qu’elle avait du mal à contenir. Je suis pleinement satisfaite mais je dois dire que j’ai bénéficié du travail des meilleurs donc je ne peux qu’être satisfaite ce soir a-t-elle déclaré encore émue. Agée de seulement 22 ans, celle qui représente le nouveau visage de la beauté camerounaise, est étudiante en troisième année de droit à l’université de Dschang, située dans l’Ouest du pays. Elle a été choisie finalement, parmi 27 candidates. Les dauphines de Christine au nombre de quatre, sont de la quatrième à la première, Bengono Edith Thérèse Marie, première dauphine de la région du Sud, Choumkeu Badji Karel, la première dauphine de la région de l’Ouest, Esama Ngono Odile la miss région du Centre et enfin, Djohenda Tosi Raïssa, miss extrême nord.

Les délibérations auront été difficiles. plusieurs fois, Ingrid Solange Amougou, la promotrice du concept, va se rendre à la table du jury. Je voulais leur mettre la pression pour qu’ils se décident vite, il se fait déjà tard, comme vous pouvez le constater, va-t-elle se justifier plus tard. Mais en réalité, les standards d’organisation de ce type d’évènement l’interdisent. Après la désignation des dix finalistes, des contestations se sont fait entendre dans la salle. Certains n’ont pas manqué de crier à la manipulation des résultats. Cela est souvent arrivé, surtout avec Miss Cameroun. La confusion peut être d’autant plus grande que le présentateur de la soirée a annoncé que des personnes avaient eu la possibilité de voter par internet, en suivant soit la radio, soit la télévision. Le résultat des votants par SMS n’a pas été rendu, pas plus que le détail des observations du jury. Mais au-delà de la controverse, Sophie Christine semble s’imposer d’elle-même. Peut-être l’assurance caractéristique des juristes, peut-être alors tout simplement l’héritage génétique de sa beauté. Dans son programme, la jeune Sophie ne manque pas d’ambition. Je souhaite aller dans les coins les plus reculés du Cameroun pour demander aux jeunes de s’inscrire sur les listes électorales, afin qu’ils puissent décider du choix de leur dirigeant a-t-elle déclaré. Un projet que partageait toutes les candidates.

Sophie Christine Ngnangnouet,miss Cameroun (Au milieu)
Journalducameroun.com)/n

Miss Cameroun 2011: La gagnante est connue

Ngnangouet Sophie Christine succède à Marie Barabara Matagnigni

Ngnangouet Sophie Christine 22 ans, a emporté vendredi 05 août dans la soirée le titre de Miss Cameroun 2011. Elle succède à Marie Barbara Matagnigni qui lui a remis elle-même la couronne. Coïncidence des choses, comme son prédécesseur, Sophie a participé à la phase finale, après avoir été dauphine lors de la phase éliminatoire régionale. Elle est étudiante en troisième année de Droit, à l’université de Dschang, dans l’ouest du pays. Son crédo a-t-elle indiqué, militer pour un plus grand nombre d’inscription des jeunes sur les listes électorales, en vue des présidentielles prochaines.

Sophie Christine Ngnangouet,Miss Cameroun 2011
Miss Cameroun)/n

Qui sera la Miss Cameroun 2011?

Le jury de miss Cameroun devra choisir entre 22 candidates ce vendredi 5 août pour remplacer Marie-Barbara Matagnigni, miss Cameroun 2010

Elles sont une vingtaine de candidates qui seront en compétition. L’élégance, le courage, le dynamisme, le naturel, l’intelligence mais surtout la beauté seront les critères de sélection pour ce concours qui s’annonce « très serré». « Jeunesse camerounaise et citoyenneté » tel est le thème de cette édition qui n’a pas été choisi par hasard. La particularité de cette édition est qu’elle intervient en année électorale : La présidentielle, qui est dans notre système politique la « mère » des élections. Cet évènement majeur dans la vie de notre pays a inspiré le thème de miss Cameroun 2011 confie Ingrid Solange Amougou, présidente du Comité d’Organisation de Miss Cameroun (COMICA). Comme innovation, le Comica a initié une chorégraphie baptisée « Passage électoral ». C’est pour sensibiliser les jeunes à éviter la violence après l’élection présidentielle de cette année. En plus, en partenariat avec un sponsor, le public pourra prendre des photos avec la miss Cameroun 2010 et celle de 2011. Un podium est prévue à cet effet et les cartes photos seront remises gratuitement. Une autre particularité qui n’est pas à négliger c’est la sortie d’un single dans lequel on retrouve l’hymne de miss Cameroun. Les artistes, à leur manière ont voulu célébrer la beauté camerounaise en chanson. Ne voulant pas dire avec exactitude les prix que recevront les élues (la miss et ses dauphines) faute de manque de sponsoring, madame Solange Amougou a relevé qu’elle a fait de son mieux, elle souhaite que l’évènement se déroule pour le mieux. Excepté certaines candidates, tout est enfin prêt pour une soirée inédite candidates du Nord ne se sont pas déplacées à cause du ramadan qui a commencé. Certaines ne pouvaient pas tenir à cause du rythme du travail. Nous sommes prêts à 90%. déclare Joli Mike Behalal, le directeur artistique du Comica. Le rendez-vous est donc pris pour ce soir pour savoir qui remplacera Marie-Barbara Matagnigni mais une chose est sûre toutes ces filles ont toutes la même intention: Gagner.

Liste des finalistes.
1. Marcelle Natacha Nambe Adda, 1ère dauphine Est : 1m76, 20 ans, étudiante en 2ème année psychologie à l’Université de Yaoundé I.
2. Sophie Christine Ngnangouet, 2ème dauphine Ouest : 1m75, 22 ans, étudiante en 3ème année droit à l’Université de Dschang.
3. Odile Prudence Essama Ngono, Miss Centre : 1m77, 22 ans, étudiante en master I en relations internationales à l’Iric.
4. Odette Appolonie Amougou Mfegue, prix spécial du jury Centre : 1m72, 27 ans, étudiante en cycle doctorat en droit à l’UCAC (Université Catholique d’Afrique Centrale).
5. Linda Njie Limunga, 1ère dauphine Sud-ouest : 1m70, 18 ans, étudiante en 1ère année droit à l’Université de Buéa.
6. Sandrine Aboh, Miss Nord-ouest : 1m80, 22ans étudiante en DEA droit à l’Université de Yaoundé 2.
7. Edith Thérèse-Marie Bengono, 1ère dauphine Sud : 1m85, 20ans, étudiante en 3ème année au CUSS.
8. Carine Fri Fon, 1ère dauphine Nord-Ouest : 1m78, étudiante en master II en banque et monnaie à l’Iric.
9. Marie Corinne Engando, 2ème dauphine Centre : 1m77, 21ans, étudiante en 1ère année droit à l’Université de Yaoundé II Soa.
10. Mack Louise Mileine Essangui, Miss Littoral : 1m72, élève en classe de terminale A4 espagnol.
11. Elone Cynthia Emode, Miss Sud-ouest : 1m75, 20ans, étudiante en 2ème année Economics à l’Université de Buéa.
12. Marie-Noëlle Houma, 1ère dauphine Adamaoua : 1m72, 24ans, 2ème année sociologie.
13. Jeannine Linda Alima Epee, 2ème dauphine Littoral : 1m72, 20ans, élève en classe de terminale A4 espagnol.
14. Annita Mponge Njume Apang, 1ère dauphine Sud-ouest : 1m75, 20ans, étudiante en 1ère année marketing à l’ESSEC.
15. Elvis Renée Nter Maviane, Miss Sud : 1m75, 24ans, étudiante en 4ème année droit linguistique africaine à l’Université de Yaoundé 1.
16. Karel Choumkeu Bandji, 1ère dauphine Ouest : 1m87, 19ans, étudiante en 2ème année droit, Université de Yaoundé II.
17. Raïssa Djohenda Tosi, Miss Extrême-Nord : 1m83, 21ans, étudiante en 3ème année biologie, Université de Ngaoundéré.
18. Emilie Fotsa Mbouya, Miss Ouest : 1m73, 20 ans, étudiante en 2ème année Marketing à l’UCAC.
19. Dorice Lolita Mboam, Miss Est : 1m76, 20ans, étudiante en 2ème année Allemand à l’Université de Yaoundé I.
20. Blanche Melling Mballa Ndiang, 1ère dauphine Centre : 1m81, 19ans, étudiante 2ème année biologie végétale, Université de Yaoundé I.
21. Larissa Belise Djapa Nkwecheu, 2ème dauphine Sud : 1m77, 21 ans, 2ème année sciences économiques, de l’Université de Yaoundé II.
22. Charlotte Justine Moukouri Ndomé, 1ère dauphine Littoral : 1m72, 20ans, étudiante en 2ème année management à l’Université Catholique de Buéa.

