Au Cameroun un pasteur de 89 ans épouse une femme de 42 ans

Après la mort de sa première épouse, le révérend-pasteur Philémon Effaden a convolé en secondes noces avec sa fiancée Rose, le samedi 23 mars 2023.

L’adage est bien connu : l’amour n’a pas d’âge. Malgré ses 89 ans bien sonnés, le révérend pasteur Philémon Effaden, alias Habakuk âgé de 89 ans, n’a rien perdu de son élégance légendaire et de son verbe qui ont fait fondre le cœur de sa jeune petite Rose.

En croire les amoureux, il s’agit bien d’un mariage d’amour et non d’intérêt matériel. Petite curiosité, sa moitié avait reçu son baptême d’enfant à l’église à l’âge de 1 an des mains de celui qui est devenu aujourd’hui son époux.

Selon le récit Médard Evina, la localité de Mefoup par Ebolowa a été témoin d’un grand événement heureux samedi dernier. Après seize mois de fiançailles, deux amoureux se sont dit oui, pour le meilleur et pour le pire devant monsieur le maire sous les applaudissements des membres des deux familles et des invités.

Il faut rappeler que l’homme est un ancien directeur de l’école primaire de Londji à Kribi et pasteur de l’église presbytérienne camerounaise (EPC) ayant officié dans plusieurs paroisses parmi lesquelles Manoah à Douala, Zingui à Ebolowa et bien d’autres.

Après le passage du couple devant l’officier d’état civil et devant Dieu pour la bénédiction nuptiale, le gigantesque gâteau de mariage a été partagé dans une ambiance festive jusqu’au petit matin du dimanche. A l’issue de la cérémonie, le couple d’amoureux a reçu les félicitations du révérend pasteur Lucien Azombo Oyono, du révérend pasteur Dr Ebane Ango Samuel et du révérend pasteur Félicien Nzie qui a rappelé qu’il n’est pas bon que l’homme soit seul pour le respect de la tradition évangélique tandis que Lydie Virginie Akamba a adressé aux élus des voeux pour un heureux mariage et beaucoup d’enfants.

Cameroun : le pasteur Hendje Toya l’ancien président de l’EEC est mort

La dépouille du Reverend Hendje Toya a été conduite hier 15 juin à la morgue de l’hôpital régional de Nkongsamba, dans le département du Moungo, région du Littoral.

Le Pr Jean Samuel Hendje Toya, ancien président général de l’Eglise évangélique du Cameroun (EEC), est décédé à l’hôpital de Nkongsamba dans la nuit du 14 au 15 juin 2022 suite à une chute dans sa résidence à Mélong, où il a fait un infarctus du myocarde.

Pasteur depuis plus de 20 ans, il était rattaché jusqu’à sa mort à l’EEC Paroisse du Cinquantenaire à Makepe. Le Pr Jean Samuel Hendje Toya était un éminent enseignant de théologie dans plusieurs facultés de théologie au Cameroun et dans le monde.

Il est apparu en public pour la dernière fois le dimanche 12 juin 2022 lors du culte de collecte des fonds pour la construction de la paroisse de Bana Centre aux côtés du pasteur Priso Moungole et du président du bureau de transition de l’EEC.

Président contesté de l’église évangélique du Cameroun, il avait été élu en 2017 à la tête de cette congrégation religieuse au Cameroun. C’était lors du synode de Ngaoundéré, pendant lequel l’EEC renouvelait ses dirigeants. Après cette élection, la fraction  menée par le révérend pasteur Priso avait porté l’affaire dans des juridictions et des sentences rendues n’ont pas toujours été favorables pour le défunt.

Le 15 décembre 2021, Hendje Toya avait annoncé sa démission comme président de l’Eglise évangélique du Cameroun.

Cameroun : la femme d’un pasteur demande le divorce à cause des violences conjugales et de la pauvreté

Parent de trois enfants encore mineurs, la femme d’un pasteur dit ne plus vouloir de ce dernier comme époux. Elle  a saisi le tribunal pour qu’il ordonne la séparation. Les faits sont relatés par Kalara.

