Laquintinie: Richard Njock se donne « 90 jours pour changer l’image de l’hôpital »

Il a été installé dans ses nouvelles fonctions, lundi 18 avril, au cours d’une cérémonie présidée par le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda

Louis Richard Njock est en poste. Nommé par décret du premier ministre le 12 avril dernier, le nouveau directeur de l’hôpital Laquintinie a officiellement pris fonction hier, lundi, 18 avril 2016. Il a été installé dans ses nouvelles fonctions au cours d’une cérémonie présidée par le ministre de la Santé publique (Minsanté), André Mama Fouda.

Il remplace à ce poste Dr Jean II Dissongo limogé après quatre ans à la tête de cet hôpital. Juste après son installation, le nouveau Directeur a dévoilé dans un entretien accordé à la presse, son plan d’action qui va « être un plan d’action d’urgence ».

« Je vais dans les 90 jours, mettre en place des actions pour que les changements soient perceptibles dès le troisième mois de ma prise de fonction », s’est fixé le nouveau patron de Laquintinie, sans toutefois donner des détails.

Louis Richard Njock compte également prôner l’éthique et le professionnalisme au sein de cet établissement hospitalier. « Vous pensez bien, l’universitaire que je suis, ne peut pas tolérer que dans un hôpital d’application pour les facultés de médecines, que sont soient celles de Douala et de Buea, qu’il y ait une formation au rabais pour l’intelligentsia camerounaise des futurs infirmiers, des futures médecins dans un hôpital où il y a le clientélisme, le rançonnement des malades. Ces pratiques-là, je les combattrai avec force et vigueur pour que je laisse au sortir de Laquintinie, un hôpital formateur pour les futures générations », a-t-il indiqué.

En l’installant, le Minsanté a précisé: « vous arrivez dans un environnement nouveau, vous avez à relever le défi de l’image de marque non seulement de l’hôpital mais aussi du personnel médical, d’une manière générale, je voudrais vous dire que les directives relatives à l’accueil, l’orientation et la prise en charge des patients devraient être votre premier chantier ».

L’ancien chef service Orl de l’hôpital de Douala a mesuré l’ampleur des défis qui l’attendent et devra faire face à « l’exigence qui a été édictée par le ministre de la santé publique en terme de feuille de route et l’obligation d’implémenter les nouvelles directives en matière d’accueil et d’orientation, de prise en charge des malades en situation d’urgence vitale ».

Après avoir été directeur régional de l’hôpital d’Edea, Louis Richard Njock arrive à l’hôpital de Laquitinie où « les chantiers sont exaltants ».

Louis Richard Njock, nouveau directeur de l’hôpital Laquintinie de Douala.
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Cameroun: baisse de 50 à 80% du traitement des hépatites B et C

L’annonce a été faite lundi 11 janvier 2016 par le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, au cours d’une conférence de presse à Yaoundé

Selon le ministre de la Santé publique (Minsanté), un premier stock de molécules de 500 traitements complets est déjà disponible à la Cename. Ces traitements garantissent ainsi un taux de guérison de 95%.

Concernant l’hépatite C, le traitement est révolutionnaire et moins couteux. Les malades souffrant d’hépatite C de génotype 2 devront débourser 150.000 Fcfa par mois soit 450.000 Fcfa en trois mois.

S’il s’agit de L’hépatite C de génotype 1 et 4, les malades paieront un montant de 348.000 Fcfa par mois soit un total de 1.400.000 Fcfa pendant trois mois. Soit une baisse de 50 à 80% avec une efficacité sur une durée de trois mois au lieu de douze mois.

Pour ce qui est de l’hépatite B, l’OMS recommande de faire le vaccin à la naissance pour mettre fin à la chaîne de transmission.

En rappel, les symptômes de l’hépatite B incluent la fièvre, la grippe et des douleurs articulaires. L’on peut réduire les risques en réduisant et en évitant les rapports sexuels non protégés, des aiguilles contaminées et d’autres sources d’infection.

L’hépatite C qui est aussi une maladie du foie causée par le virus de l’hépatite C peut provoquer à la fois l’infection de l’hépatite aiguë et chronique.

Ces tueuses silencieuses affectent plus de deux millions de Camerounais selon les statistiques. C’est la raison pour laquelle le gouvernement camerounais a réduit le coût de traitement.


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Paludisme au Cameroun: plus de 4000 décès enregistrés en 2014

Le taux de mortalité dû à cette maladie reste élevé en territoire camerounais, d’après des statistiques du ministère de la Santé publique

Le taux de mortalité dû au paludisme reste élevé au Cameroun, avec en moyenne 4 000 décès enregistrés en 2014, d’après des statistiques du ministère de la Santé publique.

Selon le secrétariat permanent du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), les régions de l’Extrême-Nord et de Nord restent les plus touchées avec 40 pour cent de décès.