Qui remplacera Marie-Barbara Matagnigni, miss Cameroun 2010?
Journalducameroun.com)/n

Cameroun: La finale de miss Seme Beach 2011 aura lieu le 21 mai à Limbé

La phase des présélections nationales s’est achevée ce 14 mai 2011, à Yaoundé

Miss de la plage Seme Beach
La compétition s’est déroulée au cabaret Ponce Attitude, en présence de l’équipe d’organisation de ce concours de beauté conduite par Yann Anoko, le directeur général de l’hôtel Seme Beach. Comme lors des étapes précédentes, le menu est quasi identique. Passage des candidates avec les tenues homologuées, maillot de bain puis tenue de soirée, puis appréciation du jury présidé par l’ancien animateur de la CRTV, Cyrille Bojiko. Les candidates sont évaluées sur la base de trois critères, notamment la présentation (8 points), l’expression (6 points), la démarche (6 points), pour un total 20 points. Au terme d’un défilé d’environ une heure, les trois candidates de la capitale politique ont été retenues. Elles seront accompagnées de neuf autres filles pour prendre part à la finale du concours miss Seme Beach qui se tiendra le 21 mai prochain, dans les locaux de l’hôtel Seme à Limbé: « Le paradis de l’eau ». L’étape de Yaoundé marque ainsi la fin de la phase de présélection de ce grand concours, le second plus grand du pays, après Miss Cameroun. C’est la ville de Buéa, dans le Sud-Ouest du pays, qui a ouvert le bal. L’autre grande ville du Sud-Ouest, Limbé, a suivi, avant que Douala, dans le Littoral, ne prenne le relais. Les présélections du concours miss SEME Beach édition 2011, pour la ville de Douala se sont déroulées samedi 07 mai 2011. C’est la piscine de l’hôtel Royal Palace à Douala, qui a accueilli les 38 candidates venues des villes de Douala et de Limbé. Elles étaient âgées de 18 ans à 25 ans. Le jury était présidé par les opérateurs culturels Lumbu Mossongo alias Fonfana, et Casandra. Glamour, sensualité et volupté étaient au rendez-vous de la phase de présélection des Miss Seme Beach de Douala, édition 2011, le concours des Miss de la plage de l’hôtel du milliardaire Seme Noungon. Le casting a démarré à l’hôtel Royal Palace à Bonabéri, par les inscriptions des jeunes candidates qui pour la plupart faisaient leur premier pas dans le domaine de la mode grâce à ce concours.

Valorisation de la beauté estudiantine
Miss Seme Beach est une trouvaille de Yann Anoko, le directeur général de l’hôtel Seme Beach, situé à onze kilomètres de Limbe, sur la route d’Idenau. Le concept vise à valoriser la beauté féminine, surtout estudiantine. Car la majorité des candidates qui se présentent chaque année, est constituée d’étudiantes des universités de Douala, Buéa et Yaoundé. Le concours existe depuis 2009. L’année dernière, c’est Joyce Mbassa, étudiante en troisième année sociologie à l’université de Buea, qui a été sacrée Miss Seme Beach. Après son couronnement, l’étudiante rêve de devenir Top Model. « C’était pour moi une belle expérience, je pense que j’ai muri. Aujourd’hui je sais mieux parler aux gens, je sais mieux m’exprimer, je sais mieux approcher les gens, je sais mieux être sociable avec les personnes parce que à Seme Beach Hôtel j’ai plein de monde intéressant, plein de VIP », confie-t-elle. Miss Seme Beach est l’Ambassadrice de l’hôtel Seme. « Donc à chaque fois qu’il y’a des évènements à l’hôtel Seme, elle se présente, elle aide le staff à faire certaines choses. Je pense que c’est exactement ça, c’est une ambassadrice de l’hôtel Seme », ajoute-elle. L’étudiante est d’ores et déjà prête à remettre la couronne à celle des filles présélectionnées à l’issue des castings nationaux qui va lui succéder.

Quelques candidates lors de leur passage devant le jury de miss Seme Beach
Journalducameroun.com)/n

Narcisse Ngassa, fondateur du Mis Me Binga nous fait un feed back du festival

«Dieu m’a permis de créer ce festival et seul lui sait pourquoi il m’a choisi et non quelqu’un d’autre»

Pourquoi un homme à la tête d’un festival de films de femmes?
Comme j’ai l’habitude de le dire, il n’y a rien qui soit propre aux femmes d’une part et aux hommes d’autre part, en dehors de ce que Dieu nous a donné gracieusement et gratuitement. Il n’y a pas un monde de femmes d’une part et d’hommes d’autre part. Qu’on arrête de penser que c’est une femme qui devrait diriger le Mis Me Binga. Que ce soit une femme qui soit à la tête du Festival ou non, les objectifs resteront les mêmes. D’aucuns disent : « le Mis Me Binga est une affaire de femmes et par conséquent, il devrait être normalement dirigé par une femme ». Je souligne dans cette phrase le mot NORMALEMENT. Du coup J’ai envie de poser la question de savoir : qui est ce qui établi les normes ? Et bien retenons que le Mis Me Binga promeut les uvres de femmes et par extension les femmes luttent pour la liberté et l’égalité. Et pour faire ce travail, il n’y pas que les femmes. C’est une affaire de tous. C’est à croire qu’un homme n’occupera jamais le poste de ministre de la Promotion de la femme ou alors de ministre des Affaires sociales. Il n’y a pas de ministère pour femmes d’une part et pour hommes d’autre part. Les femmes doivent aussi accéder aux postes les plus importants de la nation. Gérer le pays est une affaire de tous. Celle ou celui qui a les aptitudes, les potentialités, les capacités et les compétences nécessaires doit pouvoir gérer. Alors je suis Délégué Général du Mis Me Binga ou si vous voulez Directeur artistique du Mis Me Binga, fondateur du Mis Me Binga et je le resterai. Dieu m’a permis de créer ce festival et seul lui sait pourquoi m’a choisi et non quelqu’un d’autre.

Pourquoi Bachou Silla n’a-t-elle pas presté à la soirée de clôture comme initialement prévu?
L’absence de Bachou Silla nous à tous mis en rogne. Nous avons discuté avec son manager deux semaines avant le démarrage du Festival et celui-ci nous a confirmé la venue de Bachou Silla. C’est d’ailleurs pourquoi nous l’avons programmé au Festival. Et trois heures avant le lancement de la cérémonie de clôture, nous avons une fois de plus rappelé ledit manager qui nous a une fois de plus confirmé la présence de l’artiste. Mais quelques minutes plus tard il nous envoie des « Call me Back» aussitôt nous l’avons rappelé et il nous annonce que Bachou Silla est en déplacement et qu’elle ne pourra pas être présente dans les heures qui suivent. Choqués, nous avons pu avoir Bachou Silla au téléphone qui nous a informés qu’en réalité son manager venait juste de lui dire qu’elle était programmée au Festival. Ceci n’est en aucun cas notre faute. Mais j’attribue ceci au manque de professionnalisme de son manager.

Parlez nous du festival Mis Me Binga
Le Mis Me Binga, est le festival International de films de Femmes de la sous région Afrique Centrale. C’est une plate-forme d’échange, d’expression, et de promotion des uvres cinématographiques faites par les femmes du monde en général et du Cameroun en particulier. L’objectif du festival est de promouvoir la créativité des femmes en provenance du Cameroun, d’Afrique et du monde entier, d’établir ou de faciliter une mise en réseau entre les femmes cinéastes de différentes parties du monde, d’utiliser le cinéma pour aborder les questions de la violence, l’inégalité, la discrimination et d’autres problèmes liés aux droits des femmes et l’égalité des sexes. En outre, permettre aux cinéphiles camerounais et ceux d’ailleurs, de se faire une idée synoptique de la vie en société vues par les femmes et de découvrir par ailleurs, les préoccupations les plus pressantes de la société et l’évolution d’un monde en perpétuelle mutation telles que perçues par les femmes.

Félicité Wouassi et Gérard Essomba étaient absents pourtant cette édition leur était dédiée. Que s’est-il passé ?
Il n’était plus question que Félicité Wouassi vienne au festival, car la rubrique rencontre qu’elle devait animer a été annulée pour des raisons budgétaires. Et la venue de Gérard Essomba était dépendante de celle de Félicité Wouassi, puisque les deux ont joué dans un même Film : RUE PRINCESSE d’Henri Duparc et on voulait les mettre ensemble pour la circonstance. Toutefois, nous n’avons pas changé de marraine. Une marraine reste une marraine même si elle n’est pas présente au Festival, il n’en demeure pas moins qu’elle reste la marraine de cette 2ème édition du Mis Me Binga.