 

 

 

 

« Je ne veux plus être le tam-tam de cet homme. Je suis fatiguée des bastonnades tous les jours. Je l’ai épousé parce que je pensais qu’il craignait Dieu. Hélas ! ». C’est en ces mots que Barbara a entamé son témoignage devant le juge de tribunal de premier degré (TPD) de Yaoundé le 20 octobre dernier.

Chrétienne engagée et épouse d’un évangéliste dans une église réveillée, elle dit avoir reçu déception  et humiliation à la place du grand amour que lui avait promis Jules, son époux et père de ses trois enfants. Les violences conjugales, l’irresponsabilité et le manque de respect de son homme, sont des motifs de sa requête en divorce introduite devant cette juridiction il y a à peine deux mois.

Jules, qui a comparu pour la première fois, a décliné la compétence du Tribunal coutumier après que son épouse ait fini de faire son témoignage. La dame, qui ne doutait de rien, a naturellement relaté au tribunal la litanie de ses déboires conjugaux. Elle a raconté au tribunal avoir fait la connaissance de Jules lorsqu’elle était encore élève en fiancé à un autre homme, qui payait ses études, après le décès de ses deux parents.

Ce dernier lui a posé des conditions, parmi lesquelles elle devait d’abord obtenir le baccalauréat avant de l’épouser. Ne pouvant  pas remplir ces conditions qui pour elle était une forme de chantage, elle s’est jetée dans les bras de Jules, qui a cette époque était dans une école de formation et son enseignant à l’école biblique.

Barbara déclare que son tuteur, le pasteur de leur congrégation religieuse, n’a jamais apprécié Jules. Selon lui, il n’était pas un homme pour elle, encore moins celui qui devait faire son bonheur. Elle s’est entêtée et la relation s’est poursuivie.

Au bout de quelques mois, l’évangéliste, qui prônait la chasteté avant le mariage, a eu des rapports sexuels avec elle. « Il m’a presque obligé de le faire. Dès notre premier rapport sexuel, je suis tombée enceinte de notre premier enfant », a-t-elle confié. Pour ne pas tomber davantage dans le péché, Jules a demandé Barbara en mariage.

La cérémonie a été célébrée le 27 décembre 2015 en l’absence des membres de la famille  de la femme, qui se sont toujours opposés à leur mariage. « Je l’ai épousé sous pression. Il ne m’a pas «doté» parce qu’il n’avait pas de moyens. Il avait peur que mon ex me récupère ».

Il peut me tuer

Barbara déclare que son calvaire a commencé un an après leur mariage civil et religieux. Elle raconte que son homme a commencé à poser la main sur elle pour la première fois lorsqu’elle fait des reproches à ce dernier pour avoir bastonné son grand-frère. Elle a quitté le domicile conjugal et est allée se réfugier dans les bras de son ex-fiancé.

Après plusieurs assises entre les deux familles, elle est revenue dans son foyer. Depuis lors, déclare-t-elle, elle s’occupe toute seule des charges du ménage. Son époux, qui n’est pas en activité, est aussi une charge pour elle. Aujourd’hui parents de trois enfants âgés respectivement de 6, 4, et 1an, Barbara dit ne plus vouloir de Jules comme époux.

 « Depuis que j’ai épousé cet homme, je suis constamment victime de violences conjugales. Je suis fatiguée, mon corps souffre. Il m’a déjà cassé une dent, si je reste avec lui il peut me tuer. Je veux divorcer », a-t-elle conclu.  Silencieux tout au long du témoignage de son épouse, Jules est resté bouche bée lorsque le juge lui a demandé sa version des faits.

Il s’est juste rapproché et a produit un document. «Pourquoi  avoir attendu que votre femme fasse son témoignage ? Madame, votre mari ne veut pas être jugé devant le tribunal du village. Il a décliné notre compétence» a déclaré le juge avant de mettre l’affaire en délibéré sur la compétence du TPD à connaître cette affaire. Ce sera à l’audience du 17 novembre 2021.

