En s’appuyant sur le projet de société du coordonnateur du mouvement « 11 millions de citoyens », Journalducameroun.com imagine ce que serait ce secteur s’il était élu président et si ses propositions prenaient corps.
La présidentielle 2018 a été rude. Mais, Cabral Libii a déjoué les pronostics et trône désormais à la tête du Cameroun. Ses adversaires politiques l’attendent au virage. Mais, le jeune président compte sur sa politique éducative pour construire une société plus solide dans les générations à venir. La crise anglophone. Il l’a connue. Pour Cabral Libii, plus question de faire face à de telles divisions. Alors, il a instauré le français et de l’anglais comme langues d’enseignement dès la maternelle. Il en est désormais ainsi jusqu’en Terminale.
De nouvelles filières ont été introduites dans les établissements secondaires d’enseignement technique, polyvalents, ruraux et semi-urbains. Ces séries sont les techniques agropastorales (Tap) et l’introduction aux Arts plastiques (Ap) (comme la peinture, la sculpture, l’architecture). Les étudiants quant à eux bénéficient de bourses. Ceux inscrits en Master en génie industriel, agronomique ou en thèse, touchent un appui d’une valeur de 125.000 Fcfa par mois. En même temps, les frais de scolarité ont été réduits de moitié pour tous les étudiants des universités publiques du Cameroun, soit 25.000 francs CFA.
Cabral Libii a à cœur d’offrir une éducation de qualité à ses compatriotes. Aussi, chaque année, il recrute à 22.000 enseignants en raison de 11.000 pour le secondaire. Dans le secteur primaire, il en recrute 10.000 et 1000 dans l’enseignement supérieur. Cabral Libii estime qu’il faudra procéder à la contractualisation de l’ensemble des enseignants vacataires des lycées et universités, ainsi que la contractualisation et l’affection de tous les instituteurs dès la sortie des Enieg et Eniet.