Narcisse Wandji Ngassa, fondateur et directeur artistique du Mis Me Binga
Journalducameroun.com)/n

Il y a eu quelques problèmes au niveau du prix du documentaire. Qu’en est-il exactement?
Les membres du jury (Jean- Marie Mollo, Véronique Mendouga, Martine Quentric, Yoham Kahana, Peguy Kahana, Ndlr) ont refusé de décerner le prix du meilleur documentaire, car ils ont estimé que les documentaires soumis à leur appréciation ne méritaient pas ce prix. Ils évoquent la faiblesse et le manque véritable de recherche documentariste. Le Mis Me Binga étant donc un festival de renommée international, il vaut mieux ne pas décerner certains prix qui pourront ternir l’image de marque du festival.

Qu’est-ce qui explique le bouleversement des programmes notamment le film d’ouverture? Est-ce une mauvaise organisation?
Le programme a été modifié car le distributeur du film en question (Les épouses d’Allah, de Nathalie Assouline ndlr), après qu’il a su que nous voulions le film nous a demandé 350 euros soit 229250 FCFA pour diffuser ce film. Nous nous sommes mis en négociation puisque le film déjà était vieux (2007). Mais après le visionnage des films qui devaient passer au festival, nous avons découvert un autre film : « Encore elles» qui est un film français qui retrace la lutte des femmes en France et tous les acquis de cette lutte, qui nous parle aussi de l’origine du 8 mars. Ce film nous a donc semblé plus intéressant. Et il était gratuit. Alors nous avons arrêté les négociations et avons programmé le film « Encore elles». Toute organisation est flexible. Vous pouvez à tout moment modifier un programme lorsque les éléments ne sont pas réunis.

Quel bilan faites-vous de cette 2ème édition? Les objectifs ont été atteints?
Malgré l’absence de la marraine, nos invités se sont régalés. Les films ont été diffusés dans les délais. La programmation a été respectée. L’atelier de formation (« quand l’idée devient un film » ndlr) organisé en marge du festival s’est bel et bien tenu, les gens venaient regarder les films, même si nous aurions aimé avoir encore plus de monde, Les journalistes nous ont assisté jusqu’à la fin et j’en profite pour leurs dire merci. Alors au vu de ceci, je peux dire sans risque de me tromper que le bilan est positif, l’objectif a été atteint et mes impressions ne peuvent être que bonnes. Rendez-vous l’année prochaine pour un nouvel épisode.


Journalducameroun.com)/n

Cameroun: L’actualité culturelle de la semaine en bref

Cinéma de femmes, concert et exposition meubleront votre semaine.

Festival International de Films de Femmes (Mis Me Binga)
Le Festival International de Films de Femmes est de retour sous le thème « cinéma et libertés ». Pour sa 2ème édition, le festival devient pleinement international avec plus de 80 films représentatifs de tous les continents. Chaque soir, des projections en plein air dans divers quartiers de Yaoundé compléteront les projections en salle.
Mardi 8 mars, 19h 00 : Cérémonie d’ouverture au Goethe Institut, Yaoundé
Mercredi 9 au vendredi 11 mars, 16h 00 : Projections au Goethe Institut, Yaoundé
Samedi 12 mars, 19h 00 : Cérémonie de clôture au CCF, Yaoundé

Concert Otu Bala jah
Il sera en compagnie de son clan bABa. Comme d’habitude. Avec son talent immense qu’il dissimule derrière son faux air de garçon timide, ce sera la première fois qu’il preste à Douala. Du bon reggae au menu, ainsi que des chansons de son 1er album « Ceinture serrée » qui date de 2009. Le point focal de ce show sera la présentation de son 2ème album « Yaddis reggae ». Venez le découvrir en exclusivité, le jeudi 10 mars 2011 au CCF de Douala. Ya man !!

Franklin Aleba Mokala en apéro
Avez-vous déjà écouté du lokua Kanza ou du Salif Keita ? Eh bien ce jeune artiste n’en n’est pas très loin. Avec sa voix roots, le son du balafon, des percussions, des flûtes pygmées et de sa guitare, il nous renvoie à l’essence même de la musicalité africaine. Aleba Mokala produit une musique moderne, dans laquelle acoustiques et sonorités traditionnelles s’unissent à merveille. Il sera en apéro-concert le samedi 12 mars dès 19 heures sur la terrasse du CCF de Douala.

CinéMboa : Not my will
Séduite et attirée par la richesse de Simon, Nalo, jeune étudiante mène une vie de haut standing avec ce dernier sans savoir la source de cette richesse. Après la découverte de la provenance de la fortune de Simon, Nalo décide de l’humilier en public. Chose que celui-ci n’acceptera pas. Un film de Wagmuler Efokoa, à voir le samedi 12 mars au CCF de Douala.

Franklin Aleba Mokala
Journalducameroun.com)/n

Beauté: Baran Agang Olive, 20 ans, est la Miss jeunes Cameroun 2011

Elle a accepté de nous parler de sa participation à cette compétition et aussi de ses ambitions

Vous avez été élue Miss jeune 2011 le 11 février dernier, quel a été votre sentiment lorsqu’on a prononcé votre numéro comme étant celui de la gagnante ?
Lorsqu’on a prononcé mon numéro j’étais très surprise, parce qu’il faut avouer que la concurrence était rude. Le jury je l’imagine a eu beaucoup de difficultés à se prononcer, parce qu’après bien évidement il y a eu beaucoup d’avis divergents, et donc vous voyez je ne peux être qu’heureuse parce que cela n’aura pas été facile. J’ai d’ailleurs un peu pleuré, j’avais du mal à contenir ma joie.

Qu’est ce qui selon vous, a fait pencher la décision du jury en votre faveur ?
Je dirai que l’aspect de moi qui m’a démarqué des autres c’est que je suis restée naturelle. Les autres je me l’imagine un peu était très concentrées ce qui pouvait les crisper alors que moi je suis restée moi-même et je pense que cela a dû marquer le jury. Dans ma tête effectivement je n’étais pas venue pour gagner à tout prix mais d’abord et avant tout pour me faire le plaisir d’une aventure différente. Je pense donc cela a dû plaire au jury d’avoir une candidate comme moi qui ne se prenait pas la tête, après il faut dire qu’il est souverain et que cela reste difficile à expliquer.

Est ce que vous aviez déjà une expérience de ce genre d’évènement, concours de beauté ou défilé de mode ?
Oui j’ai débuté il y a quelque peu avec l’association Frankie Créa, j’ai fait quelques défilés pour eux cela fait moins d’un mois. C’est par la suite que je me suis intéressée au concours de beauté Miss jeune Cameroun, j’ai pu être sélectionnée parmi les 24 finalistes et puis voila au final j’ai été élue.

Un mot sur vous pour nos lecteurs.
Je suis étudiante à l’école supérieure de sciences de gestion des entreprises à Yaoundé. Je suis âgée de 20 ans, je suis une fille assez simple et plutôt agréable à vivre, j’aime faire régner la bonne humeur, je ne me prends pas trop la tête. Malheureusement, je n’ai pas de petit ami alors qu’on fête les amoureux.

Quelque chose a changé ? Ou rien du tout ?
Je n’ai pas changé; c’est juste que je porte aujourd’hui un titre, mais je reconnais que le regard des gens a changé. On me reparle de ce concours et bien sûr cela fait énormément plaisir ; mais en même temps cela m’inquiète un peu. Je crains aussi les situations où je pourrais attirer de mauvaises intentions.

Quel est votre avis sur l’organisation du concours ?
C’est vrai que pour les concours de beauté, il y a toujours des histoires pas très positives, parce que sans doute ceux qui sont entrés les premiers dans l’organisation ont été convaincus de gestion peu transparente ou pas claire. Je n’en sais rien, mais pour ce qui est de l’organisation du concours auquel j’ai participé, je suis assez satisfaite de la manière dont les choses ont été faites. Le concours miss jeune Cameroun me semble géré par des gens honnêtes, qui savent ce qu’ils font, et où ils vont. Tout au long du concours j’ai relevé que leur souci était de mettre constamment la jeune fille camerounaise en avant. A aucun moment je n’ai eu l’impression que ce sont plus leurs intérêts qu’ils poursuivaient. Il ne m’a pas semblé qu’ils voulaient nous exploiter ; ou bien pour les autres, profiter de la circonstance pour nous faire des avances je trouve à mon niveau qu’ils ont été corrects.

Qu’avez-vous gagné finalement en participant à ce concours ?
La première chose que je pense avoir reçu c’est une assurance et une confiance en moi encore plus grande. De nature je suis assez discrète. Parler devant des gens et même marcher devant le public n’étaient pas facile pour moi jusqu’ici. Mais là je surmonte déjà bien cette difficulté. C’était la première fois que je participais à ce type de concours. Il est vrai que déjà comme mannequin, j’assistais à de nombreux défilés ; mais jamais je n’avais été obligée de sourire devant les gens, marcher devant eux sachant qu’ils me regardaient. Donc j’ai dû surmonter cela et c’est un grand apport pour moi. Ensuite, l’ambiance dans les vestiaires était bonne. Avec les autres candidates il y a un esprit de groupe qui est né et qui m’a beaucoup touché. Je garde un bon souvenir de toutes les autres filles, on s’est soutenues mutuellement et c’était bien. Et évidemment, il y’a eu des cadeaux matériels promis.