Nord-Ouest: un pasteur engrosse deux s urs à Bamenda

Marie Claire 18 ans et Brenda 14 ans ont été engrossées par Emmanuel Koki, un homme de 29 ans à la tête d’une église de réveil dans la ville de Bamenda, au Nord-Ouest du Cameroun

Akombom Marie Claire, 18 ans, porte une grosse de six mois. Sa s ur cadette, Brenda Nyingmah, 14 ans, porte elle aussi une grosse, mais de trois mois. Les deux jeunes filles ont été engrossées par le pasteur Emmanuel Koki âgé de 29 ans, à la tête d’une Eglise de réveil à Bamenda, chef-lieu de la région du Nord-Ouest du Cameroun. Les trois ont été présentées à la presse le mercredi 24 août 2016 par la brigade de gendarmerie du quartier Kedjom Kekuh.

L’information a été rapportée par nos confrères de la radio publique nationale, Crtv.

Des hommes en tenue les avaient interpellés suite à une plainte déposée par Tsibuh Toh Grace, la génitrice des deux filles. Selon les déclarations recueillies par la gendarmerie, l’histoire remonte à près de cinq ans quand, contre l’avis de leur mère, les deux enfants sont enrôlés à «The Crosse Over Ministry», l’une des églises de réveil que compte la région du Nord-Ouest. À peine arrivées, les deux adolescentes sont devenues les conquêtes d’Emmanuel Kokih, qui exerce dans cette congrégation comme pasteur. Ce dernier entretenait régulièrement des relations sexuelles avec les deux s urs à leur insu, leur promettant à chacune monts et merveilles.

Rêvant d’une belle vie dans le futur avec lui, les deux s urs s’étaient livrées sans réserve à cet homme. Depuis quelques jours, les parents de Marie Claire et Brenda voulaient en savoir plus sur le géniteur de leurs grossesses. Curieusement, les parents découvrent que c’est le pasteur qui a engrossé les deux filles d’une même famille.

Interrogé, Emmanuel Koki a reconnu les faits. Il justifie son acte par le fait que c’est un esprit diabolique qui s’est emparé de lui et qui l’a poussé à commettre ces actes odieux et irresponsables. Il a par la suite été arrêté et est actuellement à la gendarmerie.

Le pasteur et les deux s urs.
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Droit de réponse: Le Dr Tsala Essomba n’est pas mort

Le Pasteur du «ministère Va et raconte» évoque l’article du quotidien Mutations qui le donnait pour mort

Monsieur le Directeur de Publication,
Dans sa parution N° 2903 du lundi 09 Mai 2011, le journal Mutations a titré en grande une : «Nécrologie : Le Pasteur Tsala Essomba est mort. Le fondateur du ministère «Va et Raconte» a succombé à une maladie en Europe. Retour sur le phénomène qui a défrayé la chronique dans la capitale ».

1. Traitement de l’information
En page 5 de votre journal, il est écrit : «religion le dernier prêche de Tsala Essomba. D’après des sources concordantes le célèbre pasteur est décédé en début de week-end dernier hors du pays».

a. De vos sources concordantes
Je suis surpris de constater que votre reporter dont chapeau vient d’être cité n’a pas pris la peine de respecter la première règle déontologique dans l’exercice du métier de journaliste qui consiste à recouper l’information à bonne source avant sa publication. En effet, le Ministère Va et Raconte International situé derrière l’office du Baccalauréat au quartier Mvan Tropicana est l’endroit le mieux indiqué pour obtenir les informations fiables et dignes de foi à mon sujet. Ce ministère a en son sein, une Direction de l’Evangélisation et de la Communication chargée des Relations Extérieures, coordonnée par l’un de mes collaborateurs ouvert à toutes les sollicitations de la presse. Pour parler prosaïquement, avec 100frs CFA seulement, votre reporter aurait pu emprunter un taxi et arriver sur le site du ministère situé non loin de vos locaux. Je ne sais donc pas de quelles sources et de quelle concordance vous faites allusion dans votre article de presse lorsqu’on sait que votre reporter n’a pas daigné se rapprocher de mes plus proches collaborateurs que sont les Hommes de Dieu en service dans mon ministère. Monsieur BOYOMO aurait pu autrement chercher à contacter l’un des membres de ma famille aux fins de disposer de la bonne information. Face à autant de possibilités que l’auteur de l’article a carrément négligées, le texte de votre reporter vous aurait amené même par mimétisme à y marquer des réserves car, une nouvelle concernant la mort d’un homme de ma trempe n’a aucune commune mesure avec la fermeture d’une épicerie mal gérée. Je suis Ambassadeur pour Christ.