Ce taux de mortalité est en baisse par rapport à 2013, où les deux régions totalisaient 70 pour cent des décès dus à cette maladie au Cameroun.

Depuis trois ans, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) maintient le même thème de célébration: «Investir dans le futur: vaincre le paludisme» et dont le corollaire est la baisse de la morbidité.

C’est ainsi qu’au-delà des méthodes traditionnelles de prévention, l’accent a été mis depuis quelque temps à la distribution des moustiquaires imprégnées dont on compte remettre 12 millions de moustiquaires en 2015.

Cette opération a contribué à ramener le taux de morbidité de 38 pour cent en 2010 à 30 pour cent en 2014.

Toutefois, avec plus de 4000 décès dus au paludisme par an, le Cameroun reste un foyer important du paludisme au Cameroun.


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Le Cameroun déclaré non exportateur du virus de la polio

L’annonce a été faite jeudi 26 mars 2015 par le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda

Le Cameroun ne fait plus partie des pays exportateurs du polio virus sauvage, un classement qu’il occupait depuis près d’un an aux côtés du Pakistan et de la Syrie, a annoncé jeudi le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, précisant que le pays maintenait cependant le statut d’endémique à ce virus réputé dangereux pour la santé humaine.

« La polio n’est pas éradiquée, mais nous ne sommes plus pays exportateur. Nous restons pays endémique au polio virus sauvage », a déclaré le ministre de la Santé publique, dans une interview diffusée à la radio nationale. C’est l’apparition du virus en Guinée équatoriale voisine due à une famille ayant séjourné dans le pays que le Cameroun s’est vu attribuer en mai 2014 le triste statut d’exportateur par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), alors détenu par deux pays dans le monde: le Pakistan et la Syrie. A cette date, ce pays d’Afrique centrale faisait face depuis cinq mois à la résurgence d’une épidémie qu’il croyait avoir éliminé en 2009.

« Jusqu’en octobre 2013, le dernier cas de polio virus sauvage au Cameroun avait été enregistré en 2009 et le Cameroun était en bonne voie pour atteindre l’objectif mondial d’éradiquer la poliomyélite », avait alors souligné André Mama Fouda. Depuis lors, 13 cas ont été notifiés dont deux, des enfants, dans un camp de réfugiés centrafricains à l’Est, selon les autorités sanitaires.

« Nous nous réjouissons aujourd’hui que depuis le mois de juillet nous n’ayons pas enregistré d’autres cas », constate désormais le ministre de la Santé publique.

Pour stopper la circulation du virus, le gouvernement a institué l’organisation de campagnes de vaccination presque chaque mois y compris à destination des adultes. Mais des résistances subsistent de la part de certaines couches sociales, principalement à Yaoundé et Douala, les deux grandes villes du pays, déplore le ministre. Les autorités s’emploient à surmonter ces écueils, afin de réaliser l’objectif fixé de « Cameroun indemne de polio en 2015 ».

Campagne de vaccination contre la polio
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Le Pr. Sinata Koulla-Shiro reçoit le prix de la santé publique de l’OMS

La camerounaise a été distinguée à Genève conjointement avec la société thèque de cardiologie dans le cadre du Prix «Dr LEE Jong-Wook» pour la santé publique

Le 22 mai 2014, en marge des travaux de la 67ème Assemblée mondiale de la Santé à Genève, le directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Dr Margaret Chan et le président de la 67ème assemblée mondiale de la Santé, le cubain Roberto Morales Ojeda, ont décerné quatre distinctions à des figures mondiales de la santé publique. Le Professeur Sinata Koulla-Shiro du Cameroun a ainsi eu l’honneur de recevoir le prix « Dr LEE Jong-wook » pour la santé publique conjointement avec la Société tchèque de Cardiologie. Prix qui consiste en une plaque commémorative offerte par le fondateur et une somme en espèces de 50.000 dollars US (25 millions de F CFA) qu’elle partagera avec le second lauréat de cette distinction.

La camerounaise a été honorée au Palais des nations à Genève en présence du ministre de la Santé publique, André Mama Fouda et du représentant permanent du Cameroun à l’ONU à Genève, Anatole Fabien Nkou. D’après le commentaire de l’envoyé spécial de la radio publique nationale à Genève à cette occasion, Le Pr. Sinatha Koulla Shiro a remercié le Cameroun et en particulier le chef de l’Etat pour l’appui fourni en matière de recherche.

Le Pr. Sinata Koulla-Shiro a été Primé pour ses travaux en microbiologie, les maladies transmissibles ainsi que le VIH SIDA. Le gotha de la science à l’OMS a reconnu, en ce qui concerne le VIH Sida, que les travaux du Pr. Kula Shiro sur les antirétroviraux ont permis d’accroître la thérapie dans les pays en développement.