A quoi vous servira cette couronne? C’est quoi votre plan d’action?
Je me suis proposée de mener mon action sur le terrain de la lutte contre la corruption. A propos de la corruption je réalise qu’elle est devenue un fléau pour toutes les tranches d’âge et donc les jeunes aussi. Donc en ma qualité de miss jeune cameroun je pense que mon principal défi sera de sensibiliser les jeunes sur la question de la corruption. Je souhaite donc profiter de mon nouveau statut pour influencer les jeunes à avoir à l’esprit qu’ils ne doivent pas ériger la corruption en règle.

Comment comptez vous vous y prendre pour faire comprendre aux jeunes votre message?
D’emblée, je ne peux rien faire en dehors du cadre de l’association dont je suis un membre. Là nous sommes en train de travailler sur la question de façon plus pragmatique. Et c’est avec eux que je vais arrêter notre plan d’action. Nous espérons que nos sponsors qui nous ont soutenus jusqu’ici, continuerons à nous soutenir sur ce deuxième volet. Mais effectivement au-delà de cet accompagnement, je pense qu’il est important de parler aux jeunes. Je crois que mieux et plus on informe, et plus on a des chances que le message passe. Maintenant on va structurer tout cela et on le mettra en forme avec l’association pour une action plus efficace.

Un mot pour terminer
Je vais remercier une fois encore l’équipe des organisateurs de ce concours de l’opportunité qu’ils m’ont offerte et surtout des moments que j’ai vécus et aux jeunes comme moi je dirais il faut qu’on se prenne en main, c’est difficile, c’est vrai mais il faut d’abord faire le tour de notre part de responsabilité avant de voir ce que les autres doivent faire pour nous.

Miss Tourism Queen of the year: La beauté camerounaise honorée

Essouma Marie Cécile Olga la représentante du Cameroun a terminé première africaine et 7ème mondiale

Meilleure beauté africaine, 7ème au classement général
Pour la beauté camerounaise c’est une grande première. Marie Cécile Olga représentant le Cameroun était restée la seule représentante de l’Afrique centrale. Elle a remporté samedi, 25 septembre 2010 en Chine, le titre de Miss Tourism Queen of the Year for Africa. Elle occupe aussi le rang de 7ème mondial, dans une compétition remportée par une coréenne. Une grande joie pour cette jeune camerounaise pour qui arriver à ce niveau de compétition était déjà un grand succès. Elle était une des favorites du jury, mais le vote des internautes lui a fait défaut, a indiqué une des organisatrices de l’évènement. Tout au long de la compétition apprend-t-on, la candidate du Cameroun aura marqué par sa capacité à s’adapter et surtout à comprendre les autres. Dans son équipe technique, on dissimule mal sa fierté. C’est une très bonne prestation, nous ne nous attendions pas à arriver à ce niveau de la compétition et je peux dire aujourd’hui que je suis fière de Cécile, mais je dois admettre qu’elle nous ouvre une porte. Avec elle, nous pourrons mieux préparer les prochaines candidates et certainement nous aurons un jour une candidate à la plus haute marche, a déclaré Armstrong Loga, le manager de Marie Cécile. La Camerounaise figure ainsi dans le cercle fermé des 10 filles les plus jolies des destinations touristiques dans le monde. Avoir une miss tourisme Afrique, c’est plus qu’un exploit affirme pour sa part Gaspard, l’un des formateurs de Marie Cécile Olga. C’est en effet la première fois, qu’une Camerounaise arrive à ce niveau de compétition pour un concours international de beauté. Olga pour sa brillante prestation a obtenu le prix de la meilleure performance en tant que reine de beauté.


Journalducameroun.com)/n

Un honneur pour le Cameroun
Sa victoire réjouira bien de personnes au Cameroun, mais aussi en Afrique centrale. Car pour Cécile elle était avant tout la candidate de sa sous-région d’origine. Je suis la seule représentante de l’Afrique Centrale, je dirai même de l’Afrique francophone. Bien sûr on a un peu peur parce que si ça marche c’est trop génial, sinon, en ma qualité de première participante, les personnes se souviendront de notre piètre performance et là du coup je ressens plus de pression, avait-t-elle déclaré dans une précédente interview. La bonne prestation de Marie Cécile Olga est aussi une victoire pour les concours de beauté au Cameroun. À seulement 24 ans, la jeune camerounaise avait déjà choisi de servir son pays. Elle devrait poursuivre avec ses cours à l’Ecole normale supérieure de Yaoundé, où elle a été admise. Aucune date n’a encore été fixée pour son retour. Dans son entourage, on affirme que c’est pour bientôt. Lorsqu’on fait partie des 10 premières comme c’est le cas pour elle, les filles font de nombreuses séances photo, pour les souvenirs ou pour des médias partenaires nous a fait comprendre Armstrong, son manger. Au ministère du tourisme, on ne s’est pas encore officiellement prononcé sur le sujet, le ministre étant en déplacement. Marie Cécile avait été élue miss tourisme Cameroun 2008. Un titre qui lui avait ouvert la voie de la compétition internationale.


Journalducameroun.com)/n

Cameroun: La plus belle fille de la région de l’Adamaoua est connue

Mlle Halimatou Djobdi est la perle rare dénichée à l’hôtel Mentong Palace de Ngaoundéré

L’élection Mis tourisme est un événement biennal qui se déroule en prélude à la célébration de la journée internationale du tourisme. Pour la 31e édition qui se célèbre le 27 septembre de l’année en cours, le processus de désignation est déjà enclenché à travers les dix régions du Cameroun. L’Adamaoua a aussi sacrifié au rituel en choisissant une ambassadrice qui portera désormais l’étendard de ses activités touristiques.

Ce lundi 2010 à l’hôtel Mentong Palace de Ngaoundéré, il est 18 heures 30. La salle des fêtes est pleine et le gouverneur de la région fait son entrée, malgré la forte pluie qui s’abat sur la ville. Après les formalités protocolaires, notamment le mot de bienvenue du délégué régional du ministère du tourisme, M. Alim Garga, le gouverneur de l’Adamaoua a pris la parole pour exhorter les membres du jury à faire taire leurs relents tribaux et régionalistes afin de faire prévaloir le maximum de transparence, d’objectivité et d’impartialité. Il a également saisi cette occasion pour demander aux candidates de faire preuve de fair-play et de responsabilité. S’en est suivie la présentation des huit présélectionnées au public avant le début du défilé proprement dit. Celui-ci s’est déroulé en trois passages entrecoupés par des intermèdes musicaux, des play-back et des sketches donnés par des artistes de renom de la région tels que Aminatou Oualé, Sélangaï, Beloko ou encore les groupes Danata et Zala Zulu.

Le premier passage qui a tout de suite annoncé les couleurs de la manifestation s’est déroulé en maillot de bain, le second en tenue traditionnelle et le troisième en tenue moderne. Après une longue période de délibération, c’est finalement à 22 heures et 15 minutes que le président du jury Me Tchakoua va prendre la parole pour donner lecture du procès-verbal de délibération. Sur les huit présélectionnées, le jury va jeter son dévolu sur Mlle Halimatou Djobdi comme Miss tourisme Adamaoua 2010. Elle remplace ainsi à ce poste Mle Simo Fotso Nadine qui a su rehausser de sa présence l’éclat de toutes les manifestations touristiques dans l’Adamaoua pendant deux ans. C’est donc à Mlle Halimatou Djobdi qu’incombera désormais la lourde responsabilité de représenter la Région de l’Adamaoua au concours national à Yaoundé le 27 septembre prochain.

Les couacs de l’organisation
L’élection de Miss tourisme Adamaoua 2010 qui était initialement prévue pour 15h a été décalé pour 19h à cause de la forte pluie qui s’est abattue à Ngaoundéré. A classer également au rang de ces désagréments, les multiples ratés de la sonorisation qui ont choqué plus d’une personne, artistes et invités. Aussi à déplorer, le niveau intellectuel de certaines candidates. Comment comprendre par exemple que des candidates qui avaient toutes au moins le niveau de la classe de Terminale ne soient pas en mesure de définir le sigle  »CEMAC »?; de citer les régions limitrophes de l’Adamaoua? De situer des sites touristiques de renom comme le parc de Waza ? Comment comprendre que certaines d’entre elles ne soient pas en mesure de citer les cinq chefs-lieux de la région dont elles prétendent être des ambassadrices? Toutes choses qui laissent croire que beauté et intelligence ont bien du mal à se côtoyer. En tout cas, le public est resté sur sa soif lors de cette phase oratoire et a fait savoir sa désapprobation à certains moments. Vivement donc que Mlle Halimatou Djobdi puisse travailler d’arrache pied occuper une place honorable à Yaoundé le 27 septembre prochain.