b. Toujours dans votre journal vous avez publié le texte suivant : «Le célèbre pasteur est décédé en début de week-end dernier hors du pays».
Au Cameroun le week-end commence le vendredi dans l’après midi et s’achève dimanche soir. Si l’on s’en tient à cette délimitation et selon vos propres propos, je serais mort dans cet intervalle de jours. Il est loisible pour moi de vous rappeler que vendredi soir, c’est-à-dire le 06 mai 2011, comme à l’accoutumée, j’ai annoncé l’évangile de Jésus-Christ par vidéo conférence à mes brebis qui se comptent par milliers au Cameroun. Le samedi matin, dans mon rôle de directeur de publication du bimensuel Va et Raconte info, j’ai présidé une réunion à laquelle prenait part tous mes plus proches collaborateurs. Le dimanche, dans le strict respect de l’ordonnance de Dieu, assisté d’autres Hommes de Dieu venus de la France et des Etats-Unis, j’ai dirigé personnellement le culte dominical au cours duquel j’ai présenté au Seigneur et à l’assistance venue nombreuse ma nouvelle née Deborah Tsala. Vous allez constater avec moi que je ne suis mort ni vendredi, ni samedi encore moins le dimanche. L’information publiée dans vos colonnes annonçant mon décès le weekend dernier est donc erronée et ne saurait être prise en considération car, je suis bel et bien en vie, en parfaite santé par la grâce de Dieu et je vis actuellement en Belgique où je poursuis sereinement mes activités au service du Seigneur.

2- Vos diverses allégations
En vous lisant, vous semblez également douter de mon appel. C’est l’occasion pour moi de préciser à votre rédaction que mon appel repose sur une révélation de Jésus-Christ et non sur les connaissances intellectuelles selon Galates 1 :11 qui dit «Je vous déclare, frères, que l’Evangile qui a été annoncé par moi n’est pas de l’homme; car je ne l’ai ni reçu ni appris d’un homme, mais par une révélation de Jésus-Christ». En effet, l’Apôtre Paul ne considère pas sa connaissance excellente reçue dans les écoles pharisaïques comme étant la base de son appel mais plutôt sa rencontre avec le Seigneur qui s’est révélé à lui. Or il n’est pas possible à n’importe quel homme d’opérer dans cette dimension juste à partir de sa carte de baptême, de sa connaissance théologique, philosophique, intellectuelle ou culturelle mais par la réception du Saint-Esprit. Actes 19 : 38 «vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui». Paul démontre qu’il était très avancé dans la prestigieuse école de Gamaliel célèbre Docteur de la loi juive selon Actes 22 : 3 «Je suis Juif, né à Tarse en Cilicie; mais j’ai été élevé dans cette ville-ci, et instruit aux pieds de Gamaliel dans la connaissance exacte de la loi de nos pères, étant plein de zèle pour Dieu, comme vous l’êtes tous aujourd’hui». Pareillement la Bible confirme que les Apôtres à l’instar de Pierre, Jean et les autres qui suivaient Jésus étaient reconnus par le peuple comme des hommes sans instruction : Actes 4 :13 «Lorsqu’ils virent l’assurance de Pierre et de Jean, ils furent étonnés, sachant que c’étaient des hommes du peuple sans instruction; et ils les reconnurent pour avoir été avec Jésus». Ainsi, mon appel se justifie selon la parole de Dieu par des guérisons diverses, des délivrances et la victoire sur les puissances des ténèbres selon Marc 16 : 15-18 «allez partout le monde, et prêcher la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point mal ; ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris».