Le Pr. Sinatha Koulla-Shiro occupe depuis septembre 2012 le fauteuil de secrétaire général du ministère de la Santé publique du Cameroun. Elle est professeure de microbiologie et de maladies infectieuses à la faculté de médecine de l’Université de Yaoundé I. Titulaire d’un diplôme de spécialisation en médecine interne obtenu en 1985 à l’université de Genève, elle a été de 1999 à 2002 le secrétaire permanent du Groupe Technique Central du Comité national de lutte contre le SIDA (CNLS). Elle est membre de plusieurs cercles scientifiques à l’international.

Pr. Sinata Koulla-Shiro
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Santé publique: Le personnel médical reste insuffisant

C’est la principale conclusion à laquelle est parvenue un rapport du ministère de la Santé publique publié à Yaoundé

Selon un rapport du ministère en charge de la Santé publique au Cameroun, les 25 000 à 30 000 personnels médicaux qu’on retrouve tant dans le secteur médical public que privé ne suffisent pas à faire face aux besoins des Camerounais, qui sont deux fois plus important. Le personnel de santé devrait pouvoir atteindre le chiffre de 60 000 personnes d’ici 2016, si on veut pouvoir faire face aux besoins de santé au Cameroun. Avoir finalement du matériel et des appareils ne suffit plus. Il est plus qu’urgent de se doter d’un personnel médical, a indiqué le Professeur Kingue, Directeur des ressources humaines au ministère de la Santé. Avec des experts du ministère de l’économie et du plan, une réflexion s’est ouverte sur le plan du développement de la santé d’ici à 2015. Un deuxième challenge par rapport aux personnels soignant est leur répartition sur le territoire. Déjà peu nombreux, on les retrouve d’avantage dans les grandes villes, Douala et Yaoundé précisément, ce qui se traduit par un déficit plus que grave dans les zones semi-urbaine et rurales. Selon le ministère de la Santé publique, huit nouvelles écoles de formation d’infirmières ont été ouvertes. Le gouvernement espère ainsi faire passer le nombre de sages-femmes formées annuellement de 200 aujourd’hui à 1500 en 2020. Même là le problème ne serait pas résolu. On aura ajouté que quelques 15 000 infirmières en plus contre un besoin de 30 à 40 000. Dans son dernier numéro des Cahiers Economiques, le bureau de la Banque Mondiale basé à Yaoundé aborde la question de manière générale. L’analyse estime que pour pouvoir former une catégorie de travailleurs, il faudrait une bonne formation dès la base. Or ce n’est visiblement pas le cas. De nombreux jeunes abandonnent encore le cycle des études primaires, se privant ainsi de la base nécessaire pour pouvoir accéder à des formations plus spécifiques. Au final, le système offre seulement 2% capacité de formation au supérieur. Un chiffre qui étonne au regard du statut de pays en voie de développement qu’est le Cameroun.

Un autre défi est celui des traditions
Le gap le plus important se trouve dans la grande région du nord du pays (Adamaoua, Nord et Extrême nord). Mais dans ces régions là, on retrouve aussi les plus forts taux de sous-scolarisation des femmes, parfois pour des raisons de tradition. Cela entraine une situation où il y a peu de personnes locales formées aux soins infirmiers et un refus presque systématique pour les jeunes filles des régions du sud de déménager vers le nord. Il y a enfin la situation économique des infirmières dont on attend beaucoup et qui n’ont pas toujours un salaire satisfaisant. Vous réalisez qu’on donne des bourses à des administrateurs et à celles qui sauvent des vies rien du tout, elles sont dans une galère pas possible, fait savoir une infirmière de l’Hôpital central de Yaoundé. Paradoxalement à ce besoin, le ministère de la Santé publique avait fait face l’année 2011, à la protestation de certains infirmiers recrutés dans le cadre du programme PPTE. Ceux-ci reprochait au gouvernement de n’avoir pas perçu leurs salaires, et n’avoir pas pu être intégré. De nombreux experts estiment que c’est l’ensemble même de la politique en matière de santé qui devrait être revue. La première étape est celle de la formation du personnel administrateur. On ne peut pas continuer de confier la gestion de la santé publique à des médecins. Leur travail, c’est sauver des vies pas diriger des organisations. D’un autre côté, il faudrait envisager un véritable statut des infirmiers, ce qui n’existe pas encore. Enfin, il faut déjà penser à instaurer une assurance médicale obligatoire jusqu’à un certain niveau. Cela résoudrait les contraintes de financement des structures de santé, et ferait entrer de nouveaux investisseurs dans le domaine de la santé publique, fait remarquer un observateur. Avec une baisse de son budget, ce n’est pas demain que le ministère de la Santé publique fera efficacement face à son défi

Les personnels médicaux et leur parchemin
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Des médicaments cancérigènes en vente au Cameroun

La prise des médicaments au parabène conduit lentement au cancer

L’assemblée Nationale Française a voté début Mai une loi interdisant la production et la vente des médicaments au parabène en France. Un parabène est un composé chimique cancérigène qui se trouve dans des médicaments et d’autres produits fabriqués en hexagone comme le
dentifrice Fluocaril. La prise des médicaments au parabène conduit lentement et inexorablement au cancer, sous ses multiples formes qui existent. A titre de comparaison, c’est tout simplement de l’huile que l’on a ajouté au feu.