Le couronnement de Miss tourisme Adamaoua
Journalducameroun.com)/n

Miss Tourism International: Quelles chances pour le Cameroun?

Marie Cécile Olga fait partie de la trentaine de finalistes du concours de beauté qui se déroule actuellement en Chine

Le Cameroun a une candidature sérieuse
Le Cameroun a de sérieuses chances d’occuper une bonne place à l’occasion du concours international de beauté, Miss Tourism International Queen qui se déroule actuellement en Chine. J’étais un peu crispée à mon arrivée, surement à cause de la fatigue du voyage, mais maintenant je suis dans le bain et j’ai eu le temps de rencontrer les autres candidates et je prends de plus en plus confiance en moi, a indiqué Mengue Essouma Marie Cécile Olga, la représentante du Cameroun. En compétition avec 36 autres candidates de plusieurs pays du monde, Olga pour ses proches croit pouvoir occuper une place plus qu’honorable. A 24 ans, la jeune camerounaise qui est élève à l’école normale supérieure de Yaoundé affirme avoir déjà tout gagné, à ce stade de la compétition. J’ai toujours rêvé de pouvoir représenter mon pays, je me rappelle qu’à un moment, je voulais faire commerce international, là j’ai une occasion de parler du Cameroun déjà dans le cadre de l’organisation avec les autres candidates et aussi j’apprends beaucoup de cette participation, a déclaré Olga. Sa qualification pour cette finale, elle l’obtient lors d’une présélection qui s’est déroulée à Athènes en Grèce. Nous étions très nombreuses et j’étais bien évidement ravie d’être retenue affirme Olga. Dans l’entourage de la candidate camerounaise, on reste confiant, mais on évite de prendre la grosse tête. C’est une première participation d’une miss Camerounaise à un tel niveau de compétition, donc logiquement pour nous cette participation est déjà en elle-même une victoire. Sur les chances d’Olga, je pense qu’elle a du potentiel, cela fait deux ans que nous la préparons pour cet évènement et sans aucune prétention, nous pensons pouvoir être logiquement dans les cinq premières, affirme Armstrong Loga, le responsable de Mégane Fashion International, l’agence camerounaise de Mannequin qui encadre Olga depuis quatre ans. Mais sans le soutien inconditionnel du ministère du tourisme, qui a beaucoup aidé et a soutenu cette présence camerounaise en Chine tout cela n’aurait pas été possible, affirme Monsieur Loga. Miss Tourisme International ou Miss Reine du Tourisme International est l’un des plus grand concours international de beauté en termes de participantes. Il est organisé chaque année en Chine depuis 2004.

Une réelle opportunité pour la beauté et le tourisme camerounais
Les candidates représentent des pays mais aussi et surtout des destinations touristiques. La candidate camerounaise avait été choisie en 2008, lors du dernier concours miss tourisme au Cameroun. Au-delà du registre mondain dans lequel on inscrit souvent ce type d’évènement, la participation à de tels évènements est d’une importance considérable pour les pays représentés et les organisateurs. Pendant longtemps le Cameroun n’a pas su tirer profit de cette opportunité parce que pour une première participation, nous sommes en finale, alors que de nombreux pays n’ont jamais réussi à se hisser à ce niveau, fait savoir Armstrong Loga. Pour le Manager général de Megan Fashion international, être une Reine de beauté c’est plus qu’une mondanité, c’est un mode de vie, parce qu’après on devient un modèle pour les jeunes générations, c’est pourquoi chez nous, nous insistons sur la qualité de l’éducation des filles, a-t-il ajouté. Les organisateurs du concours invitent à l’optimisme. Comme candidate, elle est assez constante et a réussi à s’intégrer avec les autres, ont-ils assuré. La grande soirée de remise des prix a lieu ce 25 septembre au stade de Qinzhou en Chine. Les responsables de Mégane fashion International ont promis d’organiser une conférence de presse ce Samedi, pour informer la presse de l’évolution du Cameroun à cette compétition. Ce qui fait le succès des autres pays, c’est parfois leurs médias. Plus une candidate est soutenu par les médias de son pays plus les juges sont sensibles à sa candidature, a fait savoir un expert des compétitions internationales de beauté. Pour Olga Cécile Marie, être en Chine c’est déjà une grosse victoire. Nous étions près de 120 en Grèce et là nous ne sommes plus que 37, c’est trop important pour moi; bien sûr je serais ravie de l’emporter et d’être la reine de la beauté touristique dans le monde, pour moi déjà, mon entourage qui me soutient énormément et pour mon pays le Cameroun que j’adore a-t-elle dit pour conclure.

La réprésentante du Cameroun au premier plan à droite
Journalducameroun.com)/n

Cameroun: La miss supranational 2010 demande un droit de réponse

Destituée après son élection, la jeune femme a organisé une conférence de presse pour donner sa version des faits

Je n’ai pas triché sur ma taille
Estelle Crescence Essame, la gagnante déchue du concours Miss Supranationale, a organisé ce lundi 5 juillet 2010, une conférence de presse pour présenter des documents comme preuves contre les allégations des responsables qui l’ont destitué. Apres cet épisode, la presse a fait choux gras de ce scandale en dévoilant à la face du monde le linge sale de l’évènement. J’ai été traitée de tous les noms, et souillée affirme la jeune femme. Dans son point de presse, elle a commencé par dénoncer les titres accusateurs des médias qui s’en sont «donnés à c ur joie de ses déboires». Elle a cité textes à l’appui, les allégations qu’elle juge fausses de plusieurs média dont Le Messager, Mutations, le quotidien national Cameroon Tribune, ainsi que un enregistrement radiophonique d’une radio privée. Elle a également présenté sa CNI et son récépissé où est mentionné «1m71». Des pièces qui datent d’avant l’introduction du concours au Cameroun, voulant ainsi prouver qu’elle n’a pas établi ce document juste pour participer à l’évènement et améliorer certains avantages. La jeune lauréate a aussi dévoilé avoir joint au téléphone M. Sama Ndango, l’organisateur qui réside à Londres. Celui-ci a d’abord affirmé ne pas être au courant de la destitution, puis a fini par affirmer qu’elle n’avait pas la taille exigée pour prétendre au concours. Estelle affirme aussi qu’elle s’en est requise auprès de la WBA qui d’après ses déclarations à elle n’a jamais reçu de photos de la finale du Cameroun. Ils ne seraient pas informés des troubles qui ont surgis et ne se reconnaissent pas dans les exigences de 1m70 requises aux candidates. Estelle a par ailleurs révélé quatre profils d’autres candidates à l’instar de la représentante du Pays de Galles qui mesurent 1m68 et est finaliste pour le sacre en la Pologne en août prochain.

Le problème
Selon les organisateurs responsables du concours Estelle Essame n’aurait pas la taille requise pour prétendre au titre et représenter le Cameroun en Pologne. D’après Silva Ebelle l’un des responsables de l’agence Isango, la WBA exigerait une taille minimum de 1m70 et Estelle Essame n’aurait que 1m67. La WBA aurait reçu les photos de l’élection et émise des doutes quant à la taille réelle de la lauréate. Il affirme donc qu’Estelle Essame aurait triché sur sa taille. Les organisateurs locaux affirment eux, que s’ils ont acceptée Estelle Essame pour la course c’est parce qu’ils se fiaient aux inscriptions de 1m71 marquée sur la Carte Nationale d’identité (CNI) de cette dernière. Silva Ebelle affirme qu’ils se sont rendus dans un commissariat pour procéder à la vérification. Le certificat de toise (un instrument qui permet de mesurer la taille) a rendu son verdict, et établi qu’Estelle Essame avait une taille de 1 m 67, donc inéligible pour le concours. Nous avions disqualifié plus de 120 candidates qui avaient moins de 1,70m requis. Nous avons la chance d’avoir une licence au Cameroun (parmi les quatre licences octroyées à l’Afrique) pour organiser ce concours. Il faut donc que nous l’organisions dans l’intégrité et la vérité. Si par extraordinaire, elle réussissait à passer à travers nos mailles, la candidate, une fois à Varsovie en Pologne, passe une première épreuve à l’aéroport: la toise. Elle devait donc être rapatriée immédiatement au Cameroun, a précisé Silva Ebelle

Miss Supranational, un concours de beauté international
Il est à ce stade difficile de savoir ce qui s’est réellement passé. Estelle Essame affirme ne rien comprendre à tout cela. La jeune fille dit avoir été hospitalisée. C’était très dur tout ce qu’on a dit sur moi dans les médias précise-t-elle. A ses yeux, les raisons d’un tel droit de réponse résident dans le fait que le Cameroun ne doit pas être souillé par de tels individus qui doivent adopter des comportements responsables et ne plus rouler les autres dans la farine. Miss Supranational International est un concours de beauté organisé chaque année et coordonné par la WBA (World Beauty Association). Pour une première au Cameroun, l’édition nationale a été organisée sous la coordination de M. Sama Ndango, un opérateur culturel basé au Royaume uni. Muni d’une licence d’agrément pour quatre pays dont l’Afrique du Sud, l’Angola et le Nigeria Sama Ndango a la charge d’élire des représentantes nationales qui devront concourir pour le sacre mondial en août de chaque année. Pour l’édition 2010 du Cameroun, la Mora Moda Ltd s’est entourée de partenaires dont l’Agence de Marketing et d’événementiel ISANGO Cameroun pour la gestion de l’élection dans son ensemble.