A la lumière de ces révélations du Saint-Esprit, je me pose bien la question de savoir en quoi est-ce que je suis imposteur ? Puisque l’appel que j’ai reçu de Dieu repose sur Jésus-Christ et non sur les connaissances théologiques, philosophiques intellectuelles ou culturelles. Ephésiens 4 : 10-15 «Celui qui est descendu, c’est le même qui est monté au-dessus de tous les cieux, afin de remplir toutes choses. Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres pour le perfectionnement des saints en vue de l’ uvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ, afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ». La mission qui se dégage donc de mon appel, n’a rien à voir avec les fables habilement conçues qui contribuent à maintenir le peuple dans la servitude et l’esclavage du diable. Colossiens 2 : 8 «Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ». C’est Dieu qui m’a choisi et m’a doté d’un instrument, le Saint-Esprit, qui se manifeste dans mon ministère par des miracles, des guérisons des signes et des prodiges, selon les Saintes Ecritures dans Actes 26 : 16-20 «mais lève-toi, et tiens-toi sur tes pieds ; car je te suis apparu pour t’établir ministre et témoin des choses que tu as vues et de celles pour lesquelles je t’apparaîtrai. Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t’envoie afin que tu leur ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent par la foi en moi le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés. je n’ai point résisté à l’appel j’ai prêché la repentance et la conversion à Dieu avec la pratique d’ uvres dignes de la repentance». De même, après ma délivrance le 22 février 1992 à Edéa, j’ai annoncé l’Evangile à travers le Cameroun et dans d’autres nations telles que le Nigeria, le Benin, le Togo, la Côte-d’Ivoire, le Gabon, les deux Congo, la France, la Belgique, la Suisse, le Luxembourg, les Etats-Unis, pour ne citer que celles-là.

3. Les miracles que vous assimilez à de la magie.
Jésus, le Maître de l’église reconnaît que les miracles doivent accompagner ceux qui ont cru. Par l’autorité de Jésus-Christ de Nazareth et l’onction du Saint-Esprit, je démontre donc la puissance de Dieu par le message que je prêche (Marc 16 : 17 cité plus haut). Cette Toute Puissance domine et assujettit les puissances des ténèbres selon Luc 10. 17 «Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi; et rien ne pourra vous nuire». Pourquoi ceux qui se réclament de l’Eglise de Dieu sont inefficaces face à la sorcellerie, souffrent de maladies et d’infirmités, vivent dans la pauvreté, la misère, subissent envoûtements et malédictions ? Or la mission de l’église est d’ouvrir les yeux des aveugles et de faire sortir les hommes des ténèbres à la lumière. C’est pourquoi j’annonce la bonne nouvelle de l’évangile de Christ qu’accompagnent les signes et les miracles comme c’est le cas au temple «LE ROCHER DE GUILGAL» et tous les premiers vendredis de chaque mois au palais des sports de Warda où Dieu confirme sa parole par la délivrance, guérisons et miracles exceptionnels devant plus de 12.000 personnes.
Dieu en m’envoyant prêcher l’évangile partout dans le monde m’a oint de la puissance du Saint-Esprit selon qu’il est écrit dans Actes 1 : 8 «Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre. C’est par cette Toute Puissance que les malades sont guéris, les captifs et prisonniers libérés, la repentance et le pardon des péchés prêchés aux âmes». Pourquoi donc s’acharner sur une Eglise comme Va et Raconte qui confesse Jésus comme Seigneur et Sauveur, où s’opèrent des miracles et des délivrances au quotidien ?