La France étant un principal fournisseur du Cameroun, cette mesure devrait logiquement s’appliquer ici. Sauf qu’au Cameroun, qui peut se soigner en Europe, personne n’a rien dit. Le Minsanté, quoique saisit à travers son site internet est resté coi. Abandonnés à eux-mêmes, les Camerounais des classes moyennes continuent de prendre du paracétamol Glaxo-Smith-Kline, de l’Ibuprofène, du Bactrim, du Rinathiol, du Primpéran entre autres qui mènent droit au cancer. A cette allure là, le principal fléau qui menacera le Cameroun d’ici vingt ans, sera indubitablement le cancer. L’une des principales causes aura été la sous-information des concernés puisque jamais avertis par le ministère de tutelle du grand danger que représentent certains médicaments qu’ils ingurgitent tous les jours.

Le Monde, un grand quotidien français, a publié une liste de quatre cents médicaments et produits contenant le parabène et par conséquent cancérigène dont certains sont les suivants: Clarix, Codotussyl, Drill, Humex, Pectosan, Maalox, Gaviscon, Zinnat, Fluocaril, Ovastin, Noctran, Actos, Competat, Josacine, Nizoral, Champix, Activox, Ambroxol, Arginine, Biocalyptol, Broncalene, Bronchokod, Carbocistéine, Celltop, Cetavlon, Cicatryl, Esomeprazole, Gentalline, Gentamicine, Locoid, Mycostatine, Neo-Codion, Oraciline, Piracetam, Polaramine, Potassium, Sargenor, Vastan, Zophren, Zovirax, Zyprexa, Zurtec.

Il contiendrait du parabène devenu cancérigène!
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Les chiffres affolants du Sida au Cameroun

Le ministre de la santé publique a annoncé près de 33.000 décès en 2010

Des chiffres qui font froid dans le dos ont été mis à jour. Le Cameroun compte 570.000 personnes séropositives en 2011 pour une population d’environ 20 millions d’habitants, a dévoilé ce lundi le ministre de la Santé publique André Mama Fouda. Le sida est à l’origine de 33.000 décès en 2010 et malgré les efforts de prévention, le Cameroun a enregistré environ 50.000 nouvelles infections la même année, a-t-il-ajouté lors d’une conférence de presse avant la Journée mondiale de lutte contre le sida le 1er décembre. Face aux hommes de médias, l’avalanche des chiffres éloquents s’est poursuivie, en décrivant la féminisation de la pandémie au Cameroun. En effet, des 570.000 personnes vivant avec le VIH en 2011, environ 60% sont des femmes. 70% des nouvelles infections dans la tranche d’âge 15-24 ans atteignent les jeunes filles a-t-il précisé. Quant aux enfants, 7300 sont infectés chaque année du fait de la transmission mère-enfant du VIH, toujours selon M. Mama Fouda.

Le constat des faits impose une riposte. Dans cette optique, le Cameroun a prévu pour 2011 une enveloppe de 12 milliards de FCFA (18,2 millions d’euros) pour l’achat d’antirétroviraux (ARV) distribués gratuitement aux malades, d’après le ministre de la Santé publique. Le Cameroun devrait dénombrer environ 100 à 120.000 personnes sous traitement en 2011 dans le cadre de ce programme mais la demande reste croissante, a-t-il expliqué. L’objectif du Cameroun est d’éliminer les nouvelles infections chez les enfants à l’horizon 2015 et de réduire de 50% les nouvelles infections chez les femmes en âge de procréer, selon M. Mama Fouda. L’Afrique subsaharienne est la région du monde la plus durement touchée par le VIH. En 2010, près de 68% des personnes vivant avec la maladie dans le monde résidaient dans la région, l’Afrique du Sud comptant plus de personnes atteintes (environ 5,6 millions sur 50 millions d’habitants) que tout autre pays au monde, selon un rapport d’Onusida paru le 21 novembre 2010. Toutefois, les décès diminuent régulièrement depuis 1998 car l’accès aux traitements antirétroviraux gratuits s’est généralisé dans la région, toujours selon le rapport. En rappel, le thème 2011 de la Journée mondiale de lutte contre le sida est Objectif zéro: zéro nouvelle infection à VIH, zéro discrimination et zéro décès lié au sida.

Le Sida à l’approche de la journée mondiale
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