Estelle Cresecence Essame, miss Supranationale lors de son point de presse
Journalducameroun.com)/n

Cameroun: Mme Christelle Ndongo revient sur le concept du concours Miss Afrique

«Le Comité international Miss Afrique (CIMA) est une entreprise familiale qui veut s’étendre à l’international pour le développement et la paix»

En votre qualité de coordonnatrice, parler nous de ce concept Miss Afrique?
Pour être honnête, ce sont des cousins et des frères qui ont commencé, l’aventure par une idée toute simple de créer quelque chose qui s’appelle Miss Afrique parce que ça n’existait pas encore. Ils se disaient que cela peut apporter beaucoup à l’Afrique qu’il y ait une Miss élue par tous les continents. Ils ont démarré leur affaire. Ils ont obtenu les autorisations et moi je les ai rejoints plus tard. Depuis cinq années, nous évoluons de la sorte. Le concept est un titre donné à la gagnante de l’élection du même nom et du label Miss Afrique détenue par le Comité international Miss Afrique qui est une association de droit camerounais. Il permet de faire comprendre que Miss Afrique ne dévalorise pas la femme. Parfois, la conception de l’événement peut être mal perçue. Une Miss d’un pays ou d’un continent a des objectifs qui sont précis. Ce n’est pas une belle femme avec une tête vide. C’est une belle femme qui a un travail et des objectifs à atteindre sur la scène internationale.

Est-ce que vous pouvez revenir sur la dimension familiale de votre entreprise au regard des ambitions internationales que vous visez?
Miss Afrique a d’abord été conçu au sein d’une famille. La famille l’a fait grandir comme on le ferait avec un bébé. Aujourd’hui cet enfant appartient au monde. C’est ce que je veux faire comprendre à travers cette dimension familiale. Maintenant, je ne voudrais pas que cela reste un événement africain, mais que ce soit un événement international à portée universelle. Je voudrais que les gens se reconnaissent entièrement dans ce concept Miss Afrique. Quelque soit l’endroit du monde où l’on se trouve.

Expliquez-nous le choix du thème «Afrique, cultures (beauté) et développement»?
L’événement intègre en son sein l’idée que la dimension culturelle représente un atout majeur et incontournable dans le processus du développement de l’Afrique. C’est pourquoi l’on a retenu ce thème. Le comité international Miss Afrique entend mener un combat pour la reconnaissance d’une Afrique positive, noble et prestigieuse. A cet effet, la candidate élue qui défendra nos valeurs pendant un an sera à juste titre le porte-parole du continent africain.

Quelles sont les difficultés par lesquelles vous êtes passées?
Il y en a eu. Car pour réunir cinquante Miss, c’est beaucoup de déplacements. C’est une énorme logistique. Mais grâce à notre travail et au ciel, nous y sommes arrivés. Nous avons eu des difficultés quelques fois administratives, mais heureusement, l’Etat camerounais nous a accordé son soutien. Cela nous a permis d’être là. La plus grande difficulté aujourd’hui, c’est de faire reconnaître Miss Afrique comme un évènement continental et international. Les gens ne connaissent pas encore le concept. C’est le challenge que nous nous donnons.

Est-ce que ce n’est pas parce que la manifestation a été repoussée deux fois?
Cette décision collégiale a été prise à l’initiative du président du comité international Miss Afrique, car les partenaires que nous avions à l’époque ne nous offraient pas des garanties du succès que nous étions en droit d’espérer. Nous avons choisi de reculer pour mieux sauter. Le mieux pour nous est de repousser un évènement plusieurs fois pour mieux le mûrir. Ce qui a été fait.

C’est quoi le concept de Miss de la diaspora?
Dans certains Etats africains, par rapport à la culture à la religion, l’on refuse qu’il y ait des élections de Miss. C’est là l’une des grandes difficultés, car il y a des jeunes filles qui aimeraient se présenter. Nous avons obtenu que certains de ces pays autorisent leur diaspora à organiser une élection de Miss qui représentera le pays en question à l’élection Miss Afrique. Pour nous, c’est un encouragement. Je remercie les différents gouvernements de ces pays. Nous avons pu leur faire comprendre que le concept même de Miss Afrique ne dévalorise pas la femme.

Un mot sur la fondation Miss Afrique?
C’est une structure que nous souhaitons mettre sur pieds après la première édition. Pendant une année, il y a une Miss qui agit. Il ne faudrait pas qu’après cela le travail accompli disparaisse avec elle. En aval du travail accompli, nous souhaitons qu’il y ait donc cette fondation qui perpétue cette entreprise et pousse la Miss en avant. C’est très ambitieux, je le reconnais.

Est-ce que vous êtes satisfaite du chemin parcouru?
Oui, car je me rends compte que c’est un projet qui aboutit. Il nous apportera beaucoup, non seulement au Cameroun, mais également à l’Afrique toute entière et au monde entier. Pour moi, c’est une grande fierté d’avoir pu participer à ce projet international.

Qui est Christelle Ndongo?
Je suis une jeune dame camerounaise qui a fait ses études au Cameroun, puis à Nice. J’essaie d’imprimer mes marques dans le monde. J’ai une famille normale. J’ai fait des études en sciences économiques. Je crois en ce que je fais et j’essaie de me donner les moyens d’y parvenir. Malgré les peines et les soucis, j’essaie d’aller de l’avant. Mon projet est de réussir le projet Miss Afrique.

Christelle Ndongo, la coordonnatrice du concours Miss Afrique
Journalducameroun.com)/n

Marie Barbara Matagnigni est la nouvelle miss Cameroun

Elle a été choisie parmi 21 candidates le week-end dernier à Yaoundé

C’est à 3H du matin, le 11 avril 2010, que la gagnante du concours Miss Cameroun a été connue. Marie Barbara Matagnigni, âgée de 19 ans, étudiante en deuxième année de Droit et deuxième dauphine de la région de l’Ouest est la Miss Cameroun 2010 et succède donc à Anne Lucrèce Ntep. Elle a reçu sa couronne de Rosette Mboutchouang, invitée d’honneur et mère de Chantal Biya, la Première dame du Cameroun. Contrairement aux éditions précédentes, le choix a été fait entre 21 finalistes contre 12 lors des précédentes éditions. Les 21 finalistes étaient représentatives de sept régions du Cameroun, un découpage correspondant aux premières subdivisions territoriales du Cameroun.

La finale a débuté aux environs de 21 heures au Palais des Congrès de Yaoundé avec la présence de nombreuses stars avec notamment un hommage rendu à Marc Vivien Foé et à Julienne Honorine Eyenga Ayissi, Miss Cameroun 1960.

Ingrid Solange Amougou, la présidente du Comité d’organisation de Miss Cameroun explique le rôle dévolu aux reines de beauté. « Miss Cameroun c’est l’intelligence et la beauté au service des victimes de la vie: maladie, violences faites aux femmes et aux handicapés, enfants abandonnés, émigrés, maux qui minent la jeunesse », dit-elle. Celle qui a relancé ce concours en 2002, après plusieurs années de passage à vide, explique que la miss « défendra l’image de notre pays dans des concours de beautés internationaux. Je pense à Miss Naïdes, Miss Fespam, Miss Afrique centrale, Miss Africa Queen et d’autres, où d’autres Miss Cameroun se sont déjà distinguées».

Première dauphine: FARYHA OUMMOUL, Miss Grand Nord: 22ans, 1m80, 2ème Année Histoire Des Relations Internationales.