Face aux allégations publiées dans votre journal en octobre 2010 et le 09 mai 2011 par un journaliste diplômé de l’ESSTIC en la personne de Georges Alain BOYOMO qui a pour Rédacteur en Chef un autre journaliste de surcroît enseignant respecté dans cette même école, j’ai des doutes sur la qualité de l’information qu’il met à la disposition de ses lecteurs. Je reste néanmoins convaincu que ce droit de réponse va réveiller en ce journaliste et à l’ensemble de votre rédaction quelques reflexes professionnels dans la quête de l’information vraie, vérifiée et vérifiable à mettre à la disposition du grand public qui respecte tant ce que vous faites.

Je me réserve le droit, cependant de solliciter la justice camerounaise nonobstant la portée du présent droit de réponse.

Tsala Essomba, Pasteur pentecôtiste
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Cameroun: Le décès de Tsala Essomba démenti

Alors que le journal Mutations annonçait lundi matin le décès du pasteur, certaines autres sources ont démenti l’information

La mort de Tsala Essomba démentie
Lundi 09 mai 2011, le quotidien Mutations a annoncé la mort du célèbre pasteur évangélique camerounais Tsala Essomba qui selon le journal serait intervenu le weekend. L’information serait partie d’un communiqué de la chaine de télévision Canal 2. Information qui a été répercutée dans une grande partie des ménages. Le journal n’apporte aucune précision, si ce n’est que la nouvelle a été donnée par des proches de la victime. Joint au téléphone, Pouhe Georges lui aussi pasteur pentecôtiste officiant a Bertoua dans la région de l’est du Cameroun, a fait savoir que cette information était fausse. Nous avons appris effectivement qu’un journal avait annoncé la mort de Tsala Essomba, et tout de suite j’ai joint un autre pasteur de notre congrégation et lui a appelé Tsala Essomba. Je peux le dire, il n’est pas mort, sa santé a été fragilisée mais il est en vie, a fait savoir ce pasteur formé par Tsala Essomba. Selon lui, lorsqu’il a été joint au téléphone, Tsala Essomba se serait exclamé Je sais pourquoi tu m’appelles, moi aussi j’ai appris qu’on annonce ma mort. Sur la maladie de Tsala Essomba, le pasteur Pouhe s’est refusé de donner un avis. Mais il a annoncé que le pasteur présenté comme mort, avait prévu une série d’activités sur la Belgique. J’ai eu la confirmation que Tsala Essomba avait maintenu son programme de croisade sur la Belgique. Il y mènera un ensemble d’activités pastorales d’ici peu a-t-il fait savoir. Les informations du Pasteur Pouhe ont été confirmées un peu plus tard dans la soirée, lorsque la chaine de télévision Canal 2 a fait passer un appel téléphonique indiquant qu’il s’agissait du pasteur donné pour mort.

Le pasteur de toutes les controverses
Toute information sur Tsala Essomba fait toujours l’objet d’une grande attention de la part de nombreuses personnes. Ce pasteur intervenant dans plusieurs secteurs s’était fixé pour objectif de faire le tour du Cameroun avant 2011 pour mener des croisades visant à inciter les populations à soutenir le régime en place. Une idée qui semblait lui valoir les faveurs des autorités. Dans un tout autre domaine, Tsala Essomba est connu pour son action sociale. Sous le couvert de son Organisme non Gouvernementale, il a souvent procédé à des remises de dons dans des orphelinats, de médicaments à des centres hospitaliers, de matériels informatiques ainsi que de fournitures scolaires à des écoles. Très récemment, il avait fait l’objet de nombreuses attaques dans la presse privée camerounaise. On lui reprochait entre autre de ne pas être suffisamment transparent sur les origines et l’étendue de son patrimoine. Autre reproche, le Pasteur sous le couvert de son message divin a semblé par moment rouler pour la cause du régime en place, bénéficiant ainsi de ses faveurs, ce qui a créé une levée de bouclier contre lui. Malgré tout, le pasteur reste un phénomène pour de nombreux pentecôtistes qui sont acquis à sa cause et à son message divin. Le pasteur ces derniers temps semble souffrir d’un mal sérieux. Certaines sources parlent d’empoisonnement, là aussi rien n’est assez précis.

Le Tsala Essomba est un pasteur pentecôtiste camerounais
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