Deuxième dauphine: NNANGA ATCHAM MURIELLE, Miss CENTRE, 20ans, 1m80, 2ème Année Gestion Université Catholique d’Afrique Centrale

troisième dauphine: ARIMBANA ASSAMBA PAULINE JOELLE, 2ème Dauphine CENTRE, 24ans, 1m70 2ème Année Sociologie Université de Yaoundé I

Miss Cameroun 2010
Journalducameroun.com)/n

La représentante du Littoral pour l’élection Miss Cameroun est connue

Mbassa Joyce Thellma et ses deux dauphines ont été élues samedi 06 mars à Douala

Mbassa Joyce Thellma, ainsi se nomme la Miss Littoral 2010. Elle a été élue ce samedi 06 mars 2010 à l’occasion de la finale régionale qui avait pour cadre le St John’s Plaza de Douala. Elles étaient quinze au départ, et à l’arrivée, trois ont été retenues. Elles représenteront la région lors de la grande finale nationale prévue le 10 avril prochain au Palais des Congrès de Yaoundé. Mbassa Joyce, 23 ans, aura à ses côtés Jacqueline Irène Pierrette Ndombo, 20 ans, comme 1ère dauphine, et Mbonde Edouke Nadège, 23 ans, 2ème dauphine. Un choix n’a pas été facile pour le jury, constitué entre autres d’un journaliste, d’un universitaire, d’un publicitaire et d’un membre du Comité Miss Cameroun (COMICA).

En plus des familles, amis et connaissances des différentes candidates, la cérémonie s’est déroulée en présence des représentantes de quelques régions du pays, notamment de l’Ouest, du Nord ouest de du Nord. Roger Mboué Mboué, Directeur général du COMICA s’est dit «réjouit du déroulement de la cérémonie. L’étape de Douala est une étape cruciale pour nous et qu’elle se déroule bien, nous ne pouvions pas souhaiter mieux». Désormais tous les regards sont tournés vers le Centre, où la finale régionale se tiendra le 20 mars prochain. Ce sera la dernière étape avant la finale nationale qui réunira 21 ambassadrices de beauté du pays autour du thème «la beauté du cinquantenaire». Actualité oblige. D’où la présence annoncée à cette finale nationale, de Madame Julienne Honorine Eyenga Ayissi Miss Cameroun 1960. Les candidates de cette 7ème édition seront chapotées par Anne Lucrèce Ntep, Miss Cameroun 2009 qui en transmettant sa couronne devrait également, si l’on en croit le Secrétaire général du COMICA Dénis Omgba, recevoir les clés de son véhicule, qu’elle aurait dû recevoir le soir de son élection. A noter que c’est cette dernière qui représentera le Cameroun à l’élection Miss Afrique dont la première édition est prévue le 27 mars 2010 au Palais des sports de Warda à Yaoundé. Par ailleurs, l’on apprend toujours de Dénis Omgba qu’«en plus d’un véhicule, la Miss Cameroun recevra la somme d’un million de Fcfa et de nombreux autres lots des différents partenaires et sponsors».

Qui sera la miss ?
Journalducameroun.com)/n

Le Cameroun accueillera la première édition de l’élection Miss Afrique

L’évènement se tiendra en mars prochain au palais des sports de la ville de Yaoundé

C’est au Hilton hôtel de Yaoundé que vont résider pendant près d’un mois, les quarante ambassadrices de beauté qui vont prendre part à ce concours. Quarante filles venues du même nombre de pays africains aussi bien du Maghreb que de l’Afrique du sud, anglophones et francophones. Derrière cet évènement que l’on annonce inédit sur le continent, se cachent de grands noms. Tout d’abord, Chantal Biya, première dame du Cameroun, qui en assure le patronage. Ensuite, Michel Le Parmentier, président de l’Association internationale des concours de beauté pour les pays francophones, qui a longtemps chapeauté les concours Miss France, Miss Monde, Miss Univers et autres. Bref, la carrure et toute l’expérience nécessaire pour la réussite du projet Miss Afrique.

Autre nom, tout aussi respectable que les autres, la maison Endemol, productrice de la Star Académy ou encore de Secret Story. C’est dire tout le sérieux qu’il y a autour de ce gros projet, en gestation de puis « presque cinq ans » à en croire l’organisation. Et depuis tout ce temps, les acteurs du projet travaillent, ficèlent des contacts, pourchassent de potentiels partenaires et annonceurs, en vue de la production de ce que Michel Le Parmentier appelle « une sorte de coupe d’Afrique des nations de beauté », prévue du 22 au 27 mars 2010 simultanément au palais des sports de Warda et au stade omnisports Hamadou Ahidjo où auront lieu des expositions durant toute la semaine.

Un dur défi technique
C’est d’ailleurs le plus gros problème, expliquait Le Parmentier à l’occasion du lancement officiel. Sans doute ce qui explique le report à plusieurs reprises de la date de l’évènement. Initialement prévu en novembre 2009, il a été reporté à février 2010, avant de se voir fixé la nouvelle date de mars 2010. «C’est surtout à cause du format de l’élection» se justifie Michel Le Parmentier, «elle se présente telle qu’on la conçoit au niveau européen ou même mondial comme Miss France ou Miss Univers, parce que Miss Afrique sera un peu l’alter ego de ces élections internationales sur le continent africain» poursuit-il.

A noter qu’il y aura aussi une grosse émission de télévision en direct qui sera retransmise dans les 40 pays concernés et même à l’étranger. «On est obligé de s’adapter à la télévision locale et surtout d’apporter le matériel complémentaire pour booster le système audiovisuel africain. Il y a une grosse logistique à apporter ici au Cameroun. Environ 30 tonnes de matériel». Les techniciens d’Endemol ont déjà effectué des repérages techniques et décoratifs, et une nouvelle équipe de réalisation devra concevoir le décor, le conducteur et le déroulement de la soirée au palais des sports, soirée à laquelle l’on annonce entre autres Yannick Noah, Samuel Eto’o, Zinédine Zidane, Thierry henry, et aussi la star américaine Béyoncé.

Conditions de participation
L’inscription à ce concours continental est fixée à 1.500.000 Fcfa, ce qui fait dire à Michel Le Parmentier que «le plus important, c’est d’inviter pour une première fois, les pays à participer en payant les frais de chaque candidate». Autre condition, être la Miss nationalement élue dans son pays. Pour les pays qui ne font pas d’élections Miss pour des raisons religieuses, politiques ou autres, ils pourront selon Michel Le Parmentier «avoir une Miss élue par leur diaspora française, comme c’est le cas par exemple de Miss Angola ou encore Miss Soudan».

La gagnante repartira avec ses lots, soit une voiture, et 50 millions de Fcfa, le soir même de l’élection, rassure le comité d’organisation. Elle représentera l’Afrique au concours Miss Monde et Miss Univers. L’évènement Miss Afrique est une occasion pour les pays africains et en particulier le Cameroun qui en détient d’ailleurs la licence, de présenter leurs multiples atouts culturels aux yeux du monde entier.

Michel Le Parmentier
Journalducameroun.com)/n

Une française d’origine camerounaise reine des Modèles

De père camerounais, Eméné Nyamé a été élue miss Model of the World qui s’est récemment déroulé en chine

Sacre français, camerounais et algérien
Pour représenter la France lors de la 21ème édition de cette compétition, Géneviève de Fontenay, la patronne du concours Miss France, a choisi Éméné Nyamé, une jeune fille de 20 ans française de nationalité, mais née d’un père camerounais et d’une mère algérienne. Miss Model of the world est une élection internationale de miss, au même titre que Miss Monde ou Miss Univers, avec un degré inférieur de prestige. Cependant, il fait l’objet d’un casting très élevé. La jeune Éméné a été élue dans la nuit du jeudi 26 novembre 2009, à Shenzhen, en Chine, au terme de trois semaines d’une rude sélection. Cela faisait douze ans qu’une Française n’avait pas remporté ce titre. Le choix de la française d’origine camerounaise par Généviève de Fontenay avait surpris plusieurs habitués du milieu de ces évènements. Élue Miss Flandres en 2008, elle n’avait pas réussi à faire partie des 12 finalistes de l’élection de Miss France 2009, qui avait vu la consécration de Chloé Mortaud en décembre 2009.

Pourtant recalée à l’élection Miss France
Je n’ai pas compris pourquoi elle n’était pas au moins dans les douze finalistes de miss France l’an dernier, regrette Geneviève de Fontenay, dont les experts français de la mode et de la beauté ont été obligés de reconnaître le flair. Il se dit déjà qu’elle ne manquera pas d’en faire la remarque à la production de miss France, qui désigne ces finalistes, avant le vote final du jury et du public, et qui avait écarté Éméné du titre. Sa victoire est d’autant plus réjouissante, qu’elle a remporté sa couronne, devant Derya Ximen (2ème), Miss Turquie et Iulia Galichenko (3ème) Miss Ukraine, deux pays où les femmes sont réputées être très jolies. Elle aura été couronnée devant près de 60 candidates, représentant toutes leurs pays. L’aventure est trop belle pour la jeune femme âgée de 20 ans pour 1m82. Il y a deux mois, elle rendait son écharpe de miss, pensant reprendre sa vie d’étudiante entre l’IUT de Roubaix et Bouvignies (près d’Orchies), où elle a grandi.

La miss et ses deux dauphines
melty.fr)/n

Un retour est-il prévu au Cameroun d’origine?
Elle est la quatrième française à remporter ce titre, après Kao Arden (1989) Céline Cassagnes (1992) et Caroline Lubrez (1997). La première édition de l’élection Miss Model of the World a eu lieu en 1988 à Istanbul en Turquie. Depuis cette date, le pays a abrité 12 fois l’évènement. C’est depuis 2004 que la Chine a pris le relais. Une fois, l’évènement a fait un tour en Finlande. Quant à la jeune Eméné, elle rêve d’être mannequin. Elle pourrait retourner régulièrement en Chine. Elle doit terminer ses études a déclaré sa maman qui on peut l’imaginer est fière de la victoire de sa fille. Dans une semaine, Éméné sera à Nice pour coacher Aline Bourgeois (Flandres) et Astrid Ponchel (Artois-Hainaut). Reste une seule chose à savoir ; fera-t-elle un tour au Cameroun pour remercier ses ancêtres pour les jolis traits qu’ils lui ont légué? La question ne devrait pas manquer de lui être posée.

Miss Flandres 2008
melty.fr)/n

Miss USA Afrique: Le Cameroun valablement représenté

Pour cette 5e édition, 11 candidates camerounaises préselectionnées

La cinquième édition de Miss USA Afrique est lancée. Cet événement de bienfaisance, fournit une plate-forme pour les jeunes femmes africaines vivant en Amérique. Et leur donne l’occasion de présenter leur talent, leur beauté, leur intelligence et la culture de leurs terres mères. Le concours s’ouvre à 53 filles de chacun des 53 pays qui composent le continent de l’Afrique. Ce sont les femmes originaires d’Afrique et habitant en Amérique. Le Cameroun est donc présent au rendez-vous et ne manque pas de porter aux yeux du monde entier ses beautés pures et dures.

Pour cette édition, 11 candidates camerounaises sont préselectionnées. Il s’agit de Mirabelle Toh, Okawa shaznay, Olive Eko, Odile Nyake Eyoum, Liengu Abong-Litumbe, Christelle Mengue, Anne Kengne, Tatiana Fetgo, Sherade Anagho, Miracle Edison et Lum Fube Mais une seule d’entre elles aura l’honneur de représenter la terre chérie qu’est le Cameroun. Elle affrontera alors ses s urs africaines pour la finale. Elles vivent toutes aux Etats- Unis d’Amérique. L’année dernière, c’est la Danielle Franckie Fochivé qui a défendu les couleurs du Cameroun. Mais la couronne a été ravie par la Sud africaine Nysha Zimucha.

Crée en 2004 par Kate NJEUMA, d’origine camerounaise de l’ONG African Women’s Developpement Foundation (AWDF), Miss Afrique USA est une vitrine culturelle du patrimoine africain dans les États-Unis d’Amérique. C’est une occasion unique de parole pour l’Afrique, la sensibilisation sur les questions pertinentes concernant le continent et comment américains et les amis de l’Afrique peuvent aider faire la différence en Afrique. Cet événement a pour mission de projeter une image positive de l’Afrique. L’AWDF redéfinit l’image de la femme africaine en tant qu’un chef et acteur essentiel dans le développement de l’Afrique et du monde. Fonctionnant sous les directives du développement des femmes africaines, et ses organismes de charité de filiale, cette organisation permet à la reine élue et aux 53 autres participantes de participer aux projets identifiés tels que : l’accèss croissant aux soins de santé, à l’éducation sanitaire et à la maladie de combat ; l’accès croissant à l’éducation ; lutter pour les droits des femmes et des enfants. C’est une plateforme non-politique et non-partisane poussant les jeunes femmes à découvrir leur beauté intérieure en réalisant leurs buts humanitaires dans la vie et en créant une base forte comme chefs du futur. Les candidates et la miss élue sont considérées comme ambassadrice de bonne volonté pour l’Afrique. Mais surtout, elles auront droit à de nombreuses primes en nature et en dollars.

Les internautes camerounais ont l’occasion d’élire leur représentante sur le site officiel www.missafricaunitedstates.com

Les photos des camerounaises en galerie photos bientôt sur votre site.

Quelques candidates camerounaises
Journalducameroun.com)/n

Cameroun: Bassock Paule Véronique, l’ouverture du c ur et… le charme royal

Elle a été élue première dauphine à l’élection de la miss campus 2009 de l’université de Ngaoundéré

En fait de beauté, Mlle Bassock Paule Véronique en est une. 1.67 m pour 64 kg, elle a été la première dauphine lors de l’élection de la miss campus 2009 à l’Université de Ngaoundéré. Sa versatilité rêveuse, son sens de l’analyse minutieuse, Mlle Bassock Paule Véronique est de celles là qui observent beaucoup et qui parlent peu. Et c’est justement dans ce suspens intérieur, dans cette distance cachée qu’elle puise les ressources de son extrême sociabilité, en même temps qu’elle sonde la scène primitive, son enfance et son jardin secret.

Née le 15 juillet 1987 à Nkwen Bamenda dans la Région du Nord-Ouest Cameroun, elle a fait ses études primaires à l’école publique de Djackbol II de Ngaoundéré où elle a obtenu son CEPE en 1999. Elle entre ensuite au Collège Protestant (COLPROT) de Ngaoundéré où elle a fait de la sixième en terminale. Comme parchemins, elle décroche son BEPC en 2003 alors qu’elle est élève en classe de première, le certificat de probation en 2005 et le baccalauréat de l’enseignement secondaire un an plus tard. J’avais les tableaux d’honneur chaque année de la sixième en terminal martèle-t-elle. Ce qui lui a d’ailleurs valu plusieurs distinctions: prix de la meilleure dissertation littéraire lors de la célébration de la semaine de la francophonie 2004; vainqueur du concours de l’élève modèle organisé par son établissement; distinction lors des jeux FENASCO organisés en 2006 à Ngaoundéré… Des consécrations qui seront réaffirmées plus tard par un prix spécial de l’excellence scolaire Coca Cola offert par les brasseries du Cameroun en 2007.

Paule Véronique Bassock
Journalducameroun.com)/n

Mlle Bassock Paule Véronique est actuellement étudiante en histoire, deuxième année à l’Université de Ngaoundéré. Et comme on peut le constater, les mérites et les ambitions de cette jeune fille bassa sont nombreux.

Sur le plan spirituel, Mlle Bassock Paule Véronique est une fidèle catholique, elle fait d’ailleurs partie des Communautés Ecclésiales Vivantes (CEV) et est membre de la chorale Sainte Cécile de l’Aumônerie Saint-Martin du CIFAN du diocèse Ngaoundéré. Son amour pour la chanson vient de la pousser à intégrer un groupe de jeunes chanteurs dénommé Africanza’a.

Mlle Bassock Paule Véronique raffole la banane et les mangues qui sont ses fruits préférés. Et comme nourriture la plus prisée, le riz à la sauce d’arachide.
Avec la bonne humeur qu’on lui connait et qui la caractérise, elle est très souriante, sociable et rarement de mauvaise humeur. Comme elle le reconnaît elle-même, elle est un peu capricieuse et très exigeante. Elle aime les voyages, le football, le footing, le tennis de table et la musique.

Paule Véronique Bassock
Journalducameroun.com)/n

La nouvelle miss Cameroun est Ntep Anne Lucrèce

Elle devance Damarys Ngambe, Hulde Yanimbong et Ngufor Ethel Ngum, ses trois dauphines.

Son éloquence, sa grâce, son bilinguisme et son naturel ont séduit le jury et le public. Anne Lucrèce Ntep, originaire de Bakélébah dans le département du Nyong-Ekéllé, est à sa première participation dans un concours de beauté. Elle est étudiante en lettres modernes à l’université de Yaoundé I. Elue Miss Centre 2009, son couronnement régional n’avait pas souffert de contradiction et il en sera de même de celui qu’elle a reçu samedi 16 mai dernier au cours de la soirée organisée conjointement par le Comité Miss Cameroun (Comica) et l’Agence Proximity. Le jury était présidé par l’épouse de l’ambassadeur de Côte d’ivoire au Cameroun, madame Allou Biti Wanyou.

En dehors des traditionnels passages en tenue de ville, tenue traditionnelle, maillot de bain, les candidates ont été notées sur leur psychologie, leur beauté, leur intelligence et surtout la culture générale liée à leur domaine.

Agée de 20 ans et originaire de la province de l’Est, Audrey Amboagué, miss Cameroun 2008, est étudiante en 2ème année à la faculté des sciences économiques et de gestion de l’université de Yaoundé 2. Elle avait remporté la couronne face à Solange Ngo Honla (1ère dauphine), Agnès Anita Awana (2ème dauphine, qui quelques mois plus tard remportera le titre de miss naïades 2008) et Dominique Pomboura Ngou, (3ème dauphine).

A titre d’information, sa couronne vaut 1,5 millions de Fcfa.

Ntep Anne Lucrèce, nouvelle miss Cameroun
misscameroun.org)/n